La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1394)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode précédent N°1393) -
- Avec plaisir mon cher Charles, avec grand plaisir répondit-il un sourire envieux sur les lèvres
Quelques jours sécoulèrent, le Seigneur dEvans noubliait pas Sa promesse faite à Louise et Alice. Ce jour-là, le Seigneur dEvans mit son projet à exécution. Il envoya Messire Léon chercher Alice et Louise pour les emmener dans le Donjon et dy attendre le Maître et Antonin. Ces derniers sy rendirent et dans les couloirs menant au donjon, Antonin fit une réflexion.
- Je ne suis jamais aller dans ton Donjon pour autre chose que de faire subir une punition.
- Certes, mais aujourdhui ce nest pas une punition, mais simplement Mon bon plaisir, mais je reconnais que je voulais remercier Louise pour son courage et sa fidélité et Alice de lavoir sauvée et quoi de mieux quune séance au Donjon.
Toutes deux étaient en parfaite position dattente au centre de la pièce principale car le Donjon était réparti sur plusieurs niveaux et chacun deux étant équipé selon la situation, à savoir lun basique, un autre plus de détente ou encore plus BDSM. Communiquant dun simple regard, les deux Dominants se mirent daccord. Antonin allait commencer avec Louise, tandis que le Seigneur dEvans commencerait avec Alice. Il la vit excitée certes, mais aussi peureuse. Et étant donné quil ne sagissait pas dune sanction, le Seigneur dEvans décida de lui parler avant et ainsi de connaître ses peurs.
- Je vois de la crainte dans tes yeux, dis- Moi de quoi as-tu peur ?
- Jai peur de ne pas être à la hauteur, Vous êtes le plus Grand Dominant connu de tous et aussi que je ne sais comment madresser à Vous.
- Pour tadresser à Moi, Messire suffira. Pour le reste, si tu es obéissante et respectueuse tout se passera bien et si à un moment donné, tu te sens mal nhésite pas à Me le dire.
Alice était rassurée et ne put retenir un léger sourire ému pensant au Maître à qui elle appartenait. Ce dernier avait tout prévu pour la protéger sachant ses craintes et son appréhension. Le Seigneur dEvans la voyant maintenant plus détendue, repris un ton beaucoup plus dominant.
- Bien, debout, jambes écartés, mains en lair au-dessus de la tête.
Alice fut ainsi attachée en croix par un système de cordes et danneaux ancrés au plafond et au sol.
- Gémit et crie autant que tu le souhaites et tu as aussi droit à la parole en cas de besoin ou pour exprimer ton plaisir, mais interdiction formelle de jouir. Suis-je assez claire ?
- Tout à fait, oui Messire.
Le Seigneur dEvans prit son fouet quIl fit claquer dans lair pour quelle sache ce quil allait employer. Il lui donna un premier coup sur les fesses pas trop appuyé car Il connaissait ses limites mais pas sa résistance. Nétant pas habituée, elle cria plus de surprise que de douleur, douleur qui ne tarda pas à être dépassée par le plaisir. Alice réussit juste à temps à retenir son orgasme car sIl navait pas stoppé à ce moment-là, elle aurait craquée. Alice était consciente que nayant pas été éduquée par le Seigneur dEvans, elle avait quelques lacunes en matière de résistance à retenir parfaitement un orgasme. Le Seigneur dEvans avait retenu ses coups car Il ne voulait pas trop la marquer dès le départ sachant parfaitement maîtriser sa force en fonction de la raison des coups pour exciter ou pour punir, en loccurrence en cette situation présente, cétait pour exciter
Quand Il la détacha Il dut la retenir pour éviter quelle ne chute et lemmena vers une table basse également munie danneaux et ly attacha avec dans son cul un olisbos (ancêtre du godemichet et plug) de taille moyenne quIl neut pas trop de mal à introduire car Il lavait bien lubrifié préalablement de graisse de porc, sachant que cette pratique était récente pour elle.
Alice consciente de lhonneur quIl lui accordait, mit tout son cur à Le satisfaire, se sachant, et ce au grand désespoir du Maître qui la soumettait, assez malhabile en fellations. Malgré cela, elle parvient à Le faire durcir même un peu bander mais pas suffisamment pour quIl puisse la prendre. Alors que depuis un moment, Il voyait Antonin bander comme un bel étalon et prendre Louise dans toutes les positions possibles. Antonin prenait possession également du cul de Louise. Quant au Seigneur dEvans, il se retira :
- Ta bouche est bien accueillante mais pas assez bonne pour bien te prendre.
- Messire, je Vous présente mes excuses, jai fait de mon mieux.
- Cela Mimporte peu, je ferai autrement.
Le Seigneur dEvans se dirigea vers Louise et Antonin et se fit sucer par Louise tandis quAntonin lui limait le cul en cadence à grands coups de boutoir profonds et virils. Et quand le Seigneur dEvans se jugea prêt, Il revient vers Alice et lui retira doucement lolisbos et le remplaça par Sa hampe tendue. Il commença par sintroduire très lentement afin de préparer le passage et quAlice soit suffisamment dilatée par des allers-retours dune lenteur parfaitement maitrisée. Ensuite par des va-et-vient plus rapides, plus puissants et plus profond, il commença à la besogner. Il nignorait pas que cétait la première fois pour Alice, elle qui navait jamais connu pareil plaisir. Maintenant, le Seigneur dEvans allait et venait à une vitesse vertigineuse tandis quAlice transportée dans des plaisirs insoupçonnés hurlait mille plaisirs quelle naurait jamais imaginés.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiii
encore
cest booooooooooooon
ho
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Tandis que le Seigneur dEvans continuait de plus belle, Alice luttait pour retenir un orgasme voulant exploser de plus belle, jusquau moment où, à bout de force, il éclata malgré elle, trop dexcitation, trop de sensations eurent raison de son corps qui explosa en une infernale jouissance démultipliée.
- A genoux, ordonna-tIl, avec un claquement de doigt.
Alice, péniblement, obéit immédiatement et se mit à genoux toujours secouée de forts spasmes post-orgasmiques.
- Tai- je autorisé à jouir, salope ?
- Non Messire, jai lutté de toutes mes forces mais le plaisir était tellement fort car
cest
heu
cétait la première fois et
- Tu seras punie en conséquence tu le sais, que penses-tu mériter ?
- La pire sanction serait que Vous me renvoyez de suite chez le Maître auquel jappartiens, lequel jai probablement terriblement déçu.
- Oh que nenni, tu vas rester ici et tu connaitras ta sanction plus tard mais je peux tassurer que ce sera la plus humiliante que tu naies jamais connu. Maintenant tu vas rester là sans bouger, Moi je vais Moccuper de Ma petite chienne de Louise qui a la chatte en feu et coule comme un volcan avant irruption...
Louise était allongée à même le sol, très frustrée intérieurement, car Antonin lui avait fait lhonneur de sa semence mais ne lui avait pas accordé la jouissance pourtant elle lavait supplié de la laisser jouir et il avait toujours refusé, pas quil ne soit pas satisfait mais il avait décidé de laisser ce plaisir à son ami le Maître de Louise. Quant à ce dernier, il reprenait son souffle et ses esprits confortablement installé dans un fauteuil près de la grande fenêtre. Sachant que le Maître allait la rejoindre, Louise sétait remise en parfaite position dattente. Le Maître sapprocha tourna tout autour delle, la caressant ou leffleurant par moment de Ses doigts.
- Tu nas pas encore jouit, il Me semble ? interrogea le Seigneur dEvans
- Non Maître, je nen ai pas reçu lordre, ni lautorisation.
- Bonne chienne obéissante, tu mérites une récompense, que souhaites-tu ?
- Maître, je Vous remercie mais je nai fait que mon devoir de soumise, mais javoue quil y a une chose que je souhaiterais essayer avec Vous et Messire Antonin et aussi Messire Mathieu.
Le visage du Maître jusque-là souriant se rembrunit, Louise sen voulut aussitôt davoir demandé cela
- Louise, je nai rien contre Messire Mathieu, mais je crains que malgré quil soit un excellent élément, il est jeune et sincèrement je ne le crois pas Dominant. Quen penses- tu Antonin ?
- Je pense, Charles, que tu as raison
Louise, il te faut choisir quelquun dautre.
- Si le troisième Dominant ne peut pas être Messire Mathieu, ni Messire Adam, alors je ne vois que Messire Léon.
- Et que souhaites-tu exactement ?
- Être prise par tous mes orifices en même temps et que Vous me preniez à tour de rôle dans chacun de mes trous ainsi chacun pourra avoir mes trois trous
- Hummm ! Japprécie cette perspective
Ce nest pas une mauvaise idée, nest- ce pas Antonin ?
- Cest même une excellente idée, mais regarde cette petite chienne en chaleur extrême, elle est sur le point de jouir à la moindre caresse, elle ne tiendra jamais
- Ce nest rien Ma petite chienne, je vais te prendre par ta chatte suintante et tu pourras jouir à Mon ordre et si tu tiens et Me satisfait crois-Moi, ce ne sera pas ta seule jouissance aujourdhui
En levrette exécution !
(A suivre
)
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