Un Divertissement Pour Les Ouvriers
Bonjour, c'est Virginie.
Avec ces fortes chaleurs il m'est arrivé 1 incident qui c'est avéré par la suite devenir une expérience bien agréable.
Il y des travaux de chaussée dans ma rue, juste devant ma maison et je croise chaque après-midi les ouvriers qui y travaillent. Semaine dernière je rentre chez moi tôt, je suis seule et j'ai envie, envie de me toucher.
Pas d'hésitation je monte rapidement dans ma chambre, sors le joujou avec lequel j'ai envie de me faire du bien : 1 vibro et je glisse délicatement 1 plug au fond de mes fesses.
Ce jour là, je ne sais pas pourquoi mais je suis plus bruyante qu'à l'accoutumée je gémis fort, et mes attouchements dur 1 long moment, je joui sans aucune pudeur mais Oh malheur une fois revenue sur terre je m'aperçoit que les fenêtres sont ouvertes côté rue, je suis un peu gênée "si les hommes dehors m'avait entendu?".
J'essaie d'écouter mais je ne distingue pas leurs paroles, juste des rires. Je patiente 1h environ et puis je trouve un prétexte pour sortir et là mes craintes se confirment, le regard appuyé des ouvriers ainsi que leur sourire pervers ne trompent pas ils m'ont entendus jouir, ma gêne se mélange à une soudaine excitation....
Le soir mon homme rentre, il me trouve absente et me questionne je lui explique donc ce qu'il c'est passé plus tôt dans la journée. Quelle ne fut pas ma surprise quand il se colle à moi, frotte sa main contre ma chatte et me susurre que ça a du me faire mouillée encore plus...
Il me raconte que vu le cul que j'ai, bien des hommes doivent se branler après m'avoir croisé dans la rue et que cela l'excite, en effet il bande très dur.
Cette nuit là il me baisera plusieurs fois, sauvagement en me traitant de traînée et en me demandant de recommencer mon petit jeu chaque jour...
J'obéis et cela m'excite, je rente tôt 1 simple signe de tête aux ouvriers et je monte, m'assure que les fenêtres sont grandes ouvertes et c'est sans pudeur que je me touche, bruyamment.
Je parle même pendant que mes doigts ou mes jouets s'activent dans tous mes trous, j'affirme que je suis une chienne que j'ai envie de me faire démonter, d'avoir une bonne bite dans le cul.
Je sors plusieurs fois, j'ondule des hanches, je m'amuse de la situation.
Le dernier jour je ne tiens plus, je rentre, jette 1 regard appuyé à l'un d'eux : il est en sueur, blond les cheveux long et plutôt bien fait. Je laisse ma porte entrouverte...
je suis sur mon lit les jambes ouvertes, impudique, trempée et chaude, j'entends l'escalier...
2 d'entre eux, le grand blond et 1 autre : hyper bronzé plus petit et plus fin sont entrés et me regardent dans l'embrasure de ma porte de chambre...
La suite si vous le souhaitez dans une nouvelle histoire
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