Le Manoir Du Péché (11)
Quand javais vu la patronne savançait jusquà moi, je métais dit : ça y est, elle va me demander de la suivre jusquà un endroit discret, et une fois sur place exigera de ma part de la satisfaire en garant ma verge dans son sexe.
- Alain il serait possible que vous accompagnez ma marraine jusquà la petite maison. Me demanda la patronne.
- Oui bien sûr avec plaisir madame. Répliquais-je en posant le plateau que je tenais en main sur un petit guéridon.
Ce soir cétait jour de fête dans le domaine. Une centaine de convives se partager les lieux. Javais rendu mon costume de gardien contre celui de serveur. Pour loccasion javais avalé un comprimé de Cialis. Pour satisfaire, si le cas se produisait, les besoins sexuels débordante de ma patronne. Que rien ne pouvait briser. Pas même une fête avec ses proches.
Javais patienté un long moment près de la porte dentrée, avant que Geneviève (la marraine) daigne arriver. Emmitouflée dans un manteau de fourrure.
- Je nai pas été trop longue ? Me fit-elle.
- Non, je viens darrivé Madame.
Cela lavait fait rire.
- Javais tellement de personne à saluer avant de méclipser, que cela ma retarder. Veuillez mexcuser !
- Mais vous êtes toute excusez, Madame. La guidant jusquà son lieu débergement.
- Je ne tiens plus les soirées comme je le faisais plus jeune.
- Mais vous êtes encore très jeune.
- Et vous un grand hypocrite. Répliqua-t-elle en riant de plus belle. Savez-vous seulement lâge que jai mon cher ami ? Alors quen passer le portail de la petite maison.
- Je nose pas vous donnez une réponse à votre question chère madame. De peur de me faire traiter à nouveau.
- Je vais sur mes quatre vingt deux ans.
- Et bien bravo Madame, vous ne les faites pas.
Torche en main je glissais la clé dans la fente de la serrure. Tout de suite la porte ouverte, jallumais lentrée, puis je meffaçais pour permettre à la dame dinvestir le lieu.
- Il fait meilleur ici que dehors fit-elle.
Effectivement le chauffage tournait à plein pot. Sept jours sur sept, et cela toute lannée, bien que personne ny habite. Je laidais à se soulager de son manteau que jallais poser sur une chaise. Pas question de le suspendre sur une patère.
- Vous permettez que jaille jusquà votre chambre, fermer les volets ?
- Mais oui ! Je vous en prie, faites donc mon cher Alain. Cest bien comme ça que vous vous nommez ?
- Oui Madame.
- Cela je ne vous ennuie pas ?
- Pas le moins du monde Madame.
- Comme cela je vous ennui pas que je vous accompagne jusquà ma chambre. Comme ça vous maiderez à monter les marches. Je les trouve très abruptes, pas vous ?
- En si fait Madame.
Et ce fut en sa compagnie que je franchissais le pas de la chambre. Tout de suite mon regard fut attiré par une culotte en soie de couleur sombre, qui était posée à cheval sur le dossier dune chaise. Elle se précipita jusquà elle, sen saisit pour la fourrer dans sa valise.
- Il faut mexcuser. Je suis du genre bordélique, si vous voyez ce que je veux dire, surtout que jai laissé ma bonne à la maison.
Tout en fermant les volets, je limaginais en train de faire glisser cette même culotte le long de ses cuisses. Les rideaux tirés, je me retournais et là surprise je me trouvais devant une Geneviève en jupe et soutien-gorge blanc. Les bonnets de soie couvraient à peine la moitié de ses seins.
- Vous avez besoin de quelque chose ? Avais-je bafouillé.
- Je ne sais pas. Une verveine peut-être. Il y a ça dans le magasin.
- Je vais voir sil y en a dans la cuisine.
- Sinon vous laissez tomber Alain.
Nen trouvant pas dans la cuisine de la petit maison, jallais jusquau manoir. Où hormis la verveine jeus le plaisir dy croiser la patronne.
- Elle veut une verveine ? Me lança-t-elle.
- Oui madame.
- Pressez-vous de lui faire sa tisane et revenez-moi vite. Jaurai besoin de vos services.
- Bien Madame, je fais tout mon possible pour revenir dans les plus brefs délais.
Je nétais pas mécontent davoir pris du Cialis. Jattendais que la verveine infuse pour lemporter jusquà la chambre. Sur un plateau avec une cuillère et un pot de miel. Elle me reçut en peignoir. Assise sur le rebord de son lit elle se passait de la crème sur ses genoux.
- Oh excusez-moi. Jaurai dû frapper.
- Mais non entrer mon cher ami. Il ny a pas de mal. À votre âge vous savez comment est composée une femme ? Non, rassurez-moi.
- Oui ! Fis-je en riant. Excuser mon retard, il ny en avait pas ici. Alors je suis retourné jusquau manoir.
- Mais il ne fallait pas.
- Je pose le plateau sur la table de nuit.
- Oui, merci Alain
- Avez-vous besoin dautre chose, Madame ?
- Je ne voudrais pas r sur votre gentillesse.
- Mais faite-donc, je vous en prie !
- Bon, si vous assistez, alors ! Jaurai aimé que vous me passiez de la crème sur le dos. Mais si cela vous ennui je comprendrais. Je ne vous en voudrai pas.
- Mais cela ne mennui aucunement, Madame.
- A la maison cest Camille, ma femme de ménage qui me passe la crème.
Je métais saisi du tube.
- Où dois-je vous en passer Madame ?
- Je vais mallonger sur le lit. Cela sera plus simple pour vous.
Elle sinstalla sur le ventre dénudant ses épaules. Le tube émit un petit bruit, quand je le pressais pour y sortir une noix de crème. Puis je maffairais à bien masser, pour bien la faire pénétrer dans les spores comme elle lavait si aimablement exigé.
- Juste les épaules madame ?
- Le dos aussi, Alain, sil vous plaît. Si cela ne vous dérange pas. Elle avait soupiré, avant dajouter :
- Cest bon, ça détend.
Alors que je frictionnais son dos, elle me parlait de tout et de rien.
- Vous avez des doigts magiques ! Me fit-elle. Je suis certaine que si je me laissais aller je mendormirai.
- Mais ça Madame, cest un encouragement pour prolonger le massage.
- Oui
sil vous plaît ! Mimplora-t-elle, en faisant glisser le peignoir jusquà la naissance de ses fesses.
Prenant par la même occasion une position nonchalante. La tête tournée sur la joue droite.
- Vraiment Alain votre main est dune douceur incomparable. Je dirai même une sensation exquise. Fit-elle.
- Madame est trop bonne.
- Cela serait profiter de votre gentillesse de vous demandez den passer aussi sur mes jambes et pieds. Ce manifesta-t-elle.
Comme en dit : Où il ny a pas de gêne il ny a pas de plaisir.
- Si Madame lexige !
- On se comprend bien Alain ! Faite le seulement si cela vous enchante.
Sans répondre à la question posée je me mis au travail. Commençant par les pieds et finissant par les cuisses. Pas un millimètre carré navait été oublié. Comme jétais dhumeur ludique, je poussais le vice à lui proposer de masser son fessier.
- Mais en voilà une excellente idée ! Se manifestait-elle.
- Ce nest pas une réponse ça Madame !
- Cest que je ne suis pas de la première jeunesse ! Comme vous lavez pu le juger en me massant.
- Je ne me suis aperçu de rien.
- Vous êtes vraiment un fourbe !
- Vous ne répondez toujours à ma question.
- Faite comme cela vous enchante, cest une bonne réponse ?
- Que cela ne tienne, fis-je en écartant son peignoir dun coup sec, que jenvoyais valdinguer sur la chaise.
Je fus tout de suite frapper par la vision de ses fesses nue que le temps avait un peu fripées. Ça ressemblait un peu à une pomme quon avait oubliée de manger. Il men fallait plus pour men dégouter. Dailleurs mon pénis commençait à faire des siennes au fond de mon slip. Prenant du volume.
- Que vous arrive-t-il Alain ? Me fit-elle, elle qui me suivait des yeux.
- Ne vous inquiétez Madame, juste un problème passager.
Elle courba le dos, relevant son cul. Mexhibant de la sorte tout ce quelle avait à offrir à mes yeux.
Entre ses fesses dune blancheur de lait, sa raie sétirait, parfaitement glabre. Son anus se devinait au creux du sillon. Pris dun coup dune ardeur pervers, je lui pris fermement ses fesses à pleines mains. Avec mes pouces, je pressais le gras des fesses. Le cul sentrouvrit devant moi. La gorge sèche, je tirai davantage sur les côtés, écartant davantage les fesses. Faisant ainsi connaissance avec lanus parfaitement mis en lumière. Rose foncé, orné de fronces très marquées.
Très vite mes narines furent taquinées par une odeur forte de pisse, de sueurs anales. Qui était loin darranger létat inconfortable où se trouvait ma verge dans mon caleçon.
Comme je me permettais tout à cet instant, je pris linitiative décarter davantage les fesses. Lui déformant par cette impulsion lanus en largeur. Comme laurait fait un étrange rictus de bouche. Geneviève ne réagissait pas. Dune voix rendue sourde par lexcitation, je lui demandais :
- Si Madame le permet je vais devoir prolonger le massage.
- Et je peux savoir pourquoi ? Fit-elle, en pivotant sur elle-même. Mexhibant son côté face. Son ventre pendait un peu au-dessus dun sexe lui aussi épilé. Jen restais bouche bée. Elle se saisit alors de mon poignet et le porta jusquà son sein droit tombant ; sétalant sur sa poitrine.
- Là aussi
enfin si cela de vous ne contrarie pas. Dit-elle dune voix changée. Un peu rauque. Tout en me regardant droit dans les yeux.
- Cela tombe bien Madame, jexcelle dans la caresse dun sein.
- Je demande quà voir.
- Cest tout vu. Répondis-je en lui massant un sein puis lautre. Insistant bien autour des mamelons. Geneviève avait fermé les yeux. Se laissant aller sous la bienveillance de ma caresse. Sans pour autant poser une main sur la partie la plus sensible de mon anatomie.
- Vous avez lair drôlement excité.
- A qui la faute Madame ?
- Je me dois alors de vous calmez. Fit-elle en lâchant un petit rire, que je mentionnerai de coquin, alors quelle baissait la fermeture Eclair de ma braguette.
Sans tarder, elle avait fourré sa main à lintérieur et après mavoir palpé, la mise à lair libre. Et tout de suite après, elle me masturba, pour mon plus grand bonheur.
- Je fais ça bien ? Senquit-elle.
- Madame est experte !
- Vous permettez que je vous ôte le pantalon ? Me fit-elle.
- Jallais vous le proposer, Madame.
Une fois nu, elle en profitait pour poser ses lèvres sur mon gland, dans un baiser mouillé.
- Vous sentez bon ! Jaime lodeur de mâle en rut.
Après ces quelques paroles aguichantes, elle happa mon gland. Je me raidis. Elle avait les paupières closes, alors que sa langue le pourléchait. Humectant de salive le moindre millimètre carré de peau.
Des petits grognements montaient de ses lèvres distendues.
Je profitais quelle saffaire sur mon jouet de plaisir pour mintéresser à son sexe. Dont les lèvres écartées mettaient en valeur la chair nacrée de la vulve nue. Sans me poser de question jenfonçais deux doigts joints entre les petites lippes, tout en observant sa réaction. Elle menvoya un clin dil. Un encouragement silencieux pour que je continu. Alors je fis coulisser mes doigts dans son antre. Les faisant entrer et sortir en un mouvement rapide, qui me mit très vite au supplice.
Il men fallait pas plus pour passer à autre chose. À celui de faire lamour avec cette vieille dame. Non, pas faire lamour, jallais la baiser, la posséder, la saillir comme une femelle en rut. Et jallais faire ça ici, à quelques mètres dune fête organisé par sa filleul, ma patronne.
Je me retirais de sa bouche. Geneviève eut un rire chatouillé.
- Cela ne vous plaît pas ? Je ne le fais pas assez bien ?
Son intonation navait rien de vraiment froissé. Sa réprobation nétait que de pure forme. Cette pensée me fit comme bondir entre ses jambes. Jaurais parié quelle sessuyait mal, tant lodeur de son con était forte. Un parfum poivré et puissant, comme je les aime. À tel point que je nai pas pu résisté à me coller à lui pour le respirer.
- Quest-ce que vous attendez ? Il ne suffit pas de sentir ! Posez votre bouche
je nai pas fait autant de manière, moi
Spontanément je métais mis à la lécher. À la laper sans délicatesse longeant la fente de haut en bas, me régalant de la saveur acidulée de son sexe. Repliant les jambes sur sa poitrine, jexhibais à mes yeux le renflement grenat de lanus. Qui en sépanouissant, laissant voir le cratère des muqueuses. Jy plantais deux doigts sans cesser de lécher la chatte. Chatouillant le clitoris du bout de la langue, le gobais même. Mes doigts entraient et sortaient sans encombre tant elle était souple de ce côté-là. Japercevais les parois mauves et lisses dans le tunnel du rectum. Rien sur le visage de Geneviève ne trahissait la montée de plaisir. Comme si tout ce que je faisais était insipide pour elle. Alors jenfonçais trois doigts entre ses fesses, avec lintention de visser par la suite ma langue. Loin dans le rectum. Tant lenvie de la goûter mavait submergé. Dailleurs sa réaction ne sétait pas fait attendre.
- Que faîtes-vous ? Cest sale ! Fit-elle tout en se tortillant sur le lit.
- Vous aviez plutôt lair daimer cela ! En me redressant, et la saisissant par les hanches et appuyais mon gland à lentrée de son anus. Forçant lentrée lentement. Elle se cambra en sentant mon gland sintroduire entre les parois rectales. Peu à peu son cul souvrait pour laisser entrer ma queue. Je poussais en elle et mon sexe disparut dans son entier, dans louverture.
- Je suis dans votre cul ! Vous avez mal ?
- Non, je suis bien
je me sens toute drôle
jai limpression de lâcher un gros caca
La tenant par les hanches, je coulissais dans son rectum. Doucement dans un premier, et accélérant le rythme au fil des pénétrations. Jétais étonné de constater avec quelle rapidité son cul sétait ouvert.
- Oui, comme ça, continuez ! Mencourageait-elle. Plus profondément si vous pouvez !
Explorateur et fasciné, je martelais son cul. Mon ventre tamponnant ses fesses. Elle mouillait du cul. Je me suis laissé tomber sur elle. Javais devant mes yeux ses seins. Je les ai tétés, je les ai aspirés goulument.
- Mords-les ! Passant au tutoiement. Jai envie de tout, cette nuit !
Je navais pas eu de mal à presser les mamelles lune contre lautre de façon à marier les deux mamelons, pour les mordiller.
- Plus fort ! Fais-moi mal ! Jai besoin de souffrance pour jouir à mon âge
Tout en mâchonnant, je donnais de méchant coup de reins
À grands coups rectilignes. Droit au but. Il devenait de plus en plus baveux. Geneviève poussa un cri, se souleva. Ce qui pour son âge était stupéfiant. Hors delle, elle bougeait à tout rompre, poussant des gémissements enroué.
- Oui
oui je jouis ... ah, ça y est, je jouis !
Jaccélérais encore la cadence ainsi que la puissance de mes coups de riens. Elle était cahotée comme une vulgaire poupée de chiffon. Mes couilles venant se la chair chaude de ses fesses. À men faire mal.
Les spasmes très fort de son anus mavait fait jouir à mon tour. Javais limpression dêtre mangé par son cul. Avec un halètement de bête fauve, mon sperme giclait avec force.
Je maffalais à ses côtés pour reprendre haleine. Je crus que je vivais ma dernière heure tant javais du mal à reprendre mon souffle. Alors quelle membrassait à pleine bouche. Comme pour me remercier de lavoir mené jusquau plaisir.
- Vous permettez que jempreinte votre salle de bains ?
- Faites-donc ! Repassant au vouvoiement.
Il fallait que je sois présentable pour la patronne. Qui était sans aucun doute impatiente que jarrive, pour pouvoir à son tour jouir de mes caresses.
À mon retour dans la chambre, Geneviève dormait. Fesses bien écartées doù sécouler mon sperme bruni
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!