Maria 1 Une Coquine Septuagénaire

« - Bonjour Madame,
• Bonjour Monsieur,
• Je viens de la part du journal qui m’a demandé de faire un article sur une personne qui a marqué par ses actions la vie de la région.
• Oui, mais en quoi cela me concerne ?
• J’ai pensé à votre mari, qui avec son association, a un moment provoqué et fait bouger les collectivités
• Mais cette association ne vit plus !
• Oui d’ailleurs depuis la disparition de votre mari elle a perdu sa force d’impact ! Je voudrais par ce moyen rendre hommage à son action et son implication
• Vous pensez que c’est utile de remuer cela ?
• C’est vous qui êtes juge. Je suis venu vous voir pour en parler avec vous.
• Entrez, vous prendrez bien quelque chose ? Un Thé ?
• Avec plaisir, je vous accompagnerai. »
Je m’assoie dans un fauteuil alors que la dame, dans la cuisine à l’américaine prépare le thé. Voyant des cigarettes dans le cendrier, je demande si je peux fumer.
• « Bien sûr ne vous gênez pas !
• Vous en voulez une ?
• Oui merci. »
Je me lève pour lui tendre le paquet, elle me demande alors de l’allumer pour elle. Cette attitude inhabituelle avec une inconnue me la fait regarder différemment.
La femme, qui a autour de 60 – 65 ans, a un visage ridé, ses yeux pétillants trahissent une jeunesse d’esprit. Sous sa tenue, à priori pas très seyante, j’aperçois des formes sympathiques : des seins lourds tendent le tricot léger, il me semble même apercevoir les pointes des tétons se dresser. Le pantalon moulant, enveloppe des hanches et des fesses plantureuses.
Le parcours de mon regard sur ses formes ne lui a pas échappé mais ne semble pas la déranger au contraire. Elle avance son visage pour quémander la cigarette que j’ai allumé, les mains occupées par la préparation du breuvage. Ses lèvres tendues vers la main, son regard se visse dans le mien. Une certaine émotion se manifeste dans mon pantalon.

Pour couper à cet instant équivoque, je retourne vers ma place.
Nous prenons place, moi dans le fauteuil, elle en face sur le canapé. Assise, sa croupe s’élargit et je découvre la forme de ses jambes galbées, moulées par le collant. Son léger tricot se tend un peu plus sur la poitrine. Sur son visage, le sourire est maintenant élargi et ses yeux se plissent un peu plus, symptôme de myopie ou de malice ?
Je prends mon carnet et nous revenons au sujet de ma visite. Durant un long moment nous parlons de son mari, de sa carrière jusqu’à la retraite, puis de son goût pour la chasse pas toujours bien ressenti par sa femme, enfin de son implication les dernières années de sa vie dans la défense des consommateurs.
A ce point de la discussion, je lui propose de prendre une photo afin d’agrémenter l’article. Elle ne veut pas paraître elle, puisque le sujet est son mari, mais petit à petit elle cède à mon insistance, mais désire changer de tenue. J’ai beau lui expliquer que je la trouve très bien comme cela, rien n’y fait. A ma surprise, elle me propose de l’accompagner.
Nous nous retrouvons dans sa chambre où elle ouvre une grande penderie remplie de nombreux habits. La chambre est spacieuse et lumineuse, une grande baie s’ouvre vers les Pyrénées, au milieu, un grand lit à la forme originale avec à sa tête et au mur face au pied, deux énormes miroirs. Il semble que le couple aimait à se voir dans le lit. Ce détail –important tout de même – titille ma libido, qui n’a pas besoin de grand chose pour se mettre en route.
Durant ma petite inspection, la dame a sorti quelques tenues, les a étalées sur le lit. Elle m’invite maintenant à choisir. Un tailleur classique et une robe noire, ne m’inspirent pas trop. Après avoir posé un fourreau anthracite qui dégage les épaules avec une attache pour le cou, la dame est en train de le ranger. Je l’arrête dans son geste car le vêtement est vraiment beau.
• « Je ne l’ai pas mis depuis 6 ans et je ne dois plus y rentrer
• Permettez-moi d’insister, je la trouve très bien
• Elle est un peu légère !
• Essayez là tout de même ! »
Je sors de la chambre pour lui permettre de se vêtir, deux minutes plus tard elle m’appelle
• « Monsieur ?
• Oui ?
• Pouvez vous venir m’aider je vous prie ? »
Lorsque je rentre dans la chambre la dame a enfilé le fourreau mais ne peut le fermer seule.
Il est effectivement bien rempli mais les formes sont affinées par le tissu tendu. Elle se tourne pour me présenter son dos afin de remonter la fermeture. L’ouverture descend jusqu’au creux des reins le dos entièrement nu. La tenue ne peut se porter avec un soutien-gorge. Cette vision est déjà excitante mais lorsque je m’approche, son odeur de femme monte à mes narines et provoque une bonne érection. Heureusement qu’elle ne voit pas. J’att le fermoir mais d’une seule main je ne peux le remonter sans risquer de déchirer, aussi de ma main gauche j’att le tissu. Le dos, la nuque et les épaules dégagés de la robe m’affolent, le contact de ma main avec sa peau m’électrise, je sens qu’elle tremble un peu et un lourd silence s’étend dans la pièce.
-«  Vous voyez que je ne peux plus la mettre », dit-elle pour rompre la tension, mais sa voix est plus rauque. Je continue ma manœuvre alors qu’elle m’aide en rentrant le ventre et s’étirant. Le fermoir remonte et bientôt le fourreau enserre les formes généreuses de la femme. J’oublie son âge et la situation. Je me penche sur sa nuque pour y poser mes lèvres, enserrant sa taille dans mes mains. Elle frissonne mais se laisse faire, lançant un simple Oh ! Plus de surprise que de réprobation, elle ne bouge d’ailleurs pas. Sa passivité m’encourage, je remonte mes mains vers sa poitrine opulente, mordillant ses épaules et sa nuque. Sa chair se couvre de chair de poule, son souffle s’accélère et elle se plaque contre moi. Un dernier sursaut lui fait murmurer un « voyou ! Vous z de ma faiblesse » mais elle ne cherche pas à se dégager.
J’ai oublié que la femme que je tiens dans mes bras a plus de 65 ans, elle m’a avoué tout à l’heure avoir 6 ans de moins que son mari qui est décédé il y a trois ans, c’est une femelle chaude dont je malaxe les seins, une main redescend vers son ventre que je palpe avant de d’atteindre le pubis. Dans le miroir qui nous fait face, son regard chavire. Je continue l’exploration de son corps. Sous le vêtement léger je sens la culotte qu’elle a conservée par un réflexe de pudeur.
Je tourne ma main autour de ses hanches l’insinuant entre les fesses déjà chaudes.
• « Arrêtez ! » Dit-elle soudain en s’avançant d’un pas. Et reste les bras ballants. toujours de dos à moi. Dans la glace, son regard est perdu, elle remonte les mains sur les seins, les enlève aussitôt, vu leur tension et leur sensibilité, elle ferme les yeux. Je me dis que j’ai gâché l’occasion d’aller plus loin par trop de précipitation et m’apprête à m’excuser lorsqu’elle fait un pas en arrière et reviens se plaquer contre moi.
Je n’hésite plus alors à glisser ma main sous le tissu pour palper directement ses seins en pinçant au passage le téton dressé. Je dégrafe l’attache de la robe autour de son cou pour baisser le haut du fourreau afin de prendre les seins lourds en entier dans la main. Elle s’abandonne maintenant, la tête en arrière entièrement soumise à mes caresses. Je tourne sa tête pour l’embrasser et me rends compte alors que c’est une vieille femme lorsque je vois de très près, de son visage ridé, mais ses yeux bleu intense et sa bouche gourmande m’attirent et nous échangeons un baiser profond. Ses lèvres et son haleine sont douces et sa langue très active. Elle pousse de profonds soupirs. Appuyant avec ses mains sur les miennes pour les guider dans les caresses.
Tout en malaxant son téton dardé, d’une main, je baisse la fermeture de son fourreau que j’ai eu tant de mal à monter il y a quelques instants, puis, faisant glisser le fourreau à la taille je dégage sa poitrine lourde et tombante. Dans le miroir, je peux voir les larges aréoles brunes avec des tétons dardés, gros comme une phalange de petit doigt. Je masse un sein entre mes paumes et mes doigts, elle, s’occupe de l’autre, puis je reprends le tissu du fourreau sur ses hanches, je le fais glisser le long de son corps. Elle est maintenant en culotte, celle-ci n’est pas très sexy, mais il est vrai quelle ne s’attendait pas à la montrer à quelqu’un aujourd’hui. Je roule le tissu sur ses fesses et fait tomber le dernier rempart de sa vertu, à ses pieds.

La voilà nue contre moi tout son corps accessible à mes caresses que je multiplie sur les cuisses, le ventre, les seins et la motte frisée ou j’insinue un doigt fureteur. Elle a chaud, se frotte à moi et son odeur est enivrante. Mes mains courent de ses cuisses, ses jambes, à son ventre, sa poitrine, son cou, ses hanches, son visage…
Elle se laisse aller d’un coup, étalant son corps blanc laiteux sur le lit sans prendre garde à ses habits posés dessus. Bras et jambes écartés elle m’attend. Je m’avise alors que je suis encore habillé totalement alors qu’elle est totalement nue et … offerte.
En quelques secondes j’ôte mes vêtements et me couche à ses côtés ajoutant aux caresses de mes doigts, celles de mes lèvres. Je tête ses nichons aplatis par la position triturant les pointes entre deux doigts, ma main caresse son ventre et se glisse entre les cuisses somptueuses, écartant délicatement les pétales de ses grandes lèvres. La toison aux poils blancs trahit son age, les doigts s’insinuent dans la fente déjà bien trempée titillant le bouton puis pénétrant plus profond. Elle gémit doucement abandonnée aux caresses. J’approche mon visage de son ventre, la langue furetant le nombril et descendant vers l’aine. Vais-je aller plus loin ? Pensant que ment une vieille çà sent. Son odeur monte à mon nez et elle sent bon, comme une femelle chaude, aussi ma langue vient bientôt fourrager dans le sexe béant. Elle se cabre sous la caresse et avec sa main appuie ma tête pour montrer son plaisir. Sa chatte dégouline de mouille et ses hanches entament une danse évocatrice, alors sans plus attendre, je me redresse et guidant mon sexe dans le sien, je l’embroche à fond. C’est alors qu’elle ouvre les yeux me fixant intensément, comme pour graver ce moment dans sa tête.
Je la baise lentement, profondément, alternant les grands va et vient avec des petits coups à l’entrée de sa cramouille. Je suce les seins, ou dressé sur les bras au dessus d’elle, je contemple son corps laiteux et plein. Elle n’est pas belle dans le sens des canons de la beauté que l’on attribue à la jeunesse, mais on corps plutôt tout en rondeurs est très harmonieux, il s’offre à mon plaisir et semble attendre tous mes désirs afin de les satisfaire. Après un moment ou elle reste passive, donnant l’air de subir, elle commence avec ses mains à caresser mon corps, de la tête au fesses quelle empaume pour mieux se pénétrer. Elle relève ses jambes pour s’écarteler. Passant mes bras en dessous je la lime brutalement, lui provoquant des hoquets. Malgré l’age et une relative rondeur, elle se révèle très souple et son sexe béant en vient aussi à se resserrer sur la queue qui la laboure.
La chevauchée dure longtemps, j’alterne un rythme rapide avec des périodes lentes. Sans que rien ne le laisse prévoir elle se met à crier son plaisir contractant les parois du vagin sur ma bite échauffée. Accélérant d’un coup la cadence, je jouis à mon tour dans l’antre brûlante, finissant de la remplir de mon foutre. Elle se laisser aller alors en arrière, comme s’endormant d’un coup après cet effort trop violent. Je continue lentement à me vider en elle, baisant tout doucement le corps alangui alors que petit à petit mon sexe se rétracte.
Après quelques instants, je me lève, la laissant endormie sur le lit. Un rapide passage à la salle d’eau pour me rafraîchir un peu, puis je vais fermer la porte à clé, réalisant d’un coup que quelqu'un aurait entrer et nous surprendre.
En revenant vers la chambre je vois mon appareil photo que je saisi et arrivé près du lit je tire quelques clichés qui au moins alimenteront mes souvenirs.
Elle somnole toujours, une sorte de sourire béat sur les lèvres. Je m’approche du lit et commence à l’embrasser et la caresser partout. C’est ainsi qu’elle ouvre les yeux. Elle m’att par la tête et m’embrasse fougueusement, comme si c’était pour la dernière fois, et qu’elle voulait en profiter pleinement. Puis, brusquement elle se retire, portant sa main au front, comme si la vérité surgissait tout à coup.
• « Qu’avons nous fait ?
• L’amour !
• Nous sommes fous !
• Pourquoi ?
• Eh bien ! Vous-vous rendez compte ? A mon age ! Je suis vieille et vous ...
• Ça vous a empêché de jouir !
• Oh ! Que dites-vous là ?
• J’ai bien senti, ne mentez pas
• Vous savez ça faisait …
• Chut ! J’ai beaucoup aimé moi aussi
• Mais nous ne pouvons recommencer
• Qu’est qui nous en empêche ?
Je ... vous … avez encore envie de moi, après ... ? En me voyant … maintenant comme ça ?»
Prenant sa main je la guide vers mon sexe qui se redresse déjà. Un soupir s’échappe de ses lèvres, je me redresse alors et présente ma turgescence à ses lèvres, qu’elle ouvre sans hésiter et happe le gland. Ma foi, elle est plutôt douée la vieille salope, léchant le gland de la pointe de la langue, puis avalant la bite entièrement, branlant d’une main la tige, massant de l’autre les couilles. Devant tant de dextérité et de savoir faire je me laisse aller au plaisir de cette pipe experte.
Je ne veux tout de même pas me vider dans sa bouche, non pas que cela me gêne mais plutôt parce que je veux aussi lui apporter du plaisir, aussi quand je sens que ma queue est bien raide et mes bourses bien pleines je me retire doucement des lèvres gourmandes et lui demande de se tourner.
Sans se faire prier, elle se met à genoux, la tête entre les bras, enfouie dans les draps. Sa lune somptueuse s’étale à mes yeux et si j’avais eu un manque de raideur, la vision de cette mappemonde laiteuse m’aurait « regonflé » mais étant déjà bien dressé je n’ai qu’à me mettre derrière elle et à m’enfiler dans son ventre accueillant. La saisissant par les hanches je lime sa cramouille qui n’a jamais aussi bien porté son nom, tellement elle ruisselle. Redressant parfois la tête comme pour respirer mieux, en fait pour nous regarder dans le miroir, elle râle son plaisir, n’hésitant pas à venir avec sa main, caresser mes bourses qui martèlent son sexe brûlant.
Tout en continuant mon ouvrage en cadence je glisse un doigt sur son œillet brun qui me nargue entre ses fesses. Elle n’a aucun recul et mouillant bien deux doigts à son vagin gluant, je pénètre son anus sans trop de difficultés d’un doigt d’abord, puis des deux. Elle couine, semblant apprécier la caresse et m’ouvrant par là, de bonnes perspectives. N’y tenant plus, alors que son con s’est plusieurs fois serré sur la queue, je me vide les couilles au fond de son vagin. La sensation est si agréable que je continue un moment à la baiser lentement. Ma verge garde ses proportions malgré la jouissance et la cochonne se pâme plusieurs fois alors que notre coït produit des bruits de clapot tellement elle ruisselle. Ne tenant plus elle s’affale sur le lit m’entraînant dans sa chute. Nous sombrons tous les deux dans un somme réparateur nos corps en sueur enchevêtrés.
Ses mouvements, ou la fraîcheur relative, ou les deux, me réveillent. Pendant quelques secondes je me demande où je me trouve, puis reprenant mes esprits, je me souviens des dernières heures chaudes. Mes mains baladeuses l’ont aussi réveillée et se tournant vers moi elle dépose un baiser sur mes lèvres en murmurant un « merci » reconnaissant. Les cernes sous ses yeux se sont creusés et sur le coup elle semble avoir pris dix ans. Je ne lui dis pas, d’autant que cela n’enlève rien au charme des ses yeux et de son corps.
« Il faut faire toilette » dit elle en me prenant la main. La tache sur le lit prouve que nos jus mélangés étaient très abondants. Elle remarque mon regard et semble rosir de confusion. Devant mon sourire elle place une main sur son pubis pour tenter de retenir les effluves s’écoulant de son vagin inondé et comiquement, la main entre les jambes, se dirige vers la salle d’eau. Sous la douche revivifiante où je l’ai rejointe, nous jouons longtemps à étaler le gel et la mousse sur et dans, toutes les parties de nos corps, mes doigts, comme les siens n’hésitent pas à s’enfoncer dans tous les replis et cavités accessibles. Les longs baisers profonds s’alternent aux sucions diverses.
Le jeu dure longtemps, avec la pomme de douche dont on peu modifier le jet, j’injecte de l’eau dans son vagin, puis ne voulant pas en rester là et la dame n’ayant pas trop de blocage dans l’état d’esprit actuel, je le présente à son anus, lui faisant une sorte de lavement.
• « Voyou ! vous préparez le passage ?
• Vous avez apprécié mes doigts tout à l’heure !
• Oh oui ! et me faire baiser par ce conduit ne me dérange pas ! »
La proposition a le mérite d’être claire, et l’éclat dans ces yeux, comme le sourire coquin, prouvent qu’elle n’attend qu’une chose : que je la prenne au mot et la sodomise. Décidément j’ai tiré le « gros lot » sans jeu de mot ! Non seulement elle est gironde mais en plus assez ouverte à des expériences.
• « Vos aimez les lavements ?
• Je n’ai jamais subi qu’en cas d’ennui gastriques et ne garde pas de bons souvenirs
• Laissez vous faire, penchez vous en avant et dès que vous sentez que c’est trop dur j’arrête. Le premier vous le gardez un peu et vous l’évacuerez aux toilettes.
• Devant vous ?
• Bien sûr
• J’aurais trop honte !
• Cela fait partie du plaisir, vous verrez
• D’accord, à une condition
• Laquelle ?
• Que vous fassiez ensuite pareil
• D’accord ! »
Sur ce, elle me tend ses fesses, je retire la pomme de douche, règle la force et la chaleur de l’eau et une main sur son ventre pour masser et évaluer la contenance, je lui injecte le liquide.
Assez vite elle se plaint un peu, aussi je retire l’embout, je masse son ventre qui a grossi puis remet en place le tuyau. Sans trop forcer j’arrête l’injection, pour ne pas rendre la chose désagréable. Elle se redresse en se tenant le ventre de manière comique. Je l’embrasse en l’encourageant à le garder. Arrêtant le mitigeur je l’entraîne sur la cuvette qui est juste à côté de la cabine, ce que j’avais bien sûr remarqué ! Assise sur la lunette, elle est un peu coincée car c’est la première fois qu’elle va déféquer devant quelqu’un. Je l’embrasse à nouveau en caressant ses seins, tout doucement lui conseille de se retenir encore. Les crispations de son visage montrent qu’elle ne tiendra plus longtemps.
• « Allez-y, lâchez doucement »
Elle se crispe et lâche dans des bruits d’eau le contenu de son rectum. Après les premiers jets, cela ralenti.
• « Poussez encore pour bien vider
• J’ai l’impression de faire pipi par le cul !
• Et c’est désagréable ?
• Non au contraire
• Je vous l’ai dit
• Mais c’est … très gênant ! Devant vous ! Et ça sent !
• Attendez ! » Je tire la chasse pour évacuer la cuvette tout en l’embrassant. La situation m’excite et la docilité de ma partenaire me fait bander, je présente la pine à ses lèvres alors qu’elle fini de se vider, sans problème elle l’avale.
N’entendant plus rien couler dans la cuvette, j’arrête le petit jeu pour dire, « A mon tour maintenant »
Sous la douche je règle le jet, le passe sur ses fesses pour tout nettoyer puis me retourne de dos à elle et me penche. Elle écarte mes fesses et présente le jet à mon anus. Je sens l’eau pénétrer mon rectum et l’envahir. Elle a vite compris à travers sa propre expérience et tout en me massant le ventre, me rempli en plusieurs fois. Elle stoppe d’elle même et me suit ensuite aux toilettes. A mon tour, je me vide devant elle, affrontant son regard dans cette position si intime. Je lui propose de refaire l’opération complète une fois afin de bien se débarrasser des matières solides, ce que nous faisons en suivant.
• « J’ai remarqué que vous vous rasiez les fesses, me dit-elle
• Oui, les fesses, et le reste !
• Comment çà ?
• Les fesses, les bourses et le sexe ! Vous n’avez pas remarqué que … c’était doux ?
• Si, mais je croyais que c’était naturel ! Ca ne fait pas mal ?
• Non je le fais tous les jours et parfois je me mets de la crème, mais c’est très agréable. Pourquoi ces questions ? Vous voulez essayer ?
• Je ne sais pas ! Je n’ose pas
• Je vous le ferai, d’ailleurs si vous acceptez, j’aurai une autre idée à vous proposer, mais une chose après l’autre, passons à la deuxième partie, maintenant que nos intestins sont dégagés.
• Oh !
• C’est bien comme ça que l’on dit ! Vous allez adorer ! »
Nous recommençons alors à nous réinjecter mutuellement de l’eau dans nos rectums et prenons plaisir à « pisser par le cul » sous la douche. La sensation est très agréable et hautement érotique. L’eau que nous évacuons et claire, à peine troublée sans plus aucune odeur désagréable, la douche évacue aussitôt. Nous-nous remplissons plusieurs fois en suivant puis « pissons » dans le bac tout en nous caressant et nous embrassant. A un moment je lui caresse le clitoris pendant son évacuation ce qu’elle apprécie beaucoup, alors elle att mon sexe et le branle puis se mettant à genoux dans le bac, reprend ma bite en bouche par plaisir d’abord, puis voyant l’effet produit, elle s‘applique à bien durcir la tige. Lorsqu’elle juge le résultat satisfaisant elle se redresse, se retourne face au carrelage en disant « venez ! Prenez moi comme çà ! » Présentant sa croupe rebondie en écartant les fesses, afin de bien montrer la voie qu’elle désire que je prenne. Je me guide droit vers son anus et la pénètre sans problème, vu que le passage est bien lubrifié maintenant. Je l’encule lentement mais profondément ce qu’elle à l’air d’apprécier, passant sa main entre les cuisses, elle se branle le bouton sans oublier de venir me saisir les bourses qu’elle malaxe comme pour faire sortir plus vite le sperme qui s’annonce. Malgré l’inconfort et l’étroitesse de la douche je me vide dans ses intestins tout propres. La douche qui continue de nous arroser entraîne le jus qu’elle expulse ensuite comme elle expulsait l’eau il y a un instant.
Au bout de quelques moments, nous cessons nos jeux d’eaux car l’eau refroidi et après nous être séchés et parfumés, nous enfilons chacun un peignoir et nous retrouvons au salon pour manger un peu. C’est l’heure des confidences, nous discutons un peu de la situation.
• « Comment çà se fait que vous aimiez les vieilles femmes ?
• D’abord je ne vous trouve pas « vieille », malgré les rides, votre corps est superbe ! Et puis je n’ai pas de retenue par rapport à l’âge ni en plus ni en moins. D’ailleurs, je dois vous dire que j’avais totalement oublié tout à l’heure ce genre de considération. J’étais avec une femme charmante, câline et très délurée ! Toutes les femmes n’auraient pas accepté si vite de subir des lavements comme vous ! Et je dois ajouter que c’est ma première expérience du genre.
• Vous me trouvez … vulgaire ?
• Vous avez failli dire Salope !
• Oh ! …. Oui, je me trouve très … salope … et j’aime ça ! Mais c’est votre opinion qui m’intéresse.
• Au moins, c’est clair et moi aussi j’aime, si vous permettez que je vous guide on pourra encore faire des trucs cochons, pour le plaisir.
• Vous voulez donc que l’on continue ?
• Pas vous ?
• Oui bien sûr, mais je comprendrai si vous ne vouliez plus … de moi.
• Pour le moment, j’ai envie de poursuivre cette relation fort agréable.
• Je... voudrais … comme vous… me raser … le sexe et …
• Le cul ! dis-je pour m’amuser
• Ou... oui !
• Vous avez de la crème dépilatoire ou un rasoir ?
• J’ai les deux dit-elle toute rouge
• Bien ! Alors allons-y ! »
Dans la chambre après s’être munis des instruments nécessaires, elle retire le peignoir et se couche sur le lit, abandonnée toute en confiance, attendant mon bon vouloir.
• « Avant de commencer, je vais faire des photos.
• Oh non !
• Mais si ! On pourra voir ainsi le changement et puis rassurer-vous elles ne passeront pas dans le journal celles-là ! Je vais vous les montrer ensuite. »
Je lui fais prendre des poses et la photographie sous toutes les coutures avec bien sûr des gros plans sur sa chatte et son cul pour l’instant poilus. Le tableau est charmant et je suis toujours surpris de cette docilité de ma partenaire.
Place maintenant à l’opération « plus de poils ». Avec une paire de ciseaux je coupe d’abord les poils de son pubis. Elle est face à moi jambes largement écartées dans une pose indécente dont elle ne se rend peut-être pas compte absorbée par la tâche à laquelle je me livre sur elle. Il n’y a pas cinq heures que nous nous connaissons - intimement- que je suis entre ses jambes, les yeux rivés sur sa chatte en train de la raser !! Avant, je l’ai « clystérisée » et sodomisée ! Beau programme finalement et la dame n’est pas rassasiée.
Avec la bombe de dépilatoire je badigeonne son pubis jusqu’entre les cuisses, en protégeant les muqueuses sensibles de son vagin. Afin d’atteindre son entre-fesses, je lui fais remonter les jambes entre ses bras, constatant encore sa souplesse. Là aussi, j’enduis le tour de l’anus. Je ne peux m’empêcher de prendre une photo de cette pose impudique, malgré ses protestations.
Pendant les quelques minutes d’attente pour que la mousse fasse son office, je passe de l’autre côté pour lui embrasser les lèvres et les seins. Quand ça commence à chauffer, j’attends une petite minute puis nous filons sous la douche pour rincer rapidement la mousse et les poils maintenant détruits. Une fois séchée je lui fait passer la main entre les jambes et elle est surprise de sentir que j’ai laissé une petite touffe au dessus de l’entrée de son sexe.
• « Je trouve ça très érotique, mais si vous voulez, je l’enlève aussi.
• J’aime bien, je vais voir si je la garde dit-elle tout en se passant la main entre les cuisses.
• Il reste quelques petits poils que je vais finir au rasoir et à la pince, puis je passerais un peu de crème adoucissante »
Revenant sur le lit, toujours aussi docile, elle reprend la position, écartant les cuisses au maximum afin que je termine l’ouvrage. Avec sérieux et silence je me concentre sur l’opération afin de ne rien laisser subsister, puis j’enduis la surface dégagée avec la crème. Une fois fini, je reprends des photos de son entrejambe maintenant totalement glabre. Je plonge mon visage entre ses cuisses pour lécher toute la surface dégagée, plongeant la langue entre les lèvres qui secrètent un jus bien odorant, allant titiller l’œillet brun qui est bien visible comme cela. Pour lui montrer, je passe aussi le rasoir sur ma queue, mes bourses et mon sillon fessier afin de le rendre bien lisse. Ces quelques minutes ont provoqué une forte érection aussi, d’un mouvement je me plante dans son vagin et nos peaux épilées se frottent maintenant. La position aidant et la femelle étant toujours aussi consentante, j’alterne les pénétrations dans son con et dans son cul, ce qui provoque chez elle un plaisir décuplé. La position avec les jambes très relevées et écartées ne la gène pas non plus elle prend son pied en poussant des petits cris entrecoupés de profonds soupirs.
Le contact des peaux est très agréable et la petite touffe en forme de triangle que j’ai laissé sur son pubis est d’un bel effet, même si elle est parsemée de poils blancs. Je pense qu’il faudra lui demander de la teindre. Au point où elle en est de l’obéissance je pense qu’elle acceptera, mais j’aime bien aussi qu’elle me rappelle l’âge de ma partenaire.
Je me vide en elle, mais en petite quantité, vu ce que j’ai donné depuis le matin. Elle déploie ses jambes non sans une petite grimace qui montre que malgré tout, que la position est difficile. Le lit a beau être ravagé, je ne vais pas au bout de mon envie qui est de vider ma vessie aussi en elle. Alors que l’on se cajole, je lui dis tout de même mon envie. Elle me surprend encore en n’y voyant pas d’inconvénient mais, comme moi elle n’a pas envie d’inonder la couche. Néanmoins elle m’assure que la prochaine fois –si vous voulez encore de moi répète-t-elle – vous pourrez le faire, moi aussi j’ai envie d’essayer.
Mon sexe n’est plus trop bandé pour tenter une nouvelle pénétration aussi je lui propose d’aller sous la douche et elle à genoux, je lui pisse dessus. C’est un plaisir trouble que cet abandon d’une femme âgée mais sans aucun tabou. Elle se laisse arroser par mon urine chaude, je dirige même quelques gouttes vers son visage, sans qu’elle ait de recul. A la fin de ma miction elle se frotte même le corps avec. Je ne peux faire de moins ensuite que de m’agenouiller devant elle et lui demander de me rendre la pareille. Elle a du mal à se relâcher, mais d’un coup le jet jaillit de ses lèvres intimes m’aspergeant abondamment. C’est chaud, cela ne sent pas mauvais, je trouve même, comme elle, cela agréable.
On se frotte ensuite l’un contre l’autre, heureux d’avoir fait ce qui est une première pour l’un comme pour l’autre. La douche est la bienvenue ensuite pour laver tout de même ce liquide qui deviendrait malodorant en séchant.
• « Nous sommes fous ! déclare-t-elle ensuite, mais c’est tellement bon ! J’ai fais en quelques heures plus de choses avec vous, que dans toute ma vie avec mon mari ! »
Le rappel de cette notion de temps me fait penser qu’il est plus de cinq heures du soir et que je suis là depuis 10 heures du matin. Je n’ai pas vu le temps passer, mais il est temps de réapparaître à la vie « normale » J’en fais part à ma maîtresse qui convient que c’est plus raisonnable. Je lui propose, s’il elle le désire, de repasser une autre fois. Un large sourire éclaire son visage à cette idée et elle déclare :
• « Voudriez-vous revenir ce soir ? Je vais prendre un long bain pour me remettre de ces émotions. A mon âge c’est épuisant ! Ensuite je prépare un petit repas et m’habille pour vous ! »
J’acquiesce à son désir tout en pensant « C’est curieux comme nous continuons très « mondainement » à nous vouvoyer après tout ce que nous avons fait depuis ce matin ! »
Je m’habille et avant de partir, je reviens l’embrasser, puis en riant je défais son peignoir, le jette au loin la laissant nue au milieu du salon. « A tout à l’heure ! »

***

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