Collection Cocu. Le Poulain. Saison Vi (23/24)
Jai fait amie, amie avec Élisabeth, la fille de John qui me pilote dans la visite des biens de mon amant qui, hélas, ma abandonné préférant la reine à son invité.
Les haras, classiques, un peu comme les miens.
Les chevaux, jen ai des aussi beaux.
Le poulain, ceux de Jupiter ayant terminé sa carrière en course, il en fait daussi jolis depuis quil vit une retraite paisible à baiser toutes les salopes de pouliches qui veulent un gosse.
Pardon, pour les thèmes orduriers, ce doit être les restes de la biture dhier.
Il faut dire que dans ma vie, comme pour les amours découverts sur le tard à la suite de la trahison de Louis, lalcool et moi, on est loin de faire vie commune.
Assise en amazone sur le Scooter dÉlisabeth, je fais mon entrée dans la distillerie.
Cest là, que vient vers moi, lhomme qui hier en kilt ma montré ses couilles.
Aujourd'hui, il est en combinaison de travail, dommage, il a de belles couilles.
- Bonjour Lady Marie, le patron ma appelé pour me demander de vous faire visiter.
Ça recommence, mais je décide de jouer le jeu, sil veut que je sois Lady Marie, pourquoi pas, le temps de mon séjour.
Si je suis la Lady de John, je suis une Lady abandonnée.
- Ici, ce sont les alambics.
De lorge matière de base, si nous avions du temps, je pourrais donner des cours sur la fabrication du whisky.
- Ici ce sont les bureaux de la direction.
Voici ma femme Bonnie, ça fait huit ans que nous sommes mariés, elle ma donné deux s.
- Bonjours Bonnie, vous en avez de la chance, à ce que jai vu, je comprends quil vous ait fait deux s.
- Alister, hier tu étais au pub alors que ça métait impossible.
Tout le monde depuis que je suis entré dans les bureaux rigole derrière mon dos.
Je me doutais que tu en avais encore fait une.
Dis-moi que tu as été une nouvelle fois montré tes burnes à une dame.
- Laissée Bonnie, des roustons, jen ai vu dautres bien que ceux-ci, sils étaient loin dêtre en pleine forme, me permettent de comprendre pourquoi vous avez deux s.
Cest sur ce bon mot que nous quittons la distillerie.
Ils voulaient me faire goûter à la production locale, mais les simples vapeurs dalcool suffisent pour que ma tête tourne.
Lair assis sur lengin dÉlisabeth me fait retrouver mes esprits, mais je prends un bon bain ayant du temps avant de descendre dîner.
Arrivés au château, des gens saffairent à préparer la fête qui doit avoir lieu demain.
Estrade et tribunes montre que ça va être grandiose.
Jespérais retrouver John, mais une nouvelle fois il brille par son absence.
Est-ce le fait que tout le monde pense que je vais épouser John, mais une envie de sexe me taraude.
Je me souviens que bien quétant une jeune fille sage, après que des poils aient poussé sur ma chatte.
Le jet deau de la douche déclenchait en moi de petites jouissances vite oubliées lorsque jai connu les verges des hommes.
Je ferme les yeux, ce devrait être John qui me présente sa verge, mais lamour est tenace et cest celle de Duc qui arrive derrière à mes paupières.
Bien sûr, quand je passe lune des robes longues, je suis frustrée, quand John aura-t-il fini de faire des courbettes à la reine.
Je sais que la reine, laisse la politique à dautres, lisant une foi par an, le discours de politique générale du Premier ministre à la chambre des communes.
- As-tu passé une bonne journée Marie, jai adoré ta repartie avec Bonnie à la distillerie ?
La tête quelle faisait bien quelle sache quelle porte des cornes.
Alister a toujours été le bouc de ces dames sauf dAisy, mais là tu sais pourquoi.
Au dessert, jaurais une surprise pour toi.
Que je suis heureuse, quand John nous rejoindra, il pourra constater que jai une grande connivence avec sa fille et quil en sera heureux.
Pourquoi Aisy ma dit que cétait une petite peste ?
Le repas se termine, jai hâte de découvrir la surprise quelle ma faite.
Comment
- Devine ce que je cache sous ma serviette.
- Dis-moi, les devinettes et moi, cest loin dêtre mon fort.
- La clef de la cave au secret.
Je suis allé dans la chambre de père et cétait dans sa table de nuit quelle était, allons voir.
Je prends la clef, devant mes yeux après la bite de Duc, cest un drap blanc volant que je semble voir.
Jarrive devant la porte, je louvre, la serrure est bien huilée.
Un interrupteur, un palier puis un escalier descendant dans les bas-fonds du château.
Jenlève mes talons aiguilles et je commence à descendre.
La porte claque, je remonte rapidement.
Jessaye douvrir, là je comprends pourquoi Aisy parlait de petite peste, cest fermé à clef, je suis prisonnière de ce lieu.
Alors, je tambourine à la porte sans grand résultat.
Je décide de descendre affronter le fantôme du château de John Lord de Cromwell.
Une petite normande est prête à affronter tous les fantômes écossais.
À la fin des marches, une grille de fer, je la pousse elle souvre me permettant dentrer dans un lieu impossible à imaginer pour une jeune femme comme moi.
Je dois être revenue au Moyen Âge.
Une salle en forme de voûte avec plusieurs piliers de pierre.
Une salle ou se trouve de nombreux instruments de .
Du moins, cest la première impression que jen ai.
Exemple, devant moi avec fixés dessus cinq godes, du plus petit au plus grand et gros en même temps.
Ils sont en bois, et semblent avoir été taillés dans la masse du banc.
Quelle femme est capable de sempaler sur de telles bites ?
Cest étrange de me retrouver ici en robe du soir et talon hauts.
Jai limpression dêtre tombé dans un film de série B où les actrices jouent avec de tels godes.
Je continue le tour des différentes parties de la salle, mais bien vite je me rends compte que jignore à quoi peut bien servir tous ces engins que je dirais de mort pour certains.
Un exemple, une sorte de lance inversée sur un socle de métal.
Un système de poulies servant certainement à empaler quelquun dessus le fendant en deux pièces apportant irrémédiablement la mort.
Tient, ça jai déjà vu, une planche avec deux demi-lunes pour les mains et une autre plus grande pour la tête, tenue par une charnière de point dâge, elle aussi permettant de refermer les deux parties inversées sur les mains et la tête de la suppliciée.
Pour pouvoir être en place, jessaye et je doit légèrement me baisser en écartant les jambes.
Bien vite je me relève, jai failli faire tomber la deuxième partie à sa place me bloquant étant dans limpossibilité de relever cette planche massive.
Je remonte, jappelle, aucune réponse.
Je me rassieds sur les marches allant même jusquà somnoler.
Jai mal aux fesses, une chose me fait envie, je reviens vers le banc soulève ma robe, écarte mon string et jentre le plus petit des godes en moi.
Du beurre, il glisse facilement jusquà ce que mes fesses touchent la paire de couilles factice.
Je monte et je descends jusquà ce que je me demande ce quil se passerait en moi si je faisais entrer le deuxième dans mon intimité.
Un peu plus dur, mais en glissant dessus, je sens ma chatte bien humidifier de cyprine mapporter un frisson bien plaisant dans ma situation.
Combien de temps vais-je devoir attendre dans cet endroit qui a lavantage dêtre à température constante.
Un, deux, pourquoi pas trois.
Sur celui-là, il me faut quelques coups de bas en haut pour avoir un orgasme.
Je sais que les godes ont pour fonction de remplacer le sexe des hommes, mais cinq et un énorme, ça devait servir aux femmes à autre chose quà prendre du plaisir.
Serais-je capable de me faire entrer le suivant en moi ?
Jessaye, mes chaires sont distendues au maximum et il mest impossible de le faire entrer jusquau fond de mon vagin.
Je le sors de moi et je massieds entre les bites deux et trois.
- Marie, es-tu là ?
Je me réveille en sursaut, une voix familière, John.
Pas la voix dun fantôme.
Il entre dans la cave, je lui saute au cou.
- Comment tes-tu retrouvé là ?
Je lui raconte, la visite du château, la porte fermée à clef cette dernière dans sa chambre apportée par sa fille après le repas du soir.
- Ça fait deux heures que je te cherche, tu as failli rester enfermé là jusquà devenir un squelette, car un moment jai cru que tu étais répartie en Normandie.
- Jai même appelé Aisy qui volait pour moi, mais depuis le matin où elle tavais raccompagné, aucune nouvelle de toi.
Je suis allée voir Élisabeth, elle dormait, jai hésité à la réveiller.
Cest en allant chercher du monde que je viens de passer devant la porte de la cave et que jai vu ma clef.
Ouf, viens que je te serre fort, je tai retrouvé.
- À quoi sert tout ceci ?
- Une grande partie de ces objets de s est la propriété du château depuis le Moyen Âge.
Regarde cette lance inversée et ces poulies, le supplicier était élevé au-dessus et redescendu en passant par lanus jusquà être transpercé, la pointe sortant par la bouche.
Le supplicier était descendu quelques centimètres de temps en temps.
Sil avait la chance quun organe vital soit transpercé, il mourrait rapidement.
Les bourreaux avaient une telle expérience quils mouraient dans une longue agonie.
Sais-tu as quoi servait ce banc avec des godes de plus en plus gros ?
- Non.
- Coquine, je vois que les trois premiers sont couverts de ta cyprine.
La cave est fermée depuis le décès de ma femme, je suis le seul à y venir.
- Cest moi, tu as raison, jai voulu faire passer le temps, jai réussi jusquau troisième, jai même eu du plaisir.
Mais après je me serais fait éclater, cest impossible pour moi.
- Heureusement, cétait un banc qui servait à savoir le degré de fidélité des femmes mariées, Marie
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!