Ma Voisine Le Retour

Après une interruption de plusieurs semaines, j’ai rencontré ma voisine Chrystelle dans le couloir des caves. J’ai engagé la conversation avec elle pour savoir comment elle allait. Très fière elle répond qu’elle va très bien. Je m’approche d’elle, la plaque contre le mur et mes mains commencent à caresser ses seins à travers son pull.
-arrête, non, il pourrait y avoir du monde
-on monte chez toi ?
-non j’ai les s
-bah ! suis moi, nous allons dans ma cave
-tu es fou, ce n’est pas un lieu pour faire ça
Je la prends par la main, la tirant. J’ouvre ma cave et je nous enferme à l’intérieur. Ma cave étant éclairé, elle découvre un endroit propre, rangé. Un matelas une place est rangé contre le mur, je le pose au sol et la fait se coucher. Chrystelle ne résiste pas. Sans attendre, je lui retire pantalon et petite culotte et plonge dans son entrejambe. Ce dernier est toujours aussi poilu, mais qu’importe, ma langue entre dans son sexe et trouve son bouton rose. Je lui lèche, titille, aspire son clitoris avec fénésie, sans retenue. Elle ne tarde pas à se laisse aller et porter par ma langue. Chrystelle commence à se faire entendre par une respiration de plus en plus rapide. J’accentue mon travail de la langue, la pénétrant par moment, jusqu’au moment ou Chrystelle att ma tête pour la tenir plaqué entre ses jambes. Je comprends qu’elle vient de prendre plaisir.
Je retire mes vêtements et mon sexe bien raide la pénètre sans précaution. Chrystelle est bien mouillée et la pénétration est très bien lubrifiée. Je lui retire son pull et libère ses seins.
-caresse tes seins
Chrystelle ne répond pas à ma demande.
-caresse tes seins et pinces tes mamelles et dépêche-toi.
Elle me regarde interrogative. Je lui prends ses mains et les plaques sur ses seins. Timidement les caresses commencent. Je prends ce sexe avec force, tapant sur son pubis à chaque pénétration, stimulant son bouton au passage.

-pinces tes mamelles, regarde comme ça
-aie !!!
Je pince avec force, alors elle commence à faire rouler ses mamelles entre ses doigts. Pendant ce temps je baise Chrystelle aussi profondément que possible.
-pince, tire dessus, je vais jouir, alors stimule moi encore plus
Je vois Chrystelle tirer sur ses mamelons, je m’active de plus en plus vite et termine par me vider bien au fond de son intimité. Elle prend un plaisir certain, sa voix lâche un râle. Le temps de nous réajuster et nous quittons la cave.
-avant de partir, tu me retrouves ici vers 16h00, surtout tu ne te laves pas la chatte, je veux qu’elle sente bien le jus
-mais ça va pas et puis d’habitude ce sont mes s qui viennent vider les poubelles
-tu préfères que je vienne te chercher devant tes mômes et qui sache que tu côtois le voisin du bas et qu’en plus tu te fais sauter par lui ?
-tu es malade, tu ne ferais pas ça ?
-tu peux essayer pour voir si tu veux
-tu es un gros salaud
-écoute, rendez-vous ce soir à 16h, allez sort.

16H00, je descends au sous-sol, direction ma cave. Chrystelle est devant la porte à attendre.
-ah ! mais tu es là, c’est bien
Chrystelle ne répond rien et elle entre dans la cave.
-vérifions si tu as respecté le deal
Je descends son pantalon et sa culotte, et mes doigts viennent vérifier l’intimité.
-sa semble bien tout ça, c’est mouillé, gluant et ça sent bien le jus, parfait, tu vois ce n’était pas si dur
-j’ai fais ce que tu voulais et maintenant, nous faisons quoi ?
-oh c’est simple, tu va me sucer, je vais te prendre, te remplir encore et tu ne laveras pas ton sexe avant demain soir
-ah non , là c’est non et , certainement pas
-mais si tu vas voir, tu n’as pas de mec et tu as des envies, donc tu feras ce que je veux, demain ma petite femme ira faire des courses vers 1h00, donc demain 11heures tu seras devant la porte de ma cave, en attendant tu vas bien me sucer.
J’appuis sur les épaules de Chrystelle qui en réalité ne montre pas de résistance. A genoux, elle sort mon sexe et le prend en bouche, la fellation commence. Ce n’est pas une super bonne suceuse, c’est comme ça, mais le jeu n’est pas là. Je la laisse sucer ma queue quelques minutes, la pose sur le matelas à quatre pattes, le sexe luisant de mouille et de sperme. Je m’introduis en elle et commence mes vas et vient. J’empoigne sa tignasse, filasse, il y en a tellement que je ne peux pas tout prendre en main et je la baise tout en tirant dessus. Etrangement, elle semble apprécier, de petits sons acquiescent ce que je lui fais vivre sortent de sa bouche.
-hum ! hum !....
Je laboure aussi vigoureusement que possible ce sexe et finis par me vider en Chrystelle.
-tiens prend ça, garde ce jus, aah ouiii……
Pour terminer, j’essuis ma queue sur sa petite rondelle et sa toison pubienne.
-voilà, là tu es prête pour demain matin, aucun nettoyage, c’est compris
-mais je vais pas rester comme ça, tu déconnes ?
-rhabilles toi et demain 11h00 ici
-ça va finir par sentir
-et alors, t’a pas de mec, alors personne ne viendra vérifier.
Chrystelle quitte la cave, toute penaude.

Le lendemain, j’arrive à la cave avec un peu de retard. J’ai fait l’amour à ma femme, ce qui à perturber l’emploi du temps. 11h15 je descends, Chrystelle n’est pas là. Je lui envoi un texto, pas de réponse. Au deuxième texto elle arrive presqu’en courant.
-alors tu as oublié ?
-non, désolé, mais avec les s c’est….., enfin ils ne comprennent pas pourquoi j’insiste pour descendre les poubelles
-ah, ce n’est rien, si ils savaient que leur mère se faisait sauter par le voisin du bas, ils feraient une sacré tête
Ce matin je vérifie également que son intimité n’a pas été nettoyé. Chrystelle a respecté. Elle s’installe sur le dos, sur le matelas, cuisses ouvertes. Je découvre un sexe odorant, surtout avec tous ces poils. Un doigt vient caresser, malaxer, titiller tout ça pour la mettre en condition. Je joue avec son bouton qui réagit très vite. Quelques minutes de ce traitement, puis je décide de la pénétrer. Mon sexe la prend progressivement et je constate que déjà son intimité est abondamment lubrifiée. Je la prends avec toujours autant de force que les dernières fois. Ses cuisses sont repoussées jusqu’à ses épaules, ce qui me permets de la prendre profondément, ce qui semble vraiment lui plaire.
-hhuuuuummmm ! ah ah, hummm…..
-oh mais tu aimes cette position dis dont
Je continus, plus fort, plus vite. Ayant déjà eu un rapport intime avec ma femme, je suis encore plus endurant. Mais Chrystelle, elle, ne résiste pas et lâche son plaisir. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, ma queue est présentée devant ses fesses et je la prends progressivement. Sa rondelle est lubrifiée par sa mouille et je la possède sans douleur.
-noooonnn……
Je m’active dans son fondement et la sodomise jusqu’à la garde. Je sors et la pénètre entièrement plusieurs fois. J’ai remarqué que cela lui donne du plaisir. Je la sodomise un bon quart d’heure et à un moment je me vide dans son fondement. A ce moment-là, Chrystelle se mort la main pour son plaisir. Nous prenons le temps pour reprendre nos esprits.
-bon, maintenant tu peux te laver, tu l’as mérité
Chrystelle se rhabille, réajuste sa coiffure.
-tu devrais te débarrasser de ta tignasse, non seulement c’est moche et ça ne te mets pas en valeur
-ça non, et puis ça ne semble pas te déplaire me semble-t-il ?
-oui peut-être, mais tu serais mieux sans
-il faut que je remonte, les s vont se poser des questions
-ok, pas de soucis, je te recontacterais peut-être
En sortant nous croisons un voisin. Chrystelle se sent mal à l’aise, moi pas du tout.

Le lundi matin, je reçois un texto de Chrystelle « je suis propre, c’était tellement excitant, merci pour ce moment, mais tu es quand même un gros salaud… »

Une semaine et demi plus tard, j’envoi un texto à Chrystelle « ma femme à une nocturne ce vendredi, je t’attends vendredi soir à 22h00 à la cave, samedi à 9h30 et 17h et dimanche vers 11h. Un non n’est pas possible »

Chrystelle me répond « j’ai les s…, cela dépend de ce que tu veux »

Je réponds « tu viens sans sous-vêtements, les autres fois également, pour le reste, tu verras le moment venu, je préconise une robe ou une jupe »

Chrystelle me répond par l’affirmation le vendredi vers midi.

A suivre…