Maria 3 : Rencontre Sur Une Plage Naturiste
Je dors comme une souche jusquà dix heures du matin et après un petit déjeuner copieux - il faut bien reprendre des forces - je reprends le chemin de chez Maria, me disant que je ne fais pas grand chose dautre depuis vingt quatre heures. Tout est calme à mon arrivée et sur la porte je trouve un papier qui indique « Entrez » avec en dessous entre parenthèse (pour Jean).
Je rentre donc dans la maison silencieuse à la recherche de mon hôtesse. Le grand salon est vide, la cuisine également, je me dirige vers la chambre et en passant devant la salle deau jentends un léger clapotis. Je passe la tête par la porte et vois Maria alanguie dans son bain moussant, la tête renversée en arrière, les yeux clos. Doucement je me déshabille et rentre dans le bain avec elle. Elle nouvre même pas les yeux et un sourire éclaire ses lèvres montrant que cest la réaction quelle attendait. Elle ne se pose même pas la question de savoir si cest bien moi.
Dans ce bain plein de mousse, seule sa tête dépasse et son visage est bien ridé, trahissant son âge. Je me rends compte que javais oublié cette chose, elle était pour moi une femme, agréable à baiser, et pleine denvie. La douceur du bain et le parfum des sels sont agréables, le corps est doux et soyeux, la baignoire spacieuse. Maria, les yeux toujours fermés, se laisse caresser sans oublier de rendre la pareille. Elle rencontre dailleurs mon érection quelle empoigne, massant la verge et les testicules, délicatement. Ses lèvres quémandent des baisers, cest ma langue que je leur offre, elle me place au dessus delle et guide ma verge dans son vagin, je la baise paresseusement, glissant dans son antre adoucie par le bain. La baignoire déborde bien, mais elle nen a cure, toute au plaisir de sentir une bite en elle. Jouvre la bonde et le bain se vide lentement, nous laissant couverts de mousse.
Nous sortons enfin de la baignoire, non sans quelques glissades involontaires et nous séchons mutuellement, prétexte à des caresses.
"Mon Dieu ! Je suis affreuse ! Vous voulez encore de moi en me voyant ainsi ?
Vos cernes sont ceux du plaisir, vos rides sont sensuelles, quand à votre corps, jen ai tellement fait le tour depuis hier, que je nai pas besoin de miroir pour le connaître et lapprécier.
Cest vrai que depuis un jour jai rattrapé dix ans de chasteté !
Dix ans ! Mais votre mari na disparu que depuis trois !
Oui mais les dernières années il nétait plus
ardent !
Et vous, vous naviez pas denvies ?
Je my étais faite, pensant que cétait ça la vieillesse ! Cest vous qui avez réveillé mes envies !
Je crois quelles sont bien réveillées vu nos exploits dhier, y compris avec Hélène !
Oh ! Je vous ai choqué avec elle ? Vous savez, cest la première fois de ma vie que je fais lamour avec une femme !
Et je crois que vous avez aimé !
Oui ! Mais petit cochon, vous nous avez laissé un drôle de cadeau en partant !
Cétait désagréable ?
Non mais très surprenant et savez vous comment nous nous en sommes débarrassées ?
Expliquez-moi !
Nous nous sommes mises tête bêche et lavons mangée dans nos chattes respectives !
Et cest moi qui suis un cochon ? Vous mavez lair bien vicieuses vous aussi !
Je ne me croyais pas comme cela, cest vous qui mavez donné toutes ces idées !
Et avec Hélène, vous ny aviez jamais pensé ?
Non, vraiment pas !
Au fait, elle est partie ?
Oui et elle ne peut venir se balader avec nous. Mais où allons-nous ?
Cest une surprise !
Mais comment shabiller ?
Décontractée ça ira. Prenez une serviette ou une natte pour sasseoir, mais ne mettez pas de culotte
Oh ! mais je nai pas lhabitude et puis
Ne vous inquiétez pas ! Vous pouvez prendre quelque chose à manger et à boire ?
Daccord ! »
Le voyage est calme si ce nest que je glisse de temps en temps ma main sous sa robe pour tâter sa motte épilée et sa chatte bien chaude.
"Nous allons sur la côte ? dit-elle lorsque lon traverse Tyrosse.
Oui, nous allons à la plage !
Mais... il y a dix ans que je nai pas été sur une plage ! Et je nai pas pris de maillot !
Moi non plus, nous allons sur une plage naturiste, cest ça la surprise ! Et puis il y deux jours cela faisait dix ans que vous naviez pas fait lamour !
Mais
tout de même
Vous ny pensez pas ! A mon âge !
Votre age ne vous empêche pas de vous envoyer en lair avec un jeune qui apprécie vos appâts !
Ce nest pas pareil ! Personne ne me voit
Moi je vous vois et je vous trouve très bien, je crois vous lavoir montré ?
Mais
Nue.. comme ça
au milieu des gens !!
Vous verrez, sur une plage naturiste, il ny a pas ces problèmes de look que lon retrouve ailleurs. Il y a des jeunes, des vieux, des gros, des maigres, des s, mais surtout une grande liberté.
Tout de même ! je me vois mal...
Moi je vous y vois bien au contraire !
Mais les gens vont se rendre compte que
. Je suis
épilée
vous savez !
Il y a aussi des poilus, des sans poils, aucun problème. Les gens ne vous regardent pas ment. »
La conversation nous a entraînée jusquà proximité de la plage, une route inconnue pour elle et très tranquille, au bout de laquelle quelques voitures sont garées.
"En cette saison nous sommes début juin - il y a peu de monde. Nous serons tranquilles, pas de promiscuité à craindre ».
Je gare la voiture sous les arbres un peu en retrait de la route. Nous sortons les affaires, panier, serviettes et je lentraîne par la main pour escalader la dune marrêtant parfois pour souffler un peu. Du haut de la dune je repère un endroit un peu éloigné de lentrée et assez isolé. Jinstalle les serviettes puis je me déshabille.
"Allons, laissez vous aller ! Vous verrez, cest très agréable. » Jentreprends de défaire les boutons de sa robe, elle se laisse faire mollement, mais ne soppose pas à mon action. Elle est bientôt nue mis à part le soutien gorge quelle avait mis sous la robe. Se rendant compte elle même de cette incongruité, elle lenlève seule et se couche sur la serviette, façon de se protéger des regards éventuels.
Il faut protéger votre peau du soleil, surtout les parties sensibles, dis-je. Jai apporté de lécran total car votre peau blanche ne va pas supporter le soleil. »
Elle se tourne sur le ventre et je commence lapplication, imprégnant bien le dos et les épaules, je ne lésine pas sur la quantité car je ne voudrais pas quelle ait un mauvais souvenir, je masse son corps alangui, la tête posée sur les mains croisées, je descends sur les reins et les fesses, dans un premier temps, puis je descends sur les jambes où quelques veines bleues trahissent lage, la lotion glisse bien malgré labsence dépilation, je me dis quune séance totale sera bienvenue. Jarrive aux chevilles, puis je remonte lentement par les mollets, lintérieur des cuisses que je fais écarter pour arriver dans la fente des fesses où jinsinue mes doigts. Elle a un petit mouvement de refus puis se relâche et écarte les cuisses. Jinsiste malicieusement entre ses fesses, ce qui a pour effet de raidir ma verge. Heureusement il ny a personne sur la plage et ma compagne est de dos. Ses fesses somptueuses ont droit à un traitement spécial afin de les protéger au maximum, mais aussi pour le plaisir de malaxer les chairs.
Toutes les parties accessibles de ce côté étant maintenant bien imprégnées, je demande à Maria de se retourner, ce quelle fait sans problème. Une main frôle ma queue sans le vouloir mais Maria qui doit être dans le même état, se rend compte de mon excitation et un sourire sur les lèvres elle lempoigne au passage, pour la caresser discrètement.
Étalée sur le dos, sa lourde poitrine sétale sur le côté de façon touchante, les seins plus blancs encore que le reste du corps ne semble jamais avoir vu le soleil, le pubis, fraîchement épilé est lui aussi particulièrement pâle.
"Il va falloir bien enduire ça de crème » dis-je en commençant à étaler la lotion. Maria à mis ses mains derrière la tête exposant le dessous des bras lui aussi bien blanc, dans cette position, les seins remontent mais les muscles des bras et la peau flétrie trahissent son age. Je masse bien les bras, les aisselles, les seins, sur lesquels je mattarde bien sûr, le ventre, aux muscles relâchés, montre une rondeur sympathique et confortable. Le pubis enfin, où malgré une légère crispation elle laisse aller ma main qui sinsinue dans la fente en écartant les cuisses. La séance dure plus quil ne faut, pour mon plaisir et visiblement aussi du sien. Le devant des cuisses et des jambes a droit lui aussi au même traitement, jusquau dessus des pieds dont les ongles vernis prouvent que la dame sentretient.
Lorsque jai fini mon ouvrage jannonce quil faudra recommencer dans une heure lorsque la peau ne sera plus protégée, en attendant je menduis moi-même de la lotion en insistant aussi sur les parties sensibles des fesses et du pubis, laissant ma compagne à son bien-être, je mallonge à ses côtés, en profite pour déposer un baiser sur ses lèvres et lenlacer.
"Voyou ! me dit-elle, jai honte dêtre ainsi, mais je suis aussi très excitée !
Je vous avez dis que cétait génial !
Génial ! Cest vrai, cest un terme de jeune mais jaime. Avant de vous lasser de moi, promettez moi de me faire découvrir plein de choses comme ça !
Si vous me faites confiance, pas de problème, ce ne sera jamais pour vous avilir mais pour ouvrir des portes secrètes à votre plaisir »
Je suis couché sur le côté contre elle, et elle profite pour attr mon sexe bien bandé et me susurre à loreille :
"Je crois que ce nest pas QUE pour MON plaisir, vous aussi en profitez !
Bien sûr, car le plaisir de lun sert au plaisir de lautre »
Je niche ma tête sous son bras, ou son odeur de femme chaude se mélange aux effluves de la lotion, le bras en travers de son corps, une main sur le sein qui palpite.
Une petite pause pendant laquelle nous devons somnoler et un léger mouvement me ramène à la réalité. Il y a une demi-heure que nous sommes sur la plage, et lenvie de me baigner me fait redresser pour regarder locéan. Le flot est calme, la marée basse sétale sur le sable. Sur la plage, pratiquement personne dun côté et de lautre, seul à une centaine de mètres, un groupe sest installé, on le distingue mal.
Maria somnole toujours et je la réveille, lui précisant quil vaut mieux ne pas sexposer trop du même côté.
"Voulez-vous venir vous baigner avec moi ?
Je noserais pas voyons !
Je croyais que vous me faisiez confiance ! Venez, vous ne risquez rien ! Il ny a personne et il ny a pas de vagues. »
Je me lève, lattrapant par un bras pour la soulever. Résistant un peu, elle se laisse faire malgré tout et toujours sa main dans la mienne nous marchons tranquillement vers le bord de leau.
"Nest-ce pas agréable de marcher ainsi, nus sur le sable avec la brise qui nous caresse ?
Oui ! Cest étrange comme sensation, mais très agréable !
Vous êtes formidable ! dis-je en déposant un baiser sur ses lèvres et en lenlaçant
On pourrait nous voir, dit-elle en tentant de se dégager mollement.
Personne ne nous connaît et puis, jaime bien montrer que je suis votre amant.
Moi aussi, mais je ne peux mempêcher de penser malgré moi que ce nest pas bien, vous savez jai des années de frustrations à rattr et puis... de mon temps...
Je ris de lexpression ce qui la surprend
Pourquoi riez-vous ?
Je lui explique et nous rions ensemble »
Nous avons atteint le bord de leau et si le premier contact est surprenant, leau nest pas trop fraîche malgré la saison. Petit à petit nous rentrons dans leau. Maria sursaute lorsquune vague vient éclabousser son pubis. La fraîcheur relative pour linstant nous prend toute notre attention, mais une fois entrés complètement dans leau, le plaisir commence et nous jouons comme des s, ce qui fait rire ma compagne, elle saccroche à mon cou et jen profite pour la peloter, ses seins portés par leau sont plus arrogants, je les masse en pinçant les tétons. Maria membrasse fougueusement oubliant quelle nue au milieu de la mer et que lon la voie sébattre. Cest vrai quil ny a pas grand monde et que locéan nous isole du reste de la plage. Moi aussi dailleurs, joublie que la femme avec qui je batifole à presque 70 ans. Nos jeux sont de moins en moins innocents, les mains se font insidieuses, moi dans son vagin elle sur ma verge.
"Je ne vais pas pouvoir sortir de leau dans cet état lui dis-je. Ce nest pas correct
Vous en avez de bonnes, vous ! Vous me faites mettre nue sur une plage au milieu de tout le monde, à mon âge et vous, pour un détail, vous reculez.
Un détail très apparent tout de même et sur une plage naturiste ce nest pas bien vu
Il faut alors que je vous achève dans leau ?
Je préférerais autrement et puis, je ne suis pas inépuisable ! Mais si vous avez envie !! »
Tout ce dialogue irréel se passe au milieu des vagues, Maria me tenant bien en main, celle-ci sactivant sur mon sexe.
"Ce serait mieux si vous veniez vous planter sur ma bite dis-je de manière volontairement grossière. Leau va rendre lopération plus facile. Mettez vos jambes autour de moi »!
Elle saccroche à mon cou et se soulevant aisément dans leau, vient senrouler autour de mes hanches. Je guide mon sexe dans le sien et la pénètre. Au gré des flots nous copulons doucement. Moi je marche dans leau afin de donner du mouvement, elle, règle la cadence. Plusieurs fois nos mouvements provoquent des « sorties intempestives » nous rions de bon cur tout en nous embrassant avec fougue.
La fatigue et la fraîcheur relative de locéan nous font sortir de leau après un bon moment. Laissant sortir ma partenaire seule, je replonge pour nager et surtout faire redescendre mon érection et revenir à une apparence moins obscène. Maria sest assise au bord de leau et me regarde nager. En fait, lorsque je reviens enfin vers elle, elle mavoue ne pas oser rejoindre notre place, seule et nue. Nous restons assis un moment face à locéan dont parfois quelques vagues viennent lécher nos pieds. La chaleur du soleil pénètre nos corps, afin déviter un coup de soleil, je propose à ma compagne de revenir à nos serviettes pour remettre de la lotion.
La plage sest un peu remplie, quelques couples ou familles se sont installés, mais ce nest pas encore laffluence du plein été. Je laisse Maria prendre deux ou trois pas davance, afin dadmirer sa croupe et son corps, qui malgré son age supporte bien la comparaison sous ce beau soleil et ses hanches qui se balancent à cause de la marche e dans le sable, sont du plus bel effet.
Elle se rend compte quelle est esseulée et sarrête pour se retourner. Voyant mon regard, elle sourit et me tend la main :
"Espèce de voyeur ! Vous navez pas honte ? »
Je sens que ma trique est en train de me reprendre, aussi, attrapant sa main, je pars en courant vers notre serviette. En arrivant près de notre « petit coin » nous voyons un couple qui sest installé à une dizaine de mètres. Ils sont eux même surpris, nayant pas vu nos serviettes, un peu dissimulées par un repli du terrain.
Maria se couche du côté opposé au couple faisant de moi une sorte de paravent pour la cacher. La dame, qui a vu son trouble, minterpelle :
"Excusez-nous, nous navions pas vu quil y avait quelquun aussi près, lorsque nous nous sommes installés !
Il ny a pas de mal dis-je malgré le coup de coude de Maria dans mon dos. Nous sommes restés un moment dans leau qui est excellente une fois dedans.
Cest vrai que cest bien calme, je naime pas beaucoup me baigner mais mon mari va sûrement se régaler » !
Celui-ci se relève pour nous saluer
"Nous navions pas vu vos affaires, sinon nous serions restés plus loin !
Cela na pas dimportance pour moi, mais pour mon amie, cest la première fois quelle fréquente cette plage. un autre coup de coude de Maria
Nous pouvons nous éloigner !
Pas du tout ! Vous ne nous dérangez pas. En cette saison on est loin de laffluence.
Vous êtes un habitué ?
Jy viens depuis une vingtaine dannées, mais pas régulièrement.
Nous avons découvert cet endroit depuis peu, continue la dame, qui a manifestement envie de parler,. Mon mari a été muté à Bayonne, venant de la région parisienne et nous avons longtemps cherché à nous loger. Plus nous nous éloignions de Bayonne, plus lidée de trouver quelque chose près de la côte nous est venue. Nous avons fini par trouver une maison à deux kilomètres dici et en nous promenant, nous avons découvert la plage.
Vous faisiez déjà du naturisme ?
Non ! Nous naimons pas le principe du camp mais ici cest la liberté !
Moi cest pareil !
En semaine je ne peux venir étant toute seule, nous venons le soir, mais le week-end nous pouvons en profiter plus longtemps.
Ce doit être très agréable en effet de vivre ainsi, surtout en venant de la région parisienne.
Oui, en fait, rajoute lhomme, dautant que je mets deux fois moins de temps pour me rendre au travail et de façon plus agréable, et puis le soir quel plaisir de se retrouver en pleine nature.
Vous êtes chanceux !
Mais vous même, vous habitez la région, si ce nest pas indiscret ?
Oui, un village au centre du département des Pyrénées Atlantiques, notre chance est dêtre à la fois proche de la mer comme de la montagne. »
Maria, qui est restée en dehors de la conversation est toujours couchée derrière moi, de temps en temps me tape les fesses pour me dire darrêter. Le petit jeu mamuse et jai aussi envie de la brusquer pour quelle se montre aux autres.
"Excusez-moi si je vous parais indiscrète, mais avec mon ami, nous avons 15 ans décart, jai 28 ans et lui 43, nous avons remarqué que dans votre couple il devait aussi y avoir un écart entre vous mais... dans lautre sens... excusez moi ... madame dit-elle en essayant de sadresser à Maria qui je le sens se contracte.
Nous avons 18 ans décart dis-je et pour préciser jajoute, jai moi même 50 ans
Vous semblez très
amoureux pardon - il y a longtemps que
vous êtes
ensemble...
Ma femme est très indiscrète, excusez-la.» vient interrompre lhomme en la prenant à lépaule et lembrassant, mais elle est jeune et na pas beaucoup de connaissances, ni de la vie, ni des gens dici. Depuis 12 ans que nous sommes ensemble elle ne sort jamais sans moi, même si je lencourage à voir dautres personnes.
Ce nest rien. » dis-je « mais pour être franc, avec mon amie cela ne fait même pas deux jours que nous nous connaissons et depuis hier matin, elle fait beaucoup dexpériences ! »
Maria ma carrément pincé lors de ma dernière phrase, elle doit être dans tous ses états, mais la tête de nos voisins est aussi drôle à voir tant ils sont éberlués.
"Vous fumez ? me propose la petite blonde en me montrant un paquet
Oui merci »
Elle sapproche pour me tendre le paquet. Elle est très jolie et déjà bien bronzée.
- "Madame ! Vous en voulez une » ? Dit-elle en allant vers Maria. Celle-ci a un regard un peu affolé, mais le sourire de la blonde la décontracte. Elle saisi une cigarette et pour cela, est obligée de sasseoir, dautant que la jeune dame lui tend du feu. Celle-ci sassoit à côté de nous, sans complexe afin de continuer la conversation.
"Vous devriez mettre de la crème, Madame, dit-elle, votre peau est claire et peu habituée au soleil et elle pourrait brûler, moi même, dont la peau est maintenant habituée, je me protège toujours. Jai une lotion très efficace dans mon sac, elle protège super bien et permet un joli bronzage. Attendez, je vais la chercher »
Sans laisser le temps à Maria de rétorquer, elle court à son sac et revient avec le flacon. Cest un spray, dit-elle, cest très pratique. Maria se laisse faire sans rien rétorquer, comme hypnotisée par cette femme qui pourrait être sa fille et qui la commande. Comme tout à lheure avec moi elle sabandonne, couchée sur le ventre. La fille lui enduit le dos lentement comme une caresse, elle sest mise à cheval sur les cuisses de Maria et sapplique dans sa tâche. Elle atteint le fessier après avoir longuement enduit les flancs et les hanches dune manière voluptueuse. Maria est abandonnée à la caresse et je me rends compte que comme moi, son mari et très intéressé par le spectacle, sa bite, comme la mienne, ayant tendance à se redresser. Tient, tient !!
De façon à lintégrer un peu plus, je lui propose de se rapprocher de nous, ce dont il ne se fait pas prier. Nous sommes donc tous les deux en contemplation et mon compagnon, maintenant quil est proche, sadresse à sa femme.
"Chérie ! Enduit bien lintérieur des cuisses et derrière les genoux cest très sensible ! »
Maria tourne la tête en entendant la voix si proche, elle nous trouve les trois autour delle et ne peut réprimer un haut le corps
"Mais voyons, arrêtez ! Je suis vieille et grosse ! laissez-moi !
Mais non ! Ne croyez pas çà ! répond la fille, je vous trouve très bien
Moi aussi. Rajoute son mari, je crois que nous sommes trois à vous apprécier ! »
Maria ne sais plus quoi faire ni quoi dire, les caresses sur son corps, la douce chaleur du soleil et peut-être lhumidité de son sexe la mettent dans un état réceptif qui la fait sabandonner.
"Retournez-vous, lui demande la fille, je vais enduire aussi le devant. »
Maria se retourne sur le dos et par un dernier réflexe du pudeur, met un bras sur ses yeux, la fille, sest installée non plus à cheval mais à genoux entre les cuisses ce qui a pour effet de faire écarter les jambes de Maria qui nous dévoile ainsi son entrejambe totalement épilé.
"Valérie chérie, dit lhomme, dévoilant ainsi le prénom de sa compagne, mets-en bien sur les seins, qui nont pas lhabitude du soleil »
Le conseil est superflu car Valérie sacquitte fort bien de sa tâche semblant y prendre plaisir, elle descend sur le ventre puis le pubis, rajoutant chaque fois de la lotion. Le centre du corps de Maria est maintenant lobjet de toutes ses attentions, elle insiste bien dans le creux de laine, descend entre les globes fessiers puis revient vers la fente ou elle immisce ses doigts, dévoyant un peu sa mission pour carrément donner des caresses sur le clito et dans la fente. Une branlette que Maria ne refuse pas et même apprécie vu la poitrine qui se soulève et les soupirs qui séchappent de ses lèvres. La douce caresse se prolonge un bon moment, jetant un il vers mon voisin je vois sa tige bien dressée par la vision de sa femme branlant la mienne. Je lui fais signe de sapprocher doucement puis prenant sa main, je la guide dans la vulve de Maria afin de remplacer en douceur la main de Valérie. Celle-ci sécarte mais reste entre les jambes de Maria qui ne sest rendu compte de rien. La chose se présentant bien, je glisse ma main sous les fesses de Valérie pour lui rendre la caresse que son homme fait à Maria. Elle facilite le passage et je trouve un antre bien chaud et bien humide preuve de leffet produit sur elle par les caresses quelle a prodiguées.
Je jette tout de même un il alentour afin de massurer que personne ne nous observe, mais les groupes sont loin et ne soccupent pas de nous. Dans nos positions respectives les visages de Valérie et de son homme dont jignore encore le nom sont proches et celui-ci en profite pour lembrasser, peut-être pour lassurer de son attention malgré la caresse dispensée à Maria. Valérie, dont la main est libre, en profite pour agripper le sexe de son homme pour le branlocher. Décidément ce couple na pas froid aux yeux et çà me plais ! La surprise est totale lorsque la jeune vicieuse att mon poignet et pose ma main libre sur la tige de son homme. Je ne me fais pas prier pour branler lhomme et même malaxer ses couilles. Lhomme se laisse faire et continue son office dans le con de Maria. Nous sommes ainsi reliés par nos sexes, car La vicieuse Valérie à attrapé le mien après avoir lâché son homme. Si cela continue, cela va dégénérer en partouze, or ce nest tout de même pas le lieu.
"Nous ne pouvons continuer ainsi dis-je à mes compagnons.
Cest vrai répond lhomme dont je tiens la bite sans connaître le nom, nous allons nous baigner et après, si vous le voulez, nous pouvons aller chez nous ! »
Maria a ouvert les yeux et nous voit autour delle et surtout voit la main qui fouille son sexe et se rend compte que ce nest plus celle de la femme mais celle de lhomme ? Par réflexe elle pose la sienne dessus mais se ravise et laisse faire. Décidément très coopérative pour ce qui concerne la découverte de nouveaux plaisirs. Elle découvre aussi ma main sur le sexe de lhomme, a lair étonnée mais ne manifeste aucune réprobation, il faut dire que elle aussi apprécie les amours homosexuelles.
Lattitude de notre groupe peut tout de même paraître curieuse aussi, à regrets, nous reprenons des positions plus normales et lorsque nos sexes je parle pour les hommes reprennent des proportions plus convenables pour arpenter la plage. Nous en profitons pour faire connaissance, en riant je touche la main de mon compagnon après lui avoir touché le sexe cest assez marrant dy penser !
« Je mappelle Jeremy me dit mon compagnon, Valérie, ma compagne depuis 12ans
Moi cest Jean et voilà Maria ma compagne depuis
, je regarde lheure, depuis 28 heures !
Eh bien vous ne perdez pas de temps ! Réplique-t-il.
Les événements se sont enchaînés assez vite en effet, il faut dire que Maria est particulièrement réceptive. Ne trouvez vous pas quelle a beaucoup de charme ?
Mais si, justement avec Valérie, lorsque vous reveniez tout à lheure, nous faisions la réflexion que cette femme, malgré son age pardon Maria disons dun age supérieur au notre, enfin surtout au mien, bref, nous la trouvions très belle et ce qui nous a frappé cest son pubis rasé, ce qui est rare chez les... bon je vais encore me planter !
Cest moi qui laie rasée hier matin, à sa demande, car elle trouvait que sur moi cétait bien.
Vous aussi vous vous rasez ?
Oui le sexe, les testicules et même les fesses. Jaime bien sentir cette douceur et mes ami(e)s aussi. » Le terme est suffisamment bisexué pour laisser planer un doute.
« Vous aimez ? demande Valérie à Maria toujours un peu en retrait.
Je me trouve encore plus « nue » comme cela, mais au point ou jen suis
jadore ! depuis hier je ratt vingt ans ou plus de retard et à mon âge dit-elle en clignant de lil, montrant quelle ne tient pas rigueur à nos nouveaux amis, je nai plus de temps à perdre ! »
Nous rions de bon cur de lenthousiasme de notre amie qui au moins se lâche complètement. La saisissant chacun par un bras, nous lentraînons vers leau afin de nous rafraîchir avant de quitter la plage. Main dans la main tous les quatre, les deux femmes au milieu, nous marchons vers locéan, groupe sûrement singulier où Jérémy tient la main de Maria qui tient Valérie qui me tient. Bien malin celui qui reconstiait les couples à ce moment là !
Leau vivifiante est toujours aussi agréable et notre quatuor samuse un petit moment, il semble que les deux femmes qui ont pourtant 40 ans décart, soient très complices ! Dans leau la différence se gomme sûrement même si le visage buriné et pâle de Maria contraste avec celui bien lisse et bronzé de Valérie. Laissant les femmes batifoler, je méloigne pour nager et plonger un peu, jen profite pour conseiller Jérémy qui ne connaît pas les dangers des plages landaises et de ses trop fameuses « baïnes ». Les plages naturistes ne sont pas surveillées, il faut donc faire attention. Trouvant un bout de liège qui flotte, je le lance à quelques mètres devant nous et lui demande dobserver.
"Nous sommes à la fin de la marée montante, cest le moment le plus dangereux, regarde le bouchon ! Il séloigne vers le large et à notre droite assez rapidement. Dans ce cas, il ne faut surtout pas lutter, dis-je, le courant tire vers le large et il ny a rien à faire, il faut se laisser porter, cela va jusquà 300 m du bord ou plus et il va faire une boucle qui va le ramener vers la plage, à ce moment là on peut rentrer.
Javais entendu parler de risques mais je ne savais pas ce quil y avait.
Beaucoup se font surprendre, surtout avec une mer calme comme là, dailleurs, revenons au bord. Tu vois cest un peu dur, pars en travers, suis moi ! »
Nous revoilà avec les femmes qui sont restées au bord dans les vagues et samusent bien. Nous décidons de sortir afin de nous sécher avant de quitter la plage. Nous quittons la plage et arrivés aux voitures nous constatons quelles se trouvent à côté lune de lautre, coïncidence !
La voiture de nos nouveaux amis est une sorte de buggy et je vois que les quatre pneus qui sont à plat !
"Ce nest rien dit Jeremy ! jai bricolé la voiture pour que les roues se dégonflent et il faut la redémarrer pour regonfler. Comme les roues sont verrouillées on ne peut pas me la voler !
Et si on la démarre ?
Cest protégé par un code vraiment tordu. En fait, je suis ingénieur en aéronautique et jaime bien bricoler. Lavantage ici cest que jai une super voiture pour la plage et je suis tranquille. »
Les femmes décident de partir ensemble avec la voiture de Maria et nous prenons le buggy. En fait cest un 4X4 avec des gros pneus sable basse pression, on peut passer partout.
"Mais cest interdit !
Je connais les gardes avec qui je sors en forêt, je les ai dépannés et ils mont donné les itinéraires autorisés, je ne vais sur les dunes ou la plage quavec eux quand ils ont besoin. Jai effectué aussi des reconnaissances avec les pompiers pour les zones quils ne peuvent atteindre avec leurs engins »
Le petit véhicule est très bien fini avec des sièges baquets de bonnes ceintures type rallye, et un arceau le tout dans une couleur grenat et des touches de beige clair du plus bel effet. Nous coupons par la forêt pour profiter du véhicule. Jeremy pilote bien et la balade est super. Nous arrivons par ce moyen, avant les femmes qui dailleurs se sont arrêtées en route pour faire des courses. Notre hôte me fait faire le tour de leur maison. A larrivée des femmes, Valérie déclare :
-« Nous passons à la douche ! Prenez un verre en attendant ! »
La propriété est agréable avec un parc planté de pins, une bonne surface qui permet lisolement et elle a été arrangée avec goût par le propriétaire
« Nous voudrions lacheter, mais le propriétaire ne veut pas sen séparer, même sil ne vient jamais. Nous ne lavons jamais vu, tout sest passé par agence.
Cest vrai que si vous restez par ici cela vaudrait le coup dacheter surtout placée comme elle est, mais ce ne doit pas être donné !
Vu le loyer je ne sais pas sil demanderait beaucoup et puis jai quelques moyens, jespère quil se laissera convaincre et pour nous ce serait aussi un placement. »
Après avoir fait le tour, ainsi que laménagement intérieur, en passant devant la salle deau nous avons entendu du bruit et avons laissé les dames à leurs ablutions avec un sourire complice, nous nous installons dans le grand living , face à la baie qui éclaire la pièce au sol en terre cuite. La vieille grange landaise a beaucoup de charme. Jeremy nous sert de la bière bien fraîche et nous discutons tranquillement en attendant les femmes.
Elles arrivent au bout dun moment, nues, se tenant par la main et se présentent devant nous. Jeremy, le premier, se rend compte que sa femme sest épilée totalement !
« Je voulais faire comme Maria, dit celle-ci, comment trouvez-vous ?
Cest très joli dis-je, mais je vois que vous avez supprimé aussi la petite touffe Maria !
Oui, finalement je préfère ainsi me dit-elle vous aimez ?
Oui beaucoup !
En roulant, jai demandé à Maria si elle voulait bien mépiler aussi, cest vrai que ma main sous sa jupe trouvait cela très agréable !
Si je comprends bien, vous vous êtes bien excitées toutes les deux rétorque son homme.
Nous avons acheté le nécessaire et
même plus ! dit-elle avec un sourire. Et Maria, une fois quelle a eu fini de me raser, pour me féliciter, ma fait un superbe cuni sur mon bouton sans poils, je ne lui connaissais pas ce savoir !
Elle a appris hier, dis-je malicieusement, avec une amie ! »
Nos hôtes en restent babas ! Valérie vient sasseoir sur les genoux de son homme et en lembrassant lui dit quil est temps que nous passions aussi sous la douche.
« Ne faites pas de bêtises, les hommes ! Nous avons besoin de vous ! »
En passant près de Maria je lenlace et lembrasse tout en passant la main entre ses cuisses glabres. « Je vous trouve super ! » dis-je. Elle me retient un peu me glissant au passage :
« cest vous qui me faites faire des folies ! A mon âge !
Vous faites une grand-mère très délurée et je crois que beaucoup aimeraient être comme vous ! »
Nous passons à la douche pour nous savonner. La salle deau est grande et comporte une douche et une baignoire. Jeremy me laisse la première. Alors que je me rince, il me demande :
« que penses-tu si je me rasais moi aussi comme toi ?
Moi jaime, il faut lentretenir chaque jour comme la barbe mais cest très agréable
Tu peux me montrer comment faire ? »
Prenant le rasoir laissé par les femmes, je me le passe, même si je nai pas trop besoin, pour montrer comment je procède
« Tu doit tailler dabord les poils les plus longs avant de passer le rasoir »
Nous-nous affairons chacun de notre côté. Lorsquil a fini son ouvrage, je lui passe le rasoir et le regarde faire. Leffet de ma manipulation et le spectacle que moffre Jeremy, provoque une érection que remarque mon compagnon, il faut dire que lui aussi à une belle trique. Je lui passe le rasoir tout en me séchant et jadmire sa musculature fini et son corps déjà bronzé.
« Je ne sais pas si cest bon me dit-il, ce nest pas évident ! »
Je mapproche de lui pour vérifier son travail, je le fais tourner, en écartant les fesses, je vois quelques poils qui y sont encore. Avec le rasoir, je fignole le travail le faisant pencher en avant et écartant lui-même ses fesses Par dessous je vois que la situation lui procure une belle érection, car montrer ainsi son trou à un presque- inconnu, par jeu, je mattarde sur son entre-fesses qui est ainsi bien dégagé, je me retiens de ne pas y mettre le doigt ou la langue, persuadé que Jeremy ne sy opposerait pas mais ne voulant pas brusquer les choses. Je termine mon « travail » et lui demande de se retourner. Jatt ses testicules pour les soulever et finir mon ouvrage, Jeremy se laisse faire, ses bourses sont bien lisses et jenlève quelques poils restés sur le scrotum, puis je prends son sexe en main et le caresse un peu, Jeremy se laisse faire et a lair dapprécier, japproche alors mon visage et gobe son sexe pour le sucer avec délectation. Jeremy pose une main sur ma tête, mencourageant de la sorte à continuer la pipe dont je le gratifie. Je le pompe, avalant complètement le chibre ou léchant le gland tout en massant les bourses lisses. Jarrête tout de même mon action pour ne pas le vider, selon les désirs de Valérie. Je me redresse tout en passant la main sur les bourses et le sexe. Jeremy est cabré, encore en attente de caresses. Je mapproche de son visage pour lembrasser et sans hésitation il me rend mon baiser. Ouvrant les yeux, il me sourit attrapant ma bite pour la caresser.
« Ces dames ont demandé de rester sage et den garder dis-je
Laisse-moi te sucer, moi aussi, jai envie !
Tu las déjà fait ?
Non, mais jai envie ! »
Il se glisse à genoux et entreprend de me rendre ma caresse. Il sen sort très bien, il faut dire quun mec sait ce quil faut faire à une bite. Je le laisse faire dautant plus que jy prends plaisir. Il ne se contente pas de me bouffer la queue et de malaxer les couilles mais il pince aussi un téton et caresse mon torse. Le bougre est doué, aussi je lui rends la pareille en pinçant ses tétons qui paraissent sensibles. Notre jeu dure un petit moment puis je relève Jeremy et nous échangeons un baiser profond, nos queues se frottant lune à lautre. Nous sommes bien excités, mais nous arrêtons tout de même pour retourner vers nos femmes qui doivent trouver le temps long.
En arrivant au living, comme par provocation, Jeremy prend ma main et nous nous présentons aux dames, bien au garde à vous ! Celles-ci, pas vraiment inquiètes de notre absence, sont étalées sur le canapé et se font des langues tout en se caressant. En nous découvrant, elles ont un sourire ravi.
« Vous voyez, les hommes, que lon peut aussi se passer de vous !
Mais pour nous cest pareil, dit Jeremy tout en attrapant mon sexe bandé et devant les femmes médusées, il sagenouille et reprend la pipe entamée
Vous voyez que nous savons nous débrouiller, dis-je, mais approchez donc ! »
Les deux femmes viennent se joindre à Jeremy, Valérie membrasse tout en caressant la tête de son homme, qui levant les yeux vers elle, la fixe intensément, sans lâcher le sexe dans sa bouche. Maria att mon téton gauche entre ses lèvres et elle aussi caresse la tête de Jeremy pour approuver son geste. Une autre idée germe dans son esprit et elle mabandonne à Valérie pour se glisser entre les jambes de Jeremy afin de le sucer.
La situation et les caresses mexcitent tellement que je crains de ne pas tenir longtemps. Je profite dun moment ou Jeremy me lâche pour prendre Valérie par la taille et la retourner à genoux, le buste et la tête sur le canapé. Agenouillé entre ses cuisses, je me guide en elle et la pénètre sans grande difficulté tellement elle est mouillée. Voyant le tableau, Jeremy att Maria par les épaules et la positionne à côté de sa femme. Nous voilà tous les deux, baisant la « femme » de lautre ! Celles-ci ne tardent pas à coller leurs lèvres et se caresser comme elles le peuvent. Nous-nous regardons entre hommes en souriant. Jeremy, me colle la main aux fesses, glissant un doigt pour titiller mon anus. Jen fait de même et mon compagnon ne tarde pas à jouir au fond du vagin de ma compagne. Je prends mon temps pour limer Valérie dont le corps parfait, les hanches larges sur une taille de guêpe, sont un plaisir des yeux autant que du corps. Je me vide en elle alors que Jeremy, couché sur Maria lui embrasse la nuque tout en la caressant.
Nous-nous retrouvons les quatre, assis contre le canapé, pour récupérer après cette débauche.
« Mes salauds ! Déclare Valérie, vous me faites de beaux petits pédés !
Dabord, nous ne sommes pas pédés et nous lavons prouvé, mais toute forme de plaisir est bonne à explorer et vous même, vous ne vous êtes pas privées de vous gouiner !
Un à un ! Rigole Jeremy après la réponse, nous faisons un beau quatuor de vicieux !
Pour ma part conclu Maria, je dois dire que en moins de deux jours jexplose tous mes principes et découvre des plaisirs inouïs ! Rendez vous compte, jai subi un lavement, je me suis faite sodomiser, jai baisé avec une femme, à trois, maintenant à quatre et tout ça à soixante huit ans, après une vie rangée et fidèle ! Il ne me reste plus quà recevoir une fessée ou que sais-je encore !
Cela pourrait arriver aussi dis-je en riant, tout en la serrant dans mon bras et lembrassant.»
Après avoir « reconstitué » les couples « légitimes », enlacés et heureux, nous partageons la « cigarette après lamour », nous restons ainsi et je relate à nos amis les dernières vingt quatre heures, mais aussi les premières de notre couple !
« En fait, ma chère Maria, cest vous qui lavez dragué ce « petit jeune »
Disons que jai provoqué son action, même si jai failli arrêter. Mais je ne regrette pas de mêtre abandonnée.
Il faut tout de même que je précise une chose dis-je. En fait larticle que soit-disant je devais écrire, nétait quun prétexte pour approcher Maria. Je lavais remarquée quelques temps avant et métais dis quil fallait essayer quelque chose.
Oh ! Voyou ! sécrie ma voisine, vous prétendez que cest vous qui mavez draguée ?
Valérie est très intéressée par lépisode des lavements. Je lui explique quil ne faut pas r de ce genre de pratiques afin de laisser la flore intestinale se reconsti normalement. En rougissant elle déclare quelle a envie dessayer, mais nose pas. Maria lui dit que cest une sensation super (elle prend des expressions de jeune petit à petit) et quelle devrait essayer.
« Devant vous ça me gêne !
Cela fait partie du plaisir répond Maria, moi aussi jétais affreusement confuse quand Jean me la demandé et lorsque jai déféqué
- Oh ! - cest comme ça que lon dit proprement cest le cas de le dire- nous rions de bon cur ! Mais en même temps ça ma excitée ! Et lorsque Jean a fait de même javais une impression de puissance !
Jaurais aimé, lui dis-je que vous vous mettiez dans la peau dune dominatrice !
Cest vrai ?
Oui bien sûr, jaimerais être votre esclave ! quand vous mavez uriné dessus, jétais très excité !
Ca cest une déclaration ! Dit en riant Jeremy, Maria, vous savez ce qui vous reste à faire !
Ne riez pas mon cher ! Vous allez y passer aussi, espèce de petit pédé, je vais vous apprendre ! Pour commencer, vous allez venir nettoyer avec votre langue, ce que vous mavez mis dans le vagin !
Allons, Chéri, fais ce que te demande Maria et toi Jean, viens ici me faire la même chose et comme jai envie de faire pipi, tu vas être servi ! »
Nous voilà à genoux entre les cuisses de nos partenaires, léchant et avalant cyprine et sperme contenus dans le vagin. Valérie, comme sûrement Maria avec Jeremy, appuie fort sur ma tête afin que je ne laisse rien perdre, jai le sentiment que ces dames ont trouvé un ustensile en notre personne, plus agréable que le bidet ou la douche. Comme elle me lavait dit, Valérie se relâche soudain et je sens son urine envahir ma bouche, je ne peux rien faire dautre que davaler le liquide chaud en évitant den laisser tomber. Absorbé par ma tâche, la tête prisonnière des superbes cuisses de Valérie, je ne vois pas venir Maria derrière moi. Cest au moment ou elle saisi mes poignets pour les rabattre en arrière que je prends conscience quelle a retenu ma déclaration de tout à lheure ! Elle mattache les mains dans le dos, fait un tour de ma taille, puis me faisant redresser elle fixe le cordon derrière mes testicules à la base du sexe. Ainsi emprisonné elle massoit sur le canapé. Valérie, confirmant ainsi que les femmes sétaient concertées, opère de la même manière avec son mari, qui comme moi se laisse faire et se retrouve attaché assit sur le canapé. Ses jambes sont attachées par les chevilles et reliées aux miennes. Nous sommes bloqués et solidaires !
Face à nous les deux femmes rigolent, pour nous exciter, sachant que lon ne peut se toucher ni sapprocher, elles sembrassent, se caressent, riant de leur audace et de notre dépendance. Elles quittent la pièce, nous abandonnant à notre sort.
Pendant quelques minutes, nous ne disons rien et ne nous regardons même pas, puis, tournant la tête je découvre la posture de Jeremy et devine ce que doit être la mienne. Après un quart dheure environ, qui semble une éternité, les femmes reviennent, habillées et maquillées.
« Nous allons vous laisser quelques temps, mes chéris, déclare Valérie toute excitée, nous allons faire des courses. Pour que vous restiez sages, nous vous avons attachés, je crois dailleurs que ce petit jeu vous plaît. Sachez aussi que nous ne voyons pas dinconvénient à inverser les rôles, mais pour linstant ce sera nous les « Maîtresses » Vous allez souffrir un peu car mon petit mari a une collection de DVD cochons. Je vais en mettre un particulièrement chaud qui va tourner en boucle, et comme vous ne pouvez vous toucher et que vous êtes un peu « serrés » à la base, plus vous banderez, plus vous souffrirez ! Nous nallons pas nous presser pour que vous en « profitiez » bien et au cas où vous fermeriez les yeux, je vais mettre le son bien fort.
Et puis, qui sait, peut-être ferons nous une bonne rencontre rajoute Maria espiègle et lil bien allumé !
Nous prenons, ton beau buggy pour draguer renchéri Valérie !»
Sur cette déclaration, les femmes, viennent tour à tour nous embrasser les deux, en profitent pour tâter notre sexe bien dur, histoire den rajouter, puis sen vont main dans la main, riant aux éclats, nous laissant nus, ligotés lun contre lautre, face à lécran projetant le film X avec les cris des femelles et les grognements des mâles, rien ne peut nous échapper. Le problème est que lun comme lautre nous bandons comme des fous dans nos liens. Les images à lécran qui montrent une gigantesque orgie de corps de femmes et dhommes dans des positions et des situations extrêmement chaudes impossible de se branler pour se soulager, cela devient très dur ! Jeremy de dit :
Cest dingue! Jen peux plus, jai mal de ne pas jouir !
Moi cest pareil ! en plus être comme ça, cela a tendance à mexciter encore plus !
Moi idem ! il faut quon trouve quelque chose !
Oui mes « elles » ne seront pas contentes !
Tu as vraiment la tendance maso
Dêtre comme çà oui je crois, et toi taimes pas ?
Au début non, je me suis laissé faire pour être comme toi, mais cest vrai que malgré tout jaime assez ! Moi aussi, ça mexcite dêtre à leur merci.
Jai une idée ! dis-je »
Je réussi à mécarter un peu de lui et plonge la tête la première sur sa bite pour le sucer. Son sexe est bien dur et ses testicules gonflés par les liens, remontent sur la tige, je les happe dans la bouche lui apportant un surcroît de plaisir. Jeremy de laisse aller en arrière et gémit, appréciant la caresse de mes lèvres et ma langue. Les liens retiennent le flot de sperme en enserrant la base du pénis, puis, dun coup, alors que Jeremy gueule sa jouissance, son sperme envahit ma gorge alors que ses bourses tressautent. Il expulse une bonne quantité que jai du mal à absorber, en le gardant à la fin dans ma bouche.
En me contorsionnant je me redresse et mapprochant de sa bouche je lui rends une partie du sperme dont il ma arrosé.
Nous sommes tous les deux en nage de tant defforts mais moi je suis toujours ô combien en érection douloureuse. Mon compagnon, après quelques instants de repos, me remercie et décide de me rendre la pareille. Il se penche sur mon ventre et avale ma verge et entreprend de me pomper. Je vois ses joues se creuser afin daspirer mon jus. Il faut dire que plus ça va depuis deux jours, moins mes glandes arrivent à fournir, néanmoins, mon partenaire se donne à fond à son ouvrage et ses efforts son récompensés par lémission dune petite quantité de sperme par rapport à la sienne- mais accompagnée dune jouissance extrême pour moi avec limpression de marracher lintérieur des couilles.
Nos efforts ont eu au moins pour effet de calmer nos ardeurs et au moins momentanément nos sexes sont rétractés et moins douloureux.
« Dis-donc, mon salaud ! me dit Jeremy, tu aimes la bite toi !
Pourquoi ? tu naimes pas toi ?
Si mais je naurais pas cru que on se sucerait comme ça, jai eu souvent des fantasmes avec des mecs je ne pensais pas un jour passer à lacte.
Moi jai toujours été bisexuel, jai longtemps mis de côté cet aspect mais en fait ma première expérience, je lai faite avec un mec.
Ah bon ? Et comment ça ?
Il y a bien longtemps, avec mon cousin vers les douze, treize ans, en découvrant nos corps
Génial et tu as quand même aimé des femmes ?
Après oui exclusivement, mon cousin, lui, est resté homo.
Et vous navez jamais recommencé ?
Non même si aujourdhui je me dis que jessayerais bien avec lui.
Et... vous avez ... tout fait ?
Tu veux dire senculer ?
Oui
Non, on na pas été jusque là on se suçait, se caressait, cest tout.
Et depuis tas eu des expériences avec de mecs ?
En fait je suis assez, pour tenter des expériences, mis à part la violence, jai donc eu quelques expériences homo dont trois complètes.
Quest-ce que tu appelles complète ?
Qui fini par une pénétration de lun, de lautre ou des deux
Eh bien ! tu men fais un sacré mec toi !
Ca te dérange ?
Non, non, et alors ?
Je crois que ça dépend du mec, pour le reste, enculer un mec ou une femme cest pareil, sauf que tu as en plus une bite sous la main, pour ce qui est de se faire enculer, jai trouvé agréable, soit de face soit en levrette.
Et tu as joui ?
Oui mais pas seulement dêtre enculé, de la branlette qui laccompagnait.
Et ensuite ?
Ça te donne comme lenvie de chier mais ça passe. Mais toutes ces questions, cest parce que tu as envie dessayer ?
Je... crois oui.. avec toi je crois que je pourrais !
Devant les femmes ?
Je sais pas, pourquoi pas, elles ne se gênent pas, elles !
Tu crois que ça les dégoûteraient ?
Ma femme je ne crois pas, il y a longtemps quelle me promet de menfiler, mais la tienne...
La mienne, cest un grand mot ! Mais vu ce quelle accepte depuis hier
et puis, à son âge »
Linconvénient de notre conversation cest que la trique nous a repris, la vue sur lécran dun black avec une bite énorme se faisant sucer par deux blondes, narrange rien. Lavantage de la situation, cest que lorsque nos femmes rentrent et nous retrouvent nus, ligotés et en érection, elles pensent que nous sommes ainsi depuis leur départ.
« Mes chéris ! clame Maria, toute guillerette, comme vous êtes mignons ainsi ! Nous avons fait des emplettes dont vous serez surpris ! Son il allumé, présage des suites sûrement délectables, mais pour qui ? Depuis sa «renaissance à la vie » comme elle dit, notre mamie est déchaînée !
Nous navons acheté que lindispensable, pour le reste nous aurons besoin de vous
et surtout de vos portefeuilles rigole Valérie. Mais vous êtes dans un drôle détat ! »
Sur ce elle se retourne face à son homme, relève sa jupe sous laquelle elle ne porte rien et vient sempaler sur le sexe gonflé et tendu. Maria, qui ne veut rien perdre en fait de même et vient se pénétrer sur le mien. Les deux furies nous chevauchent, sastiquant frénétiquement le bouton afin de multiplier leur jouissance. Les liens maintenant me cisaillent et me font souffrir et lorsque Maria se relève je suis soulagé. Elle vient membrasser en me disant :
«Je vous détache mon chéri, au moins en partie, ajoute-elle perverse. En effet, si elle défait mes chevilles et mes poignets, lattache de mon sexe reste en place, ou plutôt, le cordon est remplacé par un petit collier en cuir serré derrière les testicules et reliés à une laisse qui pend devant moi, symbole de ma condition. Bien entendu mon compagnon subit le même sort avec une variante tout de même car son collier à lui est mis autour du cou.
Allons nous promener ! dit Maria. Devant notre stupeur, elle rajoute, rassurez-vous, seulement dans le jardin. Elle mentraîne, me tenant en laisse derrière elle, lorsquelle prend au passage un badine posée à lentrée je me dis que ces dames ont fait des achats bien curieux et quil va nous en cuire !
Maria chérie, dit Valérie, je te confie mon esclave, je dois prendre quelque chose !
« Esclave !» Voilà le mot lancé, qui confirme notre situation. Je vois à la verge de mon compagnon qui est bien raide prouvant le plaisir quil a à se soumettre à nos deux maîtresses ! Ma verge, elle, tenue dans son collier, est aussi bien tendue, les bourses rougies par leur « enserrement ». Sans nous être consultés, et sans ordres précis, nous avons aussitôt adopté une attitude soumise, la tête basse.
Ses deux esclaves en laisse et nus derrière elle, Maria sort dans le jardin et se dirige vers le fond, entre deux arbres à lombre propice. Elle sassoit le dos contre un arbre
« A genoux ! Nous intime-t-elle. Toi bâtard, dit-elle à Jeremy, viens ici me lécher. Ce faisant elle tire sur la laisse et amène la tête de mon compagnon entre ses cuisses. Il se glisse sous la robe. La tête disparaît sous le tissu. Jeremy se retrouve ainsi les fesses exposées à lair, Maria qui na pas lâché la badine, la promène dabord sur les fesses et dans la raie, je vois Jeremy frissonner, puis dun coup se raidir quand le coup tombe sur sa fesse, laissant une trace rouge en travers de celle-ci.
Allons ! fais un effort ! Ou il va ten cuire ! Un coup de badine supplémentaire confirme la volonté de notre maîtresse. Le coup nest pas très fort enfin, je le suppose- cest plutôt sa signification qui est douloureuse. Pour ma part, je sais que, après mon compagnon, je devrais sûrement subir les sévices de Maria
ou de Valérie
Me tirant par la laisse, Maria me fait approcher delle, elle soupèse mes bourses et tâte ma queue.
« Mon chéri ! Je vois que vous êtes en de bonne disposition et que ce spectacle vous met en forme, alors cette chienne qui est en train de me bouffer la moule, vous allez la prendre comme elle le mérite
Vous voulez que
Oui mon chéri, vous allez baiser cette femelle
Mais...
Mais quoi ? je vous rappelle, que maintenant, cest moi qui commande et vous êtes à mon service !
Bien
Maîtresse !
Voilà qui est mieux, allons, au travail ! Vous allez bien lui graisser le trou avec votre langue et le préparer avec les doigts !»
Je passe derrière Jeremy et à genoux jécarte ses fesses, et je fourre ma langue sur lanus de mon ami, je salive son entrée et enfile lextrémité de ma langue dans le trou qui souvre. Jeremy sagite un peu ce qui lui vaut un coup de badine dont je sens le sifflement et la claque tout à côté de ma tête. Je continue denvoyer plein de salive puis me redressant, jenfonce un doigt dans lanus, en tournant ma main, puis un second pénètre lantre secret de Jeremy qui se détend. Je tourne bien mes doigts pour écarter les sphincters. Alors que je me prépare à le pénétrer, Maria me demande de passer ma laisse entre les jambes de Jeremy, elle latt et peut ainsi commander mes mouvements. Cette diablesse a de limagination ! Je présente mon gland face au trou de Jeremy et force le passage secret. Sans trop de difficultés, je pénètre entièrement au fond de son trou puis commence, guidé par la laisse qui enserre mes testicules, daller et venir dans le cul de Jeremy. Après quelques va et vient, Maria tire la laisse pour me bloquer au fond. Cest alors que je sens derrière moi, une main qui se pose sur mes fesses. Je vois Valérie qui sest approchée et qui me caresse comme je lai fais précédemment à Jeremy. Elle mappuie ensuite sur la nuque pour me coucher sur le dos de son mari. Je sens alors quelque chose appuyer sur ma rosette. Cette chose souple et dure force le passage entre mes fesses, et la préparation effectuée par Valérie porte ses fruits car je me sens très vite pénétré par ce qui ressemble à un membre. Je suis donc sodomisé et à la fois je sodomise Jeremy. Maria a lâché la laisse et cest au rythme des pénétrations de Valérie que je pénètre son amant. Celui-ci grogne sous la robe de Maria et sous les coups de ma verge. Moi même, sollicité par Valérie qui plante ses ongles dans mes fesses mélangeant la douleur et le plaisir que je sens monter dans mes reins. Jeremy a attrapé sa bite quil branle au rythme des pénétrations, Maria qui sen rend compte, claque ses fesses à coup de badine. Il nen a cure et continue de sastiquer et dans un râle déverse sa semence blanchâtre sur lherbe. Maria, frustrée, qui comptait peut être profiter de la bite de mon ami, abat rapidement la badine pour une volée qui zèbre la chair du postérieur ; Les soubresauts de Jeremy, la tête toujours enfouie entre les cuisses de Maria, ou lesprit de domination, provoquent la jouissance de la femme qui bloque la tête de son suceur sous la robe, la plaquant fortement contre sa chatte.
Ma jouissance suit celle de mes compagnons même si je ne lâche plus grand chose, mais, entre mon sexe, serré par les muscles culiers de Jeremy et le « ramonage » de Valérie, jai limpression de me vider complètement. Je me retire de Jeremy et Valérie me libère. Je me rends compte alors quelle est équipé dun gode ceinture, fixé autour de sa taille. Celui-ci, dune bonne taille représente très fidèlement un sexe, mavisant de ses dimensions, je me dis que mon cul doit être bien dilaté !
Valérie rigole du tour quelle nous a joué. Elle est aussi comique avec son gode qui relève sur le devant la robe de plage
« Bien, messieurs, votre moment de soumission est terminé ! Je crois que lon vous a bien eus ! cest le cas de le dire, nest ce pas Jean ? Jai limpression que vous avez tout de même apprécié espèce de petits pédés !
Ce que vous ne savez pas cest que en vous attendant, on sest pompé le nud pour se soulager !
Petits vicieux que vous êtes ! Mais sachez que nous nous soumettrons à vos caprices à notre tour, jai limpression que cest aussi très excitant !
En attendant nous avons besoin dune bonne douche, ensuite nous irons nous promener, décide Jeremy en sortant de dessous la robe de Maria. Mon salaud ! quest ce que tu mas mis, en tout cas tu pourras te vanter de mavoir dépucelé !
Et tu as aimé ?
Oui beaucoup, mais je te rendrais la pareille !
Trop tard mon cochon, ta femme sen est chargé !
Il regarde alors ahuri le sexe factice qui dépasse de la robe de Valérie
« Ben mon salaud ! tu as du déguster !
A mon avis tu ne vas pas tarder à y goûter toi aussi car ta femme sest rendu compte que tu aimais te faire enculer et tu risques de te retrouver en position de recevoir les honneurs de Valérie lorsquelle se sentira des humeurs « masculines »
Cest bien ça mon chéri ! il a tout compris, mais je pourrais aussi me servir de cet engin pour doubler mes plaisirs ! Bien maintenant je vais vous ramener à lintérieur, mais comme vous êtes des chiens, ce sera à genoux !
Notre étrange équipage rejoint labri de la maison non sans que Maria, derrière nous, ne nous accompagne de quelques coups de badine sur les fesses.
***
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