La Bouche De Madame Violeta Et Un Facial De Rêves
Le jour où j'ai découvert que la madame Violeta était une bonne lécheuse
Encore une fois, je veux rappeler à mes amis de France que la Roumanie dans les années 90, après la chute de Ceausescu, était devenue un grand bordel. Les filles et les femmes, libérées, avec une sexualité torride, étaient devenues chiennes... et elles voulaient toutes les expériences possibles. La famille n'existe plus et tout le monde baisait et suceait tout le monde.
J'avais 23 ans et j'étais marié depuis un an. Je vivais bien dans l'appartement de 4 pièces acheté par mon beau-père, un grand boss dans le secteur politique.
En fait, j'étais un peu déçu sexuellement, parce que ma femme était tout le temps très gênée au lit. Gênée de me faire... des choses.
Comme mettre sa bouche sur ma bite.
En avril ma femme me dit: «Tu sais, madame Violeta de Suceava veut venir chez nous pour environ 5 jours. Il a un problème à résoudre à Iasi ». Cette dame, appelée Violeta, c'était une cousine éloignée de sa mère, une masseuse de 40 ans avec un mari ivrogne.
J'étais un peu agacé par la situation
Mai quand cette dame sonnât à la porte, mon souffle se coupa.
C'était une beauté de femme de 1 mètre 75 (ma femme de 1 mètre 65), souple pour son âge, aux yeux verts et aux cheveux blonds, ramasses en chignon à la nuque. Elle ressemblait à Ingrid Bergman.
Avec un corps massif... mais excitant.
Dès le premier instant, madame Violeta a commencé à rouler des yeux sur moi, ce qui m'a fait peur parce que je savais que ma femme était vachement jalouse.
Elle bougeait ses hanches d'une façon coquine, à côté de moi.
Je n'ai pas répondu, parce que c'était tellement étrange.
Certes, j'étais très bouleversé par la présence de cette femme inconnue chez nous... elle et son parfum Impulse (ça sentait très fort).
En cachette je regardais le cul de madame, et je pensais que j'aurais bien aimé fourrer ma bite dans son gros cul, si différent de celui de ma femme, qui etait tellement mignonne.
Un matin, alors que ma femme était au cours (elle était étudiante à l'Institut de Médecine), quelque chose s'est produit.
Quelque chose de brulant, irréel et contre nature.
Il était 9 heures et je prenais une douche et, étrangement, j'avais simplement oublié que madame Violeta était chez nous et j'avais laissé la porte de la salle de bain ouverte. En fait, je pensais que j étais solo, qu'Violeta était partie.
J'étais très tensionné sexuellement, car je n'avais pas baisé ma femme depuis 2 semaines et sous l'eau chaude ma verge était devenue grosse comme un récepteur de téléphone.
Et, quand j'étais en train de savonner affectueusement ma verge, boum, surprise: dans le cadre de la porte ouverte de la salle de bain Madame Violeta, vêtue d'un deux pièces rouge, avec ses sandales blanches, regardait directement ma bite, avec ses sourcils levés, en souriant tendrement.
J'ai crié et j'ai pris la serviette pour couvrir mon organe.
Mais elle l'avait vu.
Je lui ai dit, effare:
"Madame, bon Dieu, mais je pensais que vous etiez partie!..."
Elle me souriait étrangement. Et j'ai vu qu'elle respirait fortement.
"Oh Lucian... Mais pardonne-moi d'avoir deranger ta douche... Mais pourquoi tu te couvre avec la serviette? ... Mets-le de côté ... Tu sais je suis experimentee... et J'ai déjà vu des hommes nus ... »
Des frissons brûlants ont traversé mes entrailles - la femme de 40 ans voulait me séduire? Dans la salle de bain de sa nièce?.
J'avais un peu peur de son initiative, même si ma verge me faisait très mal, tellement était mon erection J'avais dans ma tête l'image de ma femme jalouse, dont j'avais très peur.
Et si la folle voulait mettre en scène quelque chose contre moi?
J'ai gémi .
"Madame Violeta ... S'il vous plaît, sortez ... Ce n'est pas ok ...".
Elle gloussa - avec des regards sexuels dans les yeux.
"Et si je ne sors pas et je veux rester et voir comme tu te laves c'est quoi? Lia ne le découvrira pas.
Lia était ma femme.
Madame Violeta respirait très vite maintenant. Les yeux sur moi.
"Ou peut-être tu veux que je te rince moi?"
C'était comme un rêve porno, moi nu, le soleil du matin brillant dans la salle de bain et elle, habillée de rouge, sentant le Balenciaga, les yeux sur ma bite.
L'image de ma femme brièvement me traversa mon esprit, puis une vague d'excitation sexuelle énorme s'empara de moi. Et j'ai joué le jeu de l'impudique femme mure.
J'ai laissé tomber la serviette et oui, je suis reste nu avec mon pénis en érection exposé dVioletant madame Violeta, qui, maintenant, le dévorait avec ses regards affamés.
Je n'avais jamais connu une telle excitation sexuelle auparavant, et ma verge membre était devenue comme une barre épaisse élevée vers le néon de la salle de bain.
J'ai fait bouger ma banane. Je pouvais entendre sa voix rauque.
"Ah jeune homme... Quelle verge énorme... Je pense que Lia est heureuse quand tu la fourres dans sa vulve, non? ... Tu sais, je suis hantée par ce fantasme depuis 10 ans, un garçon nu de 20 ans ... toi ... "
Elle était dingue, madame Violeta.
Puis elle approcha de moi et a se mit à laver maternellement ma bite, et sous l'eau chaude et ses doigts de femme mûre j'ai gémi bruyamment et ma verge est devenue de plus en plus énorme. Elle a bien rince ma verge, avec ses doigts tendres. En la décalottant.
Puis madame Violeta a fermé l'eau et a tiré le tabouret en plastique de la salle de bain à côté de la baignoire et s'est assise, de sorte que sa tête soit maintenant à 10 centimètres de mon ventre. Elle regarda la verge, fascinée... comme si elle aurait eu regarde un OVNI.
J'avais l'impression de mourir.
Oooh, je pensais, combien de fois ai-je voulu que Lia reste comme ça et elle ne voulait pas...
Maintenant, au lieu de ma jolie femme sur le tabouret du bain était sa madame, l'étrange Violeta, avec sa bouche à moins de deux pouces du gland gonflé de ma bite.
J'étais donc dans la baignoire, nu et debout... et maintenant je pouvais sentir le souffle de madame Violeta respirer avec excitation tout près de mon sexe qu'elle reniflait maintenant comme une chienne en rut. Ses yeux étaient figés sur ma bite.
Je pouvais entendre comme dans un rêve le chant des moineaux dans les arbres près de l'immeuble et la voix de madame Nina la voisine, qui se disputait avec ses chats.
- Lucian... chéri. tu es tellement beau... Dieu, faut pa fair eca, mais je vais le faire... Desolee...
J'ai crié avec grand plaisir lorsque madame Violeta a soudainement commencé à me lécher la bite qui pulsait en l'air... sans la toucher avec sa main. Comment Lia n'a jamais accepté.
Je me suis cambré sur les pointes de pieds... secoué par les grands plaisirs.
"Madame... Qu'est-ce que vos faites?"
Elle ne répondit pas. Elle léchait avec passion ma verge.
Mon gémissement a excité davantage l'impudique dame de 40 ans passait sa langue rose et longue, avec une passion infinie sur ma bite, du gland aux couilles. Sans mains.
Elle gémissait et léchait sans répit, et je regardais ses genoux ronds et ses orteils que je pouvais voir sortir de ses sandales. Tellement féminins et excitants.
La femme mûre avait une technique de léchage parfaite, je n'avais jamais ressenti une telle sensation sous la langue d'une femme... Même Doina la pute, collègue de fac, ne m'avait pas léché si consciencieusement.
Ensuite Madame Violeta ne s'est pas arrêtée du tout avec son lechouillage... son shampooing-maison sur mon gland avec sa salive était intense... et j'ai compris que la femme voulait me vider. J'aurais aimé prolonger cette fellation inattendue... mais cette langue éhontée c'était trop pour mes glandes super-pleines.
Un torrent de semence montaient en moi.
J'ai attrapé Violeta par la nuque quand j'ai senti les aiguilles de feu de l'éjaculation, quelque part dans l'anus.
Dans une éjaculation sans mains, énorme, comme je n'en avais jamais eu de ma vie.
Madame Violeta, sur le petit tabouret, resta avec la vergee collee au visage et laissa mon sperme chaud inonder ses joues et son menton et son nez, meme sont front... et les ruisseaux de semence coulèrent ensuite sur ses genoux nus.
J'étais vide. Elle semblait heureuse avec son nouveau maquillage de semence fraiche et visqueuse. Elle soupira, puis se leva et se regarda dans le miroir de la salle de bain. Elle semblait fiere de son oeuvre sexuel.
-Ouh-la-la, tu m as bien arrose, petit.
Elle admira son visage gluant de sperme pendant des minutes... et enfin elle s'essuya la bouche et les pieds avec la serviette, ébouriffée et agitée. Ses yeux brillaient.
Elle m'a attrapé par le cou et m'a embrassé avec des lèvres douces qui sentaient le rouge à lèvres et le sperme.
"Mon Dieu, que de sperme ... Comme un taureau ... Le taureau Lucian... Avec la cochonne Violeta ... Ah ... Merci de m'avoir donné ça ... J'avais besoin de ta semence jeune homme... semence crémeuse sortie de tes couilles... Merci ... J'ai vraiment aimé ça ... Maintenant je cours en ville et quand je reviens je vais te laisser m'enculer comme tu veux ... "
Elle refit son maquillage, puis sortit et j'entendis ses talons dans la cage d'escalier.
J'étais reste stupéfait dans la baignoire, vidé de sperme et de pensées. Comble par la depression post-ejac. Seulement le rouge a levres sur ma bite et le parfum de la femme me rappeleaient que j avais pas reve,
Elle est revenue apres 45 minute... et sous mes yeux, elle a jeté ses vêtements, et nue et avec des sandales, elle a encore embrassé ma bite, la rendant encore plus énorme et dure, puis sur le canapé, dans le salon, elle lVioleta ses jambes majestueuses et lourdes sur mes épaules et je l'ai pénétré profondément dans sa chatte charnue, pleine de sécrétions, la menant vite l'orgasme final. Ensuite, reconnaissante et satisfaite... la dame à suce à nouveau ma verge jusqu à une nouvelle explosion de semence humaine.
Auteur
lucius.ro@gmail.com
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