Chapitre 4 : Rencontre Avec Denis Validée Par Marie

Les jours qui ont suivis mon premier trio avec Denis et Claude-Yves furent douloureux.
Physiquement, mes deux lascars ont abusé, j’ai de violentes douleurs à cause d’irritations anales et rectales. Celles-ci sont dues en partie à une pénétration trop brutale de Denis, un manque de lubrification certainement et peut être un manque de stimulation de l'anus au préalable ou un abus de pénétrations multiples. Je ne souhaite plus souffrir de la sorte, et je vais en informer Denis. J’adore me faire « enculer », je prends un plaisir incroyable pendant nos rencontres, mais l’après est trop difficile.
Psychologiquement éprouvant, par rapport à Marie que j’ai trahie. Ma petite femme que j’aime, que j’aime baiser, qui aime me faire plaisir.
C’est donc, l’esprit tranquille que je prends la direction de Deauville et de l’hôtel « Le Normandy », j’ai une petite crainte, tout de même, concernant Claude-Yves, j’espère que Denis va respecter sa parole de ne pas l’inviter, je ne souhaite plus mentir à Marie, enfin le moins possible.
Officiellement, je rencontre Denis pour la première fois. J’arrive dans le merveilleux hall de ce palace, me dirige vers le bar, une silhouette se détache, j’aperçois Denis, mon homme de 52 ans, élégant, raffiné, je m’approche, je ne peux résister à l’envie de l’embrasser, Denis est ravi et se laisse embrasser malgré l’assistance, pour rappel, nous sommes en « 1991 ».
Puis déjeuner, succulent… Des caresses discrètes sous la table, je suis déjà dans état indescriptible. Je profite de ce moment pour demander à Denis d’être plus doux, de peut-être mieux me stimuler l’anus et surtout de bien me le lubrifier. Je sais que je suis aussi responsable car à chaque fois je manifeste mon impatience !!!
Nous prenons possession de notre suite, la jeune femme chargée de nous accompagner nous souhaite : « une excellente après-midi », Messieurs.
Passage obligé par la douche, rituel du lavage intégral, le tuyau bien enfoncé et je fais couler l’eau lentement, jusqu’au retour de l’eau claire, voilà mon cul est très propre, prêt à servir.

Je suis surpris, Denis m’observe, me laver… Je le vois nu, debout, dans toute sa splendeur.
Il est magnifique, imposant, stylé, raffiné, d'une beauté brute, très bel homme comme j'aime, l'équilibre est là, des muscles imposants…humm. Et que dire du sexe …
je suis en admiration à regarder son « braquemard », une grosse queue fièrement dressée et Denis devine de suite mon envie.
- Tu veux la toucher, petite salope…
- Humm, oui…
- Alors va t’assoir sur le lit, petite pute…
Je m'assoie sur le bord du lit « King-size », Denis se présente devant moi, debout son sexe tendu de désir pour moi. Je comprends maintenant pourquoi ma rondelle souffre à chaque intrusion. Comment Denis peut-il me prendre avec un « outil » pareil.
Je commence par le caresser, puis je le lèche, je lui lèche les couilles bien pleine, je prends son sexe en main pour le branler, puis je le lèche encore pour enfin le mettre dans ma bouche, j'y vais de tout mon cœur, je suis heureux, nous nous regardons dans les yeux, je m'amuse avec son gland, je le mordille, je m'amuse comme un fou avec sa bite, Denis apprécie, je ne veux pas le décevoir. Je prends mon pied. Je le pompe comme une pute.
- Et ta pute de Marie, elle pompe bien aussi ?
- Ouais !!!
- Tu ne parles pas la bouche pleine, petite salope…
Je reste les lèvres bien ouvertes, la tête en arrière afin qu’il me baise la bouche. Il va et vient doucement. Il enfonce son membre au fond de ma gorge. Il introduit son pénis le plus loin possible dans ma gorge, à plusieurs reprises je manque de m’ et de vomir. Mais son gland stimulé avec le fond de ma gorge ne peut éviter une éjaculation bien rapide au fond de celle-ci. Je ne peux rejeter ce liquide crémeux au fond de ma gorge, j’avale avec délice ce précieux nectar et je lui nettoie minutieusement son gland avec ma langue.
- Tu deviens expert en gorge profonde, petite pute !!!
- Euh !!! pas vraiment Denis, pas facile… Marie, elle est experte !!!
- Je demande à voir, si tu veux ?
- Je ne sais pas… Je dois encore savoir doser ma respiration !!!
- Pourtant j’ai aimé ma petite salope…
- Je dois pouvoir mieux faire…la tête plus inclinée, Denis
Nous nous allongeons sur le lit pour nous caresser, nous câliner, nous embrasser, et discuter… Les caresses reprennent, il s'allonge sur moi, me domine, je n’ai pas envie de résister, " mets-toi sur le ventre ", je m'allonge sur le ventre, il s'allonge sur moi, me donne des petits coups de bassin me laissant présager la suite, me suce l'oreille, je sens sa chaleur contre moi.
Puis il se positionne pour bien me lécher l’anus, j’adore, je pars complètement abandonné, je sens bien son jeu de langue, « Mon » Denis est très doué, il me bouffe vraiment le cul, je pousse des petits cris et réagis vivement à ces mouvements de langue, puis il joue avec sa langue et ses doigts, je sens une légère froideur, je pense que c’est le lubrifiant, oui c’est la vaseline !!!
Il passe de la vaseline entre mes fesses, commence à me doigter doucement, il prend en compte mes demandes de précaution.
Dans ma tête, je me dis " ça y est, je vais encore y passer ", je m’offre à un homme pour mon plus grand plaisir, il commence à me mettre un deuxième puis un troisième doigt, j’apprécie cette petite intrusion dans mon intimité, c'est plutôt agréable puis il met beaucoup de vaseline sur son énorme gourdin, me demande d'écarter un peu les jambes, ce que je fais, s'allonge sur moi.
- Ma grosse bite est pour toi, petite salope…
- Oooh Oui, j’ai de la chance !!!
- Tu as vu, je suis très doux…
- Oh Oui, vas-y, j'ai envie de toi, Denis.
- Moi aussi, tu me rends dingue petite pute !!!
Il est très attentionné, il m'écarte un peu plus les jambes, il me caresse encore les fesses, je suis à lui. Enfin, il me pénètre doucement, très doucement, mon anus est bien stimulé, je sens son gland essayer de rentrer, mon anus s'ouvre, ce n’est pas douloureux, ça rentre comme dans du beurre.
Je respire fort, il me demande toujours si ça va, j'acquiesce , c’est tout en douceur aujourd’hui , puis il progresse, et là mon anus l'aspire, il rentre complètement en moi, je ne peux bouger, il s'allonge complètement sur moi, il me tient les mains, m'écarte un peu plus les jambes avec les siennes et commence les va-et-vient, je suis pris, je ne peux bouger, il fait des petits mouvements de bassin, il va très doucement pendant plusieurs minutes, je ne ressens pas de douleur, le plaisir est bien présent, puis il me glisse des baisers dans le cou, me suce l'oreille, me caresse il adore faire ça et le fait très bien.
Denis se réjouit de mes gémissements qui lui confirment ma satisfaction d'être ainsi « enculé ».
- Tu aimes vraiment, salope ?
- Oooooh Oui !!!
- Tu aimes être enculé, hein ?
- Ooooh Oui, j’aime ta bite, j’aime être à toi…
Mes gémissements l’incite à continuer, il m’encule pour une fois délicatement, il a compris qu’il est plus que bien « monté », mais fait attention pour ne pas me faire mal cette fois ci.
- C’est trop bon, mon Denis chéri…
Je prends un plaisir fou, je décolle de nouveau dans l’espace, littéralement propulsé, tant l'enculage est somptueux, le rêve absolu.
Son énorme sexe emboité, je lui abandonne mon corps, je cambre mon cul pour lui montrer tout mon désir. Il redevient plus directif, me distribue alors violemment ses coups de bites sans contrainte tellement mon cul est maintenant ouvert.
Mes gémissements continuent, je transpire, je délire.
- Bourres moi le cul, Denis
- Vraiment…
- Défonces moi, Ooooh oui…
- Si c’est ce que tu veux !!!
Puis il se donne à fond à ma demande, la défonce totale, me faire gémir sous ses coups de butoirs…
- T’es vraiment une salope… Tu aimes ça ?
- Oui, vas-y, encore…
Il prend son temps, trop heureux de pouvoir faire durer son plaisir et le mien, mon cul se fait bien ramoner pour une grosse queue, le pied intégral
Denis finit par décharger dans mon cul en poussant un râle bestial et libérateur, nous jouissons ensemble…
- Alors, bien enculé, ma salope !!!
Encore dans l’espace, je n’ai pas la force de répondre, je plane, j’attends qu’il veuille bien se retirer de mon cul, j’attends pour lui nettoyer son gland après cette belle et bonne enculade.
Il se retire rapidement en m’ordonnant, comme prévu de lui nettoyer son sexe avec ma bouche, j'avale tout ce que je peux, un peu de son sperme, toujours au gout d’anus, je le lèche goulument et on s'arrête là.
Je m'allonge contre lui, on reste un moment comme ça sans rien dire sur le lit, je dois m’essuyer car je me suis éjaculé dessus. Nous restons allongé à parler, de Marie, il veut savoir ce que je vais lui dire en rentrant chez moi.
- La vérité, Denis !!!
- Toute la vérité ?
- Oui, à partir de ce jour, le 4 mai, Denis !!!
- Et Claude-Yves ?
- Elle ne doit pas savoir !!!
- Cela ne va pas être facile…Mon Loulou !!!
C’est la première fois que Denis, m’appelle ainsi, d’habitude c’est pute ou salope. Donc il me demande comment Marie va réagir quand je vais lui raconter la relation que nous avons consommée ensemble. Comment va-t-elle réagir en apprenant que je me suis fait sodomisé sans protection.
- Je n’en sais rien Denis !!!
- Vous en aviez parlé ?
- Oui, de la possibilité d’avoir une relation avec un homme !!!
- Et ?
- Ben, acceptant une rencontre, elle doit se douter que c’est possible !!!
- Préservatif ?
- Je ne sais pas…
Denis continue, de me parler de Marie, qu’en fonction de sa réaction, je dois lui proposer de le rencontrer, pour faire connaissance, éventuellement si elle le souhaite elle peut venir voir son mari se faire « enculer » par son amant.
- T’es pas sérieux, Denis…
- Pourquoi pas, cela te gêne ?
- Un peu, enfin, je ne sais pas, j’aime Marie, et j’aime nos relations…
- Tu vois, il faut lui proposer…
Ayant promis à Marie de rentrer relativement tôt, c’est un samedi et nous avons une invitation, nous nous séparons avec Denis, qui me propose de nous retrouver dans deux semaines au même endroit mais avec un Marie pour une présentation.
Le retour est serein pour moi, déjà la douceur de Denis est appréciable, j’ai beaucoup jouit avec la seule pénétration anale, j’ai réussi à érotiser mon anus, le plaisir passant par le corps mais aussi par la tête… Mon anus et mon rectum restent potentiellement riches en sensations. Sur un plan psychologique, se soumettre à la puissance de Denis est un puissant ressort de l'excitation et du plaisir sexuels.
Je raconte également, la rencontre, la première pour Marie, qui est très surprise de notre passage à l’acte rapide, mais elle comprend mon besoin et mes envies. Elle accepte moins l’absence de protection. J’argumente que Denis est divorcé, sans relation sexuelle et partenaire depuis très longtemps. Que c’est une personne responsable, chef d’entreprise à la tête de plusieurs imprimeries, il ne fait pas n’importe quoi. Et puis la différence de génération, il a dix-huit ans de plus que moi, c’est une génération pas habituée à se protéger.
Je lui confirme que j’ai pris un immense plaisir, que j’aimerai continuer, que Denis propose de nous rencontrer. Je lui montre la photo de Denis.
- Ah, oui, bel homme.
- Tu trouves ?
- Un peu vieux, mais il est pas mal, il ressemble un peu à Delon…
- C’est vrai, Marie, tu as raison
- Pourquoi, le rencontrer ? Je ne vais pas tenir la chandelle !!!
- Pour faire connaissance, on verra bien Marie.
Contre toute attente, Marie est positive à l’idée de retrouver Denis, deux semaines plus tard au « Normandy » à Deauville, elle est contente que l’on se retrouve dans ce superbe hôtel de luxe, devant lequel, elle a beaucoup rêvé de passer au moins une nuit.
Petit rappel, cette histoire, est l’histoire de ma vie libertine, je retrouve beaucoup de détails dans mes journaux intimes que je continue à 64 ans de renseigner.
Pour l’instant, je suis satisfait du nombre de lecteurs des premiers chapitres. Mais déçu du peu de commentaires à ces premiers récits, je peux continuer à vous raconter trente années de libertinage, de ma bisexualité, d’aventures candaulistes et triolistes !!!
Le cinquième chapitre sera consacré à ma découverte du candaulisme et comment j’ai offert Denis, à mon épouse Marie.