Chez Le Docteur
Quand je me réveille le lendemain matin, je sens ma chatte endolori par les assauts répétitifs qu'elle a subi hier. Je commence à me toucher le clitoris en repensant à toutes les bites dont j'ai dû m'occuper, et à ce qu'Albert ma fait.
Après avoir eu un orgasme que j'ai étouffé en m'enfonçant 4 doigts dans la bouche, je me lève afin de me préparer pour la journée. J'ai ma à l'entrejambe quand je marche, jai pris trop cher hier.
Tant bien que mal, je prends une douche puis j'enfile un petit ensemble soutien gorge et string en dentelle rose pâle que je recouvre avec une jolie petite robe dété jaune à fleurs. Le décolleté met en valeur mes gros seins, et je me coiffe en queue de cheval car il fait chaud.
Quand jarrive dans la cuisine, je retrouve Albert, assit à la même chaise quhier, mais cette fois il na pas de photo devant lui, seulement une boîte. Quand je mapproche il me la tend ; cest un test de grossesse.
_ « daprès ce que Julien ma dit, en plus de moi, deux mecs ont giclé dans ta chatte hier, et vu que tu es une chienne, tu ne leur a pas fait mettre de capote. Note bien qua partir de maintenant, et sauf indication contraire, je suis le seul à pouvoir te prendre sans capote. Je ne vais pas encore tinterdire de te faire baiser par dautres mecs sans mon autorisation, tu es jeune, salope, ça ne rimerait à rien. Mais tu vas mobéir dorénavant. Premièrement tu vas pisser sur ce machin, ensuite on va chez le docteur. »
Sans un mot, la tête baissée en signe de soumission, je sors de la cuisine, suivie pas Albert qui me tient par la nuque. Il moblige à garder la porte des toilettes ouverte pour me regarder pisser. Une fois que jai fini, on attend quelques minutes avant de voir le résultat. Cest négatif. Je pousse un soupir de soulagement, à ce moment là Albert matt par les cheveux et me fait me lever des toilettes, il me colle deux gifles, une sur chaque joue.
_ « tas eu de la chance, normalement quand je fourre une pute je lengrosse, et les deux petites merdes qui tont remplie devaient être un peu dilués par la fumette.
A cette idée je blêmis, vu le calibre dAlbert, si il décide de menculer, je vais finir à lhôpital. Il finit par me lâcher et on sort de la maison. Dans la voiture, il pose ma main sur son paquet, je comprends ce quil veut. Jouvre sa braguette, et je sors son sexe, non sans mal vue la taille du membre. Je me penche alors pour le sucer. La position nest pas pratique, et Albert pose sa main sur ma tête pour me faire avaler plus profond. Il est tellement gros que ma tête dépasse du tableau de bord, toutes les voitures autour doivent nous voir. Cela na aucune importance, seul la satisfaction de mon maître compte.
Le trajet nest pas long, on arrive bientôt devant un bel immeuble. Une fois entrés on se dirige vers le premier étage et on entre dans le cabinet médical. Lappartement est richement décoré, la pièce où on arrive dispose un bureau, probablement pour la secrétaire, mais elle nest pas là. De derrière une porte proviennent des sons étouffés, mais que je reconnais comme des gémissement de femme. Albert claque la porte dentrée et les bruits sarrêtent. Quelques instants plus tard une femme sort de la pièce, qui savère être le bureau du Docteur. C'est une jolie femme dune trentaine dannées, bien roulée, en tailleur avec une jupe assez courte, quelle à du mal à remettre en place, on dirait quelle à été retroussée. Avec un sourire, et la dévorant des yeux, Albert sannonce : « bonjour, je suis monsieur Albert, voici ma belle fille, nous avons rendez vous. »
La secrétaire nous invite à entrer.
Albert me suit et nous pénétrons dans le bureau. Le docteur nous accueille, il est grand, au moins 1m90, costaud, une vraie armoire. Il me base du regard dès que jai franchi la porte. Dune main sur mon cul, Albert me fait entrer, mais me dit de rester debout, tandis quil sassoit.
Le docteur se me t à me tourner autour, me regardant, touchant parfois mon épaule, ma joue, comme pour tâter la marchandise. Je le laisse faire sans bouger, en me tenant bien droite, pour faire plaisir à mon maître.
_ « Bonjour Manon, cest un plaisir de rencontrer une aussi jolie jeune fille. Albert ma parle de toi, et bien que jaurai préféré te voir hier comme cétait prévu, jaccepte de te prendre comme ma patiente, malgré ta désobéissance dhier »
_ « merci monsieur, cest très généreux de votre part. »
_ « ne me remercie pas tout de suite, quand tu es dans mon bureau, tu dois respecter certaines règles, et toute transgression sera sévèrement punie, jai carte blanche selon Albert. »
_ « bien monsieur, je ferai de mon mieux je vous le promet. »
_ « nous verrons cela, en attendant mets toi entièrement nue, tu ne dois jamais porter un seul vêtement quand tu es dans mon bureau, ensuite met toi à 4 pattes sur ce fauteuil. »
Je mexécute, et me place nue, les genoux posés sur lassise du fauteuil à côté de celui dAlbert, les bras appuyés sur le dossier, fesses tendues vers le bureau du docteur.
Ce dernier sapproche de moi par derrière, et mapplique du gel lubrifiant sur la chatte, mais aussi sur mon petit trou du cul.
_ « comme je te lai dit, toute transgression implique une sanction, tu étais sensée venir hier, tu mas fait perdre mon temps, alors voilà ta punition. »
Je le sens alors me pénétré lanus avec un objet long et fin, qui tout à coup se met à vibrer fortement. Surprise, je suis prise de tremblements incontrôlables tandis quun plaisir fulgurant monté du fond de mes entrailles. Je pousse un gémissement et la vibration sarrête.
_ « tu dois subir tout ce que je te fais en silence, cest ton premier et dernier avertissement. Si tu fais encore du bruit cest de la douleur que tu ressentiras. »
Je hoche la tête en silence, et la vibration reprend. La sensation est très forte, et je suis prise de spasmes violents.
Lexcitation mapproche de lorgasme, et lorsque jattends presque le point de non retour, la vibration sarrête. Frustrée, je me demande ce que jai fait de mal, le docteur dit alors : « tu ne jouiras jamais ici, à moins que je le décide, ça fait partie de ton apprentissage, tu ne dois pas jouir sans laccord de lhomme qui commande. »
Il commence alors à toucher mon clitoris, il sait y faire, en quelques secondes je suis au bord de lorgasme. Il arrête encore, puis me met deux doigts dans la chatte, et me lime avec ses doigts énormes. Je monte encore rapidement et il arrête avant que je jouisse. Je n'en peux plus, les sensations qui massaillent me font perdre le contrôle de mon corps, de la cyprine sécoule de ma chatte.
Le docteur me fait subir ce traitement pendant 20 minutes, alternant entre mon cul, mon vagin et mon clitoris. À la fin il met le stylet vibrant à fond dans mon cul, me met trois doigts dans la chatte, un pouce sur le clito, et me maintiens au bord de lorgasme pendant deux longues minutes,puis il arrête tout.
Il me dit de me rhabiller, puis va sasseoir et remplit une ordonnance. Je nécoute pas ce quil dit, mon entrejambe, bouillante, réclame la jouissances durgence. Je le vois tendre le papier à Albert, puis celui-ci me prend par le bras, me fait me relever et nous sortons.
Une fois dans lascenseur je ne tiens plus, je me met à genoux et je sors la queue dAlbert que je me met à sucer. Je le pompe comme une chienne, je lui gobe les couilles, jessaye même datteindre son cul avec ma langue pour le lécher. Je le sens aussi excité que moi. Une fois dans le parking, on se dirige vers son 4x4, il ouvre la porte arrière et me fait monter, puis me suit. À lintérieur il déchire ma robe bestialement, arrache mon soutien gorge et mon string, et me pénétré brutalement avec sa queue.
Je lui crie de me démonter, alors il accélère la cadence. À ce moment là mon corps ne suit plus, je perds conscience, ravagée par lorgasme quil me donne. Je reviens à moi pour le voir jouir sur moi dans un râle, puis je mabandonne sur la banquette arrière. Jy reste sur tout le trajet du retour, nue, les vêtements déchirés, la chatte défoncée, et recouverte du sperme dAlbert, mon maître.
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