La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1393)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode N°1366) -
Louise malgré tout cela, ne pouvait sempêcher de mouiller abondement, ses instincts de soumission lexcitant grandement
Ce soir-là, ce fut Lucie qui veilla sur Louise mais elle était inquiète concernant Louise fiévreuse. Lucie décida donc daller prévenir Chloris. Cette dernière se hâta de visiter Louise.
- Que se passe-t-il ? demanda Chloris
- Louise est brûlante, mon dieu, les orties devaient très certainement être vénéneuses. Vas vite chercher de leau froide et des linges propres pour la rafraichir. Préviens aussi le Seigneur dEvans et Antonin
Lucie alla immédiatement chercher ce quil fallait, et revient avec les deux hommes. Après avoir également déduit que les orties avaient provoqué cette forte fièvre chez Louise, le Seigneur dEvans fourmillait de rage mais se contenait, ayant une parfaite maîtrise affichée.
- Ce sombre crétin nest quun pseudo dominant qui a dû voir ce genre de pratique dans une cabane de planches (bordel du Moyen-Age) de bas étage et ny connait absolument rien. Si je ne connaissais pas son père depuis autant dannée et qui Me sert fidèlement je le ferais bannir voire exécuter sur lheure.
Mais par considération pour Son fidèle garde-chasse le Seigneur dEvans allait tout de même entendre ce que dirait cet Amaury pour sa défense, même si, et à juste titre, il était évidemment coupable...
Quelques jours plus tard, Antonin informa Chloris quil aimerait lemmener faire une promenade dans les bois, lui rappelant quils aimaient ainsi galoper et vagabonder dans limmense foret lorsquils étaient fiancés. Et donc dès le lendemain ils partirent peu de temps après le petit déjeuner. Après avoir quitté lenceinte du Château, ils prirent la direction de la forêt des Pierres Dorées où ils avaient, autre fois leur habitude. Vers midi, arrivés au cur de la forêt, ils mirent pieds à terre afin de laisser les chevaux se reposer et se désaltérer dans un petit ruisseau tout proche.
- Il est encore tôt, on ne va pas diner tout de suite, attend moi ici, je vais aller préparer notre coin repas en attendant met-toi plus à laise, lui dit Antonin avec un sourire coquin sur le visage.
Chloris avait très bien compris ses intentions et en était ravie mais elle se demandait sil la voulait en épouse ou en soumise, craignant de faire une erreur, elle lattendit en position dattente, tête baissée et légèrement perdue dans ses pensées quelle ne vit pas Antonin revenir, ce dernier la fit sursauter.
- Au nom du ciel, Chloris, ici ou nous sommes entièrement seuls, hormis les lapins, tu es ma femme, pas ma soumise.
Antonin laida à se mettre debout et Chloris sapprocha amoureusement de son mari, lui léchant le lobe de loreille, tout en le déshabillant doucement. Il fit délicatement la même chose tout en sembrassant tendrement
Une fois tous les deux nus, Chloris approcha sa main du bas-ventre de son mari et lui caressait lentement son sexe qui réagit presque instantanément, quand elle sagenouilla et finit par le prendre en bouche et lui procurer la plus exquise des fellations. Antonin lemmena vers une clairière toute proche, là où il avait étendu la couverture et déposer leur panier repas. Il sassit sur une souche recouverte de mousse, tout en écartant largement ses jambes et exhibant une belle verge droite, épaisse et dressée comme un I, gorgée de désirs.
- Continue ce que tu avais si bien commencé.
Chloris se remit à genoux et repris sa fellation, Antonin lui caressant les cheveux et passant sa main dans son abondante chevelure en douces caresses amoureuses. Il ferma les yeux et râla de plaisir savourant un bien-être mental et physique. Antonin sentit sa queue durcir encore plus dans la bouche de Chloris et la langue de la belle venir lui titiller son méat urinaire, et lensemble du gland violacé lui donnant de délicieux coups de langue sur le gland avant dentreprendre un léchage cadencé.
Quelques jours plus tard Louise allait beaucoup mieux. Le Seigneur dEvans sétait, entre temps, entretenu avec Denis son garde-Chasse, au sujet dAmaury.
- Denis, je suis très étonné, je ne savais pas que tu avais un fils.
- Quand jai quitté mon épouse il était très jeune jai préféré le laisser avec sa mère. Il y a quelque temps jai reçu de sa part une missive ou elle me disait ne plus sen sortir avec lui et me demandait de men occuper de lui apprendre mon métier car à son âge, il ne gagne pas encore son pain. Il est arrivé il y a environ deux semaines.
Quelques jours plus tard eut lieu le jugement des faits.
- Je suis naturellement au courant des faits, mais pour en être certain, nous allons les revoir chacun à son tour. Louise tu commences.
- Bien Maître, je sortais du cabanon lorsque jai entendu du bruit derrière la chapelle et je suis allé voir. Cest là que jai rencontré Alice et Amaury. Ce dernier ma proposé de les accompagner, jai accepté.
- Et ensuite.
- Nous sommes arrivés dans une clairière flanquée de quelques arbres, il nous a attachées bras et jambes écartés entre deux arbres et face à face. Ensuite, il ma posé une question en exigeant que je lappelle Maître, jai refusé naturellement, il ny a que Vous que je nomme Maître (regardant le Seigneur dEvans), il a tout fait pour que je craque, je Vous suis restée fidèle, jamais je ne lai jamais appelé Maître.
- Louise, je suis fier de toi
Continue ta narration des faits.
- A un moment donné, jai vu quAlice avait pu se libérer et partir chercher de laide. Jai lutté de toutes mes forces pour ne pas mévanouir et ne pas faire remarquer la fuite dAlice au risque de la rattr. Quand elle est revenue accompagnée du Maître qui la soumet, jai cessé de lutter.
- Alice tout dabord je tiens à te remercier davoir sauvé Ma Louise, et cela tu auras Ma reconnaissance éternelle
A ton tour de parler, Alice.
- Quand jai pu me détacher, jai dabord voulu courir jusquau Château mais jai réalisé que la maison de Maître Denis était plus proche et que lui seul arriverai à raisonner son fils...
Ce fut Denis qui prit la parole.
- Alice, je nai pas voulu te croire quand tu mas dit quAmaury tavais malmenée. Mais si Vous saviez Monseigneur quand jai vu Louise ainsi attachée et évanouie, jai réalisé que mon fils est un malade car aucune personne saine desprit ne peut agir ainsi.
- Bien à toi, Amaury, maintenant quas- tu à dire pour ta défense ?
Amaury regardait le Seigneur dEvans avec un air hautain, dédaigneux à la limite irrespectueux et insultant.
- Que voulez Vous que je Vous dise ? Je nai pas à me défendre, ni à me justifier, ce ne sont que des sales femelles soumises, des salopes, des chiennes à prendre à même la chaussée, elles sont là pour ça, non ?
Denis linterrompit.
- Monseigneur, je Vous prie de lexcuser, à lévidence il ne sait pas ce quil dit. Amaury est-ce cela que je tai appris ? Ne tai- je pas dit et redit que le respect allait dans les deux sens ? Si tu veux être respecté par une soumise, commence par la respecter.
- Si, mais ce nest pas mon opinion. Pour moi, une soumise nest rien dautre quun objet de plaisir, une chose insignifiante, quil faut dresser à force de coups et si elle nest plus utile, on sen débarrasse tout simplement.
- Monseigneur, je Vous promets je nai jamais considéré ainsi aucune femme ou soumise, intervint Denis.
- Je sais Denis, à lévidence ton fils est fou, pervers et méchant. Et je renonce à Ma décision initiale de le bannir sur lheure, il faut lenfermer dans un asclépiade (ancêtre de lhôpital psychiatrique actuel), là où il ne pourra plus nuire à qui que ce soit. Ronan, Messire Léon, ayez lobligeance demmener ce dangereux personnage hors de Ma vue.
- Sire, si Vous saviez comme je suis navré de cette scène. Je comprendrais si Vous ne me vouliez plus comme garde-chasse. Mais cependant, certes je ne le mérite pas, mais jai une faveur à Vous demander.
- Parles sans crainte et sache que je ne te considère en rien responsable des agissements de ton mauvais fils.
- Aussi ce nest pas pour moi, mais pour Alice. Je sais car elle me la dit que son vu le plus cher serait de pouvoir un jour être dominée par Vous, dans Votre Donjon, pourriez- Vous lui accorder cette chance ?
Le Seigneur dEvans sadressa alors à Alice.
- Cest vrai tu souhaiterais que je te domine, Moi le Seigneur Charles dEvans dans Mon Donjon ?
- Monseigneur, ho ce serait un immense honneur et un réel bonheur, si Vous acceptiez.
- Tu as sauvé Louise, cest bien le moins que je puisse faire. Je te ferai chercher le moment venu.
Denis repartit donc avec Alice pour rentrer chez lui. Le Seigneur dEvans se retrouva seul avec Antonin, Chloris et Louise.
- Alors Louise, comment te sens- tu ?
- Beaucoup mieux Maître merci de Vous en souciez et merci davoir dit oui pour Alice, elle ma sauvé la vie.
- Mais jy pense tu nes jamais allé dans Mon Donjon, Ma chienne ?
- Non Maître, loccasion ne sest jamais présentée.
- Eh bien ce sera loccasion car vous y serez toutes les deux. Toi et Alice. Libre à toi, mon cher Antonin, de Dominer avec Moi.
- Avec plaisir mon cher Charles, avec grand plaisir répondit-il un sourire envieux sur les lèvres
(A suivre
)
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