Collection Zone Rouge. Maman Et Le Jeune Prête (1/3)

J’ai mis longtemps avant de me décider à envoyer un message à l’un des auteurs du site HDS.
J’ai mis longtemps, car j’hésitais à raconter ce qui a pourri mon adolescente, non plutôt ma vie de jeune homme.
Ça a fini par me démanger, car j’espère faire de cet écrit une sorte de thérapie.
Mon histoire met en cause mes parents, mais surtout celle où avant de découvrir ce qui s’est passé, j’appelais maman.

Mon père Robert, ma mère Colette, ma sœur d’une année mon aînée Claudine et ma petite sœur d’un écart de 24 mois Carine, nous habitions dans un pavillon de banlieue construit par mon père sur un petit terrain.
Sous-sol légèrement enterré ou se trouve la chaudière à charbon ainsi que sa cave pour stocker une fois par an ces précieux boulets noirs.
Premier étage, cuisine salle de bains, pipi-room, leur chambre, la salle à manger et salon.
Dernier étage, accessible par un escalier, les combles qu’il a aménagés en chambre pour nous les s.
J’avais quatre ans quand je suis arrivée dans cette maison.
J’ai su un jour que nous serions bientôt une personne de plus et je faisais des prières pour que ce soit un garçon.
Hélas, une deuxième pisseuse dont on connaît le nom Carine.
Dès qu’elle a été en âge, elle nous a rejoints sous les toits, jusqu’à ce que notre grande sœur ait eu 13 ans.
J’étais au salon à lire Tintin, ma passion depuis qu’une amie de la famille m’a offert Tintin au Congo livre prémonitoire de mon avenir quand j’ai entendu mes géniteurs parler des règles de Claudine.

Dans les heures suivantes, Robert mon père a sorti notre voiture 2cv fraîchement acheté pour se rendre dans une boutique de bricolage encore très rare dans ces années 60.
Il s’est mis à fermer le passage entre le salon et la salle à manger et grâce à une porte déjà en place faire ma chambre dans ce salon.
Ma chambre se retrouvait à côté de celle de mes parents.
Plusieurs fois dans les jours qui ont suivi mon emménagement, j’ai entendu maman glousser sans savoir ce qu’ils faisaient.


Dans ces années-là, la sexualité était taboue bien que le matin ma bite se recouvrant d’un léger duvet soit toute dure lorsque je me réveillais.

Mon père travaillait dans une usine en ce qu’il appelait les 3 fois 8.
Une semaine du matin, une d’après-midi et la troisième de nuit.
Il avait un dimanche de temps en temps de repos.
C’est lors de l’un d’eux seule fois où il nous accompagnait à l’office dans la petite chapelle mitoyenne de notre maison qu’il a fait entrer le fruit dans le vers.
La messe venait de se terminer et le père Étienne nous a salués sur le parvis.

- Bonjours mon père, vous officiez pour la messe à 6 heures et vous attendez celle de 10 heures.
Vous retournez au presbytère entre les deux !
- Non, je communie aux deux offices et il faut quatre heures à jeun entre les deux.
Si je retourne au presbytère pour déjeuner, je me mettrai en infraction avec notre liturgie, alors j’attends dans la sacristie en lisant mon bréviaire.

Liturgie, bréviaire, à jeun, j’étais trop jeune pour tout comprendre.

- La messe du matin fini à 7 heures, venez déjeuner à la maison, ma femme se lève tôt pour vaquer à ses occupations pendant que les s dorment jusqu’à 9 heures où elle les lève pour venir à la messe.
- Je vais vous déranger !
- Non, Robert à raison, je prépare la brioche du dimanche que je mets dans notre réfrigérateur et que je cuis le matin en me levant.
Il me suffira de me lever un quart d’heure plus tôt pour qu’elle soit cuite quand vous arriverez.
- Alors s’il s’agit de partager la brioche du dimanche avec un bon café, je suis partant, dimanche prochain.

Le fruit dans le vers, c’est le dimanche suivant qu’il est entré, mais je dormais.
La seule chose que je sais, c’est que mon père ayant travaillé de nuit et entrant à 6 heures était couché quand le père Étienne est arrivé.
Est-ce déjà ce jour-là, dès la première fois, que le couple s’est formée.

La semaine suivante, il était du matin.
Les panneaux de bois m’isolaient de la lumière, mais pas des bruits de la télé le soir quand ils la regardaient alors que nous nous couchions à cause de l’école.

Ce dimanche, c’est des voix feutrées qui m’ont réveillé.
J’ai ouvert ma porte et c’est à ce moment que maman a perdu son titre de mère à mes yeux et que j’ai été plongé dans la connaissance de la sexualité.
Une glace dans le couloir me montrait la salle, le père Étienne sa soutane ouverte.
Toujours les années 60, les curés étaient en soutane et les jeudis quand je me rendais en vélo au patronage dans la salle avec un morceau de terrain près du presbytère, il jouait au foot avec nous la relevant et nous montrant ses sandales.
J’aimais le patronage, moi qui vivais entouré de bonnes femmes, car en plus du foot, il nous passait des filles comiques sur un projecteur.
Charlot, Laurel et Hardy, je les adorais.

Bref, le curé, assis dans le fauteuil de papa, avait sa soutane ouverte me montrant, contrairement à ce que je m’imaginais, l’homme qu’il était.
Ce que là encore, plus tard, je devais apprendre que l’on appelait ce bâton tout dur, une verge, une bite ou encore un phallus et même un pieu.
Les curés étaient des hommes et celui qui s’occupait de mère, en avait une sacré.

C’est là qu’au début de ma sexualité, j’ai fait un blocage.
Mère l’a fait entrer dans sa bouche et le masturbait en même temps.
À partir de ce moment de ce qu’il m’est arrivé, tous ces termes comme masturbation, branlette, fellation et bien plus tard sodomie, je les ai entendus, mais j’en ai compris le sens bien plus tard.
Mère avait ôté son peignoir qui gisait à ses côtés.
Pour la première fois dans cette glace, je la voyais nue.
C’était même le premier nu féminin de ma vie, car l’éducation sexuelle était bannie de cette époque.
Comme elle était placée, les seins de cette femme d’une quarantaine d’années ayant eu trois s, commençait à pendre dans sa position.

Mais surtout ce qui m’a traumatisé pour les années suivantes, ce sont ses fesses, son cul tout blanc.
Je ne voyais que lui.
Je ne verrais plus que lui.

- Viens que je te baise.

Je me mettais les mains sur les oreilles, mais mère se relevant l’as enfourché et écartant sa chatte, s’est empalé sur elle.

- Colette, tu aurais dû fermer la porte, s’ils nous entendaient !
- Non, mon cœur, depuis que je te connais, j’attends ces moments et je veux entendre si mes s bougent.

Pour entendre, j’entendais, pour voir, je voyais son cul monter et descendre sur la verge qui rapidement à sembler la , car, elle se cachait dans son cou pour freiner ses gémissements.
C’était donc ça, les gémissements que j’entendais, mon père faisait régulièrement à ma mère ce que le curé lui faisait, ils baisent aussi.
Un instant, à la vision du curé éclatant dans la chatte qui m’avait vu naître, mon sexe moi aussi était tendu à son maximum.
J’ai eu la tentation de le branler comme mère l’avait fait avec le père Étienne.
Mais le risque de rejoindre les flammes de l’enfer comme nous l’apprenions une nouvelle fois dans ces années-là, cette première fois m’a arrêté dans mon geste et mon envie.
J’ai battu en retraite au moment où mère s’est relevée.
La dernière image dans ma rétine, outre son cul, c’est la verge de son amant d’où dégoulinait du sperme comme du lait concentré sucré que je buvais à même le tube dès que mère en achetait.
Mon histoire aurait pu s’arrêter là, mais, hélas, ces visions ont conditionné la plus grande partie de ma vie jusqu’à l’âge adulte.
Je me propose de le raconter à notre auteur dans les heures prochaines, pour moi maman est morte, mère a pris sa place…

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