Comme Un Matin D'Été
Cest un matin dété. Le soleil irradie ses premiers rayons et je me suis levé de bonne heure pour assister à son ascension sur le fauteuil de la terrasse. Nayant aucun vis-à-vis je suis nu, les jambes étendues sur la table basse, les yeux mi-clos et la peau chaudement baignée par laube.
Je finis les dernières gorgées de mon thé lorsque jentends la porte-fenêtre coulisser. Elle me rejoints, le visage encore marqué par le sommeil. Elle est belle. Elle prend le temps de sétirer et je ne peux mempêcher de lenvelopper du regard. Ses pieds nus aux ongles joliment ornés de rouge. Ses longues jambes de mannequin parfaitement bronzées. Elle porte un simple t-shirt noir, trop grand pour elle, quelle mavait emprunté lors de notre première nuit et que je lui ai laissé depuis. On y devine la naissance de son pubis épilé alors quelle tend ses bras au ciel. Remontant encore mon regard, je devine le galbe de ses seins et la forme de ses tétons à travers le tissu.
Les yeux clos, elle baille à sen décrocher la mâchoire et je ne peux décrocher mon regard de ce corps si parfait à mes yeux. Elle sen rend compte et me souris ensuite de toutes ses dents éclatantes en fixant ses yeux bleus-gris dans les miens. Elle tâche de remettre un peu dordre dans ses cheveux blonds ébouriffés et vient poser ses lèvres sur les mienne pour un chaste baiser bonjour avant de prendre place dans un siège.
Aucun mot na été échangé. Les oiseaux et la nature qui se réveillent officient comme seul fond sonore durant les quelques minutes qui suivent. Le calme et la sérénité règne et je referme les yeux pour en profiter. Une caresse sur la cuisse me rappel à la réalité. Ma douce a les yeux clos, affalée sur son siège, elle vient de poser ses pieds croisés sur ma jambe. En en balançant doucement un, elle effleure mon sexe qui repose sur mon aine. Cette vision et la douce caresse le fait irrémédiablement se gonfler ce qui diminue ment lécart entre ma verge et son pied et accentue la sensation.
Moi je suis totalement sorti de ma rêverie. Elle a décroisé ses pieds et elle me masturbe maintenant volontairement de la plante de lun dentre eux tandis que lautre est posé à plat sur ma cuisse.
Cette position la force à replier une jambe qui soulève alors le t-shirt me laissant entrevoir la commissure de ses lèvres intimes. Je bande pour de bon sous ces lentes et douces caresses, mais même si elle semble sen amuser, elle ne montre aucun autre signe dexcitation alors que je commence sérieusement à avoir lesprit qui séchauffe.
Mais on a toute la journée et elle ne fait que commencer, pourquoi se presser ? Je prends alors en main le pied qui ne joue pas avec mon membre maintenant bien dressé et entreprends de le masser lentement, le regard au loin, profitant de linstant. Un soupir de contentement séchappe des lèvres de ma douce tandis quelle senfonce un peu plus dans son siège, totalement relaxée, perdue dans ses rêveries. Après quelques minutes de ce traitement je repose son pied pour prendre lautre et presque à contre cur le séparer de mon sexe. Un filet de liquide séminal maintient son orteil lié à mon méat un court instant, preuve de mon excitation présente mais elle ne reprend pas son ouvrage avec son autre pied, se contentant de profiter. Je porte langoureusement cet orteil à ma bouche pour en prélever brièvement mon excitation et la sensation de ma langue chaude lui soutire un petit gémissement alors quelle se mord la lèvre inférieure. Je reprends donc mon massage, lent et doux du bout de ses doigts de pied, sur toute la plante jusquà sa cheville.
Ce moment est à nous. Il est beau, simple, libre. Il est parfait et il ne fait que commencer.
Tout à mon massage je me suis redressé à linverse de ma queue qui a repris sa posture de repos.
Jai maintenant une plus grande amplitude de mouvement et je commence à laisser mes mains remonter le long de ses jambes.
Lorsque nos baisers cessent, le souffle court, nous nous retrouvons front contre front. Les lèvres humides et brillantes de nos salives sous le soleil et nos yeux emplis denvies et de désirs sexuels se font les messagers de nos pulsions. Sa main na pas quitté ma nuque et lautre sactive toujours autours de ma queue tandis quelle guette mes réactions dans mon regard et mon souffle. Elle me rend fou. Le contact de sa main fait vibrer mon sexe. Elle baisse alors les yeux vers pour mieux contrôler son action et laisse glisser un trait de salive entre ses lèvres jusquau bout de mon gland. Sa paume se charge de létaler et den lubrifier mon extrémité turgescente à mesure quelle accentue ses mouvements.
Cest le moment que je choisis pour plaquer la mienne sur son mont de vénus. Ses cuisses écartées au maximum semblent crier un appel au contact intime et de ses grandes lèvres gonflées et déjà écartées perlent quelques gouttes luisantes qui ne laissent aucun doute sur son état dexcitation.
Dun doigt je parcours ce sexe offert et ses yeux se ferment tandis que sa bouche sentrouvre sur un gémissement de plaisir. Ma langue sy fraie alors un chemin, simultanément à mon doigt dans son intimité, et nos lèvres se retrouvent liées alors que je mamuse à stimuler tous les recoins de son antre damour en guettant ses réactions. Sous leffet de mes caresses, sa main sest presque arrêtée et se contente de très légers va-et-vient calés sur la vitesse de mes doigts en elle.
Reprenant ses esprits, elle me lâche et dun geste précipité enlève son t-shirt pour le jeter au loin. Ses seins ainsi libérés dardent leur téton pointant dexcitation. Son ventre plat, ses épaules fines, son cou gracieux deviennent autant de cible pour mes baisers, alors quelle se laisse retomber en arrière sur son siège les mains crispées sur les accoudoirs.
Sa poitrine fait lobjet dune attention particulière et les caresses se font de plus en plus appuyées à mesure que je sens ma belle perdre pied. Lentement mes baisers se dirigent de plus en plus bas sur son corps. Toujours à genoux entre ses cuisses, jy ai accès entièrement si je me redresse, mais cest vers son intimité que mes lèvres se dirigent. Lorsquelles y arrivent enfin, après une volontairement lente descente, les mains de ma belle dans mes cheveux ne leur laisse plus le loisir de se balader et les plaquent contre son sexe brûlant de désirs. Je porte alors les doigts qui lexplorait à ma bouche pour me délecter de son goût léger avant dy plonger ma langue avec envie et dentamer un tango endiablé avec son clitoris. Ses soupirs se muent en gémissements puis en petits cris à mesure que ma langue accélère la cadence. Ses mains se crispent dans mon cuir chevelu écrasant ma langue sur son mont de plaisir. Un pied posé sur la table, elle positionne lautre derrière ma nuque pour me tenir encore mieux. Les muscles de ces cuisses se contractent.
Son corps se cambre. Et elle jouit dans un râle avant que tout son corps ne se relâche.
Rassasiée elle me repousse du bout du pied jusquà me rassoir dans mon siège. Son regard fixé dans le mien elle transpire le sexe par tous les pores de sa peau. Tout chez elle nest que désir et la flamme de mon envie nen est que ravivée. Les jambes outrageusement écartées elle se lèche deux doigts sans me quitter du regard et commence à se masturber lentement. Comprenant son petit jeu je maffale moi aussi dans mon siège et saisis ma queue dressée à pleine main. Ses yeux se séparent alors des miens pour se fixer sur mes va et viens, dont elle accorde la vitesse à celle de ses doigts en elle. Ce petit jeu dure de longues minutes. Je lui dis à quel point elle mexcite et elle me répond en se léchant les lèvres de manière terriblement provocante. Je sais quelle peut lire sur mon visage, dans mon expression, dans mes yeux, lenvie insatiable que jai pour elle en cet instant et je ne men cache pas. Je veux quelle le voie, je veux quelle sen délecte et par-dessus tout je veux quelle en joue.
Et elle le fait si bien. Je la vois prendre son plaisir seule, sans le feindre et quel délice.
Cest pur, cest beau, cest parfait. Les doigts de sa main droite alternent entre pénétration et caresses sensuelles pendant quelle promène la gauche sur son corps. Quand je croise son regard elle prend un doigt en bouche et le suce avidement. Leffet sur mon excitation est immédiat et ma main saccélère sur ma verge. Elle se masse alors les seins en accélérant elle aussi sa masturbation tout en gémissant de plus belle. La voir prendre son plaisir commence à avoir raison de mon endurance et de ma volonté. Je me sens partir. Mon sexe se gonfle au creux de ma main et ma respiration saccélère. Devinant mon état elle me souffle de ne pas jouir. Ça sonne presque comme un ordre, comme un avertissement, elle me prévient quil serait dommage de me laisser aller maintenant. Je suis donc son conseil et relâche la pression de ma main. Je me caresse le corps et lentre jambe sans plus toucher à mon organe sensible et me délecte de la vision quelle moffre.
Son corps cambré dans son siège, une main malaxant maintenant son sein gauche et lautre pénétrant son antre de plaisir dans un léger bruit de succion. Dans un sourire je lui ordonne moi aussi de ne pas jouir et ma voix tremblante dexcitation la convainc de laisser lorgasme en latence.
De profiter de cette énergie qui a maintenant envahit la terrasse et qui irradie de nos corps nus.
Cette énergie qui palpite à lunisson dans nos têtes, nos curs et nos sexes.
Dun mouvement sensuel elle se lève alors et, sur la pointe des pieds, fais les deux pas qui la sépare de moi. Elle ne me quitte pas du regard durant ce bref instant et fait osciller ses fesses dune démarche de top model sur un podium. Langoureusement, elle vient placer une jambe de chaque côté du siège et sassied sur moi, plaquant ma queue tendue entre mon ventre et son pubis trempé dexcitation. Toujours sans détourner le regard, elle glisse alors les doigts qui sactivaient en elle la minute davant entre mes lèvres. Le gout de son plaisir, la chaleur de son excitation sur ma langue doit irradier jusquà nos sexes collés tant cela me fait de leffet. Une fois nettoyé avidement, elle les retire pour venir membrasser longuement tout en faisant lentement aller et venir son bassin. Je sens son sexe glisser sur le mien, parfois un mouvement de bassin plus prononcé le place à la limite de la pénétration, mais elle se reprend et continue de se masturber sur moi, avec moi. Une main dans mes cheveux, elle guide ma langue sur ses seins. Je la couve de baiser, je la mords affectueusement et elle me le rend bien. Nos gestes ne sont plus mesurés. Mes mains agrippent ses fesses fermement et accentuent les mouvements de son corps. Les siennes me griffent le dos ou se perdent dans mes cheveux. La passion est devenue notre seule guide. La tête penchée en arrière elle accélère le rythme. Ses lèvres intimes glissent sans peine sur ma verge.
Elle augmente la pression. Elle se branle littéralement sur ma queue. Je sens quelle veut jouir et je lencourage de ma voix. Je lui souffle à loreille à quel point elle est belle quand elle prend son pied. Je lui dis comme je voudrais la voir jouir encore et encore. Ses gémissements se font plus soutenus et son souffle saccélère sous leffort et le plaisir conjugués. Dans un ultime geste, elle entoure mon cou de ses bras, se colle à moi et étouffe ses cris de jouissance en mordant mon épaule sous la vague de plaisir qui la submerge.
Elle reste ainsi quelques instants, je profite de son parfum, lui caresse tendrement le dos pour lui soutirer quelques frissons. Puis elle se redresse et membrasse tendrement. Nos langues sentremêlent à nouveau, je sais que je ne men lasserais jamais. Ensuite, elle se laisse lentement glisser à genoux devant moi. Mécarte les cuisses de ses mains et les fait glisser jusquà ma verge brillante de son plaisir. Elle commence par promener un doigt le long de ma tige, puis profite de ce lubrifiant naturel pour madministrer une branlette magistrale. Elle alterne dune main à lautre, tantôt caressantes, tantôt fermes. Tantôt lentes et sensuelles, tantôt rapides et décidées.
Elle me rend fou. Mon excitation est sur une montagne russe et cest elle qui tient la manette.
Quand mon souffle et mes gémissements lui font sentir que je suis sur le point de jouir, elle ralentit ou me lâche complètement, pour recommencer de plus belle quelques secondes plus tard.
Je me laisse aller, me laisse guider. Mes yeux qui nont quasiment pas quitté le manège de ses mains se ferment finalement de plaisir. Et cest ce moment quelle choisit pour prendre ma verge en bouche. Le choc de la chaleur humide de sa langue se promenant autour de mon gland me fais rouvrir les yeux immédiatement. Elle rive son regard dans le mien quelques secondes avant de fermer les yeux à son tour pour mieux se concentrer sur les sensations de mon sexe érigé entre ses lèvres. Mes mains caressent sa tête, sy agrippent pour que cette fellation délicieuse ne sarrête jamais. Ses mains ne sont pas en reste. Lune delle balade ses ongles sur mon corps, à lintérieur de mes cuisses, sur mon torse à men faire frissonner. Tandis que lautre sajoute à sa bouche avide pour augmenter encore les sensations quelle me procure. Sa salive recouvre bientôt ma verge, je la sens couler entre ses lèvres et lubrifier sa main. Le bruit de succion saccorde avec ses gémissements et les miens dans un concerto orgasmique. En bon chef dorchestre, elle accélère la cadence, ses lèvres se resserrent. Je me sens partir, je me vois jouir sur sa langue. Mais le belle joueuse en décide autrement et, dun coup, cesse toute stimulation avec un sourire coquin et provocateur.
Fou de frustration je la saisi par les cheveux et la relève doucement vers moi pour lembrasser.
Le goût salé de mon excitation est encore présent sur sa langue lorsquelle vient à la rencontre de la mienne. Ma queue est tendue comme jamais. Elle palpite denvie lorsque dun geste doux mais sec, je retourne ma belle, dos à moi, et la fais mettre à genoux sur le siège quelle occupait précédemment. Les bras croisés sur le dossier elle y enfouit son visage tout en cambrant ses fesses dans ma direction. Une fessée vient lui faire sentir toute mon envie alors que je magenouille brièvement pour goûter encore à son plaisir. Ma langue saventure en elle, la déguste et lui tire quelques soupirs. Elle ségare ensuite brièvement sur sa rosette pour varier les plaisirs, puis je me relève et dans un même mouvement me plonge littéralement en elle. Ma queue ne marque un temps darrêt quune fois fichée profondément dans son ventre et son cri étouffé résonne en écho avec le mien. Je reste comme ça, immobile pendant quelques instants. Je profite de cette sensation. De la chaleur de son corps, de son sexe. De la vue de son dos élancé et de ses fesses si fermes et si bien dessinées. Puis la frustration me pousse à mactiver. Je lui saisis les hanches comme si elle pouvait sentir mon envie à travers ma poigne. Je caresse son dos, suis le dessin de son tatouage.
Je me penche pour embrasser sa nuque. Irradiée de frissons, ma belle sactive elle aussi. Son corps entier vient à la rencontre de ma queue à chaque aller-retour. Ses fesses claquent sur mon ventre.
Je me sens partir plus dune fois et dois marquer un temps darrêt pour mieux reprendre et elle joue le jeu. Elle me laisse gérer le rythme tout en accentuant mes sensations. La joueuse est douée et elle le sait. Je la désire et elle le sait. Elle en profite. Elle me rend fou, me pousse au bord de lorgasme, me crie son plaisir pour me forcer à marrêter encore et encore.
Alors que je frôle léjaculation une fois de plus, je me retire et la retourne sur le dos.
Le bassin au plus près du bord du siège elle pose un pied sur mon torse et tend son autre jambe par-dessus mon épaule pour me faciliter laccès. Je me plonge en elle de nouveau et, les yeux dans les yeux, lui fait lamour de tout mon être. Une main sur le dossier pour me soutenir, je la pénètre de plus en plus fort, de plus en plus profondément. Ses gémissements saccentuent encore lorsque je porte son pied à mes lèvres et lembrasse, le mordille à mesure que mon plaisir monte.
Je lui dis que je vais jouir et elle me répond vouloir voir ça. Jaccélère alors mes va et viens.
Je la baise fort, passionnément. Notre plaisir monte simultanément et, lorsque je sens le mien arriver à son apogée, je me retire. Immédiatement elle saisit mon sexe trempé de son plaisir et me masturbe rapidement au-dessus de son corps. De son autre main elle sactive sur son clitoris avant que le vide laissé pas ma queue ne fasse retomber son plaisir. Et nous jouissons ensemble sous ses caresses expertes. Ma main se crispe sur sa cheville lorsque mon sperme vient éclabousser ses seins et son ventre. La surprise et lexpression de mon plaisir lui arrache alors un râle presque animal lorsque lorgasme lenvahit.
Éreinté, je porte sa main à ma bouche pour y lécher les quelques gouttes de mon plaisir qui y avait coulé, puis je le porte à ses lèvres dans un baiser tendre et passionné. Ses mains se font finalement caressantes et stimulent nos sexes jusquà ce quils deviennent trop sensibles, signe quil est temps daller prendre une douche et dattaquer cette journée qui sannonce chaude et interminable
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