En Route Pour La Colonie De Vacances ! Épisode 6
25 minutes nous séparaient du centre ville, et ces 25 minutes nous parurent longues, trop longues, chacun trépignant d'impatience à l'idée de goûter aux chaudes nuits espagnoles.
Les filles, toutes en robes de soirée colorées moulantes se regardaient sans arrêt dans le reflet des fenêtres du bus, replaçant d'un geste expert une mèche, se repoudrant légèrement les pommettes ou repassant une couche de rouge à lèvres avant de demander inquiètes à leurs copines "J'suis bien là ?".
Héloise, Alice et moi ne nous soucions pas de cela, ma chemise de bûcheron sur les épaules et mes cheveux en pétards étaient le dernier de mes soucis. Ma préoccupation : réussir à me faire Jessica.
Quant à elle, habituées des boîtes de nuit parisiennes, elles savaient pertinemment que tout ce jouait sur le "dancefloor".
Après un petit speech à base de "faites pas trop les cons, pas de drogues pas d'alcool" de la part des responsables de la colonie, nous nous dirigeâmes vers le centre névralgique de la ville. La calle de la bebida, littéralement la rue de la boisson. 1km de bars, boites de nuits et sexshop. La soirée étant à peine entamée, il était en effet 21h15, nous décidâmes de se poser dans un bar pour prendre une bière.
"J'ai hâte d'y être" lança Hélo en prenant une gorgée de sa blonde.
"La même. J'ai envie de m'éclater comme jamais" ajouta Alice.
Je restais muet, réfléchissant à ma technique d'approche pour ma Jessica.
"Beh qu'est ce qu'il a le petit Ju ?" ironisa Hélo tout en caressant du bout du pied sous la table mon entrejambe qui devînt instantanément dur.
"Ah beh non en fait il va bien".
"Non c'est juste que je veux tenter ma chance avec Jessica et que je ne vois pas comment faire..."expliquai je finalement.
"C'est simple, n'hésite pas, fonce sans te poser de question" me conseilla Alice.
"Je suis trop timide pour foncer comme ça"
"Et beh défonce toi avant d'y aller, tu prends un petit rail de coke ou tu te bourres la gueule et tu te lances.
Nous finîmes nos bières et nous dirigeâmes vers "La vida loca", une boite géante accueillant 1300 personnes tous les weekends.
A peine la porte passée que l'ambiance nous sauta aux yeux : des centaines de jeunes dansant comme des fous sur de la techno, des jets de mousse arrosant la piste de danse, 3 bars tournants à plein régime et plusieurs estrades où se trémoussaient de jeunes femmes délicieusement dénudées. Japerçus plusieurs membres de la colo aux quatre coins de la boîte, dont Jessica se déhanchant en rythme.
"Tiens, ça t'aidera mon chou" me dit Hélo en me tendant une pilule bleue.
"C'est quoi ?"lui demandai je à l'oreille pour qu'elle m'entende dans ce brouhaha.
"Du bonheur en cachet" lacha t'elle avant de s'éloigner.
Je regardai la pilule et l'avalai finalement.
10 minutes. Rien. 20 minutes. Rien. 30 minutes. Il commence à faire chaud ou c'est moi ?. 35 minutes. Il fait chaud, définitivement chaud. 36 minutes. Extase. J'aimais soudain tout le monde, la musique m'envoutait, me faisait voyager, tour à tour dans les nuages et sur la terre ferme, j'oubliais mes complexes, dansais comme un fou. Mon esprit divaguait tellement loin que j'avais l'impression d'être physiquement ici, et mentalement ailleurs.
Au fur et à mesure de mon pèlerinage dansant à travers "La Vida Loca" je tombai nez à nez avec Jessica, visiblement bien échaudée aussi.
Sans attendre, je passai ma main le long de sa hanche et commençai à danser avec elle, nos corps collés l'un contre l'autre. Elle descendait parfois en rythme le long de mon torse, remontant d'une manière plus que sexy, les fesses en arrière frottant exagérement mes jambes puis mon sexe. Elle envoyait ses cheveux valser de droite à gauche. Elle était divine.
Je pris mon courage à deux mains et l'embrassai. Elle accepta, et continua le baiser, enfournant sa langue dans ma bouche, mordillant mes lèvres tout en passant sa main dans mes cheveux.
Elle m'attrapa la main et s'éloigna dans la foule. Je la suivais tout excité. Les toilettes immenses de la boite s'étendaient devant nous. Elle m'entraina à l'intérieur, poussa la porte d'un cabinet et rentra avec moi. Là, elle s'adossa à la porte, mordilla sa lèvre inférieure avec un regard cochon, tout en entortillant une mèche de cheveux autour de son index.
Sans se parler et presque en même temps nous retirâmes nos hauts, puis nos bas. Elle avait gardé son string, moi mon boxer.
Elle se colla contre moi, et tout en l'embrassant, je caressait son entre jambes à travers le tissu humide de son sous vêtement minimaliste. Ma bosse exerçait une tension insoutenable dans mon boxer. Elle se mit à genoux et retira délicatement mon bas. Ma queue se déplia instantanément, lui sautant au visage. Elle l'empoigna et n'en fit qu'une bouchée. Sa tête faisait des allers retour le long de mon dard, le tout dans un bruit de succion délicieux. Elle s'arrêtait parfois pour me branler à la main à vitesse grand V, agitant mes boules de haut en bas.
Soudain elle me poussa sur les WC (fermés heureusement, je n'étais pas tombé dans le trou des chiottes) . J'étais donc assis, la queue pointée vers le plafond. Elle se retourna et vint s'asseoir sur ma bite, dos à moi. Elle commença alors ses vas et vient rapides, sa fente serrée enserrant à merveille mon sexe volumineux.
"C'est trop bon..."soufflait elle régulièrement, le plaisir suant de partout. Ses ongles étaient plantés dans mes cuisses. Elle se retira, m'aida à me relever, et prit appui sur les toilettes pour me présenter son postérieur musclé.
"Une levrette s'il te plait, j'adore me faire prendre en levrette" me lança t'elle sur un ton supplicateur.
Je n'allais pas me faire prier. Je pénétrais son trou déjà bien dilaté, et effectuai le marteau piqueur.
Je me sentais venir, accélérait le rythme, donnant de derniers coups de bassin bien marqués, mon gland tapant contre le fond de son antre.
"Je vais jouir" prévins je.
Elle se retourna, se mit à genoux précipitamment et prit mon sexe en bouche les yeux levés vers moi.
Mon sperme lui emplit les joues. Elle me sourit, tira la langue sur laquelle reposait ma semence et avala le tout avec un sourire non feint.
Elle se releva, et nous nous embrassâmes longuement avant de se rhabiller.
Nous sortîmes des toilettes un sourire béat sur les lèvres, mon bras autour de son cou, le sien autour de ma taille. Du mascara avait coulé le long de son oeil droit, une de ses bretelles de soutien gorge tombait sur son épaule, mes cheveux ne ressemblaient à rien, un pan de ma chemise dépassait du pantalon, et nous marchions heureux dans la boîte.
Je croisais Hélo, adosser contre un mur en train d'embrasser un espagnol, la main de ce dernier glissée sous la jupe de Héloise qui semblait apprécier la sauvagerie de son partenaire.
Alice était sur une estrade, en soutif et dansait comme une folle, prise en sandwichs entre 3 jeunes beaux gosses visiblement prêts à se mettre en quatre pour elle.
Il se faisait tard et nous devions rejoindre le car. Ma mission était accomplie, pleinement. Et les jours qui allaient venir risquaient d'être pleins de rebondissements.
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