Mon Dominant Dominé - Rencontre Unique
Chers lecteurs, chères lectrices,
Je vous partage aujourd'hui le récit très peu retouché d'un homme que je n ai vu qu une fois, et ne reverrait pas.
Un homme dominant d'une quarantaine d années, au corps sublime, ayant eu quelques soumises mais surtout nombreux soumis.
A la recherche d'une complice pour partager des moments à 3 ou à 4.
Ne partageant ces jeux que dans des soirées privées dont je ne suis pas organisatrice, j ai décliné sa proposition.
Il m a ensuite fait part de ses goûts inavouables, son appétence pour la dilatation et le fist qu il pratique seul...
Quelques exigences formulées, que j ai plus ou moins respectées... Devinant surtout du stress autour de ses pulsions.
Je me demandais vraiment s il aurait l'audace de se présenter au rendez vous...
Ce fut intense et émouvant.
Bonne lecture.
Après quelques échanges intéressants par mail avec Madame Anna depuis plusieurs jours, où j'en ai beaucoup dis sur moi même, me voici à patienter dans ma voiture, stressé.
Je regrette ce que je lui ai autorisé, de lui avoir exposé mon masochisme et avoué mes penchants. Une inconnue, qui semble trop bien pour être vraie, dont je ne connais rien, pas même le visage tandis qu'elle m'a vu en photo dans des positions assez gênantes...
Me voici en bas résille et culotte en dentelle, rempli d'un plug, sous une tenue des plus classiques.
Je suis excité mais terriblement nerveux...
Les minutes passent, pas assez vite, mais bien trop pour mon cur qui palpite.
De ma voiture, je guette un signe, voir si quelque chose bouge dans l appartement du 1er étage où elle me reçoit. Mais rien ne laisse présager qui s y trouve.
A l heure convenue, je sors de ma voiture, sentant mon cul bien pris et la caresse de la dentelle sur ma queue déjà à moitié dure et je sonne. Je balbutie un stupide "Euh... C est moi..."
Une voix féminine m annonce "1er étage la porte de droite" et j entends le clic d'ouverture de la porte.
Je transpire, et les escaliers me semblent interminables. Sur le palier, je toque, hésitant pourtant à faire demi tour en courant mais mon cul me rappelle pourquoi je suis là.
Rien ne bouge... Mauvaise blague ?
Tandis que je fais demi-tour, commençant à paniquer, j entends des talons raisonner sur un parquet. La porte s'ouvre.
Une jeune femme avec des longs cheveux, un sourire brillant et des yeux pétillants derrière des lunettes entrouve la porte.
Elle me dévisage avec un sourire prometteur et me lance d'une voie douce "Oui, C est pour quoi ?"
Merde... Je ne sais pas quoi dire...
Alors elle éclate de rire et me dis, "Tu entreras quand tu sauras pourquoi tu es là"
Et elle referme la porte en m envoyant un baiser...
La Garce...
Respire, ça va aller, C est elle, elle te connaît déjà un peu, elle a l air gentille, ce n est qu'une taquinerie...
Prenant une bouffée d'air, je toque à nouveau et elle répète sa question sans ouvrir la porte.
Je lui réponds d une voix que j espère assurée "je viens pour être votre pute Madame Anna".
Bingo, la porte s'ouvre...
Je rentre dans ce bel appartement au style ancien et noble, la cherchant directement du regard.
Je découvre alors une charmante demoiselle toute en rondeurs sans toutefois être difforme, portant un corset noir soyeux, bien ajusté laissant voir des gros seins retenus par le laçage.
Je baisse le regard et une culotte noire toute simple recouvre ses hanches, avec un porte jarretelle et des bas noirs.
De jolis escarpins noirs à talons aiguilles achèvent sa tenue.
Je me sens durcir, elle est bandante cette nana...
Désormais, je regrette de lui avoir demandé de ne pas me faire jouir...
Je la vois amusée, et en attente.
Je m'exécute alors pour la saluer comme elle me l'a demandé par message...
Et m agenouille.
Elle m interrompt directement, en me disant "voyons, ce n est pas une tenue de pute que tu as là.
Je comprends donc que je dois me déshabiller directement, sous son regard. Qu est ce que c est gênant...
Elle me dévore des yeux, avec toujours son petit sourire amusé. Moqueuse ou gourmande ?
Me voici en bas, plug et culotte devant elle.
Je m agenouille et embrasse ses chaussures.
"Bonjour Maîtresse Anna. Vous êtes encore plus belle que je me l imaginais".
Elle s agenouille aussi et me mords la lèvre du bas en guise de baiser, puis lèche ma joue, laissant un filet de sa bave dégouliner le long de mon cou.
J'ai l envie soudaine d en être recouvert et ma queue est un peu plus dure malgré le stress.
Elle se relève et me laisse là, se dirigeant vers le canapé.
Je ne peux m empêcher de regarder ses fesses se dandinant au rythme de ses talons qui claquent. À croquer, même pour un homme qui comme moi préfère les femmes très minces.
Elle s assoit, boit une gorgée dans une tasse et me regarde en souriant. Je ne bouge pas et attends, en profitant pour la mater.
"viens là ma jolie pute... Oui, à 4 pattes bien sur, vu que tu aimes ça..."
Les quelques mètres qui me séparent d elle semblent très long, et je sens mon plug trempé qui dilate mon cul.
Elle croise aussitôt les jambes, m empêchant ainsi de voir sa chatte moulée dans sa culotte.
"Debout" ordonne t elle après quelques secondes.
Aussitot fait, ses mains parcourent mon corps, sentant ses ongles rouges entrer dans ma peau, pincer mes tétons déjà durs, tirer les poils de mon torse et palper mes hanches molles.
Elle saisit ma queue dure et me branle un peu à travers la dentelle qui gratte.
"oh, c est quoi ça ?" demande t elle avec un air angélique en sentant ma mouille à travers le tissu.
"Je mouille Maîtresse"
Elle glisse alors ses doigts sous le tissu, directement sur mon gland pour recueillir le jus, se lève et me l engouffre au fond de la bouche.
Elle me fait sucer ses doigts comme si c était une queue, ses yeux à quelques centimètres des miens... Enfonce loin, très loin, presque trop loin, me donnant envie de gerber. Je sens mon cul qui s ouvre et m inquiète du plug qui risque de tomber sous l excitation. Elle sait y faire cette nana...
Je salive et elle me demande de ne pas avaler, de laisser couler. Je sens mon torse poilu qui en reçoit.
Elle se rassoit ensuite, visiblement satisfaite, écarte les cuisses et vois mon regard qui n en perd pas une miette, essayant de deviner la forme de sa chatte.
Elle m attire à elle, délace un peu son corset de façon à sortir ses énormes seins et guide mes hanches pour faire frotter ma queue habillée entre ses seins...
"Dommage que tu ne souhaites pas jouir, ce serait si agréable là, ton sperme à lécher sur mes seins..."
Je ne réponds pas, j hésite à lui dire que je retire ce que j ai dit, qu'elle peut me faire jouir comme et quand elle veut et profiter de ma queue, que c était juste par peur de ne pas bander comme il faut, vu comme ma bite ne réagit pas avec ma femme et me joue souvent des tours...
Mais je n ai pas le temps de réfléchir à mes mots, elle me retourne, pour voir mon cul.
Ses ongles m attnt pour m écarter, lui offrant sans doute une vue pénétrante sur mon plug aspiré par mon trou, et ses dents rentrent dans la peau de mes fesses.
Elle mord, je me laisse faire... À plusieurs reprises. Ça m excite terriblement et je m entends gémir en la sentant écarter encore davantage mes fesses.
Sa langue glisse le long de ma raie, une main appuie sur le bas du dos pour me cambrer.
"c est vrai que tu es une belle petite pute" dit elle, en crachant sur mon plug.
Elle att mes mains dont je ne savais que faire et me les place de façon à bien écarter mon cul et libérer les siennes.
Elle commence à jouer avec le plug, le tournant, l enlevant presque et le replaçant rapidement, tout en faisant couler sa salive dessus.
Elle profite de ma position pour me mettre de nombreuses claques sur les fesses, que je sens bien sans toutefois trop insister, il ne doit pas y avoir de marques.
Je la sens s emballer, elle se lève et y va de bon cur, pendant que moi je gémis, voyant ma queue dressée à travers la dentelle, et sentant mon cul ouvert, plus assez rempli et légèrement rouge.
Elle s interrompt d elle même, jurant tout haut de ne pas pouvoir se lâcher davantage... Elle a horreur des hommes mariés pour ça, m apprend elle... Je m excuse platement.
Je la sens debout derrière moi, qui fait couler encore un peu de salive le long de ma raie et viens frotter ses gros seins sur mes fesses.
Je l entends gémir tandis qu'elle plaque son sexe contre mon cul, esquissant quelques mouvements de baise intense en agripant mon bassin...
Elle me le dit d ailleurs, qu'elle a envie de me baiser... "moi aussi Maîtresse... Désolé Maîtresse"
Je l'entends se remettre assise dans le canapé.
Elle m'invite à me mettre à genoux devant elle.
Elle écarte alors largement les cuisses, mon visage à quelques centimètres de sa chatte dont je devine presque les contours à travers le tissu léger...
Je suis fasciné par le sexe des femmes, et le sien doit être gorgé de cyprine vu comme elle a l air d être bien. J'ai tellement envie de le goûter et de le voir... Il me semble qu'elle aussi, je la sens presque trembler...
N attendant pas son ordre, je plonge ma langue sur sa culotte et entends son gémissement de ravissement. Je sens son goût à travers le tissu et commence à la laper vivement en entendant sa respiration s emballer et en voyant ses hanches se soulever pour me donner un meilleur angle.
C est alors qu elle me tire en arrière par les cheveux et recule son bassin. Je devine qu elle se fait violence et se prive elle même de ce plaisir, juste pour continuer notre petit jeu... Quelle femme adorable... Mais frustrante.
Elle me dit d un ton doux, "pas tout de suite, d abord je veux te fister..."
Je la sens faiblir en se relevant, me doutant à cet instant que si j insistais pour la lécher, elle céderait volontiers à mon avance...
C est tentant, mais je suis bon joueur, je veux qu elle jouisse après, sans remord.
Alors je prends sa main et la pose sur mon épaule pour l'aider à se relever.
Elle me relève également, je peux lire le désir dans son regard, qui la rend encore plus désirable... Je m imagine la retourner là contre le canapé, la faisant jouir de ma bouche puis la baisant vivement dans un nouvel orgasme.
Je n en fait rien évidement, je la laisse me mener, C est convenu comme cela...
Elle retire ma culotte et découvre ma queue encore bien tendue, ne se gêne pas pour me masturber rapidement en decallotant bien mon gland trempé.
Et arrête aussi vite pour me faire assoir sur une chaise de bar assez haute, le cul bien en l'air, à sa disposition, que je lui tends volontiers.
Je l entends marcher à l'autre bout de l appartement, puis revenir d un pas assuré.
Elle s'agenouille derrière moi, avec une vue panoramique sur mon cul, et me demande si je souhaite passer aux toilettes avant. Confiant en mon lavement réalisé juste avant de venir, je suis prêt à la laisser m élargir.
Ses doigts couverts de lubrifiant commencent à me pénétrer délicatement. Elle trouve rapidement ma prostate et la chatouille, mais je lui demande d'y aller doucement, sentant l ejaculation pouvant vite venir...
Anna y va tendrement, je sens son excitation à travers son souffle. Un à un, elle m écarte de ses doigts, sans peine, sans résistance de ma part.
Elle m encourage par des mots tantôt doux tantôt vulgaires, et je me sens m ouvrir, accueillir sa main complète tandis que l autre tient la mienne, à laquelle je m accroche.
Une fois bien au fond, elle bouge doucement, me faisant ressentir chacune de ses phalanges, et commençant à faire de petites aller et venues.
Peu à peu, elle y va plus franchement et baise mon cul dilaté, je la sens passer sur ma prostate et la soupçonne d incliner sa main volontairement en ce sens.
Mais je la laisse faire de bon cur, et serait ravi de jouir ainsi avec elle.
Elle retire sa main de la mienne et la fait venir à la place de la première.
Une chaleur différente, moins mouillée, je la sens bien passer mais ça reste agréable.
Elle joue à alterner ses deux mains, n hésitant pas à me faire part de son ravissement d avoir une belle pute à baiser de la sorte.
La cadence s accélère, et peu à peu je la sens essayer de me dilater davantage en ajoutant ses doigts à sa main.
Devant son audace, et me sentant plus ouvert que jamais, je me surprends à tenir ma queue raide sans la branler, juste en la tenant decalottée.
D un mouvement, elle tourne sa main et appuie sur ma prostate, ce qui me fait gicler aussitôt, sans contrôler...
Je m abandonne à l orgasme dans un cri qui me surprend moi même.
Pas de doute, elle sait s'y prendre...
Profitant jusqu au bout des contractions de mon cul autour de son poignet, elle se retire ensuite très délicatement, me laissant une sensation de vide qui me fait presque mal au cur.
J en suis tout retourné.
Elle le ressent sans doute, puisqu elle me serre dans ses bras, maternante, tout en tendresse.
Ce câlin me fait un bien fou et me prouve à quel point ce petit bout de femme est respectable et humaine.
Au bout de quelques minutes, je parviens à lui dire merci au creux de l oreille. Elle se retire avec un beau sourire, fière d elle et de moi et à ma grande surprise, me lâche un "merci à toi".
Je lui sers un café et nous engageons une discussion plus amicale, plus légère, je la sens moins dans le désir, moins dans le contrôle, comme si c était elle qui avait joui, et prête désormais à reprendre sa vie de maman.
Elle me sort d ailleurs un "rhabille toi, on va y aller" assez sec.
Hors de question de la laisser tourner la page, en bon dominant que je sais être, je me lève et lui réclame un câlin, presque innocemment...
Qu'elle accepte sans protester.
J en profite pour glisser mes doigts sur sa nuque et la sens frémir, cherchant à se libérer de mon étreinte.
Je lui chuchote alors "chut, laisse toi faire ma belle, profite, je veux te voir jouir".
Touchée la miss, je m en doutais...
Elle ne s'offusque ni du tutoiement soudain, ni de mes doigts qui descendent sur ses seins...
Je me tiens debout contre elle assise sur une chaise de bar, juste vêtu de mes bas, ridicules maintenant.
J embrasse son cou, elle frissonne, mais se laisse faire, ses mains dans son dos. À moi de la remercier et de lui faire lâcher prise...
Je dénoue son corset, et découvre ses beaux seins un peu tombants, mais très agréables... Je les embrasse goulument, faisant durcir ses tétons roses pâles que je mordille.
Elle gémit et écarte instinctivement les cuisses en se cambrant.
Tout en jouant de ma langue sur un mamelon, je glisse un doigt sous sa culotte, pour l écarter.
Je la sens effectivement trempée, et cela réveille ma queue et l envie de son parfum dans ma bouche...
Effleurant du bout des doigts son clitoris que je sens déjà gonflé, elle serre ses mains autour de mon visage pour me garder dans ses seins.
Elle gémit, ce qui me rassure dans mes gestes qui auraient pu être déplacés à ses yeux...
J ose entrer un doigt dans sa chatte, elle dégouline et semble déjà quelque peu dilatée, donc j en risque un second.
Nouveau râle de plaisir, ma belle est prête à se laisser aller, je ne veux pas la décevoir.
Je commence quelques massages internes, découvrant les diverses textures de son anatomie, m attardant sur celles qui la font frémir, tout en jouant de mon pouce sur son clitoris.
Je la sens très sensible et à fleur de peau.
Elle resserre son étreinte autour de mon visage, me bloquant quelque peu la respiration.
Ce n est pas grave, j encaisse, je lui doit bien ça.
Je la sens partir dans le plaisir, et c est beau à voir et à entendre. Ma bite est bien dure et je tente de faire abstraction de son envie de baise... Sentant la belle proche de jouir, elle libére ma tête et me demande ma langue.
Je me retire d elle et me prépare à m agenouiller entre ses cuisses, mais elle se relève.
"Allonge toi".
Oh... Madame Anna refait surface, et reprend le contrôle de son plaisir... D accord.
Je m exécute en m allongeant à même le parquet et la voit retirer sa culotte, debout juste au dessus de moi.
Enfin, je vois sa chatte et ses lèvres charnues.
Je devine la suite et m en émoustille d avance...
Je la vois s accroupir au dessus de mon visage, me donnant une vue sans pareille sur ses lèvres et son clitoris gonflé.
Je sors ma langue, et elle vient le déposer juste dessus.
Affamé, terriblement excité, je saisis ses hanches fermement au risque de lui faire perdre l équilibre et la fait remuer sur moi, en la suçant, l aspirant, appuyant et caressant.
Elle se laisse faire, sentant mon excitation qui s ajoute à la sienne.
Elle doit bien profiter de la vue de ma grosse queue qui suinte devant elle.
Je l incline de façon à pouvoir dévorer son cul, elle ne se fait pas prier et commence à se baiser sur ma langue.
J en profite pour labourer sa chatte avec mes doigts, 3 directement qui rentrent sans problème.
Elle gémit, se frotte, se cambre, halète, crie...
Un quatrième s y ajoute, et je la sens s abandonner. Déchaînée, elle suit le rythme que je lui impose sans chercher à reprendre pied.
Je l entends me dire stop, arrête, doucement, mais je n entends rien, je veux qu elle jouisse sur ma langue qui baise son cul, sur mes doigts qui la prennent.
Ma main libre saisie ma queue et je me branle au rythme de mon autre main qui la laboure, de plus en plus vite.
Elle ne proteste plus, mais crie de plus belle.
Alors, un gémissement bestial m arrive aux oreilles, en même temps que je sens son vagin se contracter autour de mes doigts et son cul frémir de plaisir. J ai l impression de jouir en même temps qu elle.
Je lui demande alors "pisse ma belle, je te veux sur moi" et, regrettant aussitôt que ces mots sortent de ma bouche, je suis surpris en la voyant se dégager de quelques centimètres, et libérer son champagne sur moi.
Il coule sur ma bouche, sur mes doigts encore dans sa chatte et le long de mon torse. Si beau de voir ça en gros plan, si intime, si dégueulasse, si chaud...
Ma bite éjacule instantanément, ajoutant sur mon ventre un peu de sperme, bien que j ai déjà joui juste avant cela.
Je me retire d elle délicatement, et je la sens tomber, toute faible, toute tremblante, un sourire jusqu'aux oreilles pourtant et les yeux dans les étoiles.
Je la prends par la main, chancelante et le reste m appartient...
Merci Anna.
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