Camille Et Marion Font Leur Shopping 05.
Parfaitement équipés nos deux spécimens peuvent entrer en action.
Lentreprise est délicate, comment allons-nous nous y prendre? En missionnaire, leur ventre risque de masquer toute lopération et même lintroduction risque dêtre difficile à laveugle, je ne parle pas des nombreux dérapages qui risquent de se produire tellement la longueur disponible pour effec une translation est courte.
- Comment avez-vous procédé avec les autres filles? Demande Camille intriguée.
- Nous lavons jamais fait, avoue premier.
- Nous navons eu que des pipes,, ajoute second.
Nous comprenons que la situation est grave mais peut-être pas désespérée. Nous sommes avides de faire découvrir ce plaisir à nos gros nounours, et ce serait un réel amusement de les dépuceler.
Camille nous propose une solution acrobatique consistant à renverser nos cobayes: les épaules à terre, le cul en lair et nous les enjamber et guider leur zizi vers le graal. Mais la position est très instable, ils perdent leur équilibre et sécrasent par terre sans discrétion, nous entraînant quelques fois dans leurs chutes et cela fait un barouf denfer qui risque déveiller des interrogations de lautre côté du rideau. Finalement après plusieurs essais, nous abandonnons cette méthode.
Moi je propose de le faire en levrette. Et je demande à Camille de se glisser dessous pour superviser les opérations et en guidant laiguille dans le chas (ou le chat). Effectivement ça marche, premier réussit sa première, il me lime doucement et cest pas si mal surtout que Camille lui lèche les couilles et elles sont de taille tout à fait normale voir même un peu gonflées à bloc pleine de notre boisson favorite.
En dehors du terrain, second poursuit son échauffement, il fait des étirements, des courses dans le vide, des va et vient incessants pour être prêt à rentrer sur la pelouse (tondue à ras).
Premier, après quelques minutes de jeu, demande déjà à être remplacé pour ne pas être mis hors jeu dès la première période.
Mais lui aussi ne résiste pas à la pression, il est vrai que le terrain est humide et glissant, les dérapages fréquents, heureusement que Camille ratt des situations compliquées et réussit à coordonner des actions miraculeuses juste avant la mi-temps.
Pour la 2ème période, je fais une passe à Camille, nos footballeurs sont tout ragaillardis après cette petite pause. Cest maintenant à elle de contenir les assauts de nos deux gaillards, premier repart à lattaque, et moi jarbitre sa bite, pas de tacle par derrière ni de mauvais coup, parfois elle sort en touche et je fais une remise en jeu.
Après plusieurs fautes et limminence d un carton jaune, premier laisse sa place à second, jen profite pour humidifier avec ma langue le terrain.
Le rentrant a pris confiance en lui et déclenche un tir qui frôle la petite lucarne de Camille, attention cest à la limite du carton rouge, finalement il sen tire avec un jaune de la part de celle-ci. Portant il ne sen laisse pas conter, il tente un dribble parfaitement réussit puisque Camille approuve dun cri dencouragement, il exulte et senthousiasme en essayant un petit pont et même un grand pont pour finir par le coup du sombrero.
Mais attention à ne pas se réjouir trop vite, une blessure est si vite arrivée, surtout que Camille inonde à son tour le terrain qui devient impraticable. Un claquage de la bite serait catastrophique cest pour cela que je siffle la fin du match. Comme cest une confrontation amicale, et quil y a match nul, un partout, nous ne procéderons pas à une séance de tirs au but pour départager nos joueurs, tant mieux je veux profiter de la 3ème mi-temps pour me désaltérer, car jai grand soif.
Nos deux puceaux ont tenu le coup sans se faire expulser, et comme tout bon sportif qui se respecte, il faut procéder au décrassage dès la fin de la rencontre.
Tellement groggy et épuisés, nos sportifs du dimanche nont pas les capacités dun coureur de fond et le sprint final est assez court mais très intense. Camille et moi sommes passées pro dans le contrôle de cette dernière épreuve qui aujourdhui est plus proche dun 50 mètres que dun marathon pour nos deux athlètes en herbe.
Toutefois, nous apprécions à sa juste valeur, lesprit déquipe et le don de soi dont font preuve nos bipèdes ( car si parfois nous pouvons parler dune 3ème jambe ce nest pas le cas ici, la taille était nettement insuffisante).
Camille et moi recevons quand même une juste récompense pour avoir bien coatchées nos débutants. Et comme ils nont jamais fait pratiquer une telle activité physique à leur petite zigounette, ils se libèrent de tout le stress accumulé et se vident complètement sur nos belles frimousses. Oh mes aïeux, quelles puissantes fontaines possède-ils! Nous subissons un arrosage massif, je nimaginais pas que de si minuscules lances pouvaient propulser un tel jaillissement de colle pour minettes. Il est vrai que nous avions remarqué que leur réservoir était plutôt saturé. Nempêche que nous sommes bien barbouillées même en retirant la part des anges ( que nous sommes) non négligeable que nous avons volontairement dérobée pour goûter à leur liqueur intime. Comme vous le savez maintenant, cest toujours pleines divresse que nous espérons ce moment.
- Pas cap de sortir comme ça! Nous lance premier.
- Tu vas voir mon gars, répliqué-je en enfilant ma robe et prenant la main de Camille qui a fait de même.
Et dans un style théâtral, nous ouvrons le rideau des artistes pour défiler le visage dégoulinant de sperme dans ce magasin huppé à la stupeur de toutes les clientes et du personnel féminin.
Ici cest ravies! Que nous quittons ce repère de bourgeoises mal baisées.
A suivre.
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