Une Protubérance Curieuse

L'aube pâle tire lentement ma chambre des ténèbres. Le silence est seulement troublé par mes ronflements.
Soudain, la voix sensuelle de mon animatrice préférée envahi la pièce. Sa voix suave ruisselle dans mes oreilles, me ramenant des profondeurs du monde des rêves. Elle ne parle qu'à moi, et mon cerveau embrumé de sommeil essaie de comprendre comment une voix de femme peut me faire bander en parlant simplement de la météo.

Tandis qu'elle parle, les brumes du sommeil sont chassées de mon esprit par les exigences du quotidien. 
D’abord, aller à la gym. Mais je l'écoute me parler encore un moment, imaginant son corps nu à mes côtés dans le lit, me murmurant les infos à l’oreille, pendant que ses mains caressent mon corps. 

Quand la musique remplace sa voix, je rejette les couvertures et j’émerge pour faire face à la dure réalité. 
Mon déjeuner est prêt, déjà emballé, donc en un rien de temps je me dirige vers la salle de sport. 
Le trajet est juste assez long pour que je sois parfaitement réveillé à mon arrivée.

Il est 6 heures du matin et comme tous les matins, il n'y a que peu de jeunesse. Quelques personnes entre deux âges, mais surtout des retraités. Pour faire des rencontres, il faut avoir un fantasme sur les grand-mères. C'est jeudi et comme tous les jeudis, je passe trente minutes sur un vélo elliptique en gardant un bon rythme vers nulle part. 
Quelques minutes d’efforts, et je suis déjà en sueur.

Depuis que je viens régulièrement dans ce gymnase, je connais pas mal de gens. On se salue brièvement, sans cesser de travailler. Ce matin, une femme que je ne connais pas enfourche l'elliptique à côté du mien. Je respire assez fort maintenant et je me contente de hocher la tête. Elle me fait un petit sourire pendant qu'elle s’installe. 
Sa tenue de sport moulante en Lycra blanc et gris dévoile un corps agréable.

J'arrive à une partie plus difficile de l’exercice où la résistance de la machine augmente, et je dois me pencher en avant et baisser la tête pour conserver le rythme.

 Pendant que je pédale, je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil sous mon bras, pour voir à quel point le Lycra épouse bien les courbes de ses cuisses et de son entrejambe. 
Je suis un gars. J'aime les jolies femmes. Alors je regarde.

Son pubis est bombé au lieu d’être fendu, et je pense qu’elle est probablement dans sa mauvaise période, et qu’elle s’est garnie. Ce qui m’amène deux réflexions. Il existe des moyens plus discrets pour faire du sport, et je peux me la mettre sur l’oreille, celle-là je ne vais pas la baiser aujourd’hui.

Mais pendant que je profite de la vue, un changement commence à se produire. Dans son entrejambe, le tissu se tend. Difficile d'en être sûr, mais je pourrais jurer que ça évolue. Impossible de détacher mon regard, alors je cligne des yeux une seconde. Maintenant c'est encore plus grand, une boule se forme. La boule devient rapidement un renflement qui s’allonge. Le Lycra épouse la zone suspecte, le renflement croissant raconte une autre histoire. 
Je ne peux pas détacher mes yeux de cette protubérance qui s'épaissit, et qui s'élargit à mesure qu'elle progresse.

La résistance diminue et je me redresse. Je lui jette un coup d'œil et elle soutient mon regard. Elle a un sourire carnassier, ses lèvres sensuelles se retroussent sur une dentition parfaite, d’une blancheur éclatante, qui tranche avec sa peau mate. Ses yeux noirs scintillent de passion. Elle doit être d’origine méditerranéenne, et sa nature fougueuse me séduit et m’enchante. Elle ne détourne pas les yeux, elle me défie, et c’est moi qui rougis et qui qui baisse les yeux

Il me reste une dizaine de minutes d’effort, avec un passage à la plus haute résistance. J'essaie de me concentrer sur mon rythme en attendant que cette période arrive, mais même en fermant les yeux, tout ce que je vois, c'est le renflement de son Lycra.

La résistance augmente et je me penche en avant en m'efforçant de dompter la machine et mon sang-froid.
 
Quand je regarde sous mon bras, je vois ses jambes pédaler et le renflement est un peu moins visible. 
Dès que je commence à regarder, ça gonfle à nouveau, mais cette fois c'est comme si elle bandait un muscle, essayant de le gonfler. Il grandit et s'arrête. Il grandit et s'arrête.

Comme un culturiste qui répète le même mouvement, pour faire saillir le muscle qu’il veut que l’on remarque.
Il n'y a aucun doute, si elle participait à un concours athlétique, elle serait déclarée vainqueur. 
Le Lycra rehausse son allure car il épouse ses formes en cachant les menus défauts. Elle a des courbes dont beaucoup de femmes seraient fières, et une protubérance qui rendrait la plupart des hommes jaloux. 

Finalement, la difficulté s’estompe et la machine entre dans le cycle de relaxation. Je me calme et je réfléchis.
J'ai toujours aimé les femmes. Parfois un peu trop ...  Sexuellement, je suis plutôt soumis.
Mon plaisir, c’est de plaire. De faire plaisir à la femme avec qui je suis. Je n'ai jamais été intéressé par les hommes, mais la jolie personne à côté de moi ne ressemble pas à un homme … même si ce renflement est indéniable.

Je ne parviens pas à me décider, alors je descends de la machine et nettoie ma sueur. En essuyant la machine, je jette un autre coup d'œil en direction de ma voisine. En plein effort, en sueur, elle me sourit et me lance un clin d’œil.
Est-ce mon imagination, ou ce petit sourire est plus coquin et sexy, qu’amical ? Je lui souris en retour, mais c'est tout ce que j'ai le courage de faire. Je baisse les yeux en me dirigeant vers le vestiaire, l’esprit troublé. 

Je m'arrête au lavabo pour remplir ma bouteille vide. J'entends la porte s'ouvrir et se refermer, mais je me concentre sur le jet d'eau sans lever les yeux de ma bouteille. Une main saisit mon poignet et m’entraîne. Je laisse tomber ma bouteille dans le lavabo, et je la suis. La femme a une poigne solide et m’entraîne vers la cage d'escalier, au fond du vestiaire.
 

J’essaye de lui parler, mais elle place un doigt sur mes lèvres, m’imposant le silence. Dans un recoin, elle me pousse contre le mur. Encore une fois, je suis surpris par sa force. Elle presse son corps contre le mien et m’embrasse à pleine bouche. Elle embrasse bien, mais elle est impatiente et son baiser est vorace, ce qui me plaît bien. 

Ma bouche s'ouvre et elle me la remplit de sa langue agile. Elle m'embrasse, ardente et affamée, pendant un moment.
J’ai parfaitement conscience de ses seins volumineux pressés contre ma poitrine et de la souplesse de son corps voluptueux. Elle est pleinement désirable et ses mains caressent mon corps, palpant les muscles que je viens de travailler. Elle se blottit contre moi, et je mets mes mains sur sa taille. Bientôt, elle commence à onduler des hanches et frotte sa protubérance contre la mienne.

Elle rompt enfin le baiser et me dit : "Je te veux." Sa voix est rauque et légèrement tremblante à cause de la luxure. 
Elle m'embrasse à nouveau, mordillant ma bouche : "Je te désire tellement, j’en ai des frissons. Je t’espionne depuis des semaines, en plein effort, les muscles bandés. Ma seule préoccupation, c'est de sentir ton corps nu pressé contre le mien. Je te veux. Tu es devenu mon obsession."

Elle m'embrasse encore pendant qu'elle malaxe mes chairs, ses mains dans mon short, à l'arrière, et elle masse mon sphincter avec le bout de son doigt. Je ne sais pas quoi dire à cette femme. C'est mon plus grand fantasme devenu réalité. Combien de fois en ai-je rêvé, d'une femme follement amoureuse, bien que dans mes fantasmes, la femme n'appuyait pas son pénis en érection contre moi.

"Oh, que c'est bon ... Je veux tes mains sur mon cul, me pressant fort contre toi. Je veux t'avoir maintenant !" 
Elle chuchote farouchement entre ses baisers passionnés et son étreinte. 
"Je veux être en toi avec tes jambes enroulées autour de moi. Je veux que tu suces avidement mes mamelons pendant que je te baise.
Je veux t’entendre gémir sourdement pendant que je te fais sentir la force de mon désir à l’intérieur de toi ! Tu ne peux pas l’imaginer, je pense que je pourrais mourir si tu te refuses à moi !"

Elle m'entraîne par la deuxième porte qui mène au gymnase. À cette heure matinale, je ne pense pas que quiconque soit dans le gymnase, mais je suis trop exalté pour le remarquer. Dix mètres le long du mur, elle ouvre la porte de la salle d'équipement. C’est la réserve qui contient un capharnaüm de toutes sortes d'équipements. 

Elle actionne l’interrupteur et les rampes fluorescentes s’allument. Elle att un tapis d’exercices et l’étale au sol. 
Elle me fait asseoir sur le tapis. Elle glisse ses mains dans la ceinture de son Lycra et le descend sur le haut de ses cuisses. Sa bite jaillit, déjà raide. Elle n'est pas très longue, mais elle compense en circonférence. 

Elle se tient debout face à moi, la bite à la main : "Comme j'ai rêvé de ce moment !" 
Elle frotte sa bite contre mes lèvres. J’ouvre la bouche.
"Mouille-moi bien, crache dessus, rends-moi bien humide et glissante. Je veux rentrer facilement en toi."

Elle devient un peu trop conquérante en s’enfonçant profondément et me provoque un spasme de rejet. 
Ses poils pubiens bruns me chatouillent le nez. Mes yeux pleurent. Je lève mes yeux pleins de larmes vers elle.
Entre ses seins aux tétons érigés, je vois ses yeux brillants d’excitation, son regard dur de chienne affamée.

"Bien que cela soit la meilleure pipe que j’ai reçue, tu ne vas pas me sucer longtemps. Je veux être en toi, te baiser, te marquer et te posséder, mon chéri !"

Sa bite est si épaisse que j'ai du mal à ouvrir la bouche suffisamment pour empêcher mes dents de la griffer, mais elle est tellement excitée qu'elle ne semble pas le remarquer. Ses seins ronds sont si fermes que je dois en empoigner un.
Je suis enfiévré par sa lubricité et sa prise de contrôle de ma faiblesse.

Elle retrousse son maillot, me permettant de prendre un sein dans chaque main. Je triture ses mamelons. 
Peut-être un peu trop énergiquement, elle émet un grognement et pousse vivement au fond de ma gorge.

"Oh, putain !" Elle murmure d'une voix rauque "Je ne peux plus attendre! Je te veux maintenant !"

Elle retire sa bite couverte de salive de ma bouche, entraînant et rompant un fil de bave. Elle tombe à genoux et me pousse sur le dos. D’une seule traction, elle att mon short et mon slip, me les retire et les jette de côté.

Ses mains vont derrière mes genoux et les poussent vers ma poitrine en se rapprochant de mon anus exposé. 
Je tend ma main vers elle, je saisis sa queue, et je la positionne contre mon trou. Ses beaux yeux s'écarquillent de plaisir : "C'est le truc le plus sexy qui soit ! J'adore quand un mec me met en lui ! C'est tellement bon !"

Elle se penche sur moi, repoussant mes genoux contre ma poitrine, pressant sa bite dans mon cul vierge. 
Sa bite est étrange, le gland est petit et pointu, la tige va en s’élargissant, me faisant penser à une célèbre bouteille d’eau gazeuse. Quand cette partie plus épaisse commence à me pénétrer, je ne peux pas m'empêcher de me recroqueviller. 

Elle soupire et me dit : "Détends-toi. Laisse-moi entrer. Une fois que j'y serai, tu t'ajusteras à ma taille, tu verras."

Elle se penche encore plus et pousse à nouveau. Elle est presque entrée quand mon réflexe se resserre à nouveau. 
Elle tremble d’impatience et pousse un soupir de gémissement déçu et commence à me baiser juste avec la pointe. 
J'essaye de me relaxer, mais ça ne marche pas très bien. Je crois que si je joue avec ses mamelons, cela me fera oublier qu'elle essaie de m’enculer avec sa grosse bite. 

Je prends ses seins à pleines mains et je les malaxe. Ils sont fermes et ronds. Je les presse un peu puis je pince les mamelons. Elle gémit sourdement et je peux sentir son pré-sperme qui suinte. Mes parois deviennent plus glissantes. 

Mes genoux sont presque contre mes épaules quand elle se penche pour prendre ma bouche avec la sienne. Sa bite sort de mon cul, alors je prends sa bite avec ma main et je l'aligne sur mon trou. Ce geste la rend sauvage, sa langue remplit ma bouche et elle pousse fort avec ses hanches. Elle prend mon sphincter au dépourvu et son sexe se fraye un chemin droit en moi. J’essaye de crier, mais avec sa langue dans ma bouche, c’est juste un grognement. 

Elle a du mal à s'enfoncer entièrement en moi. Elle se retire et, d’un jet précis, crache sur mon sphincter. Elle revient, pousse fort, insiste. Cela va encore plus profond, mais pas complètement. 

"Tu es si proche. Encore quelques centimètres, et je serai toute en toi. Prends tes fesses entre tes mains, et écarte-toi."

Elle prend à nouveau ma bouche et pousse. Dur. Fort. Elle fore mon cul énergiquement. D’une seule poussée, jusqu’au fond, jusqu’à ce que son pubis heurte mes fesses. Elle me force à former une boule sous elle, je suis entièrement sous son contrôle, et elle commence à me pilonner le cul.

Mon cul me fait mal lorsqu'elle m'étire plus grand que tout ce qui est passé par ce chemin. Je gémis au rythme de ses poussées. Finalement, elle s’enfonce complètement en moi, se fige et me serre fort. Je me demande si elle jouit, mais elle ne montre encore aucun signe.

"Je ne peux pas le croire, après toutes ces semaines passées à fantasmer sur toi, que je suis vraiment avec ma bite en toi ! C'est tellement bon !"

Elle me couvre de baisers, sur mon visage, dans mon cou et sur ma poitrine. Elle trouve mon téton et le mordille cruellement en remuant sa bite dure dans mon cul. Je grogne et gémis jusqu'à ce que sa main couvre ma bouche.

"Chut ! Sois discret ou quelqu'un pourra nous entendre !" murmure-t-elle, sans cesser de me baiser. 
"Je sais que je suis assez épais et que tu es très serré, mais tu dois rester silencieux. Compris ?"

Je fais oui de la tête et elle retire sa main. J’essaye de me tenir, mais maintenant c’est elle qui gémit doucement.

"Je ne veux pas jouir trop tôt, je me sens tellement bien à l'intérieur de toi !"

Elle se redresse et remet ses mains sous mes genoux. Quand elle baisse les yeux, elle remarque que ma bite est devenue toute molle.

"Comme c’est mignon ! J'aime quand le gars débande pendant que je le prends. C’est toujours mes meilleurs coups qui redeviennent mous quand je les pénètre. Je ne sais pas pourquoi, je sais juste que c'est un bon signe."

J'ai recommencé à jouer avec ses seins en lui pinçant les tétons. Mais elle m’a stoppé :

"Ne joue pas avec ma poitrine maintenant. Tu vas me faire venir trop tôt et je ne veux pas que ça finisse." 

Elle sourit et ajoute: "Même si maintenant que je t’ai marqué en prenant ta virginité, tu m’appartiens. Je sais que je reviendrai en toi, souvent, longtemps ..."

Elle a remis mes mains sur ses seins et m’a dit: "Touche pas à mes tétons."

Je presse et malaxe ses seins pendant qu'elle att mes chevilles et entreprend de me fourrer sauvagement. 
C'est une amante très énergique, qui change constamment de tempo et d'angle. Elle se penche à nouveau sur moi et je me trouve avec son mamelon à portée de ma bouche. Alors, je le happe et suce son téton, tirant fort dessus. 

Elle sursaute comme si ma bouche lui envoyait une décharge électrique et se redresse. Je suis très excité et je veux récupérer son mamelon. Je ne suis pas sûr de ce qui m'arrive, mais je veux subitement prendre le contrôle. 
Je saisis ses bras et me roule sur elle pour la chevaucher. Je capture ses mains au-dessus de sa tête et je maintiens ses deux poignets dans une de mes mains. 

Ce bouleversement m'a permis de dominer la situation, donc même si elle résiste, je la maintiens en place. 
Je passe ma main libre entre nos deux corps et pour la troisième fois, j’introduis son pénis en moi. En faisant cela, je la prive du plaisir de me baiser, donc c’est moi qui m’empale, monte et descend sur son membre turgide.

Elle est allongée sur le dos, les mains maintenues au-dessus de la tête. Mes jambes repliées enserrent ses hanches et ses cuisses. Ses seins s’offrent à moi pour les utiliser comme je veux maintenant. Ma bouche passe de l’un à l’autre, les suçant, les mordillant ou les léchant.

"Que fais-tu ? Pourquoi fais-tu ça ? Tu vas me faire … Ah, non ! Pas déjà !"

Elle se cambre et se tortille. Elle essaye de reprendre le contrôle, mais son désir est le plus fort.

"Non ! Pas encore ! Je veux ... durer plus longtemps !"

Elle geint et gémit lorsque son corps la trahit. Je pousse mon cul contre elle pour absorber toute sa viande palpitante.
Ses reins se cambrent, son corps se tend, elle tremble lorsqu'elle jaillit en moi. Un râle profond lui échappe.

Je relâche ses mains et elle m'enveloppe pour me serrer tendrement contre elle, alors que des répliques orgasmiques ondulent à travers nos deux corps. Elle m’embrasse langoureusement. Son pénis est encore dressé en moi mais je ne ressens plus aucune douleur, son sperme ayant parfaitement lubrifié mon conduit anal.

"C'était ... tu es … phénoménal !" Dit-elle doucement. "Je n'avais jamais vu un gars me faire ça. Je te conduisais et tu as renversé la situation."

Ses mains caressent mes épaules, mon dos, mes fesses. Elle pétrit mes fesses, puis me donne une petite poussée avec sa bite encore bien raide.

"Tu sais, je pense ... que je pourrais remettre le couvert … !?"

Quelqu'un frappe à la porte et la voix d'une femme appelle :

"Que se passe-t-il là-dedans ? Je compte jusqu'à dix puis j'ouvre cette porte !"

La femme devant la porte compte à voix haute. Je me lève et att mon short. Je m'emmêle un peu en l’enfilant. 
Ma copine n'a qu'à baisser son haut et remonter son bas. Lorsque la porte s'ouvre, nous sommes couverts. 
Debout dans l’embrasure de la porte se tient Hilda, la directrice, souriante comme une athlète de la Corée du Nord.
Derrière elle, une petite foule de curieux s'est rassemblée et se presse pour voir.

"Que faisiez-vous ici?" Demande Hilda. Ma copine me regarde puis revient à Hilda.

"Nous cherchions ... un ..." Elle jette un rapide coup d'œil autour d’elle "... médecine-ball ?"

"Nous n'avons pas cela ici !"

"Cela explique pourquoi nous n'arrivons pas à le trouver!" 

C'est à ce moment que je remarque le regard fasciné des curieux derrière Hilda. Ils fixent tous la même chose.
Je suis leur regard, et je découvre le contour du pénis dans le Lycra de ma copine. Elle a l'air en forme. 
Elle m’att la main et m’entraîne à travers la foule stupéfiée, prise d’une intuition soudaine.

"Eh bien ... nous devons y aller. Merci pour votre aide !"

Je peux sentir tous les regards braqués sur mon dos tandis que cette femme au pantalon gonflé me conduit vers la sortie. Nous arrivons au parking lorsque je retrouve enfin ma voix.

"Non ! Attends !"

"Quoi? Ne me dis pas que tu veux renoncer maintenant!"

"Non, mais je ne connais même pas ton nom !" 
Elle me fait ce joli petit sourire malicieux : "Rosine."

"Rosine. C'est charmant."

Elle éclate de rire : "Rose, comme tes fesses, mon chou !" 

Elle m’ouvre la porte de sa voiture et me propulse vers la certitude de nouvelles aventures.

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