La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1395)

Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode précédent N°1394) -

- … En levrette exécution ! …

Le Maître se plaça derrière elle et la pénétra d’un coup viril, précis et très profond qu’Il butta au fond de sa chatte Il ne se souvenait pas l’avoir jamais vu si chaude et si baveuse d’une si abondante mouille qu’Il adora aller au fond et revenir très doucement. Mais leur excitation à tous les deux était à son comble et ce fut seulement après quelques allers et venues qu’ils accéléra la cadence en de coups de reins rapides et virils, quand le Maître lui donna l’ordre de jouir et c’est ensemble qu’ils libérèrent leurs orgasmes longtemps contenus dans de cris de jouissance qui ont du s’entendre dans tout le Château, tellement ce fut puissant… Lorsqu’ils eurent, tous les deux, repris leur esprit, le Seigneur d’Evans dit à son ami :

- Pourrais-tu aller chercher Messire Léon, de toute façon j’avais besoin de lui pour la punition de cette chienne, dit- Il, en désignant Alice.

Une fois Antonin parti, le Seigneur d’Evans prit sa place dans le fauteuil et laissa Louise se reposer un moment. Lorsque Antonin fût de retour accompagné de Messire Léon, Il leur expliqua ce qu’Il avait décidé comme sanction pour Alice.

- La sanction sera humiliante pour elle afin qu’elle retienne bien la leçon qu’il est strictement interdit de jouir sans y être autorisée. Nous nous soulagerons d’abord sur son corps, comme je viens de le faire, ainsi que nos jouissances la souillent en la baisant sans ménagement et selon nos envies. A la fin de cette journée, elle se dirigera ainsi souillée vers la cabane de Denis (le garde-chasse) et elle traversera le Château et le parc en quadrupédie. Au beau milieu du parc, elle sera attachée à un poteau, comme un chien à sa niche et avec notre semence séchée sur sa peau nue. Ensuite, elle sera aussi souillée par quiconque Dominants (tes) ou soumis (ses) autorisés (ées) auront le droit de l’arrêter pour se soulager uniquement la vessie dans sa bouche ou sur elle.

Ainsi attachée et exhibée au regard de tous, elle puera de notre semence et aussi de diverses urines, le temps que j’aurai décidé…

Alice avait tout entendu de cette punition qui était, certes, très humiliante mais qui étrangement l’excitait à un point qu’elle n’avait jamais imaginé (c’est ce qu’avait d’ailleurs deviné le Seigneur d’Evans, d’où ce genre de punition plutôt orientée dans une perspective de faire vivre à Alice des excitations inavouables pour elle). Elle découvrit ainsi, ce jour-là, qu’elle aimait être exhibée et humiliée. Ensuite Louise, quant à elle, fut emmenée dans une autre partie du Donjon, à l’étage supérieur. Cet endroit lui parut étrange car c’était comme deux pièces en une seule. Il y avait ce qu’on pouvait trouver dans un Donjon, mais aussi un coin plus douillet avec des sièges moelleux, des couvertures et des coussins ainsi les Dominants pouvaient y être installés confortablement et aussi pour la soumise si elle était autorisée ou prise à cet endroit. Pendant que le Seigneur d’Evans lui ordonnait de se mettre en position d’attente, Antonin et Messire Léon passèrent un moment avec Alice à lui pisser dessus, puis elle fut enfermée dans une circulaire cage en fer qu’il était possible de suspendre et dans ce cas-là, le moindre mouvement la faisait se balancer. Au début, cela était largement supportable voir amusant mais devenait vite insupportable.

Messire Léon qui avait eu une pénible journée, avec l’accord du Seigneur d’Evans, fut le premier à commencer la séance, en empoignant Louise par les cheveux, la forçant ainsi à se relever. II alla l’attacher à la croix de Saint André et lui banda les yeux. Louise était déjà très excitée et cela ne s’amplifia quand, elle ne saurait dire qui, lui mit des pinces aux tétons. Puis tout s’enchaina, un premier coup de martinet lui frappa les jambes en remontant vers le haut. La soumise aimait cette sensation et sentait que celui qui maniait le martinet retenait sa force et ne frappait pas comme il le ferait pour une punition, mais de façon à juste lui procurer une légère, voire moyenne douleur dans le dessein de l’exciter.
En même temps elle sentit un olisbos (ancêtre du gode), de belle taille, tout en bois finement sculpté, se frotter doucement sur sa chatte déjà trempée d’excitation. La jeune Louise gémissait de plaisir et souhaitait vivement que cet olisbos la pénètre, alors elle se permit de demander timidement :

- Pitié Messire, s’Il vous plait, j’ai trop envie de …

Louise n’eut pas le temps de terminer sa phrase, qu’une main, celle du Maître qu’elle pourrait reconnaitre entre toute, la fit taire en se plaquant sur sa bouche grande ouverte.

- On ne parle pas sans autorisation, tu le sais, Ma salope.

Louise s’en voulait de s’être ainsi allée à exprimer son désir et voulu présenter ses excuses, mais la bouche du Maître prit possession de la sienne en en long baiser Dominant. Louise sourit et entendit le Maître lui dire.

- Ce baisser était uniquement destiné à te faire taire, Ma chienne.

Ensuite, elle fut longtemps godée par olisbos, mais toujours avec une large main sur sa bouche pour la faire taire. Louise réussit, avec difficulté, à retenir un orgasme qui aurait libéré son excitation. Ce traitement sublime dura un bon quart d’heure… Quand on la libéra de la croix, Messire Léon lui ordonna :

- A genoux et suce-moi, tout de suite, salope de chienne.

Louise s’exécuta instantanément et tandis qu’elle procurait à Messire Léon une divine fellation, Antonin vient la prendre par derrière, et lui mit une volée de fessées, sur son beau cul blanc et arrondi, Louise cria de surprise et de plaisir. Puis arriva une nouvelle position imposée soit un Dominant couché sur le dos, Louise dessus et penchée en avant en califourchon ayant la chatte empalée sur le membre tendu. Un autre Dominant prenant son cul par derrière et le dernier Dominant devant elle avec sa verge dressée dans sa bouche. Ils changeaient de place à tour de rôle et à chaque fois elle fut remplie, besognée amplement avec démesure à grands coups de reins dans ses trois orifices.
Etant autorisée à jouir, Louise gémissait, hurlait de plaisirs en lâchant des orgasmes successifs et puissants. Cela dura longtemps étant prise par ses trois trous en diverses positions, enculée par le cul, baisée par la chatte, possédée par la bouche, elle vivait ces moments dans la luxure, la débauche, les plaisirs extrêmes et en devenait insatiable. Quand, épuisée par ces heures d’orgasmes puissants, de jouissances effrénées et de plaisirs en tout genre, Louise s’effondra sur le sol, elle capitulait ! Le Maître resta un moment auprès d’elle à se reposer aussi alors qu’Antonin et Messire Léon allèrent user et r du corps d’Alice toujours encagée et suspendue à environ un mètre du sol, juste à la hauteur adéquate pour la prendre par ses orifices. Quand ce fut terminé, elle était souillée de sperme et d’urines, de la tête aux pieds, les cheveux poisseux et dégoulinants. Messire Léon alla remercier le Seigneur d’Evans, de Son invitation et l’informa de l’état d’Alice. Le Seigneur était installé dans un confortable siège et Louise entre Ses jambes en train de le sucer avec amour lui prodiguait des gorges profondes, sa tête maintenue fermement et tenue sa queue de cheval par une main puissante du Maître.

- Bien laisse-là dans la cage de fer, le temps de prévenir le personnel de Mon Château de ce que je leur accorde ensuite, tu pourras la libérer et la mener en laisse et à quatre pattes jusqu’au poteau au milieu du parc. Ensuite tu apporteras à Messire Denis ce billet, à lui remettre.
- Bien Monseigneur, je m’en occupe de suite.

Quelques minutes plus tard, le Seigneur d’Evans, Antonin et Louise quittèrent le Donjon. L’après-midi touchait à sa fin.

- Louise, ce soir tu es dispensée du service, tu es épuisée, je te ferai monter un repas...
- Merci Maître, mais ce n’est pas nécessaire, je peux assumer mes tâches habituelles.
- Vas te reposer, je te l’ordonne.
- Bien Maître, dit- elle en s’éloignant la tête baissée.


Quand Messire Léon vient chercher Alice, il lui attacha une laisse afin de la déplacer en quadrupédie. Le Seigneur d’Evans avait accordé à vingt soumis en manque d’éjaculations, le droit de jouir en se branlant sur son corps, mais pas de la toucher. Alice fut arrêtée maintes fois sur son chemin par des soumis en rut venant se masturber derrière le cul de la belle et lui gicler leur sperme sur les fesses. Quand un soumis, certainement trop en manque, s’approcha d’elle et l’empoigna par les cheveux pour se faire sucer. C’est à ce moment que Messire Léon intervint voyant ce soumis voulant r d’Alice et la traitant de sale catin lui disant de se laisser faire, et qu’il savait qu’elle en avait envie….

- Arrête immédiatement, le Seigneur d’Evans a interdit qu’on la touche et tu le sais. Tu avais juste l’autorisation de te vider les couilles sur son corps.
- Je n’ai pas eu ce que je voulais et puis elle n’attendait que ça et ….
- Un soumis ne peut pas vouloir. Espèce de sale chien. Gardes… emmenez ce bâtard au cachot, je vais prévenir le Seigneur d’Evans.

Messire Léon emmena Alice jusqu’au poteau pour y être attachée selon les consignes. Puis il apporta la missive à Messire Denis et alla de suite voir le Seigneur d’Evans qui était dans Son salon avec Antonin et Chloris.

- Monseigneur, je Vous prie de me pardonner de Vous déranger mais un soumis a tenté d’r d’Alice en l’empoignant par les cheveux et donc il l’a délibérément touché...
- Ah ? Et où est Alice ?
- Attachée au poteau au milieu du parc comme vous l’avez exigé…
- Très bien. Elle doit purger sa punition quoi qu’il arrive. Et qu’elle est cette vermine qui ose désobéir à Mes exigences et où est- il ?
- Il s’agit de l’esclave Matthieu. Il est au cachot, Monseigneur.
- Bien qu’il y reste. Tu vas lui expliquer la gravité de sa faute et qu’il sera très sévèrement sanctionné par Moi-même...
- Tout de suite, Monseigneur.

Messire Léon se rendit au cachot. Ce dernier s’agenouilla de suite.

- esclave Matthieu, tu n’es qu’un sale chien mal élevé.
- Messire Léon, je vous présente mes excuses pour mon comportement, mais…
- Je n’ai que faire de tes excuses. Tu as trahi Le Maître qui te soumet, Le Seigneur d’Evans en Lui désobéissant sciemment. Il avait donné Sa parole à Maitre Denis que personne hormis Lui-Même, Messire Antonin et Moi, ne la toucheraient. Et par ton comportement inadmissible, tu L’as discrédité, Lui, le Maître à qui tu appartiens.
- Messire Léon … je … je ne sais pas ce qui m’a pris, Certainement trop en manque, trop excité, ma nouille prêt à gicler… Ma tête tournait… Je ne sais plus ce que je faisais, quand j’ai vu cette femelle à quatre pattes, son cul nu en face de moi, son sexe bien exposé, j’étais pire que fou, en grand rut et … oh Messire Léon, je…
- Silence ! Tu as tenté de profiter d’elle en lui empoignant les cheveux... Tu as désobéi délibérément. Ta sanction sera terrible, ça je peux te l’affirmer. Le Maître, le Seigneur d’Evans s’en occupera en personne. Pour commencer, cambre-toi bien, le chien, ma cravache me démange et tu vas comprendre ta faute…

Messire Léon lui mit une cinquantaine de coups de cravache bien placé, puis sortit en ordonnant au gardien de lui mettre de suite une cage de chasteté spéciale donc celle munie de picots...

(A suivre …)

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