Collection Cocu. Le Poulain. Début De La Saison Vi (21/24)
Nous retrouvons Marie dans cette nouvelle saison à la table dun pub écossais un peu éméchée et ayant fait un pari avec sa nouvelle amie, Aisy.
Qui va avoir raison entre ces deux femmes, Marie va-t-elle devenir la Lady de ce coin dÉcosse ?
Incroyable, jaccepte de venir passer ma soirée avec Aisy, la co-pilote de John mon amant quand jatterrie dans le pub, vue en arrivant dans la voiture de John alors que je venais de finir de le sucer.
Nous venons de nous attabler dans un coin lorsque lun des hommes présents, assez éméchés, vient me proposer sa queue en me parlant dans une langue incompréhensive.
Traduction faite, lhomme ayant eu lair de déguerpir aurait dit à mon amie que si je voulais une bonne queue à la place de la chatte de dAisy, il était partant.
Moi qui étais jalouse delle si elle avait accompagné John, mannonce direct quelle est lesbienne.
En venant en Écosse, dans lavion que mon amant pilotait, jai été à deux doigts de lembrasser, je me rends compte quelle aurait aimé ça.
Lhomme revient à la charge avec deux pintes de bière.
Il parle dans sa langue avec la traduction de ce quil nous dit.
- Il nous offre ces pintes pour sexcuser de tavoir importuné.
Rapidement, une pinte succède à une pinte devant nous sans que nous soyons obligées de commander.
- Aisy, il faut que jaille pisser, cest bien beau de remplir, mais il faut que ça sorte de lautre côté.
Eh oui, cest comme ça quand on est bourré à la bière, il faut aller faire pipi.
- Merde, les bougent murs.
Je suis conne, les murs bougent.
- Tes pompette Marie et sans avoir dépensé un sou, ils veulent tous se faire bien voir de leur future Lady.
- Aisy, si un jour jaccepte un mariage avec le lord, je veux bien que tu me fesses.
- Ça cest facile, je peux te fesser quand je le voudrais.
Quand nous serons chez moi par exemple.
Non, tient nous ferons un voyage en Italie voir ma tante, elle a une maison à Rome.
- Tu as perdu davance, celui qui me passera la bague au doigt, il est loin dêtre né.
Jarrive à trouver les petits coins et au moment où je me rassoie, la porte souvre.
Là je comprends, cest en Anglais quÉlisabeth fait son apparition.
- Salut, la compagnie, on fait la fête sans moi.
Elle rejoint un groupe de garçons et fille de son âge à lautre bout de la salle.
Chaque garçon a droit à sa bise, certain un peu plus au bord des lèvres.
Lun deux lui parle à loreille.
Elle se retourne et nous voit.
- Marie, tu aurais pu me dire que les baskets, cétait dès ce soir que tu en avais besoin.
Gaffe ici, cest un coupe-gorge, non, ta vertu est bien protégée, mais pas ta tête, tu vas morfler si tu continues à boire autant de bière.
Il faut dire, que le patron amène les shops de bière mais les laisses sur place après.
Combien, impossible de compter, chaque fois je membrouille entre 3, 6, non cinq chacune.
Elle tourne les talons, le patron nous apporte deux nouvelles pintes.
- Il vous arrive souvent de laisser entrer des mineurs dans votre bar.
- Vous vous êtes française bien que vous parliez parfaitement cette putain de langue anglaise.
Même si vous allez épouser John, ici cest toujours moi le patron qui décide qui boit ou doit foutre le camp.
Élisabeth, cest mon rayon de soleil, alors pintez-vous, mais oubliez que vous avez vu une jeune mineure ici.
Il dépose les bières et retourne derrière son bar.
Aisy me prend les mains.
- Je crois que tu tes fait un ami.
Ici les hommes depuis des lustres sont des machos qui font taire les femmes.
Toute petite chez mes parents, jai compris, comment ils étaient.
Mon père prenait un malin plaisir à choper ma mère, défaire son ceinturon tenant son kilt et après lavoir couché là où il se trouvait fouettait ma mère.
Je me suis juré quaucun homme même le plus beau me traiterait de cette manière.
- Et tu es devenue lesbienne.
- À peu près, bien que cest à ladolescence que jai pris conscience que jaimais mieux mes jeunes copines que la plupart des hommes prêts à me sauter que tu vois ici.
- Et une femme, tu accepterais quelle te fouette.
- Faut voir, dis-moi et toi les femmes.
- Ai-je enlevé mes mains quand tu les as prises, jadore ton contact ?
Je lui explique la succession de ma vie jusquau Lord et elle se soir et aussi dans lavion.
Sonia et Poupette et enfin Magalie à Paris.
À lautre bout du bar, celle qui si jen crois les rumeurs pourrait devenir ma belle-fille, est entourée de jeunes mâles qui comme les autres semblent être en rut.
Contrairement aux plus vieux, ils sont habillés rocks en rolls.
- Et toi, tu trouves souvent chaussure à ton pied.
- Ici non, elles sont toutes coincées du cul et comme je te lai expliqué, elles tremblent devant leurs maris.
Cest principalement à Londres que je trouve de quoi assouvir mon besoin de chatte dégoulinante.
Avec John, nous allons à Londres fréquemment dans la City, je connais un ou deux bars où les lesbiennes se réunissent.
Jy aie mes habitudes et chaque fois mes nuits sont chaudes.
Nous allons souvent en Irlande et sur le continent dans différents pays, sauf en Grèce où nous irons ensemble quand tu auras accepté dépouser notre Lord.
- Enfonce-toi mon doigt dans lil jusquau coude.
Nous éclatons de rire.
- Si jai bien compris, au lieu de te ramener dans ton château, je te propose de venir dans mon tout nouveau loft où je viens de me faire livrer un spa, accepte connaissant les conséquences !
- Tu as compris que je suis bi, si je mécoutais, je tendrais mon cou pour tembrasser de façon indécente de lautre côté de cette table.
- Alors, viens, qui sait pour mes fesses !
Je parais en forme, après les litres de bière bue.
Dans les derniers propos tenus avec Aisy, je devrais me rendre compte que je suis plus atteinte que penser.
Métaler dans ce bar devant ces hommes en jupes dont je sais maintenant quils sont nu dessous, je suis sûr que je me sauverais en courant de honte.
Lair pur me permet de récupérer un peu.
La rue est vide, je fais pivoter Aisy et contre toute attente je prends linitiative de lembrasser.
Sa main rejoint mon sein qui se tétanise de plaisir.
Mon amie a raison sur un point, les mains calleuses des hommes dans ce bar me feraient elles mouiller comme je sens que je mouille depuis quAisy le caresse avec sa main.
- Viens.
Elle est gaie, elle se met à chanter as-tu tête malgré lheure avancée.
Elle chante faux.
Un homme au-dessus de nous lui demande de fermer sa gueule.
Elle linterpelle.
De leau nous tombe dessus, principalement nos figures regardant vers le haut.
Elle lui répond en gaélique à réveiller tous le quartier.
- Putain, ce fils de pute vient de nous vider son pot de chambre sur nos têtes.
Fumier, résidu de capote, couilles molles, va baiser ta pute de femme.
- Aisy arrête, je vois mal la futur Lady de Fyvie, finir sa première nuit au poste.
- Alors là, rien à craindre, dans cette ville, la cheffe de la police est mariée, a trois s et est une gouine refoulée, mais je lui ai déjà bouffé la chatte la dernière fois ou elle ma arrêté.
Cest loin dêtre beau dêtre bourrée pour des jeunes femmes comme nous.
À lodeur, cest sûr, nous avons pris un bain de pisse.
On est arrivé, il faut monter en haut de cette vieille maison avec quelques difficultés.
Plusieurs fois lune lautre nous tombons sur les marches pouvant risquer de pisser dans nos culottes.
Enfin, elle sort de son sac un jeu de clefs et ouvre sa porte.
Maison impeccable, mais maison de femmes, pas la moindre trace dhomme.
Et enfin le spa.
Jaimerais quelle me déshabille et je pense quelle aussi, mais soit la senteur de notre parfum soit lenvie deau purificatrice, nous fait nous dépêcher.
Dans une piscine, il est possible de sauter, là nous enjambons les rebords.
Je me surprends à regarder sa chatte entièrement épilée, comme tout son corps.
- Viens que je te lave.
- Attends, jai une envie présente, tu acceptes que je réalise un de mes fantasmes.
- Fait, bien sûr, il faut réaliser ses fantasmes.
- Cest en voyant les hommes au bar que jy ai repensés avec leurs robes et leurs sexes.
Jaimerais pisser debout.
- Dans mon spa ?
Tu as raison, avec ce quon a pris sur la gueule tout à lheure, leau est déjà polluée, de toute façon la filtration va faire le reste.
Je suis déjà debout, jécarte légèrement les jambes et je pisse, je pisse, je pisse.
Aisy se lève, elle aussi et elle pisse, elle pisse, elle pisse.
Heureusement, elle a une salle de bains et une baignoire.
Baignoire où nous entrons après lavoir rempli.
Elle est dans mon dos, mes yeux sont lourds, mes paupières se ferment.
Des mains sur mes seins
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