Maria 4 ! Rencontre Avec Un Jeune Garçon Et Punition Pour Une Voleuse

Maria Emmanuel et Laurence

Notre période masochiste étant terminée, nous nous promettons, pendant la douche, de rendre la pareille à nos femmes à la première occasion. Elles nous ont tout de même surpris par leur imagination et leurs actes.
A notre retour, nous trouvons les femmes très affairées autour du gode ceinture. Celui-ci est donc en forme de pénis plutôt imposant (20cm de long par 5 de diamètre d’après la notice) et à l’arrière un second pénis, plus réduit qui permet à la femme qui s’en équipe, d’être pénétrée et ressentir plus de plaisir. Maria qui était en train de sucer la bête, demande à Valérie de la pénétrer avec et sous la robe, disparaît le gode. Le regard de Maria chavire prouvant le plaisir qu’elle éprouve à absorber le pénis artificiel. Décidément elle est insatiable, depuis hier matin je ne compte plus le nombre de ses rapports sexuels et encore, on ne sait pas ce qu’elle a pu faire avec Valérie pendant leur balade !
Valérie la gode énergiquement et, de chaque côté d’elle, Jeremy et moi, massons ses seins pour accompagner son plaisir. Celui-ci se traduit par petits cris et halètements. Elle s’abandonne enfin alors que Valérie retire le godemiché et le lèche avec gourmandise
• « Ça vous dit de goûter les garçons ? » dit-elle en nous tendant l’objet
Nous léchons l’engin recueillant la cyprine de Maria, qu’elle a distillée abondamment.
Après ce dernier épisode, nos amis, que nous ne connaissons en fait que depuis quelques heures, décident qu’il est temps de se restaurer. Nous devisons tranquillement en avalant la nourriture le tout arrosé d’un excellent rosé bien frais.
• « Mesdames, déclare Jeremy, vous avez fait des achats bien particuliers, lorsque nous étions vos prisonniers, je ne savais pas qu’il y avait dans le coin de commerce de ce genre !
• Tu vois, mon chéri, que même si je ne sors pas beaucoup, j’observe quand même les alentours, je suis sure que tu es passé devant la boutique mais tu es toujours pressé lorsque nous faisons les courses !
• Ça, c’est le propre des hommes, répond-t-il, mais pour ma part, j’ai remarqué une autre boutique, intéressante, que nous allons visiter tout à l’heure ! Sur ce, il me fait un clin d’œil égrillard.

 Bien sûr vous restez avec nous ce soir, ajoute-t-il
• Mais... nous n’avons rien pour nous changer.. et, nous devons rentrer
• Quelqu’un vous attend ?
• Non … pas vraiment, à part Hélène... peut-être, dis-je en me tournant vers Maria.
• Peut-être, mais je peux l’appeler.
• Elle va être jalouse !
• Je sens que notre amie a envie de rester dit Jeremy, c’est donc décidé !»
Après le repas, nous embarquons tous les quatre dans le 4x4, direction la plage dans un premier temps. Sur le sable, Valérie en profite pour recommencer son opération « écran total » sur Maria, qui s’abandonne aux caresses. Maria décide de rester sur la plage pour bronzer – et un peu se reposer « à mon âge ! » - alors que nous allons profiter de l’eau et des vagues maintenant plus fortes car la marée est haute. La baignade est très agréable et nous jouons un bon moment dans les rouleaux. Les courbatures occasionnées par notre épisode masochiste disparaissent, ainsi que les traces des liens qui marquaient un peu nos corps.
Au retour vers notre compagne, nous la trouvons en grande discussion avec un jeune homme âgé de 20 ou 25 ans, accroupi aux côtés de Maria. Notre arrivée le surprend un peu et il rougit malgré son hâle, son sexe plutôt impressionnant, caché aux yeux de Maria, trahit son émotion. Nous rions de son embarras et sans que nous puissions rien dire, il bafouille un « excusez-moi, mais je dois partir !» Alors qu’il s’éloigne et tout en nous séchant, nous taquinons Maria.
• « Eh bien ! vous les prenez au berceau maintenant !
• Mais voyons, nous ne faisions que parler !
• Vous peut-être, mais lui bandait fort lui dis-je
• Oh ! Je ne m’en suis pas aperçue ! Mais comment un jeune homme, peut-il s’intéresser à une femme de mon âge ?
• Quel dommage que vous n’ayez pas vu cela car c’est un bel engin ! Mais vous faites des ravages sans vous en rendre compte ma chère!
• Vous êtes jaloux ?
• Je crois que vous avez des preuves de ma largesse d’esprit, au contraire je trouve ça charmant !
• D’ailleurs, ton admirateur est toujours aux aguets dit Valérie en désignant le jeune homme qui nous observe à bonne distance.
Tu as un ticket Maria ! Veux-tu que je l’appelle ?
• Oh, non ! Voyons !
• Il vous déplaît ? Dis-je
• Bien sûr que non ! Mais tout de même, vous me voyez ? Que va-t-il penser de moi ?
• A mon avis dis-je, que du bien, mais libre à vous ! A votre place j’irai le voir, nous allons rester ici, j’ai l’impression que nous lui faisons un peu peur.
• Vous êtes un monstre !
• Dites que vous n’en avez pas envie !
• Si… mais...je...ça n’est pas possible, que j’aille... ce jeune homme !
• Vous alliez dire draguer ? Mais c’est lui qui vous a dragué !
• Bon d’accord, mais ne me laissez pas seule ! »
Maria se lève lentement, comme à contre cœur, mais plutôt hésitante. Elle se dirige vers le garçon qui la regarde venir un peu incrédule, ne sachant pas s’il doit rester ou partir. Nous faisons semblant de ne pas regarder en tournant le dos à la direction, seule Valérie regarde discrètement et nous fait les commentaires.
• « Voilà, elle arrive près de lui, il a l’air paniqué ! Elle s’assoit à ses côtés. Les voilà qui parlent. … » Un moment se passe et nous pressons notre amie de questions. « Attendez un peu voyons! Ça y est ! Elle pose sa main sur sa jambe, ils sont côte à côte. Il lui fait de la place sur sa serviette. Elle se couche à ses côtés. On dirait qu’ils s’embrassent. Ben dis donc !
• Qu’y a-t-il ?
• Elle le caresse !
• Elle ne connaît pas les règles de la plage !
• Il se couche sur le ventre, passe un bras sur elle et lui prend un sein. Notre position assise cache notre érection aux yeux des gens, mais heureusement cachés par Valérie, qui continue son « reportage »
• Ils n’arrêtent pas de se bouffer la langue. Ça à l’air de marcher sérieux entre eux, le pauvre doit être dans un état ! Ah ! Elle se relève ! La salope !
• Qu’y a-t-il ? demandons nous
• Elle lui passe de la lotion… le dos …. Les cuisses …les fesses … elle insiste cette cochonne !
• Tu m’as l’air excitée toi aussi dit Jeremy
• Pourquoi vous ne l’êtes pas vous ? A voir vos bites au garde à vous j’en doute !
• Continue, que font-ils ?
• C’est lui qui l’enduit maintenant, enfin.
.. il la pelote plutôt. Ils ont vite fait de s’apprécier ces deux-là, je ne sais pas ce que ça va donner ! Maria qui lève des petits jeunes !
• Oui ! Et si tu l’avais vu il y a deux jours tu ne le croirais pas !
• Ils se lèvent, annonce Valérie après quelques moments… Ils viennent par ici. Oh là, le pauvre !
• Qu’est-ce qu’il y a ?
• Tournez-vous, vous verrez »
Le garçon qui accompagne Maria, ils sont main dans la main, se trimballe un trique d’enfer ! Heureusement dans ce coin il n’y a personne qui peut le voir. Il a jeté sa serviette sur l’épaule, ce qui doit cacher la vue de côté. Le curieux couple – la différence d’âge est ici frappante – se dirige vers nous tranquillement. Maria a l’air radieux et nous décoche un grand sourire en arrivant près de nous.
• « Je vous présente Emmanuel, nous dit Maria en se mettant à genoux. Son compagnon, ne lâche pas sa main visiblement intimidé, son pénis d’ailleurs se rétracte lentement. Nous le saluons avec le sourire.
• Comment ça va ? » question bateau qui permet de détendre l’atmosphère.
• Emmanuel voulait m’emmener faire un tour en moto avec lui, nous dit Maria.
• Dans cette tenue ? dis-je en riant pour me moquer un peu.
• Idiot ! Me répond aussitôt Maria, c’est malin ! On … voudrait … s’isoler un peu dit-elle moins assurée. J’ai pensé que l’on pourrait... aller... chez vous... en regardant Jeremy et Valérie.
• Mais bien sûr ! Voilà la clé, vous allez retrouver ?
• Sans problème! »

Nos deux amoureux, se rhabillent et Maria en partant vient me donner un baiser en me glissant « Laissez nous tranquilles un moment tout de même! » Les voilà qui s’éloignent, main dans la main vers le haut de la dune, couple comme un autre. Seuls ceux qui peuvent les croiser verront un homme bien jeune et une dame bien âgée mais ce pourrait être mère et fils ou plutôt une grand-mère et son petit-fils !

Histoire de récupérer tout de même un peu, et de laisser du temps aux deux tourtereaux, nous lézardons sur la plage, non sans nous être protégés les parties sensibles.
La journée s’avance lentement et si nous voulons faire quelques courses, il nous faut quitter cette plage où il fait si bon.
Une fois rhabillés, nous partons vers la petite ville proche, au centre commercial nous achetons boissons et victuailles pour faire un barbecue le soir, puis nous profitons de la tranquillité des rues en ce début de saison pour faire du lèche-vitrines avant de prendre un rafraîchissement. Ce sont les habituels magasins de bord de plage avec souvenirs et articles de bain, rien de vraiment intéressant.
Nos pas nous conduisent vers la partie centrale du bourg, où les boutiques sont plus traditionnelles et plus intéressantes. Mes amis sont des passionnés d’objets anciens et nous visitons plusieurs magasins dans une petite rue. Entre deux, une boutique attire mon attention, je fais signe à Jeremy, qui me sourit et nous appelons Valérie, qui était en train de chiner. La boutique, dont la façade est assez petite et au look vieillot façon années cinquante, est en fait une boutique de lingerie. Voilà qui titille nos –bas- instincts de mâles.
En voyant l’étalage, Valérie rougit un peu en devinant ce que nous avons derrière la tête. La porte poussée déclenche une antique cloche, le plancher est en bois avec un tapis de laine, les étals aussi sont anciens mais repeints et vernis, dans des tons bleu-foncé. De la même manière les étagères aux fonds tapissés de bleu ciel ou d’ocre sont du plus bel effet. Tout est silencieux dans la boutique comme si le temps était arrêté ! Le décor résolument « années cinquante» confère un espace douillet avec des parfums subtils qui flottent dans l’air. Nous parcourons les allées étroites en admirant les différentes lingeries, lorsque nous entendons une voix sortie de nulle part disant « Bonjour messieurs-dame ! Si vous avez besoins de renseignements n’hésitez pas, mais prenez votre temps » La dame qui nous regarde est une brune, plutôt ronde, avec des beaux yeux bleus-vert qui pétillent derrière des petites lunettes, des lèvres pulpeuses et un corsage noir bien rempli.
Nous sélectionnons des petites culottes, des soutiens-gorge pigeonnants, des porte-jarretelles. La dame qui remarque que nous prenons des tailles différentes, nous demande si nous ne nous trompons pas.
• « Nous en prenons pour une dame qui n’est pas là, elle doit avoir à peu près vos mensurations, mis à part la poitrine qui est un peu plus petite.
• Un 95 C peut-être, la mienne est un peu forte !
• Mais néanmoins fort jolie dis-je. » La dame sourit du compliment, lorsque j’aperçois Valérie qui subtilise un petit string et le met dans son sac.

J’attends que nous soyons à la caisse et que nous ayons payé pour « mettre les pieds dans le plat »
• « Un instant s’il vous plaît ! Tout le monde se fige. Je crois que nous avons une petite voleuse parmi nous ! Valérie est écarlate, la dame très étonnée et Jeremy hilare, il doit connaître les petits travers de sa femme. Valérie, voudrais-tu nous montrer ce que tu as dans le sac ?
• Mais…
• Il n’y a pas de mais. Montre ce que tu as pris tout à l’heure, je t’ai vue !
• Mais voyons !
• Dépêche-toi ! » Penaude, baissant les yeux elle sort de son sac, le petit morceau de tissu roulé en boule. Le string est de couleur rouge, entouré de dentelle noire du plus bel effet. « Je vois que tu as bon goût mais cela ne se fait pas de voler !
• Pardon, je ne recommencerais plus, je vais payer, dit-elle en pleurnichant.
• C’est trop tard ! Tu mérite une punition, n’est ce pas madame ?
• Je... ne sais pas répond celle-ci, gênée je...
• Si, si dis-je en insistant, cette petite voleuse mérite une correction ! Valérie regarde désespérément Jeremy pour qu’il la soutienne, mais celui-ci abonde dans mon sens
• C’est vrai que tu mérites une leçon, ça te servira peut-être pour la suite, car j’ai déjà remarqué cela. Jean, tu peux la corriger »
• Bien ! Valérie, courbe-toi sur ce portant et relève ta robe ! La commerçante est ébahie, je lui demande si elle a une règle ou un objet pour fesser les fesses de la voleuse. Elle sort de dessous son bureau une longue règle plate qui lui sert à mesurer le tissu et me la tend. Approchez, Madame, vous verrez mieux. Dans le magasin silencieux trois regards fixent le postérieur de Valérie, celle-ci ne portant pas de culotte, sa lune bronzée s’étale devant nous. Je me place de côté et sans prévenir, je frappe les fesses de Valérie qui commencent à rougir. A chaque coup, elle sursaute, gémit un peu mais ne crie pas. Après une dizaine de coups, je m’arrête un peu. Valérie croit que j’ai fini mais je lui intime l’ordre de ne pas bouger.
• Mais, Jean, j’ai mal !
• Tu oublies que maintenant c’est moi le maître, dis-je, lui rappelant que tout à l’heure les rôles étaient inversés. Je recommence une dizaine de coups, un peu plus appuyés qui la font bondir. Elle lâche enfin de petits cris. Je vois ses mains qui se crispent sur le rebord de l’étal. J’arrête enfin et Valérie croit que c’est terminé, mais je la détrompe vite lorsqu’elle m’entend dire à la commerçante : Madame, il est normal que vous corrigiez un peu vous même cette petite voleuse.
• Non ! s’écrie Valérie !
• Tu n’as pas le choix ! lui dit Jeremy qui apprécie le spectacle.
• Je ne sais … si... balbutie la dame
• Mais si ! Dis-je en lui tendant la règle. Elle a bien retenu la leçon, ou elle a déjà procédé à ce genre de chose car elle se place bien derrière Valérie et sans s’embarrasser, lui assène une volée qui fait hurler la fille. Cinq ou six coups « seulement » mais bien frappés !

La vendeuse, semble toute émoustillée de son action, elle reste les bras ballants, contemplant la croupe zébrée de rouge. Sa main libre esquisse un geste vers les fesses de Valérie mais elle se ravise, rougissant de sa « presque » audace. C’est à ce moment que la porte de la boutique s’ouvre, laissant le passage à une dame bien habillée.
• "Bonjour madame, D... dit la vendeuse machinalement, sans bouger pour autant
• Bon... bonjour messieurs, dame répond la dame qui découvre le spectacle de notre amie, exhibée les fesses à l’air, la peau marquée de rouge. Personne ne dit rien, aussi la dame s’approche et demande : Quel est le motif ?
• Elle a volé un string dit la vendeuse et monsieur l’a vue. Elle a mérité une punition !
• Bien sûr ! dit la dame l’air malgré tout un peu pincé.
• Quelque chose vous dérange ? dis-je
• C’est… que non… oui... enfin …j’ai… aussi…ce … petit… vice…dit-elle troublée et même franchement rouge de confusion.
• Et... vous avez... sévi dans ce magasin déjà ?
• Ou…. Oui avoue-t-elle en baissant la tête.
• Vous conviendrez donc que vous aussi méritez une punition !
• Je... mais... voyons… Oui..., je crois.
• Bien, vous allez prendre la place de cette dame mais avant je vais prendre une photo ! J’ai toujours mon appareil numérique et j’ai vite fait de tirer le portrait arrière de Valérie.
• A vous maintenant !
• Vous n’allez... pas... aussi…la photo ?
• Mais bien sûr, et je crois que Madame, pourra s’en servir d’exemple !
• Comment ça ? » Demande la vendeuse.
• « Je vois que vous avez un ordinateur et une imprimante, nous allons donc imprimer ces postérieurs fessés avec un petit commentaire. Mais rassurez-vous on ne pourra pas vous reconnaître à moins …
• A moins que ?
• Que quelqu’un ne vienne ici et ne connaisse cette partie de votre personne... intimement !
• Oh ! Lance la dame, mais plus excitée que révoltée, elle prend la place de Valérie qui s’est relevée toute penaude, les yeux embués d’avoir pleuré sous les coups et l’humiliation. La commerçante qui apprend vite relève la jupe de sa cliente, semblant toute excitée de la retrouver ainsi, sous son contrôle. Celle-ci porte une petite culotte noire du plus bel effet et sans que je ne lui fasse signe, la commerçante la saisie et la baisse sur les jambes.
• Noon ! dit la dame courbée en mettant ses mains sur les fesses.
• Laissez vous faire, c’est ainsi que l’on administre une fessée aux vilaines voleuses. Vaincue, l’autre s’abandonne au châtiment. La fesseuse attend un peu, sachant que cela fait partie du jeu, puis d’un coup abat la règle sur les fesses de sa cliente.
• Ouille ! ça fait mal !
• Vous allez demander pardon à chaque fois en comptant, rajoute la vendeuse. Allez !
• Un, pardon ! Aïe ! Deux, pardon Aïe ! Trois, pardon Aïe ! Quatre, pardon … et ainsi jusqu’à vingt.

Je photographie la lune rouge de la dame et allant à l’ordinateur, je récupère les deux clichés pour les imprimer. Pendant ce temps, la dame s’est relevée en cachant ses pleurs et sa honte d’avoir été corrigée devant des inconnus. La commerçante qui ne perd pas le nord lui demande en reprenant son rôle initial:
• "Madame, Vous désiriez ?
• Je … voudrais... voir... quelques articles.

Laissant ces dames à leurs achats, j’imprime les deux photos avec un commentaire : « Voilà ce qui arrive à celle qui vole un article dans ce magasin » Puis je scotche les deux feuilles, bien en vue à côté du comptoir.
Au retour des dames, la commerçante sourit alors que l’autre est plutôt gênée de voir son postérieur marqué de rouge étalé à la vue des gens. Elle se rend compte et elle sent également les picotements sous sa jupe, de l’efficacité de la main de sa fesseuse.
• " Vous croyez que je peut mettre cela ici ? demande celle-ci.
• Bien sûr ! Cela reste tout de même anonyme, mais cela portera sûrement ses fruits.

La dame paye ses achats, plus la petite culotte au prix fort et quitte le magasin. Nous la suivons et quittons le magasin, pour retourner chez nos amis après cet épisode instructif et croustillant. Valérie monte à l’arrière et ne dit mot durant tout le trajet, boudeuse mais aussi honteuse. Avec Jeremy nous devisons gaiement de l’épisode.
• " Finalement c’est bien agréable de se soumettre, aussi tu as vu la dame comme elle a vite accepté ?
• je crois qu’elle en avait très envie, elle doit être habituée et cela ne m’étonnerais pas qu’elle revienne se faire fesser dans ce magasin en provoquant la faute.
• Tu crois ?
• Sûr ! Cette dame m’a l’air d’apprécier ce genre de chose et je crois que notre commerçante y a pris très vite goût et elle risque d’en faire profiter d’autres clientes ! Et toi Valérie, as-tu apprécié ?
• Vous êtes des salauds !
• Et toi, tu n’en as pas profité tout à l’heure lorsque tu étais dominatrice ?
• Oui ! Mais j’ai honte car en fait, j’ai aimé recevoir la correction et être exposée ainsi !
• Petit cochonne réplique Jeremy, si ça te plais, tu y auras droit encore
• Oh oui, mon amour ! J’espère que tu me puniras, j’aime être ton esclave !

Sur ces bonnes paroles nous arrivons à la maison où tout semble calme. On n’entend pas nos tourtereaux. Ils doivent être à l’étage.
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