Collection Cocu. Le Poulain. Saison Vi (22/24)
Bourrée, il faut être bourré pour faire ce que nous venons de faire avec Aisy après avoir quitté le pub et sa faune écossaise aussi avinée que nous.
Aviné, plutôt pintisé bien quil soit difficile de trouver ce mot dans les dictionnaires de bon nombre de pays.
Pinte sur pinte sans jamais avoir à débourser les moindres pence.
Les clients du pub semblent tous employés par John et comme Aisy a fait savoir à qui voulait lentendre que je risquais dêtre leur future Lady, ils se sont tous empressés détancher notre soif.
Si un jour, je surprends ma fille à pisser debout dans son bain, bien que devenue grande, Duchesse est seule dans la salle de bains, je lui promettrais une belle fessée.
Cest un moindre mal, cest notre pisse, alors que dans la rue, lorsque Aisy chantait à sen faire péter les poumons, cest le contenu dun pot de chambre que nous avons reçu sur la tête.
Par change, aucuns matières fécales.
Juste de la pisse croupissante et fort odorante.
Dans mon brouillard éthylique, cest pour réaliser un fantasme de longue date que jai fait cette opération indécente.
Pisser debout, comme le font les hommes.
Je viens de me secouer pour faire tomber la dernière goutte quand Aisy me prend les seins.
Je tourne ma tête et je retrouve les lèvres douces dune femme en comparaison de celle dun homme.
Tout est plus doux quand cest fait par une autre femme.
Son baiser, ses caresses descendant jusquà ma chatte toute chaude de ce que jen viens de faire sortir commence à me faire de leffet.
Leau bouillonne autour de nous et cest lorsque mes jambes refusent de me porter que je tombe à genoux.
Un bruit deau brassé et je sens que lon mécarte mes rondeurs.
Une langue, sa langue parcourt le maximum de chemin de ma chatte à mon anus.
Tout semble possible pour Aisy dans les jeux féminins.
Ses mains retrouvent mes seins quelle tire à men faire hurler, mais de plaisir.
Encore un bruit deau malgré la pompe et cest moi qui peux lui passer une langue sur son clito.
- Éteignez la lumière, jai une tête comme une citrouille.
- Tu me vouvoies maintenant, quand à la lumière, jaurais du mal à éteindre le soleil.
Avale ça, il faut attaquer le mal par le mal.
Je suis couché sur un lit, sur le ventre.
Jouvre un il, pas deux, ça cest impossible.
Je tends la main, je sens un verre et deux cachets, je les att, les avale et bois leau.
Je manque de m.
- Tu es folle, cest du whisky !
- Le mal par le mal, cest tout ce qui reste de la bouteille que nous avons bue à la sortie du spa.
- Aie.
Je porte ma main à mes fesses, elles sont brûlantes et me font horriblement mal.
- Que mas-tu fait ?
- Tu te souviens que nous étions au pub où les hommes nous ont payé à boire.
- Oui, ça cest en place dans ma tête.
Jai vu une bite écossaise puis ma belle-fille venue sencanailler alors quelle est encore mineure.
- Ta belle-fille, mon voyage en Grèce à tes frais se rapproche.
- Cétait façon de parler.
- Tu te souviens quen rentrant, je chantais, as-tu tête.
- Et un connard nous a vidé son pot de chambre sur la tête.
À oui, là, jai un peu déconné en pissant debout dans ton spa !
- Cétait un fantasme que tu souhaitais réaliser.
Et cest après que tu as commencé à déconner.
Sur la table aménagée avec le spa, si tu peux voir, tu verras le cadavre de la bouteille que tu viens de terminer.
Je te bouffais la chatte quand tu ten es saisi et que tu as bu directement au goulot.
Après, tu as voulu jouer au sous-marin.
Ça ça passait, ça te lavait de la pisse sur ton visage.
Tu te serais contenté de ça, là encore, ça aurait été.
Je tai aidé à boire une autre gorgée, mais tu es monté sur le bord du spa pour plonger dun pont qui est de chez toi certainement
Tu mas parlé de Tancarville.
Jai réussi à ten empêcher et je tai amené près de mon lit.
Tu te débattais, je me suis souvenue de notre conversation sur la fessée au bar.
Je tai couché sur mes genoux et jai commencé à te claquer tes jolies fesses avec ma main.
Tu en redemandais.
Plus tu en redemandais plus javais envie de ten claquer.
Ma main ma fait mal, sur la table de nuit, il y avait une tapette à mouches.
Je men suis saisi, si tu pouvais la voir au sol, je lai cassé en deux et tu en voulais encore.
Tes fesses étaient rubicondes.
Pour la remplacer alors que tu hurlais « encore, encore ».
Jai pu attr le martinet dont papa se servait et qui était dans le tiroir et je lai asséné à avoir mal au bras.
Épuisé, nous avons roulé sur le lit, tu mas léché la chatte qui était dégoulinante avant que tu me fasses jouir de façon ininterrompue pendant presque une heure.
Je me suis réveillée et je me suis levée pour préparer le repas.
Une pendule sonne un coup.
- Il est quelle heure ?
- Une heure, treize si tu préfères.
Je dois te conduire au château pour 14 heures, ta belle-fille te fera visiter les haras et lusine de distillerie du Scotch écossais.
- Arrête avec ma belle-fille, si tu veux aller en Grèce, tu vois je me souviens, tu te le payeras.
- On en reparlera, en attendant lève-toi, le repas est près.
Elle me claque les fesses, je hurle de douleur.
Et dire que tous ces moments même violents sont sortis de mon cerveau, pas de mon cul qui me fait horriblement mal.
La grande pièce où nous nous trouvons semble être un genre dentrepôt désaffecté transformé en loft.
Dans un coin une table quatre chaises et autour une cuisine ultra-moderne.
Je me lève dans la même nudité que la sienne, quelle belle fille, dire que je lai sucé à la faire jouir sans le moindre souvenir.
Un baiser tout de même lui montre que même si mon arrière-train me brûle, jaime cette jeune fille comme jai aimé Sonia et Poupette.
Pour Magalie, cest un peu spécial, la surprise du monde de la partouze ayant atténué ma clairvoyance.
- Que mange-t-on ?
- Médaillons de saumon fumé et crème acidulés à la ciboulette et une spécialité écossaise, le
- Haggis.
- Tu connais !
- Pense de brebis farcie, jen ai entendu parler.
Pourquoi faire du mal aux gens en leur disant la vérité quhier au soir avant de venir la rejoindre, javais déjà goûté ce plat traditionnel ?
- Cétait très bon, peux-tu me reconduire.
Bien quavec le nombre de gramme que nous avions hier au soir, il faut huit heures pour perdre un gramme, si Aisy souffle, elle sera certainement positive.
Élisabeth mattend au salon après avoir embrassé Aisy nous promettant de nous voir bientôt.
- Te voilà, Alison nous avais préparé un petit déjeuner, jai une chose à te demander.
- Élisabeth, que veux-tu ?
- Assieds-toi à côté de moi.
- Si tu le permets, jai envie de rester debout.
Mes fesses vont un peu mieux et les coussins sont profonds, mais je veux que cette douleur si chaude à mon cur disparaisse encore un peu.
- Marie, jaimerais que tu évites de dire à père que tu mas vu au pub hier au soir.
- Il tempêche de sortir, je suis plus souple avec Jules, mais cest vrai que cest un garçon.
- Sortir non, mais rentrer bourrée avec ma Motocyclette à 3 heures du matin, il me passerait un savon et serait même capable daller casser la gueule à Archibald.
- Archibald, le patron du pub.
- Oui.
- Je te promets, comme lon dit en France, je serais une tombe.
- Je dois te conduire aux écuries et après à lusine de whisky.
Père veut que je te fasse visiter.
Avant dit moi, cest comment, lorsque lon fait lamour avec une autre femme.
- Pourquoi me demandes-tu cela ?
- Hier, jai bien vu que tu étais avec Aisy.
Ici tous savent que cest une gouine et comme tu es rentrée au matin, tu as donc dormi chez elle.
- On peut dormir chez quelquun et être sage, je dois reconnaître que jétais saoul et quil maurait été difficile davoir des rapports intimes avec Aisy.
- Dommage, mais, dis-moi, as-tu déjà fait lamour avec une femme Marie.
- Allons visiter les écuries, allons voir le poulain né hier.
Fuir, fuir devant une jeune fille qui a certainement des envies de sexe féminin comme elle en a eu avec Jules du moins si cétait la vérité.
Malgré lâge des deux adolescents, tout est possible.
Tant que cest entre jeunes, quand je vois la petite dinde que jétais au moins ils auront un avantage sur nous.
Au moins sur moi.
Les écuries et le poulain, cest un peu comme chez nous.
Jaime retrouver les odeurs de crottin.
À la distillerie de whisky, jai une surprise qui mattend
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!