Le Manoir Du Péché (12)

À peine avais-je passé la porte de service que je fus interpelé par Laure. Elle avait une mini-jupe de jean, des collants ou des bas en résilles noirs, des talons aux pieds. En haut elle arborait un pull moulant à col roulé couleur fuchsia qui lui laissait les épaules nues. Elle ne devait pas avoir de soutien-gorge en dessous. Vu que je distinguais parfaitement ses mamelons par transparence.  
  - Vous tombez bien, vous ! J’ai besoin de vos services. 
  - C’est que votre mère m’attend.  
  - Et bien elle attendra encore.  
  Elle me prit par le bras et m’attira vers l’extérieur. Comme j’avais la torche en main, je l’allumais, éclairant nos pieds de son faisceau.  
  - Que faîtes-vous là ? Vous voulez quand nous repère ? 
- Pardon ? Répliquais-je, en l’éteignant.   
  - Oui, où je vous emmène il faut que nous passions incognito. Si vous voyez ce que je veux dire ?  
  - Non pas du tout, mais je pense que vous vous en foutez.  
  - Parfaitement Alain. Dès à présent si vous pouvez vous taire cela m’arrangerez aussi.  
  Le fracas d’un TGV lancé sur la voie ferrée, toute proche, nous fis sursauter. Laure poussa même un cri et faillit me faire tomber en s’accrochant brusquement à moi. Puis le silence retomba, à peine troublé par la rumeur lointaine des automobiles se déplaçant sur la départementale voisine. Des frôlements et des crissements mystérieux nous entouraient comme une menace. Par instant un vent balayait le domaine. L’extrémité de l’allée se perdait dans un massif de buis non loin d’un angle du mur d’où se tenaient les bâtisses de location.
Le vent jouait dans les branches de marronniers. Faisait crisser les feuilles qui jonchaient le sol gravillonné.  
  - Où allons-nous là ? Demandais-je sur un ton agressif.  
  Sans répondre, elle m’attira dans la cour qui desservait une maison de location. Elle s’arrêta d’un bloc et se tourna vers moi.  
  - Je vous explique.

Fit-elle en approchant sa bouche au plus près de mon oreille. La fille de Marc, donc Nathalie vient de sortir avec son copain.  
  - Oui et alors ? Ils sont en couple à ce que je sache. Et ils sont prévus à dormir dans la première maison de location.  
  - Oui mais pas René.  
  - René ! Qu’est qu’il a voir la dedans ?
  - Et bien c’est-ce que je veux savoir. Puisque qu’il les a suivit.  
  - Vous en êtes sûr ?    
  - C’est pourquoi que je suis là.  
  - Pourquoi ne pas avoir prévenu son père ? 
  - Arrêtez Alain avec vos questions cons, et taisez-vous, nous allons nous faire repéré à la fin. Suivez-moi et faites le moins de bruit possible, s‘il vous plaît.  
- Vous voulez peut-être que je rentre.  
  - Non… non… fit-elle en s’agrippant à mon bras. Je me sens plus rassuré de vous avoir près de moi.  
En contourna le bâtiment pour arriver sur une surface gazonnée qui faisait office de terrasse. Je me surpris de voir encore de la lumière filtré des volets de la chambre de la Geneviève. Quel sacré chipie celle-là. Pour son âge elle avait encore de la suite dans les idées.  
  Perdu dans mes réflexions j’en oublier pourquoi j’étais là. Ce fut Laure qui me le rappela : 
  - Je vous l’avais dit. En me désignant le salon éclairé.  
Je ne m’attendais pas à ce que cela me fasse de l’effet. Honteux, je sentais pourtant ma verge durcir et s’étirer peu à peu. Effectivement je reconnais qu’elle ne se s’était pas trompée. Son instinct avait dit vrai. Il se passait vraiment de drôle de chose du côté de ce salon éclairée de mille feux. Heureusement pour nous dans leur excitation ils n’avaient même pas pris la peine de fermer les volets. Derrière la grande baie vitrée, sur le divan se tenait René et Nathalie allongeaient à demi-nues, en train de se bécoter. Puis Ludovic entra dans nos champs de vision. Lui était nu, il bandait comme un taureau. J’en étais jaloux.  
M’attrapant ma la manche, Laure m’attira jusqu’au bosquet tout proche.
À environ cinq mètres, pile en face de la baie vitrée. Elle me fit mettre accroupi. De notre poste d’observation, nous guettions les faits et gestes du trio. Le couple formé de René et Nathalie se caressait pendant que le copain se masturbait, debout devant eux.  
  - Il faut peut-être agir fis-je à Laure.  
  - Non attendant encore un peu. 
Pendant ce temps là, la jeune fille s’était mise à sucer les deux hommes à tour de rôle. Tout cela commencer très sérieusement à m‘exciter. Mais pas seulement que moi. À voir, comment Laure dégustait la scène de ses yeux, Cela expliquait pourquoi elle ne
Ne voulait pas intervenir. Surtout que Nathalie avait encore une fois changé de position. Elle était maintenant à quatre pattes à même le sol. Le fessier bien cambrée. Offrant son cul à René. À son approche, elle s’était appuyée sur un coude et s’était tournée à moitié pour guider la grosse queue du même René avec sa main libre. Il m’en fallait pas plus pour coller ma main à ma braguette. Me massant la queue à travers l’étoffe.  
Laure impassible à tout ce qui se passer autour d’elle, ne perdait pas une miette de ce qui se dérouler dans le salon.  Je ne la connaissais pas, aussi voyeuse. Comme je ne savais pas la vieille Geneviève aussi entreprenante.  
Pendant ce temps les comparses avaient changé d’agencement. Ludovic prenait sa copine en levrette à son tour. À l’entendre criait là- bas, malgré la baie fermée, il était évidant qu’elle appréciait ce que son copain lui prodiguait.   
Par pur réflexe, j’avais augmenté la pression de mes doigts sur mon gland.  Je jetais de nouveau un œil du côté de laure. Elle était comme scotché sur place, les yeux rivés en direction de la baie vitrée. J’aurais parié sans aucun doute, elle aurait donné cher pour être à la place de sa nièce.  
  - Vous ne voulez toujours pas que j’aille chercher de l’aide ? 
  - Non… restez ici. Répondit-elle, sans avoir pris la peine de me regarder.  
  Pendant ce temps là, il y avait eu encore une fois du changement du côté du salon.
Ils avaient retournées la jeune fille sur le dos. Elle avait remonté ses jambes sur la poitrine pour qu’ils puissent lécher à loisir tout son intimité.  
  Sous la violence de l’excitation j’étais dans un état second. Il m’était de plus en plus difficile de rester qu’un simple voyeur. Que j’aurai donné cher à mon tour pour aller rejoindre le trio. Je mettais coller à Laure. Sans qu’elle est cherchée un seul instant de s’écarter. Et emporter comme par une transe, ne sachant pas très bien ce qui m’était passé par la tête, je glissais ma main sous sa jupette. Je m’attendais, d’un instant à l’autre à recevoir une gifle. Mais heureusement pour moi elle ne vint pas. Je pris cela comme une incitation à continuer mon exploration. Donc, je me mis à caresser son genou du bout des doigts. Le contact avec le résille m‘électrisa. Son indifférence me donna de plus en plus d’assurance. Et j’en profitais d’une main de fureter du côté de l‘intérieur de ses cuisses. J’avais le souffle coupé, en découvrant qu’elle portait des bas, la salope ! Puis je montais jusqu’à l’aine. Et de surcroît massais lentement la motte renflée à travers son string. Qui peu à peu s’humidifiait de ses sécrétions. Ma caresse dura un assez long moment. Avant que j’en écarte le bord pour immisçait un doigt.  Effleurant un extraordinaire buisson, épais et bouclé, qui proliférait entre ses cuisses.
  J’enfonçais deux doigts dans le con gluant, les écartais à l’intérieur et entamais un mouvement circulaire entre les muqueuses trempées. De l’autre main, je pinçais le clitoris dressé. Laure poussa une plainte aiguë, prolongée. Elle se cambra avec violence, lâcha même un jet d’urine, avant de retomber toute molle.  
  Là-bas, la jeune fille observait d’un air intéresser son mec en train de se faire sucer par René. À un moment l’homme l’avait invité à venir s’allonger sur son mec. Pour l’aider, il avait écarté lui-même ses lèvres et avait guidé sa pine. J’avais trouvé ça très poli. Sur la fin, il était venu derrière elle, puis les deux hommes l’avaient prise en sandwich.
Je m’étais interrogé si l’homme était en train de la sodomiser ou bien s’ils étaient tous les deux dans son vagin.  
  Je sentais le regard de Laure sur moi. Elle m’observait avec intensité, le souffle court, les yeux brillants et humides, la bouche entrouverte sur des dents très blanches. J’avais la verge qui sursautait dans mon slip.
Elle empoignait mon menton, et colla son visage au mien. Ses yeux pâles brillaient d’un éclat vicieux. Sans hâte, elle se retira son haut. D’un seul mouvement, elle baissa son string sans que quitter des yeux. Grâce à la clarté venant de la baie vitrée, je fis connaissance avec sa chatte velue. Au centre de la vulve ouverte, les petites lèvres distendues, gonflées de sang, laissaient échapper une mouille abondante. Toujours en me fixant, elle les caressa, les pressa l’une contre l’autre, les étira enfonçant l’extrémité d’un doigt dans l’orifice. Puis elle pivota sur elle-même, exposant ses fesses rondes et musclée.   J’appuyais sur sa nuque pour l’obliger à se pencher en avant. Elle se plia docilement en deux, les mains posées en appui sur ses genoux. D’abords je la caressais, tâtant ses fesses dures, puis je glissais mes doigts dans la raie gratter du bout des doigts les stries de l’anus. Laure creusa les reins pour mieux s’ouvrir à ma tendresse.  J’enfonçais l’index dans l’orifice, pinçais le bourrelet de muscles en m’aidant du pouce et tirai dans tous les sens comme si je voulais le lui soutirer.  
  Je l’abandonnais un instant, le temps de déboutonner ma braguette. Il n’en fallait pas plus à ma queue raide pour s’échapper de son nid. Je m’en étais saisis et la frottais contre les fesses de la bourgeoise.  
  À bout d’excitation et de patience, Laure glissa une main entre ses cuisses, s’empara de ma verge, qu’elle attira vers sa vulve. Je donnais un violent coup de rein et elle s’enfonça d’un coup dans le vagin accueillant. Le gland tapait le fond avec une telle violence qu’elle fléchit sur ses genoux, avec un râle d‘épanouissement.  
  Je la retins par les hanches et me mis à la besogner avec force, accompagnant chaque mouvement de piston, de râles. Mais voilà, au fil des minutes, je sentais ma verge baignait dans son antre. Au point de ne plus me procurer la sensation recherché. Alors je pris la décision de me retirer de son ventre pour me planter plus haut, dans son anus. À force acharnement, l’anneau de muscle céda d’un coup et permis à ma verge de s’enfoncer dans le rectum. Étirant les chairs dans sa pénétration.
  Tout de suite elle s’emballa. D’une poigne ferme, je maîtrisais les ruades de Laure, qui criait de douleur. Comprimée par le sphincter trop étroit, j’éprouvais une jouissance trouble et perverse. L’idée que j’étais en train de défoncer le cul de la fille de la patronne, me combler.
  Quand mes couilles vinrent contre ses fesses, je m’immobilisais un instant pour savourer le plaisir de sentir ma verge bien enfoncée dans les entrailles chaudes.  
  - Salaud ! Pleurnichait-elle. Je vais te faire virer par ma mère… tu vas voir… cela va te retirer l’envie de m’enculer… 
  J’étouffais un grognement de jubilation. Lentement d’abord, puis en accélérant peu à peu la cadence, j’entamais un mouvement de va-et-vient dans le cul de Laure. Elle se plaignait encore un peu, avant que ses râles laissent la place à des gémissements rauques et profonds.  
  C’était pour moi une grande délectation que de contempler les belles fesses. Je poussais, donnais des coups, appuyais, m’enfonçais de nouveau, conférant ainsi à mon membre une envergure décuplée. Je ne m’étais jamais senti aussi gros, aussi puissant dans un cul.  
  Je songeais tout de même que j’avais affaire à une famille libidineuse. Et que c’était l’occasion ou jamais pour moi de connaitre toutes les formes de débauche de la seconde fille.  
  Je balançais mon bassin, d’avant en arrière. Laure gémissait… gémissait et gémissait encore, proche de l’évanouissement. Alors que mon ventre claquait avec un bruit de linge mouillé contre les fesses couvertes de sueur de la dame. Ma queue coulissait à présent avec aisance, dans l’anus assoupli.  
 - Oui, vas-y ! Souffla-t-elle, d’une voix presque méconnaissable. Défonce mon cul salaud. Je pense que je vais te garder à mon service. Tu me fais trop de bien !
  Puis, comme soulé par tant d’obscénité sortant de sa bouche, j’accélérais le rythme, à en perdre le souffle.  Elle fut prise de quelques convulsions tout cela accompagner d‘hurlement. Des cris de jouissance, qui déclenchèrent mon propre orgasme.  
Mon corps s’arqua. Je poussais un long gémissement rauque, alors que mon plaisir jaillit dans l’anus. Avec une force et une ardeur qui me parurent presque surnaturelles.  
  Quand je la libérais, elle se laissa tomber sur les mains et les genoux. Quelques instants après, elle se releva, remit sa string et son pull, puis elle se tourna vers moi.  
  - Tu m’as fait vibrer tu sais. J’en suis toute retournée. Quel plaisir. La frangine avait raison.
- Comment ça votre frangine.
- Qu’est-ce que tu crois ! Que j’ai deviné cela toute seule ? Sache bien que toutes les portes de chez moi seront ouvertes pour toi. La petite comme la grande.
Et alors qu’elle s’apprêtait de partir, je lui lançais :
- Et pour votre nièce ?
- Oh ! Je m’en fou, qu’elle se fasse piner toute la nuit si cela est son souhait. En fait, ce qui vient de se passer reste bien entre nous, c’est entendu ?
- Bien sûr Laure.
  Et ses sur ses paroles réjouissantes qu’elle quittait le lieu. Du côté du salon le calme était revenu. Ils buvaient, et fumaient. Sans doute un moment de répit avant de remettre ça. Bon ! Après tout ça, il était temps pour moi d’aller affronter les réprimandes de la maîtresse des lieux. Qui devait être excédait de m’attendre.
Alors que je m’approchais j’ai eu une pensée pour Laure. Me posant la question de savoir si elle passera une soirée paisible, affectueuse même, maintenant que ses pulsions sexuelles s’étaient évanouies. 
Oui, mais ! Pour combien de temps ?

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