Mariage Kabyle (10)
Bejaïa
Le trajet dAlger à Béjaïa a été un peu long, les hommes avaient choisi de suivre la route de la côte pour men monter la beauté, avec quelques arrêts toutefois pour nous restaurer. Il avaient aussi besoin de vider leur vessie
mais pas que
!!!
Pendant ce trajet assez long, nous avions pu parler enfin un peu de nous-même.
Omar avait 45 ans, était à la tête de nombreux legs et gérait plusieurs domaines agricoles, tant dolives, évidemment, mais aussi de vergers, de céréales, délevages ovins et bovins et maraîchers, quil tenait dune main de maître, homo, pas facile à assumer, à la fois dans cette région, mais surtout, à cause de sa taille.
Kamel, quand à lui, avait 29 ans, prêt à démarrer à la saison qui arrivait, une formation de conducteur de métro à Alger, pour ensuite, soccuper du futur réseau de Tizi. Il possédait aussi en propre une formidable oliveraie quOmar gérait pour son compte. Il était plutôt bi mais il préférait baiser les mecs.
Juste une parenthèse pour vous décrire que largent ne représentait aucun problème en nous, contrairement où il était souvent, hélas, le « moteur de la guerre » dans dautres pays du Maghreb
Passage en ville auparavant, au marché, dans quelques boutiques, et un salon de thé où je me suis gavé de petites pâtisseries orientales plus délicieuses les une que les autres, suivies dune énorme glace. Ils connaissaient ma gourmandise
!!!
A la fin dun chemin semblant mener nulle part, presque au bout du monde, une jolie construction, pas si petite que ça, toute bleue et blanche se trouvait sous mes yeux.
« Sympa le bungalow dHakim, non ? »
Les hommes se sont empressés de ranger les affaires, mettre en route le groupe électrogène, remplir les frigos, aérer, en me laissant seul, assis sur une sorte de balancelle, contemplant cette petite baie, me ravissant à chacune des vagues de ma Méditerranée adorée. Une fois que tout ait été prêt, ils se sont assis à mes côtés, silencieusement, presque religieusement.
« Barboc poisson frais, légumes et avec je crois
quelques petits gâteaux quils nous restent
Ça te va ? »
Quel régal de partager ce repas avec eux, entre eux
Ce nétait plus uniquement du sexe, mais de la tendresse, et jaurais voulu avoir entre mes mains, une baguette magique, pour créer une « polygamie » entre nous, dont la complémentarité savérait de plus en plus parfaite. Le Droit Français venait dautoriser le mariage entre hommes
mais, hélas, pourquoi pas avec deux
!!!
Imbriqués tous les trois dans cette balancelle, ils mont pris par la main, mamenant jusquau petit sentier qui conduisait à la crique. Nus dans leau, nous avons joué comme des gamins, magrippant à leurs corps si virils, alternant caresses et baisers, jusquà ce que je sente les doigts dOmar à la recherche de ma chatte, pour sy enfoncer dun trait, tandis que Kamel appuyait sur ma tête pour que je le suce.
Ils étaient restés sages depuis le dernier arrêt pendant le trajet, et cela commençait à être très long pour eux. Perforé de tous côtés par ces formidables pieux, cherchant à aller le plus loin possible dans moi, je me sentais tel que je suis vraiment
Une vraie femelle que lacte sexuel, à la fois doux et brutal, comblait totalement. Après avoir savouré le sirop si suave de Kamel et bien fécondée par Omar, nous avons rejoint la petite plage, allongés sur un grand drap de bain, quOmar, en homme précautionneux, n'avait pas oublié demporter.
Il na fallu que quelques minutes pour quils retrouvent toute leur vigueur, et, empalé sur Kamel, Omar est venu le rejoindre, écartant mes chairs pour y trouver sa place, déjà occupée par Kamel. Javais les deux monstres de chair de mes hommes en même temps dans moi, mon torse collé sur les poils de Kamel, et ceux dOmar sur mon dos.
Ils me pilonnaient avec une force inouïe, sachant que mon conduit résistait maintenant à leurs assauts, fier de la jouissance intense quils me procuraient.
Cette situation disons, quelque peu exceptionnelle et hors du commun, me satisfaisait pleinement. Jétais habitué aux très gros besoins dIlyas, sauf que dans le cas présent, il y en avait deux à combler régulièrement, avec la même intensité. Jétais sûr quune pute de bordel de bas étage ne se faisait pas baiser autant que moi avec eux deux.
Jai rejoint la mer pour me rincer un peu et nous avons regagné le bungalow où un passage à la salle de bains ma permis doindre ma vulve de cette crème salvatrice, me doutant bien quil ne compteraient pas sarrêter là. Je me sentais quand même super défoncé, avec limpression davoir un trou béant entre mes fesses, mais fier de leur procurer autant de plaisir et den recevoir autant aussi.
Mais que cest bon de se faire baiser, de sentir ce pieu de chair frotter sur ses lèvres pour trouver lorifice tant désiré et sy enfoncer en totalité, même quand le membre est hors norme. Merci Ilyas de mavoir aussi bien formaté la chatte.
Nu sous un long T-shirt que javais revêtu, ils sont passés à la douche en suivant, me rejoignant avec un simple short court et ample, filant à la cuisine pour préparer le thé, quils ont installé sur la table basse, moi, à moitié avachi dans un fauteuil et eux, installés, jambes bien écartées, sur le canapé qui me faisait face, laissant apparaître, sous mes yeux, une partie plus quimposante de leurs virilités.
Comme à mon habitude, je savourais lentement ce breuvage parfumé de cette menthe aux saveurs si puissante. Inconsciemment, je remontais mes genoux vers ma poitrine, offrant à leurs regards concupiscent, lantre de leurs délices. En même temps, je contemplais ce merveilleux organe que la Nature a donné aux hommes et qui me paraissait presque aussi beau, dans un autre genre bien sûr, que la Joconde de Léonard de Vinci.
Le sexe masculin ma toujours fasciné, émerveillé, dès la première fois où jai pu me régaler dune telle splendeur. Et javais devant moi, deux spécimens dune rare beauté, dune perfection que je navais encore jamais connue. Evidemment, à la vue de ma chatte exhibée, ses lèvres ourlées appelant lamour, leurs sceptres ont très vite repris leur pleine ampleur, envie que jentretenais lascivement en dégustant mon thé à très petites gorgées, cuisses de plus en plus ouvertes, mes doigts effleurant lentrée de ma fente, de plus en plus humide.
Pour une fois, cest Omar qui a craqué en premier, mécartant encore davantage avec ses cuisses puissantes pour laisser la place à son fabuleux zeb quil a introduit en entier, dun coup, sauvagement me labourant dune puissance à la hauteur de la folie de son désir. Paradoxalement, Kamel ne bougeait pas, se contentant de caresser lentement son membre pour lui conserver toute son ampleur trop excité par cette copulation si vigoureuse, sachant très bien que son tour viendrait. Il sest juste approché de moi pour que je hume lodeur de ses poils, pendant que je me faisais défoncer par Omar.
Trois jours de balades, de baignades, de bons petits repas, et de sexe à outrance, aucun deux ne se gênait pour me posséder à chaque fois quils en avaient envie, ensemble ou séparément, et ce, quelque soit le lieu. Ils mont même sauté au fond dune impasse dans Béjaïa.
Le Weekend en Algérie était le vendredi et le samedi, Hakim nous avait prévenus de sa visite le vendredi en fin daprès-midi. Il est arrivé avec des sacs plein et une énorme boite de gâteaux. Je lavais quand même aperçu pendant la noce, mais très vite, mon esprit, et le reste dailleurs, avaient été occupés par Omar et Kamel.
Après le thé rituel de bienvenue, nous avons filé vers la crique, profitant du soleil et de la mer, tous les quatre à poil dans leau. Si nos jeux avaient été relativement sages au début, Hakim a très vite constaté que ses cousins me pelotaient de partout, écartant bien mes cuisses pour mettre ma chatte en évidence et prenant mes mains pour les branler.
Kamel a approché ma bouche de sa bite pour que je le suce, lui seul dabord, et ensuite les deux en même temps. Omar, quant à lui, caressait ma vulve pour la préparer à recevoir Hakim en moi. Il a tourné mes fesses vers lui, et sentant lorifice chaud et accueillant, il ma pénétré, pas trop fort au début, puis sest déchaîné ensuite, je déversant à grands jets tout au fond de moi, pendant que je savourais lélixir dont mes hommes avait rempli ma bouche.
Toute la nuit, jai eu 3 sexes qui ont pris possession de moi, Hakim goûtant pour la première fois à la double pénétration avec Kamel pendant que je suçais Omar. Malgré ma chatte hyper endolorie, jen voulais encore, et encore
!!!
Le lendemain encore comateux et après les saillies du matin, jai demandé à Omar :
« Dis-moi Habibi, tous les hommes de la famille vont me passer dessus ? »
« Non, je te rassure, tu nest quà Kamel et à moi, mais Hakim en avait tellement envie
»
« Et si javais refusé ? »
« Eh bien, il ne serait rien passé. Jamais on ne te forcerait à quoique ce soit
!!! »
« Tu me rassures quand même
!!! »
« Mais avoue
tu as adoré non ? En plus, on sait que tu ne peux pas résister à une grosse bite, alors à trois
»
Nous avons encore baisé comme des fous tout le samedi, jusquà ce que Hakim reparte, couilles vidées comme des raisins secs, mes hommes ayant été ravis de sa visite, et moi, comblé. Jétais en train de compenser ce manque de sexe depuis pas rupture avec Ilyas
Vitesse Grand V
!!!
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