Chapitre Cinq
Chapitre 5 (séance 9)
Samedi 3 Aout
Il avait dit :
« Ce soir, 20 heures, tenue publique. Nous sortons, ou plutôt
Tu sors. »
« Oui Monsieur »
Cette semaine a été particulièrement chiante. Au boulot, les collègues cest : « Mon petit dernier me fait la coqueluche » ou bien « Mon mec me saoule avec ses matches de foot. » Sans compter le : » Et toi ? Tu nas toujours pas d ? »
Non ! Pas d et puis, pas de télé non plus ! Déjà, je me dis que par rapport aux autres, jai deux épines de moins dans le pied.
Cest insupportable cette pression permanente :
« Si tu nas pas d, tu nes pas une femme »
A 27 ans, jai envie de plein de choses :
De progresser dans ma carrière professionnelle, de garder lhomme que jaime, de faire lamour avec lui, de faire des promenades, daller au restaurant en amoureux, de visiter des expos, de faire du sport, de prendre soin de moi, de faire lamour avec mon mari. Ah non ! ça je lai déjà dit.
Cest vrai que faire lamour
. Après sept ans, je pourrais me dire : Passons à autre chose ! Et si je devenais
Maman ! Eh ben non ! Soit cest trop tôt, soit ce nest pas fait pour moi.
Il avait dit :
« Ce soir, 20 heures, tenue publique. Nous sortons, ou plutôt
Tu sors. »
A 19h : douche, coiffure maquillage etc
Cette semaine, il rajouté des propositions sur les grilles du contrat :
Au chapitre exhibition il avait ajouté :
Être nue dans un lieu public : « jaccepte »
Cest vrai, la dernière fois, et sous prétexte dune maladie imaginaire, sacré Wisenberg, jétais partie pour le faire. Jaurais presque pu demander à mettre : « ça mexcite. »
De mon côté jai apporté des modifications :
Uriner devant un inconnu : Jai demandé à passer de « jaccepte » à « ça mexcite ». Quand je repense à la séance avec Laurent ou Akéna je me sens toute chose.
Port du rosebud : javais apporté une précision : le petit : « ça mexcite » le moyen : « jaccepte ».
A 20 heures, je descends. Il est là :
« Tu es prête ? »
« Oui Monsieur »
« Voici un sac et une enveloppe. Tu vas à ladresse indiquée dessus »
« Oui Monsieur »
Je sors et je minstalle au volant de ma voiture. Je sais que je suis toute seule mais je respecte le protocole : je relève ma jupe et je massieds fesses nues sur le siège. Je crois que ça vient du film Bilitis ou Histoire dO. Peu importe, cest ce quil veut . Je dois reconnaître que c'est parfait pour me rappeler que je ne porte pas de culotte et ça me met en condition.
Je démarre, je roule. Cest à moins de 10 minutes.
Arrivée au numéro indiqué, je trouve un portail qui ouvre sur une allée. Je la remonte jusqu'à une sorte de petit manoir posé au milieu dun grand parc. Il y a de la lumière. Je prends le sac et lenveloppe. Il faut monter trois marches pour arriver à la porte dentrée. Jentends des voix à lintérieur, au moins deux personnes. Je sonne.
Jentends quelquun qui vient vers la porte.
« Eh ! les gars, la voilà » puis des rires gras.
La porte souvre, jai les yeux baissés, je tends lenveloppe et le sac.
« Whoua ! La vache ! « Il se retourne : » Vous nallez pas être déçus les gars. «
De nouveau vers moi :
» Entre !»
Je le suis jusquà un grand salon où se trouvent déjà deux hommes assis.
« Ah Ouais ! daccord ! « dit lun deux.
Cest un trentenaire, vêtu à la cool, avec une voix grave.
Autour dune imposante table basse, trois canapés en cuir marron un peu défoncés font illusion. Lensemble est rustique et une bonne odeur de bois brulé révèle une cheminée pas très loin. Du feu ? en été ? Charmante attention. Des ordinateurs et des écrans sont disposés sur des bureaux autour de la pièce. Le matériel est imposant : devant les claviers il y a parfois deux ou même trois écrans.
Je suis posée là, au milieu du salon. Celui qui ma fait entrer ouvre lenveloppe et en retire plusieurs feuillets. Il prend connaissance du premier, puis me tend le deuxième :
« Tiens cest pour toi. Tu dois lire à voix haute »
« Oui Monsieur ! « Je lis distinctement :
« Je suis une petite salope et je suis ici pour obéir à vos ordres. Vous resterez habillés et je ne vous toucherai pas mais hormis cela, vous pouvez me demander tout ce qui vous fait plaisir. Vous pouvez me dénuder, me caresser, minsulter, me mettre dans toutes les positions que vous souhaitez. »
Eh ben comme ça, les choses sont claires : Pendant cette séance, je fais la salope à domicile et sans mon mari. Les trois hommes semblent apprécier et leur réaction ne se fait pas attendre. Une voix avec accent du sud :
« Putain, jy crois pas ! Cest Noël ? »
Le troisième que je navais pas encore entendu :
« Ça cest pas banal. Cest mieux quun jeux vidéo ! Romain quest quon boit ? »
Ah ! Le premier sappelle Romain, cest celui qui a la voix la plus grave et qui est venu mouvrir la porte.
Il me parle :
« Bon ben
Tu veux un cocktail « machin » que jai préparé ? «
« Oui Monsieur » Ils nen reviennent toujours pas. Le coup du « Oui monsieur » a marqué un temps darrêt.
« Oui bon, Euh
Garry, Chris ? Une bière ? » Ça y est, les présentations sont faites. Garry cest celui qui a un léger accent du sud et Chris, celui qui me trouve plus intéressante quun jeu vidéo.
Romain qui était parti vers, je suppose, la cuisine : « comment ? Parle plus fort jentends pas ! Ah ouais tas raison ! » Il revient en arrière et me lance :
« Cest vrai quon a une serveuse ce soir. Va dans la cuisine chercher les boissons ! »
« Oui Monsieur »
Je vais dans la direction dans laquelle il partait et je trouve
la cuisine. Ensuite, le frigidaire, des bières et
une jatte à cocktail. Jen verse dans un verre, je goute. Cest mon cocktail préféré. Ça ne peut pas être un hasard. Mon chéri a dû donner des ordres.
Je marque un temps : Allons bon ! Cest encore un autre pas de franchi. Je me trouve en présence de trois hommes que je nai jamais vus et je viens de leur dire que je suis là pour quils fassent tout ce quils veulent de moi. Je sens sur mon corps le pauvre rempart que constituent ma courte jupe et mon fin chemisier. Un frisson, qui na rien à voir avec la température, me parcourt des jambes à la gorge. Sans ce contrat, je menfuirais par la fenêtre. Purée, je vais la payer cher cette erreur.
Cétait un pot de départ, au boulot. Un collègue qui, après cinq ans de service, était muté à lautre bout de la France. Un verre en appelant un autre, il me dit en aparté : » Je sais que tu es mariée, mais avant de partir, je veux que tu saches que dès que je tai vue, je suis tombé amoureux de toi »
Un gars plutôt séduisant, une quarantaine assumée, toujours courtois et galant avec les femmes, ou peut être, seulement avec moi ? Je ny avais pris garde. Et là, sachant que nous ne nous reverrions pas, il mavoue son tendre drame, comme dirait Aznavour.
On dira ce quon voudra, mais nous, les femmes, en tout cas, moi, je suis facilement touchée par ce genre de situations sentimentales. Dun seul coup je lai revu, troublé par ma présence, ému par ma blouse mal fermée. Ah !!! cétait donc ça, la fois ou il narrivait pas à sortir un mot à une réunion de collègues.
Javais repris un verre pour trinquer à son départ et puis
Purée, je vais la payer cher cette erreur. Mais je ne suis pas du genre à renoncer.
Comment mon mari lavait su ? Alors vous allez me dire que je suis un peu « coconne », mais cest moi qui lui ai dit ! Faute avouée est à moitié pardonnée non? Ouais ! A moitié seulement ! Parce que juste après cétait contrat, grilles, séances de 2 heures toutes les semaines.
En revenant au salon, jentends des rires. Je les trouve en train de lire les autres feuillets qui étaient dans lenveloppe. Jen entends un lire à voix haute :
« Sodomie : ça mexcite » Hé ben dis donc, elle a pas froid au yeux la petite.
« Ni ailleurs ! » Rires gras.
En fait, ils sont plutôt attendrissants. Malgré leur vulgarité que je devine un peu e, je sens quils sont presque plus gênés que moi. Aucun deux ne doit être marié, et leur expérience en matière de sexe confine probablement au zéro absolu. Comme je lai entendu dire tout à lheure par Garry avec son petit accent méridional : cest Noël ! Mais ils ne savent pas comment fonctionne le jouet quon vient de leur offrir, alors ils lisent le mode demploi :
« Et là
regarde ! : me faire insulter « jaccepte »
Romain, vers moi :
« Daccord !... Tes vraiment une salope toi »
« Oui Monsieur une vraie petite salope » Rien quen le disant, je sens que je le deviens. Il reprend :
« On va voir ça. Enlève ton machin en haut.. enfin ton
Ta chemise. »
« et puis, relis nous ton truc,
ta lettre là. »
Je me place devant lui, écarte un peu les jambes, déboutonne mon chemisier et le retire. Je le dépose sur le canapé le plus proche. Je suis torse nu. Les seins à lair. Je lis :
« Je suis une petite salope et je suis ici pour obéir à vos ordres. Vous resterez habillés et je ne vous toucherai pas mais hormis cela, vous pouvez me demander tout ce qui vous fait plaisir. Vous pouvez me dénuder, me caresser, minsulter, me mettre dans toutes les positions que vous souhaitez. »
A la deuxième lecture, jai encore mieux réalisé. Je suis un objet sexuel, une esclave soumise qui accepte dêtre humiliée en présence de trois hommes.
Chris, assis dans le canapé en face : « Cool ! Eh regardez les gars ! Ya des positions ! »
Je sens que je vais devoir toutes les faire, leur montrer toutes les parties les plus intimes de mon corps et, je le sais maintenant, ça me plait. Plus les positions sont obscènes et humiliantes, plus je mouille.
Garry : « Celle-là ! Eh connasse ! met toi en position n°5 ! »
Je crois bien que cest la première fois de ma vie que je me fais traiter de connasse. Cest une expérience comme une autre.
Je me place devant lui, lui tourne le dos, me penche en avant. Je relève larrière de ma jupe sur mes reins et je mécarte les fesses. Je noublie pas dajouter :
« Je suis une bonne petite pute. »
« Oh Putain ! Elle a même pas de culotte cette pétasse ! «
Pétasse, cest bien aussi ! En même temps, ils auraient tort de se gêner.
Zut jai oublié décarter les jambes.
Je rectifie et jattends. Les gars se bousculent pour se mettre dans le bon axe pour reluquer mes trous. Pour linstant ils nosent pas toucher.
« Putain regarde moi cette chatte, elle a pas un poil sur le caillou. » Eclats de rire des garçons.
« Aller, enlève tout ! On veut te voir à poil connasse ! »
« Oui Monsieur »
Je me redresse, fait demi-tour et me place devant celui qui a donné lordre. Je baisse doucement ma jupe. Le mont de Vénus apparaît puis la fente, les grandes lèvres, les petites au milieu. Comme jai les jambes légèrement écartées, on doit pouvoir deviner le capuchon du clito. La jupe est sur mes chevilles, je la dégage sur le côté avec un pied. Jécarte davantage les jambes, un peu trop je crois.
Me voila de nouveau entièrement nue devant des hommes que je ne connais ni dEve ni dAdam. Je sens leurs regards sur tous les détails de mon anatomie notamment la chatte, bien sûr. Je me sens exposée, vulnérable. Jespère que mon homme contrôle la situation. Je me demande à quel moment ils vont oser me toucher. Malgré une température douillette, mes tétons sont tout durs. Il va falloir que je demande une case « jadore » pour : Être nue devant des inconnus.
Je sens lhumidité entre mes petites lèvres. Je naurais jamais cru ça il y a un mois. Me mettre à mouiller en faisant la salope à poil devant des étrangers.
Romain demande :
« Je comprends pas ! Quest ce que tu fais ici »
« Je suis là pour obéir Monsieur »
« Mais tes quoi, une pute ? »
« Je suis ce que vous voulez : votre pute, votre salope, votre chienne Monsieur.«
Il accuse le coup :
« Bon ben
en attendant, va nous chercher une autre bière connasse ! Et amène-nous des cacahuètes, elles sont dans le meuble là ». Il me désigne une commode dans un coin du salon.
« Oui Monsieur »
Je retourne à la cuisine, au frigidaire. Il est rempli de bières. On nest pas près dêtre à sec.
Je reviens, je pose les bouteilles sur la table et me dirige vers la commode.
Le contrat : Interdiction de plier les genoux. Si je dois me pencher, je garde les jambes droites. Alors je me fais plaisir : je me mets dos aux garçons, jécarte les jambes et je me penche en avant pour ouvrir le tiroir du bas sans savoir si cest le bon.
« Regarde, elle est en train de nous montrer son cul la salope »
Romain :
« Mais ouais, elle en train de nous chauffer et elle
. Quoi ? attendez ! taisez vous les gars, jentends rien. Quoi ? Ah ! oui le sac
Javais oublié »
A qui parle-t-il ?
Jouvre un autre tiroir et je trouve les cacahuètes que je pose près des garçons.
« Va chercher ton sac, salope !»
« Oui Monsieur »
Romain est assis sur un canapé, je lève un tout petit peu les yeux. Tiens ! Il a une barbe ! Il a aussi une coiffure qui
Jai compris ! Il a un écouteur dans loreille. Il est, depuis le début, en communication téléphonique avec mon homme. Mon chéri entend tout ce qui se passe. Peut-être même quil est devant la maison et quil me voit par la fenêtre. Je me cambre un peu plus pour faire ressortir mes seins. Savoir quil est peut-être juste à côté, quil profite du spectacle et quil est fier de sa chienne me met dans tous mes états. Pour le coup je me mets à mouiller pour de bon. Pourvu que je ne dégouline pas jusque sur les cuisses. Mais non ! cest le contraire : pourvu que ma chatte coule, et coule encore, au point dêtre brillante et gluante comme celle dune chienne en chaleur qui ne pense qua jouir.
Le sac est posé à lentrée du salon. Je tourne le dos aux garçons. Jai limpression de sentir leurs regards me bruler les fesses. Je me penche dans lentrée, sans plier les genoux, pour saisir le sac et le ramène à Romain.
« Voilà Monsieur »
« Tu vas mexpliquer à quoi servent les trucs que je vais sortir, hein ?»
« Oui Monsieur, Puis je vous suggérer que je me mette en position n°4 Monsieur ? » Un peu de zèle pour mon chéri, et puis là, maintenant, jai envie de tout leur montrer.
Il reprend les feuillets, pour voir ce que cest que la position n°4 : Présentation de la chatte. Le bassin en avant pour bien faire ressortir ma vulve et les deux mains qui écartent les lèvres.
« Ah ? oui ! Pourquoi pas »
Jécarte grand les jambes, javance le bassin, je sépare les lèvres de ma chatte. Le clito jaillit. Humm !
De nouveau Romain, les yeux rivés sur ma fente béante :
« Ouais cool ! Euh
Putain, la vache ! Heu
» Il réussit à décoller son regard de mon intimité et Il fouille de nouveau dans le sac :
« Cest quoi ça ? »
« Ce sont des pinces Monsieur, pour mes seins de petite chienne ou bien ma petite chatte de salope. Quand je bouge, les clochettes tintent »
« Ouai
Et ça ? »
« Cest un martinet Monsieur, jaime être fouettée sur les seins, la chatte et les fesses Monsieur »
Garry a la grille en main :
« Ouais, cest même marqué ça texcite ! »
« Oui Monsieur »
« Putain, des salopes comme toi, je ne savais même pas que ça existait »
Garry reprend la parole :
« Et si on lui demandait de sallonger sur la table »
Je prends lordre au vol :
« Oui Monsieur »
Je pose mes fesses à un bout de la table, je les écarte bien. Pendant ce temps Chris fait place nette en enlevant les bouteilles. Je mallonge et je mets les mains au-dessus de ma tête, ça fait ressortir mes seins. Mes jambes sont de chaque coté de la table, je ne peux pas être plus écartée.
« Regardez, elle mouille à fond cette pute. Ça dégouline «
Il parle de mon sexe, ça mexcite terriblement.
« Les claques sur la chatte ça texcite ? «
« Oui monsieur, je suis une bonne petite salope.»
« On va voir ça ! » dit Romain.
Je prends une première claque qui fait un bruit tout mouillé.
« Un ! Merci Monsieur » Jai honte dêtre aussi humide.
Une deuxième claque.
« Deux ! Merci monsieur »
Une troisième mais cette fois sa main sattarde sur mon sexe. Romain a senti mon clito qui sétait durci et il tourne autour avec un doigt. Je dis, dans un souffle :
« Trois ! Merci Monsieur Puis-je avoir des claques un peu plus fort sil vous plait »
Garry : « Cest pas possible, mais cest vrai quelle aime ça ! Pousse-toi, Laisse-moi essayer »
« Oui Monsieur, je suis une petite salope qui aime prendre des claques sur la chatte »
En voilà une autre.
« Quatre ! Merci Monsieur »
Et encore une. Cette fois je gémis de plaisir. Je revois ces femmes sur Xhamster et je me dis que moi non plus, je ne fais de mal à personne. Au contraire !
« Cinq ! Je suis une bonne salope, Merci Monsieur »
Pendant ce temps, Romain a de nouveau pioché dans le sac. Il en a sorti mon godemiché quil ma planté dans la moule, direct. Chris lui, sest mis en devoir de me peloter les seins.
Une claque
« Six ! Je suis une chienne ! Merci Monsieur » je ne peux retenir mon bassin de faire des mouvements pour accompagner le gode.
Et une de plus. Ce nest plus un bruit de claque cest un clapotis tellement ma moule est trempée.
« Sept ! Je suis une salope qui mouille de la chatte. Merci Monsieur ! »
Romain, qui en même temps quil fait des allers-retours avec le vibro, me titille le petit trou. Ma mouille est descendue jusquà lanus et son doigt na aucun mal à me pénétrer de tout son long. Je le sens bouger dans mon cul.
Une nouvelle claque humide :
« Huit ! Je suis une petite pute qui aime se faire doigter le cul. Merci Monsieur »
Je me cambre à fond sous leffet du plaisir. Je me fais peloter les seins, claquer la chatte, pénétrer la moule et doigter le cul en même temps :
« ou
.oui ! Encore ! Je vais jouir comme une salope ! Est-ce que je peux jouir Monsieur ? »
Romain qui a tout arrêté :
« Ça va pas non ? Nous on se fait ceinture et toi tu veux prendre ton pied ? Cest pas lheure !»
Je redescends. Comment ça, cest pas lheure ? Je suis chaude comme la braise moi.
« Va mettre les pizzas au four. Non, attend, reviens. Cest quoi la position ou tu mets tes nichons en avant ? »
« La position n° 2 Monsieur »
« Ouais ! Va cherchez les pinces »
« Oui Monsieur »
Je les lui apporte, je prends la position les « nichons » en avant. Il les pose.
« Je suis une bonne petite chienne. Merci Monsieur » je pars moccuper des pizzas en faisant, malgré moi, tinter les clochettes.
Jétais à deux doigts, si je puis dire, de jouir tout à lheure. Je me sens un peu frustrée. Je tombe sur du sopalin, jen profite pour messuyer la fente, le petit trou, et le haut des cuisses. Cest la première fois que je mouille à ce point. Je me surprends moi-même.
Ding Dong ! Cest le carillon de lentrée. Je mimmobilise et je tends loreille. Jentends la voix de Romain dans l'entrée:
« Ah ! Salut, je suis désolé, on fait une soirée entre mecs et je ne peux pas
.Attends, je suis au téléphone en même temps. Allo oui ? Ah ? très bien ! je lui dit quoi ? Bon
jy vais. Justine, tu peux attendre une minute ? »
Il vient dans la cuisine et se plante devant moi. Il récite :
« Une copine à nous vient darriver. Tu coches la case 1 ou 2 ? »
Jai compris, cest mon mari qui, au bout du fil, me demande si : « jaccepte » ou :« ça mexcite »,
Cest délicat. Les hommes cest facile, tu leurs montre un bout de nichon, et ils démarrent au quart de tour mais une femme
Oh ! Et puis de toutes façons, mon homme contrôle la situation jen suis sure.
« Réponse 2 Monsieur. »
Je suis très excitée et jai envie de faire plaisir à mon chéri. Alors une femme, au point où jen suis !
Romain séloigne :
« Elle a dit réponse 2 . Quest-ce que je fais ? Bon
daccord ! »
Il retourne à la porte
« Ben écoute Justine, tu peux venir mais je te préviens, cest un peu spécial, on a une serveuse, enfin une
Ecoute, je sais quil en faut beaucoup pour te choquer mais là, Je te préviens, cest un peu spécial »
Justine force le passage :
« Vous ? les célibataires, me choquer ? Ça métonnerait, et puis au pire ça me changerait »
Elle est dans le salon.
« Alors les gars, ça boume ? Toujours à fond sur WOW ? Cest quoi votre soirée de minables »
Pour le coup je prends les garçons en sympathie. Quelle pimbêche !
Quelle traite les gars avec autant de mépris me galvanise. Alors comme ça, rien ne la choque ? On va bien voir. Je sers un verre de cocktail, je le pose sur un plateau que je porte dune main, bien sur le côté afin de ne rien cacher de mes seins ni de ma chatte, ni du reste dailleurs et je rentre dans le salon.
Je garde les yeux baissés mais ça me coute. Je me plante devant elle :
« Votre cocktail Madame »
Et pourquoi pas « Madame est servie ! ». On se croirait dans une comédie de boulevard. Vrai ! on sattend à ce que lamant sorte du placard.
En attendant, elle a pris un coup dans lestomac la virago. Elle reprend son souffle en me détaillant du haut vers le bas, comme seules les femmes savent le faire : cheveux teints ? Maquillage réussi ? Seins naturels ? Taille fine ? Jambes longues ? Vêtements bon marché ? Pour les vêtements, elle ira se faire voir.
« Quest-ce que
? »
Romain bafouille un truc :
« Cest grâce à un jeu vidéo, on a gagné une prestation dune serveuse, enfin dune call girl, enfin je sais pas ce que cest !»
Justine accuse réception. Elle marmonne :
« Pas de danger que je gagne un chippendale en jouant à Candy Crush ! »
Romain reprend :
« Ouais je sais, cest bizarre, mais regarde ya un mode demploi »
Bip Bip . Bip Bip. Cest le four, les pizzas sont prêtes. Justine a juste le temps dattr son verre avant que je ne fasse demi-tour. Je sens son regard sur mes fesses nue.
Quand je reviens avec les pizzas coupées en quartiers, les garçons sont assis dans les canapés et Justine trône sur un accoudoir en parcourant la grille du contrat. Je pose les pizzas sur la table basse sur laquelle jai manqué de jouir tout à lheure.
« Purée, cest chaud ce truc ! » Elle parle du contrat, pas des pizzas. Elle lève les yeux sur moi : « Tes une professionnelle ? »
« Non Madame »
Mon ton obséquieux semble rassurer Romain. Il devait avoir peur quon en vienne à se battre toutes les deux, nues dans la boue. Il essaye dapaiser latmosphère :
« Non mais tu vas voir ! Elle est sympa. »
Sympa ? Non mais je rêve ! Ils mont eu entre les mains toute la soirée, ils mont mise à poil, ils mont peloté les seins, mis des claques sur la chatte, un gode dans la moule, un doigt dans le cul ! et je suis sympa ? Ah ces mecs ! « Plus je connais les hommes plus jaime
le mien » Tiens, dailleurs il doit se régaler lui. Quoi que, peut-être, il trouve que ça manque daction. Je tente le tout pour le tout, il est temps que ça bouge.
Je madresse à Justine parce-que je sais que cest elle lAlpha de la soirée.
« Puis-je suggérer que lon rajoute des éléments à cette grille, madame »
Tout en lisant, elle répond :
« Ouais vas-y, cest marrant !»
Je propose comme ça me vient, ça aura le mérite de clarifier la situation.
« Être nue devant une femme. Je coche : jaccepte
Être touchée, caressée par une femme. Je coche : jaccepte »
Elle répète en notant : « caressée par une
..femme,
jaccepte »
« Mais cest quoi ça ? cest un gag ? Attends ! je lis là : « être fouettée sur les fesses, deux points, ça mexcite ? »
« Oui Madame. Je suis une petite pute qui aime se faire fouetter les fesses »
Justine Incrédule :
« Mais ça veut dire quon peut le faire ? »
« Oui Madame »
Romain a déjà sorti le martinet du sac. Il le donne à Justine qui prend les choses en main :
« Viens ici ! Cest quoi la position ?
..elle repend les fiches. Ah oui ! position numéro 6 !»
« Oui madame » Cest la toute dernière position que jai apprise. Je viens vers elle, je lui tourne le dos, je me mets à quatre pattes les avants bras sur le sol, jécarte les jambes et je cambre. La vache ! Elle a pas choisi la plus soft. Ce doit être pour me tester. Je me suis déjà trouvé nue devant des femmes dans des vestiaires de sport ou à la piscine mais jétais debout, les jambes jointes et cétait le temps denfiler une culotte. Là, dans cette position, je lui présente mon arrière train bien écarté. Ce nest pas la même chose.
Jattendais le martinet et my étais préparée. La chatte ainsi exposée je pensais sentir une brulure. Au lieu de ça, une caresse. Elle passe sa main sur chacune de mes fesses.
Cest la première fois que je sens une caresse de femme. Elle a les mains fraiches, la peau douce. Avec les hommes, cest linverse . Voilà quelque chose de nouveau. Elle promène ses doigts sur la raie de mes fesses, passe sur le petit trou, puis entre les lèvres de la chatte. Elle appui légèrement sur le clito. Pas assez fort !
Aie ! Jai parlé trop tôt : Le martinet sabat sur mes fesses.
« Un ! merci Madame »
Une autre fois.
« Deux ! merci Madame »
Encore une.
« Trois ! merci Madame. Est-ce que je peux me caresser la chatte Madame »
Le martinet sur les fesses, cest magique. Je ne dirais pas que ça fait mal, je ressens juste que jai des fesses. Ça peut paraître ridicule, mais les fesses cest ma zone érogène.
« Ouai vas-y. Fais toi plaisir »
Elle y crois pas en fait. Elle pense que je suis une professionnelle qui joue son rôle. Alors elle frappe plus fort. Le martinet claque.
« Quatre ! Merci Madame » Je me frotte le bouton comme une folle.
Une autre.
« Cinq ! Merci madame » Je gémis. Jai envie de la pousser dans ses retranchements : « Plus fort sil vous plait Madame »
La sixième arrive, elle a visé entre les fesses. Les lanières claquent sur le petit trou. Me faire corriger par une femme, cest bien aussi.
« Six ! Merci Madame » Je la sens dubitative, hésitante.
Elle se demande si je suis vraiment en train de prendre mon pied ou si je fais semblant. Je porte lestocade :
« Je suis une petite pute qui aime prendre des claques sur les fesses Madame »
Cest curieux, le fait de le dire et de minsulter moi-même me chauffe au max. Entre deux frottements de clito, je me rentre deux doigts dans la chatte. Je remouille à fond. Je ne sais pas comment fonctionnent les autres femmes mais moi, dès mon adolescence, je devais me frotter très vigoureusement le clito en entrant parfois deux doigts à lentrée du vagin pour me faire jouir. De même, les caresses sur ma chatte fermée me faisaient peu deffet, je préférais être grande ouverte. Jai appris depuis que le clitoris nest pas seulement un bouton à lextérieur, mais tout une ramification qui prend naissance à lintérieur du vagin.
Une autre en plein sur mon trou du cul.
« Sept ! Ou
iiiii ! Jaime ça ! encore sil vous plait Madame »
Cette fois elle na aucun doute, je suis presque en train de jouir. Alors elle stoppe :
« Attends, explique-moi ! Je croyais que cétait un gag. Tes vraiment en train de prendre ton pied ? »
Jai du mal à récupérer. Ça fait deux fois que je suis au bord de jouir. Je regarde autour :
Justine est derrière moi, le martinet à la main. Les garçons sont sur les canapés, lair hagard et moi, je suis à quatre pattes, la chatte en lair. Justine reprend :
« Mais tes une vraie malade en fait, quest ce que tu fous là ? Tu veux du pognon ? Jte préviens, jvais pas te laisser faire. Les gars sont peut-être cons mais pas à ce point-là ! Tes venue les pigeonner cest ça ? «
Jai pas vraiment envie de discuter avec elle mais je nai pas le temps de compter jusqu à trois que :
Ding dong ! La sonnette a retenti en même temps que la porte dentrée sest ouverte et mon mari est là à lentrée du salon, lair jovial :
« Société Ubisoft ! Désolé Messieurs-Dames mais il se fait tard. Continuez à jouer et tentez de remporter le super gros lot : Une semaine tous frais payés à lhôtel du débarquement en Normandie. » Sur ce, il matt par le bras et mentraine avec lui vers lextérieur sans même se soucier de mes maigres vêtements.
« Bonsoir tout le Monde ! Avec Ubisoft
.Restez
.soft ! »(Nimporte quoi !)
Nous arrivons à la voiture, il mouvre la portière, me tiens la main pour monter, ferme derrière moi. En une seconde, il a fait le tour, il est au volant, nous démarrons. Je pose ma tête sur son épaule.
Je suis nue, nous traversons un bourg et il y a des gens sur les trottoirs, je men fiche, il est là, il maime, je suis heureuse.
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