Maria 1 Une Coquine Septuagénaire
« - Bonjour Madame,
Bonjour Monsieur,
Je viens de la part du journal qui ma demandé de faire un article sur une personne qui a marqué par ses actions la vie de la région.
Oui, mais en quoi cela me concerne ?
Jai pensé à votre mari, qui avec son association, a un moment provoqué et fait bouger les collectivités
Mais cette association ne vit plus !
Oui dailleurs depuis la disparition de votre mari elle a perdu sa force dimpact ! Je voudrais par ce moyen rendre hommage à son action et son implication
Vous pensez que cest utile de remuer cela ?
Cest vous qui êtes juge. Je suis venu vous voir pour en parler avec vous.
Entrez, vous prendrez bien quelque chose ? Un Thé ?
Avec plaisir, je vous accompagnerai. »
Je massoie dans un fauteuil alors que la dame, dans la cuisine à laméricaine prépare le thé. Voyant des cigarettes dans le cendrier, je demande si je peux fumer.
« Bien sûr ne vous gênez pas !
Vous en voulez une ?
Oui merci. »
Je me lève pour lui tendre le paquet, elle me demande alors de lallumer pour elle. Cette attitude inhabituelle avec une inconnue me la fait regarder différemment.
La femme, qui a autour de 60 65 ans, a un visage ridé, ses yeux pétillants trahissent une jeunesse desprit. Sous sa tenue, à priori pas très seyante, japerçois des formes sympathiques : des seins lourds tendent le tricot léger, il me semble même apercevoir les pointes des tétons se dresser. Le pantalon moulant, enveloppe des hanches et des fesses plantureuses.
Le parcours de mon regard sur ses formes ne lui a pas échappé mais ne semble pas la déranger au contraire. Elle avance son visage pour quémander la cigarette que jai allumé, les mains occupées par la préparation du breuvage. Ses lèvres tendues vers la main, son regard se visse dans le mien. Une certaine émotion se manifeste dans mon pantalon.
Nous prenons place, moi dans le fauteuil, elle en face sur le canapé. Assise, sa croupe sélargit et je découvre la forme de ses jambes galbées, moulées par le collant. Son léger tricot se tend un peu plus sur la poitrine. Sur son visage, le sourire est maintenant élargi et ses yeux se plissent un peu plus, symptôme de myopie ou de malice ?
Je prends mon carnet et nous revenons au sujet de ma visite. Durant un long moment nous parlons de son mari, de sa carrière jusquà la retraite, puis de son goût pour la chasse pas toujours bien ressenti par sa femme, enfin de son implication les dernières années de sa vie dans la défense des consommateurs.
A ce point de la discussion, je lui propose de prendre une photo afin dagrémenter larticle. Elle ne veut pas paraître elle, puisque le sujet est son mari, mais petit à petit elle cède à mon insistance, mais désire changer de tenue. Jai beau lui expliquer que je la trouve très bien comme cela, rien ny fait. A ma surprise, elle me propose de laccompagner.
Nous nous retrouvons dans sa chambre où elle ouvre une grande penderie remplie de nombreux habits. La chambre est spacieuse et lumineuse, une grande baie souvre vers les Pyrénées, au milieu, un grand lit à la forme originale avec à sa tête et au mur face au pied, deux énormes miroirs. Il semble que le couple aimait à se voir dans le lit. Ce détail important tout de même titille ma libido, qui na pas besoin de grand chose pour se mettre en route.
Durant ma petite inspection, la dame a sorti quelques tenues, les a étalées sur le lit. Elle minvite maintenant à choisir. Un tailleur classique et une robe noire, ne minspirent pas trop. Après avoir posé un fourreau anthracite qui dégage les épaules avec une attache pour le cou, la dame est en train de le ranger. Je larrête dans son geste car le vêtement est vraiment beau.
« Je ne lai pas mis depuis 6 ans et je ne dois plus y rentrer
Permettez-moi dinsister, je la trouve très bien
Elle est un peu légère !
Essayez là tout de même ! »
Je sors de la chambre pour lui permettre de se vêtir, deux minutes plus tard elle mappelle
« Monsieur ?
Oui ?
Pouvez vous venir maider je vous prie ? »
Lorsque je rentre dans la chambre la dame a enfilé le fourreau mais ne peut le fermer seule.
-« Vous voyez que je ne peux plus la mettre », dit-elle pour rompre la tension, mais sa voix est plus rauque. Je continue ma manuvre alors quelle maide en rentrant le ventre et sétirant. Le fermoir remonte et bientôt le fourreau enserre les formes généreuses de la femme. Joublie son âge et la situation. Je me penche sur sa nuque pour y poser mes lèvres, enserrant sa taille dans mes mains. Elle frissonne mais se laisse faire, lançant un simple Oh ! Plus de surprise que de réprobation, elle ne bouge dailleurs pas. Sa passivité mencourage, je remonte mes mains vers sa poitrine opulente, mordillant ses épaules et sa nuque. Sa chair se couvre de chair de poule, son souffle saccélère et elle se plaque contre moi. Un dernier sursaut lui fait murmurer un « voyou ! Vous z de ma faiblesse » mais elle ne cherche pas à se dégager.
Jai oublié que la femme que je tiens dans mes bras a plus de 65 ans, elle ma avoué tout à lheure avoir 6 ans de moins que son mari qui est décédé il y a trois ans, cest une femelle chaude dont je malaxe les seins, une main redescend vers son ventre que je palpe avant de datteindre le pubis. Dans le miroir qui nous fait face, son regard chavire. Je continue lexploration de son corps. Sous le vêtement léger je sens la culotte quelle a conservée par un réflexe de pudeur.
« Arrêtez ! » Dit-elle soudain en savançant dun pas. Et reste les bras ballants. toujours de dos à moi. Dans la glace, son regard est perdu, elle remonte les mains sur les seins, les enlève aussitôt, vu leur tension et leur sensibilité, elle ferme les yeux. Je me dis que jai gâché loccasion daller plus loin par trop de précipitation et mapprête à mexcuser lorsquelle fait un pas en arrière et reviens se plaquer contre moi.
Je nhésite plus alors à glisser ma main sous le tissu pour palper directement ses seins en pinçant au passage le téton dressé. Je dégrafe lattache de la robe autour de son cou pour baisser le haut du fourreau afin de prendre les seins lourds en entier dans la main. Elle sabandonne maintenant, la tête en arrière entièrement soumise à mes caresses. Je tourne sa tête pour lembrasser et me rends compte alors que cest une vieille femme lorsque je vois de très près, de son visage ridé, mais ses yeux bleu intense et sa bouche gourmande mattirent et nous échangeons un baiser profond. Ses lèvres et son haleine sont douces et sa langue très active. Elle pousse de profonds soupirs. Appuyant avec ses mains sur les miennes pour les guider dans les caresses.
Tout en malaxant son téton dardé, dune main, je baisse la fermeture de son fourreau que jai eu tant de mal à monter il y a quelques instants, puis, faisant glisser le fourreau à la taille je dégage sa poitrine lourde et tombante. Dans le miroir, je peux voir les larges aréoles brunes avec des tétons dardés, gros comme une phalange de petit doigt. Je masse un sein entre mes paumes et mes doigts, elle, soccupe de lautre, puis je reprends le tissu du fourreau sur ses hanches, je le fais glisser le long de son corps. Elle est maintenant en culotte, celle-ci nest pas très sexy, mais il est vrai quelle ne sattendait pas à la montrer à quelquun aujourdhui. Je roule le tissu sur ses fesses et fait tomber le dernier rempart de sa vertu, à ses pieds.
La voilà nue contre moi tout son corps accessible à mes caresses que je multiplie sur les cuisses, le ventre, les seins et la motte frisée ou jinsinue un doigt fureteur. Elle a chaud, se frotte à moi et son odeur est enivrante. Mes mains courent de ses cuisses, ses jambes, à son ventre, sa poitrine, son cou, ses hanches, son visage
Elle se laisse aller dun coup, étalant son corps blanc laiteux sur le lit sans prendre garde à ses habits posés dessus. Bras et jambes écartés elle mattend. Je mavise alors que je suis encore habillé totalement alors quelle est totalement nue et
offerte.
En quelques secondes jôte mes vêtements et me couche à ses côtés ajoutant aux caresses de mes doigts, celles de mes lèvres. Je tête ses nichons aplatis par la position triturant les pointes entre deux doigts, ma main caresse son ventre et se glisse entre les cuisses somptueuses, écartant délicatement les pétales de ses grandes lèvres. La toison aux poils blancs trahit son age, les doigts sinsinuent dans la fente déjà bien trempée titillant le bouton puis pénétrant plus profond. Elle gémit doucement abandonnée aux caresses. Japproche mon visage de son ventre, la langue furetant le nombril et descendant vers laine. Vais-je aller plus loin ? Pensant que ment une vieille çà sent. Son odeur monte à mon nez et elle sent bon, comme une femelle chaude, aussi ma langue vient bientôt fourrager dans le sexe béant. Elle se cabre sous la caresse et avec sa main appuie ma tête pour montrer son plaisir. Sa chatte dégouline de mouille et ses hanches entament une danse évocatrice, alors sans plus attendre, je me redresse et guidant mon sexe dans le sien, je lembroche à fond. Cest alors quelle ouvre les yeux me fixant intensément, comme pour graver ce moment dans sa tête.
Je la baise lentement, profondément, alternant les grands va et vient avec des petits coups à lentrée de sa cramouille. Je suce les seins, ou dressé sur les bras au dessus delle, je contemple son corps laiteux et plein. Elle nest pas belle dans le sens des canons de la beauté que lon attribue à la jeunesse, mais on corps plutôt tout en rondeurs est très harmonieux, il soffre à mon plaisir et semble attendre tous mes désirs afin de les satisfaire. Après un moment ou elle reste passive, donnant lair de subir, elle commence avec ses mains à caresser mon corps, de la tête au fesses quelle empaume pour mieux se pénétrer. Elle relève ses jambes pour sécarteler. Passant mes bras en dessous je la lime brutalement, lui provoquant des hoquets. Malgré lage et une relative rondeur, elle se révèle très souple et son sexe béant en vient aussi à se resserrer sur la queue qui la laboure.
La chevauchée dure longtemps, jalterne un rythme rapide avec des périodes lentes. Sans que rien ne le laisse prévoir elle se met à crier son plaisir contractant les parois du vagin sur ma bite échauffée. Accélérant dun coup la cadence, je jouis à mon tour dans lantre brûlante, finissant de la remplir de mon foutre. Elle se laisser aller alors en arrière, comme sendormant dun coup après cet effort trop violent. Je continue lentement à me vider en elle, baisant tout doucement le corps alangui alors que petit à petit mon sexe se rétracte.
Après quelques instants, je me lève, la laissant endormie sur le lit. Un rapide passage à la salle deau pour me rafraîchir un peu, puis je vais fermer la porte à clé, réalisant dun coup que quelqu'un aurait entrer et nous surprendre.
En revenant vers la chambre je vois mon appareil photo que je saisi et arrivé près du lit je tire quelques clichés qui au moins alimenteront mes souvenirs.
Elle somnole toujours, une sorte de sourire béat sur les lèvres. Je mapproche du lit et commence à lembrasser et la caresser partout. Cest ainsi quelle ouvre les yeux. Elle matt par la tête et membrasse fougueusement, comme si cétait pour la dernière fois, et quelle voulait en profiter pleinement. Puis, brusquement elle se retire, portant sa main au front, comme si la vérité surgissait tout à coup.
« Quavons nous fait ?
Lamour !
Nous sommes fous !
Pourquoi ?
Eh bien ! Vous-vous rendez compte ? A mon age ! Je suis vieille et vous ...
Ça vous a empêché de jouir !
Oh ! Que dites-vous là ?
Jai bien senti, ne mentez pas
Vous savez ça faisait
Chut ! Jai beaucoup aimé moi aussi
Mais nous ne pouvons recommencer
Quest qui nous en empêche ?
Je ... vous
avez encore envie de moi, après ... ? En me voyant
maintenant comme ça ?»
Prenant sa main je la guide vers mon sexe qui se redresse déjà. Un soupir séchappe de ses lèvres, je me redresse alors et présente ma turgescence à ses lèvres, quelle ouvre sans hésiter et happe le gland. Ma foi, elle est plutôt douée la vieille salope, léchant le gland de la pointe de la langue, puis avalant la bite entièrement, branlant dune main la tige, massant de lautre les couilles. Devant tant de dextérité et de savoir faire je me laisse aller au plaisir de cette pipe experte.
Je ne veux tout de même pas me vider dans sa bouche, non pas que cela me gêne mais plutôt parce que je veux aussi lui apporter du plaisir, aussi quand je sens que ma queue est bien raide et mes bourses bien pleines je me retire doucement des lèvres gourmandes et lui demande de se tourner.
Sans se faire prier, elle se met à genoux, la tête entre les bras, enfouie dans les draps. Sa lune somptueuse sétale à mes yeux et si javais eu un manque de raideur, la vision de cette mappemonde laiteuse maurait « regonflé » mais étant déjà bien dressé je nai quà me mettre derrière elle et à menfiler dans son ventre accueillant. La saisissant par les hanches je lime sa cramouille qui na jamais aussi bien porté son nom, tellement elle ruisselle. Redressant parfois la tête comme pour respirer mieux, en fait pour nous regarder dans le miroir, elle râle son plaisir, nhésitant pas à venir avec sa main, caresser mes bourses qui martèlent son sexe brûlant.
Tout en continuant mon ouvrage en cadence je glisse un doigt sur son illet brun qui me nargue entre ses fesses. Elle na aucun recul et mouillant bien deux doigts à son vagin gluant, je pénètre son anus sans trop de difficultés dun doigt dabord, puis des deux. Elle couine, semblant apprécier la caresse et mouvrant par là, de bonnes perspectives. Ny tenant plus, alors que son con sest plusieurs fois serré sur la queue, je me vide les couilles au fond de son vagin. La sensation est si agréable que je continue un moment à la baiser lentement. Ma verge garde ses proportions malgré la jouissance et la cochonne se pâme plusieurs fois alors que notre coït produit des bruits de clapot tellement elle ruisselle. Ne tenant plus elle saffale sur le lit mentraînant dans sa chute. Nous sombrons tous les deux dans un somme réparateur nos corps en sueur enchevêtrés.
Ses mouvements, ou la fraîcheur relative, ou les deux, me réveillent. Pendant quelques secondes je me demande où je me trouve, puis reprenant mes esprits, je me souviens des dernières heures chaudes. Mes mains baladeuses lont aussi réveillée et se tournant vers moi elle dépose un baiser sur mes lèvres en murmurant un « merci » reconnaissant. Les cernes sous ses yeux se sont creusés et sur le coup elle semble avoir pris dix ans. Je ne lui dis pas, dautant que cela nenlève rien au charme des ses yeux et de son corps.
« Il faut faire toilette » dit elle en me prenant la main. La tache sur le lit prouve que nos jus mélangés étaient très abondants. Elle remarque mon regard et semble rosir de confusion. Devant mon sourire elle place une main sur son pubis pour tenter de retenir les effluves sécoulant de son vagin inondé et comiquement, la main entre les jambes, se dirige vers la salle deau. Sous la douche revivifiante où je lai rejointe, nous jouons longtemps à étaler le gel et la mousse sur et dans, toutes les parties de nos corps, mes doigts, comme les siens nhésitent pas à senfoncer dans tous les replis et cavités accessibles. Les longs baisers profonds salternent aux sucions diverses.
Le jeu dure longtemps, avec la pomme de douche dont on peu modifier le jet, jinjecte de leau dans son vagin, puis ne voulant pas en rester là et la dame nayant pas trop de blocage dans létat desprit actuel, je le présente à son anus, lui faisant une sorte de lavement.
« Voyou ! vous préparez le passage ?
Vous avez apprécié mes doigts tout à lheure !
Oh oui ! et me faire baiser par ce conduit ne me dérange pas ! »
La proposition a le mérite dêtre claire, et léclat dans ces yeux, comme le sourire coquin, prouvent quelle nattend quune chose : que je la prenne au mot et la sodomise. Décidément jai tiré le « gros lot » sans jeu de mot ! Non seulement elle est gironde mais en plus assez ouverte à des expériences.
« Vos aimez les lavements ?
Je nai jamais subi quen cas dennui gastriques et ne garde pas de bons souvenirs
Laissez vous faire, penchez vous en avant et dès que vous sentez que cest trop dur jarrête. Le premier vous le gardez un peu et vous lévacuerez aux toilettes.
Devant vous ?
Bien sûr
Jaurais trop honte !
Cela fait partie du plaisir, vous verrez
Daccord, à une condition
Laquelle ?
Que vous fassiez ensuite pareil
Daccord ! »
Sur ce, elle me tend ses fesses, je retire la pomme de douche, règle la force et la chaleur de leau et une main sur son ventre pour masser et évaluer la contenance, je lui injecte le liquide.
Assez vite elle se plaint un peu, aussi je retire lembout, je masse son ventre qui a grossi puis remet en place le tuyau. Sans trop forcer jarrête linjection, pour ne pas rendre la chose désagréable. Elle se redresse en se tenant le ventre de manière comique. Je lembrasse en lencourageant à le garder. Arrêtant le mitigeur je lentraîne sur la cuvette qui est juste à côté de la cabine, ce que javais bien sûr remarqué ! Assise sur la lunette, elle est un peu coincée car cest la première fois quelle va déféquer devant quelquun. Je lembrasse à nouveau en caressant ses seins, tout doucement lui conseille de se retenir encore. Les crispations de son visage montrent quelle ne tiendra plus longtemps.
« Allez-y, lâchez doucement »
Elle se crispe et lâche dans des bruits deau le contenu de son rectum. Après les premiers jets, cela ralenti.
« Poussez encore pour bien vider
Jai limpression de faire pipi par le cul !
Et cest désagréable ?
Non au contraire
Je vous lai dit
Mais cest
très gênant ! Devant vous ! Et ça sent !
Attendez ! » Je tire la chasse pour évacuer la cuvette tout en lembrassant. La situation mexcite et la docilité de ma partenaire me fait bander, je présente la pine à ses lèvres alors quelle fini de se vider, sans problème elle lavale.
Nentendant plus rien couler dans la cuvette, jarrête le petit jeu pour dire, « A mon tour maintenant »
Sous la douche je règle le jet, le passe sur ses fesses pour tout nettoyer puis me retourne de dos à elle et me penche. Elle écarte mes fesses et présente le jet à mon anus. Je sens leau pénétrer mon rectum et lenvahir. Elle a vite compris à travers sa propre expérience et tout en me massant le ventre, me rempli en plusieurs fois. Elle stoppe delle même et me suit ensuite aux toilettes. A mon tour, je me vide devant elle, affrontant son regard dans cette position si intime. Je lui propose de refaire lopération complète une fois afin de bien se débarrasser des matières solides, ce que nous faisons en suivant.
« Jai remarqué que vous vous rasiez les fesses, me dit-elle
Oui, les fesses, et le reste !
Comment çà ?
Les fesses, les bourses et le sexe ! Vous navez pas remarqué que
cétait doux ?
Si, mais je croyais que cétait naturel ! Ca ne fait pas mal ?
Non je le fais tous les jours et parfois je me mets de la crème, mais cest très agréable. Pourquoi ces questions ? Vous voulez essayer ?
Je ne sais pas ! Je nose pas
Je vous le ferai, dailleurs si vous acceptez, jaurai une autre idée à vous proposer, mais une chose après lautre, passons à la deuxième partie, maintenant que nos intestins sont dégagés.
Oh !
Cest bien comme ça que lon dit ! Vous allez adorer ! »
Nous recommençons alors à nous réinjecter mutuellement de leau dans nos rectums et prenons plaisir à « pisser par le cul » sous la douche. La sensation est très agréable et hautement érotique. Leau que nous évacuons et claire, à peine troublée sans plus aucune odeur désagréable, la douche évacue aussitôt. Nous-nous remplissons plusieurs fois en suivant puis « pissons » dans le bac tout en nous caressant et nous embrassant. A un moment je lui caresse le clitoris pendant son évacuation ce quelle apprécie beaucoup, alors elle att mon sexe et le branle puis se mettant à genoux dans le bac, reprend ma bite en bouche par plaisir dabord, puis voyant leffet produit, elle sapplique à bien durcir la tige. Lorsquelle juge le résultat satisfaisant elle se redresse, se retourne face au carrelage en disant « venez ! Prenez moi comme çà ! » Présentant sa croupe rebondie en écartant les fesses, afin de bien montrer la voie quelle désire que je prenne. Je me guide droit vers son anus et la pénètre sans problème, vu que le passage est bien lubrifié maintenant. Je lencule lentement mais profondément ce quelle à lair dapprécier, passant sa main entre les cuisses, elle se branle le bouton sans oublier de venir me saisir les bourses quelle malaxe comme pour faire sortir plus vite le sperme qui sannonce. Malgré linconfort et létroitesse de la douche je me vide dans ses intestins tout propres. La douche qui continue de nous arroser entraîne le jus quelle expulse ensuite comme elle expulsait leau il y a un instant.
Au bout de quelques moments, nous cessons nos jeux deaux car leau refroidi et après nous être séchés et parfumés, nous enfilons chacun un peignoir et nous retrouvons au salon pour manger un peu. Cest lheure des confidences, nous discutons un peu de la situation.
« Comment çà se fait que vous aimiez les vieilles femmes ?
Dabord je ne vous trouve pas « vieille », malgré les rides, votre corps est superbe ! Et puis je nai pas de retenue par rapport à lâge ni en plus ni en moins. Dailleurs, je dois vous dire que javais totalement oublié tout à lheure ce genre de considération. Jétais avec une femme charmante, câline et très délurée ! Toutes les femmes nauraient pas accepté si vite de subir des lavements comme vous ! Et je dois ajouter que cest ma première expérience du genre.
Vous me trouvez
vulgaire ?
Vous avez failli dire Salope !
Oh !
. Oui, je me trouve très
salope
et jaime ça ! Mais cest votre opinion qui mintéresse.
Au moins, cest clair et moi aussi jaime, si vous permettez que je vous guide on pourra encore faire des trucs cochons, pour le plaisir.
Vous voulez donc que lon continue ?
Pas vous ?
Oui bien sûr, mais je comprendrai si vous ne vouliez plus
de moi.
Pour le moment, jai envie de poursuivre cette relation fort agréable.
Je... voudrais
comme vous
me raser
le sexe et
Le cul ! dis-je pour mamuser
Ou... oui !
Vous avez de la crème dépilatoire ou un rasoir ?
Jai les deux dit-elle toute rouge
Bien ! Alors allons-y ! »
Dans la chambre après sêtre munis des instruments nécessaires, elle retire le peignoir et se couche sur le lit, abandonnée toute en confiance, attendant mon bon vouloir.
« Avant de commencer, je vais faire des photos.
Oh non !
Mais si ! On pourra voir ainsi le changement et puis rassurer-vous elles ne passeront pas dans le journal celles-là ! Je vais vous les montrer ensuite. »
Je lui fais prendre des poses et la photographie sous toutes les coutures avec bien sûr des gros plans sur sa chatte et son cul pour linstant poilus. Le tableau est charmant et je suis toujours surpris de cette docilité de ma partenaire.
Place maintenant à lopération « plus de poils ». Avec une paire de ciseaux je coupe dabord les poils de son pubis. Elle est face à moi jambes largement écartées dans une pose indécente dont elle ne se rend peut-être pas compte absorbée par la tâche à laquelle je me livre sur elle. Il ny a pas cinq heures que nous nous connaissons - intimement- que je suis entre ses jambes, les yeux rivés sur sa chatte en train de la raser !! Avant, je lai « clystérisée » et sodomisée ! Beau programme finalement et la dame nest pas rassasiée.
Avec la bombe de dépilatoire je badigeonne son pubis jusquentre les cuisses, en protégeant les muqueuses sensibles de son vagin. Afin datteindre son entre-fesses, je lui fais remonter les jambes entre ses bras, constatant encore sa souplesse. Là aussi, jenduis le tour de lanus. Je ne peux mempêcher de prendre une photo de cette pose impudique, malgré ses protestations.
Pendant les quelques minutes dattente pour que la mousse fasse son office, je passe de lautre côté pour lui embrasser les lèvres et les seins. Quand ça commence à chauffer, jattends une petite minute puis nous filons sous la douche pour rincer rapidement la mousse et les poils maintenant détruits. Une fois séchée je lui fait passer la main entre les jambes et elle est surprise de sentir que jai laissé une petite touffe au dessus de lentrée de son sexe.
« Je trouve ça très érotique, mais si vous voulez, je lenlève aussi.
Jaime bien, je vais voir si je la garde dit-elle tout en se passant la main entre les cuisses.
Il reste quelques petits poils que je vais finir au rasoir et à la pince, puis je passerais un peu de crème adoucissante »
Revenant sur le lit, toujours aussi docile, elle reprend la position, écartant les cuisses au maximum afin que je termine louvrage. Avec sérieux et silence je me concentre sur lopération afin de ne rien laisser subsister, puis jenduis la surface dégagée avec la crème. Une fois fini, je reprends des photos de son entrejambe maintenant totalement glabre. Je plonge mon visage entre ses cuisses pour lécher toute la surface dégagée, plongeant la langue entre les lèvres qui secrètent un jus bien odorant, allant titiller lillet brun qui est bien visible comme cela. Pour lui montrer, je passe aussi le rasoir sur ma queue, mes bourses et mon sillon fessier afin de le rendre bien lisse. Ces quelques minutes ont provoqué une forte érection aussi, dun mouvement je me plante dans son vagin et nos peaux épilées se frottent maintenant. La position aidant et la femelle étant toujours aussi consentante, jalterne les pénétrations dans son con et dans son cul, ce qui provoque chez elle un plaisir décuplé. La position avec les jambes très relevées et écartées ne la gène pas non plus elle prend son pied en poussant des petits cris entrecoupés de profonds soupirs.
Le contact des peaux est très agréable et la petite touffe en forme de triangle que jai laissé sur son pubis est dun bel effet, même si elle est parsemée de poils blancs. Je pense quil faudra lui demander de la teindre. Au point où elle en est de lobéissance je pense quelle acceptera, mais jaime bien aussi quelle me rappelle lâge de ma partenaire.
Je me vide en elle, mais en petite quantité, vu ce que jai donné depuis le matin. Elle déploie ses jambes non sans une petite grimace qui montre que malgré tout, que la position est difficile. Le lit a beau être ravagé, je ne vais pas au bout de mon envie qui est de vider ma vessie aussi en elle. Alors que lon se cajole, je lui dis tout de même mon envie. Elle me surprend encore en ny voyant pas dinconvénient mais, comme moi elle na pas envie dinonder la couche. Néanmoins elle massure que la prochaine fois si vous voulez encore de moi répète-t-elle vous pourrez le faire, moi aussi jai envie dessayer.
Mon sexe nest plus trop bandé pour tenter une nouvelle pénétration aussi je lui propose daller sous la douche et elle à genoux, je lui pisse dessus. Cest un plaisir trouble que cet abandon dune femme âgée mais sans aucun tabou. Elle se laisse arroser par mon urine chaude, je dirige même quelques gouttes vers son visage, sans quelle ait de recul. A la fin de ma miction elle se frotte même le corps avec. Je ne peux faire de moins ensuite que de magenouiller devant elle et lui demander de me rendre la pareille. Elle a du mal à se relâcher, mais dun coup le jet jaillit de ses lèvres intimes maspergeant abondamment. Cest chaud, cela ne sent pas mauvais, je trouve même, comme elle, cela agréable.
On se frotte ensuite lun contre lautre, heureux davoir fait ce qui est une première pour lun comme pour lautre. La douche est la bienvenue ensuite pour laver tout de même ce liquide qui deviendrait malodorant en séchant.
« Nous sommes fous ! déclare-t-elle ensuite, mais cest tellement bon ! Jai fais en quelques heures plus de choses avec vous, que dans toute ma vie avec mon mari ! »
Le rappel de cette notion de temps me fait penser quil est plus de cinq heures du soir et que je suis là depuis 10 heures du matin. Je nai pas vu le temps passer, mais il est temps de réapparaître à la vie « normale » Jen fais part à ma maîtresse qui convient que cest plus raisonnable. Je lui propose, sil elle le désire, de repasser une autre fois. Un large sourire éclaire son visage à cette idée et elle déclare :
« Voudriez-vous revenir ce soir ? Je vais prendre un long bain pour me remettre de ces émotions. A mon âge cest épuisant ! Ensuite je prépare un petit repas et mhabille pour vous ! »
Jacquiesce à son désir tout en pensant « Cest curieux comme nous continuons très « mondainement » à nous vouvoyer après tout ce que nous avons fait depuis ce matin ! »
Je mhabille et avant de partir, je reviens lembrasser, puis en riant je défais son peignoir, le jette au loin la laissant nue au milieu du salon. « A tout à lheure ! »
***
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