Le Chauffeur De Bus

Lorsque Virginie et moi étions encore ensemble, nous prenions souvent le train pour nous rendre à Paris, dans le cadre de nos études. Ma chérie était en ce temps-là en première ou deuxième année d’un BTS qui lui permit de rebondir et de décrocher ensuite un travail.

En ce temps-là, nous habitions encore Senlis et sa région et pour nous rendre à Paris, nous devions systématiquement prendre le train à Chantilly. Un bus nous y déposait régulièrement. Il circulait même le samedi. C’est ainsi que ma chérie, Virginie, fit la connaissance de Jean, un homme d’une cinquantaine d’années, marié, deux s mais qui de surcroît aimait beaucoup les femmes.

Ma chérie et moi prenions souvent ensemble ce bus, conduite par Jean et qui nous menait de Senlis à Chantilly chaque fois que nous voulions nous rendre sur Paris. Quelquefois, selon nos horaires, c’était moi seul, ou Virginie seule qui prenait le bus, dans un sens ou dans l’autre, pour rentrer le soir ou en fin d’après-midi, après une journée éprouvante de travail.

Virginie sympathisa très tôt et très vite avec jean le chauffeur de bus. C’est de là que j’appris ensuite l’âge de ce dernier, sa vie, son gout pour les femmes. Je précisai bien à ma chérie de se méfier car étant moi-même homme, j’imaginais très bien ce dont l’énergumène était capable. Ce n’était pas un homme très beau, pratiquement chauve de surcroit, mais il avait le don de tchatter et de plaire aux femmes. Ses conversations avec ma belle, tout le temps et toutes les fois où je n’étais pas là portaient régulièrement sur les relations hommes-femmes. A chaque fois, il impulsait la conversation et ma chérie, séduite et heureuse que l’on s’intéressa à elle, lui donnait le coche. Le bougre, très tôt, sut tout de ma femme, ce qu’elle aimait en amour, ses positions favorites, et les lieux insolites qu’elle a pratiqués.

Jean la questionna souvent même, au moins une fois, sur la fellation et ce qu’elle en pensait.

Il fut le premier ou le second peut-être, après-moi, à lui dire combien cette caresse était extraordinaire pour un homme. La belle en était convaincue avant même qu’il ne lui ne parle. Elle ne voyait pas cependant que c’est une invitation à le faire avec lui.

Plusieurs jours passèrent ainsi avec toujours les mêmes conversations. Aux heures où elle finissait ses journées (elle finissait souvent avant moi), elle rentrait parfois tôt dans l’après-midi et se retrouvait à prendre le bus à Chantilly vers les 14heures 30 / 15 heures. Comme d’habitude, Jean était au-rendez-vous et mieux que cela, ma belle au lieu de descendre à Senlis à son arrêt de car habituel, poursuivit avec lui le chemin en restant debout près du chauffeur, accrochée à la barre.

Arrivé au terminus, Jean avait une pause de vingt minutes avant de repartir dans l’autre sens. Habituellement, il était seul et profitait de ce court instant pour vérifier l’état de son bus et se reposer un peu. Il lui était défendu d’amener avec lui un passager sur son lieu de pause. Ce jour-là, pourtant il fit une exception et ma chérie, ma belle resta alors avec lui jusqu’à son lieu de pause.

C’était un petit endroit à l’écart de la ville près de la forêt. Jean y faisait régulièrement sa pause, garant son bus sur le bas-côté de la route sur une petite aire aménagée en terre battue. C’était un endroit assez calme où il y avait peu de passage. Ce jour-là, Virginie était restée avec lui, et puis d’autres aussi ; d’autres jours et cela pendant plusieurs semaines.

Lorsque ma belle m’eut raconté tout cela, j’imaginais qu’elle avait dû bien le sucer, lui assis sur son fauteuil de conducteur et elle glissée entre ses jambes. Ma belle est une experte en fellation. C’est elle la première qui me fit découvrir cette caresse. Au fil des jours, des mois et des années, elle s’était considérablement améliorée, allant jusqu’à me faire jouir dans sa bouche, bafouant ma volonté même de me retirer avant l’ultime échéance.
Mais que de bonheur et que de jouissance !

Le constat pourtant était amer : ma chérie devint une experte en fellation au même moment où j’appris qu’elle fréquentait quelques hommes, souvent plus âgés qu’elles ; et Jean fit partie de ces quelques hommes. Aussi, s’il ne l’a pas initié à la caresse, il est quasi-certain qu’il eut usé de ma chérie car de mémoire, il est dit qu’il la fit s’asseoir, pendant ses pauses, au poste de conduite pour lui apprendre me disait-elle « le maniement des commandes ». Ma chérie avait vécu une histoire similaire avant cela, mais c’était avec un autre homme et dans un autre lieu en d’autres circonstances. Je vous raconterai peut-être cela un jour.

Toujours est-il, je devins un peu jaloux. Jaloux que ma belle, alors qu’elle avait rendez-vous avec moi, passe du temps avec lui, pendant trois heures, pendant toute une après-midi entière car de le 14 heures / 14 heures 30, elle est restée avec lui dans le bus durant tout le trajet mais aussi au retour et au trajet suivant, pendant toute l’après-midi. Je crois même que certains, des passagers, se sont aperçut de leur petit jeu. Imaginez-vous ma belle seule avec le chauffeur ? que faisait-elle, selon vous ?

Voilà, ceci est la fin de cette première partie car il y a une suite que je n’ose vous dire. Nous verrons cela dans une seconde partie sans doute. Bien à vous tous.

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