Collection Black. Mamy Salope (2/2)
Je suis en train de tromper Jules, mon mari avec un jeune homme plus jeune que mon dernier fils, juste un peu plus vieux que ma première petite fille.
Après mavoir conduit chez lui pour maider à recharger mon portable pour que jappelle mon mari.
Ce mari que jai perdu dans Pigalle, car il marche toujours sans soccuper si je suis ou pas.
Là cétait ou pas.
Il prend une douche, sa serviette tombe et en face de mes yeux, son sexe encore au repos me fascine.
Celle qui ma dépucelé et fait trois s est inexistante si je les compare.
Jai envie de lui dire que depuis ma naissance, les fellations comme les bites noires, surtout de son calibre, je les connais par Internet.
Pourtant, ma langue sapproche, il me met sa main derrière ma tête, jouvre ma bouche, je fais mon premier pompage de bite.
Un jour, toujours sur Internet, jai vu des mamys salopes en faire de même avec de jeunes hommes.
Comment aurais-je pu penser que cette après-midi, ce serait moi qui en masturberais et en pomperais une.
Il mallonge, je suis frustrée, jétais prête à boire son sperme, je suis devenue folle.
Ma chatte doit être dégoulinante, je sens du liquide couler vers mes fesses, il sallonge sur moi, jouvre mon compas, il me prend la bouche.
Incroyable avec sa main, il la place là où il faut et je la sens rentrer petit à petit.
Jai limpression que cest aujourdhui que lon me dépucelle, certes, mes trois s sont passés dans lautre sens, mais il y a si longtemps.
Alors, je jouis, la boule qui enfle et remonte du tréfonds de mon ventre vers ma bouche, fait de moi une mamy salope, mamy ayant quatre petits s.
Je perds la notion du temps, je suis en eau.
Il me fait mettre à quatre pattes pour mieux me reprendre.
Cest vrai il ma placé en levrette, il entre en moi, mon sexe sétant adapté à son gros membre.
Je sais quand un nouvel orgasme me submerge ce quest un homme qui est performant, loin de Jules, léjaculateur précoce.
Enfin, il inonde mon vagin, nous tombons repus sur le lit.
- On a été fou, mais quest-ce que cela a été bon.
Je sais à mon âge ce quest une partie de jambes en lair, quelle conne, jai été de rester avec Jules.
- Tu attendais que le hasard te fasse rencontrer Azar.
Était-ce vraiment du hasard, si oui, il a bien fait les choses.
- Que fais-tu, il est 17 heures 45, laisse mon portable branché, tu veux me casser !
- Je devrais le balancer et te garder ici, mais je veux te rendre ta liberté, je tai menti.
- La femme de 82 ans, cétait un mensonge !
- Tout est vrai, cest pour le portable, dans la boutique, tu mas vu parler avec le patron.
Je lui ai demandé de trouver un truc, javais envie de toi, il a été très fort, le coup dès deux heures de charges.
Appelle ton mari, il doit être très inquiet, met le haut-parleur, je voudrais entendre la voix du cocu à petite bite.
- Tu es un salop, tu te moques dun infirme !
- Il est handicapé !
- Oui, de la verge, je viens de men rendre compte.
Je sais pardonner, faire lamour avec lui a été une vraie révélation.
Ça sonne, ça décroche.
- Ou es-tu ?
- Dans Pigalle, dans un café, avec un jeune homme qui maide.
Jai oublié mon portefeuille et la batterie de mon portable se trouvait déchargée.
- Ouais, ouais, ouais.
Le cri sortant de lappareil nous fait sursauter.
- La France a marqué, cest la mi-temps dans trois minutes, 2 à 1 pour la France.
Incroyable, javais peur quil soit anxieux, il regarde le match chez nos copains.
La main dAzar est revenue caresser ma chatte, je mouille de nouveau avec en plus le sperme de sa première éjaculation.
Je me penche et je commence une nouvelle fellation, il met son doigt sur la sortie du micro.
- Tu es folle, il va entendre.
- Je men fiche, je veux quil sache que je suis une mamy salope !
Il me regarde et fait entrer trois doigts, je vais jouir.
- Cest la mi-temps, nous allons aller boire une mousse avec Georges.
Dès la fin du match, je tappellerais, tu me diras ou tu es, avec tes conneries, je vais être obligé de prendre un taxi.
Cest mon tour de mettre mon doigt sur le micro.
- Et en plus, il est radin, nous avons un patrimoine conséquent, sa retraite et les biens de mes parents, ils étaient agriculteur, je loue mes fermages à un paysan voisin.
Nous pouffons tous les deux, mais je relâche mon doigt trop tôt.
- Jai entendu rire, qui cest ?
- Je tai dit que je suis dans un café, ils doivent tous faire comme vous, regarder le match.
Il y a juste un couple dans les bras lun de lautre.
Mince Jules, le gars vient de passer son bras sous la table.
Incroyable, de là où je suis, je vois quil passe sa main sous sa jupe, elle écarte ses cuisses, il doit la caresser.
- Cest normal, tu es à Pigalle, fais attention.
- Sans problème, je sais me défendre.
Ah !
Jai laissé échapper un léger cri, je suis à deux doigts davoir un orgasme simplement par ses caresses !
Jattends une fraction de seconde, ouf pas de réaction de sa part.
- Jattends ton appel !
Mon dernier mot prononcé, il a déjà coupé.
- Ah ! Ah !
Cest fait, ses simples doigts, ma déclenché un nouvel orgasme.
Je le reprends dans ma bouche, toujours avec autant de difficulté.
Depuis que je suis femme, cest la première fois que je pratique le sexe à répétition.
Chez moi dans mon autre monde, celui du formalisme où les femmes se marient pour reproduire lespèce, ce que jai très bien fait avec toute ma descendance !
On tire un coup et baye bonne nuit.
Bonne nuit, car les jeux sexuels que me fait découvrir Azar, sont inexistants.
Vous vous couchez dans votre chemise de nuit, quil soulève et sans vous demander votre avis, il vous plante.
Au plus loin de mes quatre s tous conçut en missionnaire.
En missionnaire, pour celle qui comme moi, avant Azar, lignorait, cest sur le dos, les jambes écartées et après trois petits coups vous tourne le dos.
En levrette, debout les seins sur la table, sa bite au plus profond de moi, le temps de la deuxième mi-temps, cest une partie du kamasutra qui défile.
- Henriette, le match doit être fini !
- Quel match ?
- Celui de coupe du monde, tu dois rappeler ton mari pour quil vienne te chercher au café où nous nous sommes rencontrés ?
- Tu me tues et tu veux que je me lève, dans le temps, les noirs, cest nous qui faisions de vous des esclaves.
À notre époque, cest vous nos maîtres par vos queues gigantesques.
Je me retourne comme une chatte, étendant mes bras pour les détendre après le plaisir quil ma apporté.
Quand je baisse ma tête, je vois ma chatte blanche recouverte de sperme.
Lavantage quand on est vieille et ménopausée, le sperme qui vous effrayait quand vous étiez jeunes, même avec un stérilet, vous vous en fichez comme de vos premières règles.
Malgré sa petite verge, les spermatozoïdes de Jules atteignaient mes ovules.
Premier , voulu sans protection.
Deuxième, encore voulu, idem.
Le choix du roi, je veux éviter comme ma mère den porter sept avec deux fausses couches.
Le troisième, la pilule que vous oubliez un soir ou vous vous quittez avec votre homme pour son anniversaire et malgré la pilule du lendemain, vous recommencez à changer les couches que vous lavez à la main.
Quant au dernier, jai parlé de stérilet, il aurait bougé.
Bref, la ménopause a effacé tous ces problèmes.
Pas de chance au moment où on peut, Jules avec son diabète oublie de lever sa queue.
- Henriette, panique, on sest endormi, il fait jour et ton mari !
- Ouvre la fenêtre !
- Tu es folle, pourquoi as-tu passé ton portable par la fenêtre ?
- Tais-toi et bouffe-moi la chatte, jadore ta grande langue et ta grosse queue.
Azar dit que je suis folle, oui, il a raison.
Mais pas comme il le pense, le hasard est loin dentrer en ligne de compte.
À mon âge, je viens par ce geste réfléchi en lançant mon portable par la fenêtre de décider de changer ma vie.
Fini de suivre mon mari, dans les rues de Paris ou de Limoges comme un toutou au point quil puisse me perdre, montrant le peu de cas quil fait de moi.
Dans les jours prochains, je vais charger mon avocat de mettre en branle le contrat de mariage me permettant de récupérer mes terres et la maison familiale.
Je compte bien quAzar me suivra à son tour, même si les vieilles rombières soffusquent de savoir que je baise à mon âge ayant cocufié mon mari.
La vie est courte, même si je passe pour une mamy, salope.
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