Karine Et Le Plaisir De La Soumission 2
CHAPITRE 2 : Les plaisirs troubles de lexhibition
Depuis le jour où jai fait ma première fellation à deux cheminots inconnus, je retourne tous les weekends me faire bronzer dans mon havre caché. Jai taillé lherbe à raz, et maintenant jai une magnifique prairie bien nette. Je nai pas encore amené mon Hugo avec moi. Jai un peu peur de moi. Quand jy vais, je prends à manger et un livre pour rester toute la journée. Je me masturbe souvent, mais je nose plus traverser le petit lac.
Ma mère ma demandé avec insistance où je disparaissais toute la journée. Elle avait des doutes, elle pensait que jallais faire des galipettes avec Hugo. Jai dû lui dire que javais trouvé un endroit bien caché le long de la rivière, où je pouvais bronzer avec mon petit bikini sans risquer dêtre vue, mais que je ny avais jamais emmené personne, même pas Hugo. A moitié rassurée, elle me laisse partir.
Il me faut une bonne trentaine de minute en courant pour arriver au carrefour des chemins. A partir de ce croisement, jattends que personne ne regarde et je me faufile dans les buissons pour atteindre le passage vers la clairière. Elle est à près de 100 mètres de la piste fréquentée par les joggers. Cest un endroit tranquille, et une fois arrivée, javoue que je ne mets pas mon bikini, une fois retirés le jogging et mes sous-vêtements de sport, je reste nue toute la journée. Jai acheté une bombe aérosol de crème solaire pour être protégée partout. La première fois que je suis venue, après mes explorations des lieux, je me suis endormie au soleil, nue, les jambes et les bras écartés. Je me suis réveillée avec un magnifique coup de soleil. Les seins et le sexe me brulaient. Tous les soirs pendant une semaine, je me suis tartinée de Biafine en insistant bien sur les seins et mon minou, et plus question de me masturber. Ca brulait trop. Alors maintenant crème solaire partout.
Je continue mes explorations, toujours nue. Je suis allé à plusieurs reprises à la gare.
Aujourdhui, je retourne explorer les environs. La nudité totale est devenue pour moi une obligation. Je nai plus peur de rien. Je suis totalement inconsciente. Je retourne vers la gare. Je veux explorer la zone entre le quai et la forêt. Jai vu plusieurs traces, je peux peut-être trouver un autre chemin moins risqué. Arrivée sur place, je contrôle les horaires. Jai presquune heure. Je rentre dans le bâtiment, je fouille un peu. A létage, je trouve une chambre avec un matelas posé au sol et quelques affaires qui trainent. Même si cest vieux, des squatters ont logé ici. Dautres pourraient venir et me surprendre en pleine exhibition. Je redescends et fouille le jardin. Je trouve des vieux pieds de fraise, avec une quinzaine de fraises bien mures. Je massois, jambes écartées, et je commence à manger les fruits. Jécarte les lèvres de mon minou et je passe les fraises dans ma fente avant de les manger. Des fraises à la cyprine, une idée à soumettre à un grand chef. Moi jadore.
Plusieurs bosquets ont poussé dans le jardin potager abandonné, cest plus une jungle maintenant. Je décide de rester cachée dans le jardin quand le train arrivera.
Les 2 cheminots de la dernière fois sortent de la locomotive et se dirigent vers lavant du train. Ils vont passer à quelques mètres de moi. Je les entends discuter entre eux :
- « Tu croix que la petite salope va revenir nous voir ? »
- « Sure, tas vu comme elle venait vers nous.
- « Tu croix quelle est vraiment pucelle, ça me plairait plutôt envie dêtre son premier, Putain ça crains, je me suis déjà fait tailler une pipe par une fille plus jeune que ma fille »
- « Tinquiète pas, cest une chaude. Elle ma fait une pipe denfer. Elle ma vidé les couilles en 2 temps 3 mouvements. Elle maspirait la bite dune force. Cétait pas sa première. Jaimerai bien en refaire un tour »
- « Ouai, tas raison jespère quelle va revenir se faire ramoner cette pute »
Je suis déçus, la façon dont ces porcs parlent de moi, me rend folle. Jai envie de me relever et de leur dire ma façon de penser, mais je pue la pisse et mon cul et mon minou trempent dedans. Mon apparence me fait plus penser à leur description quau petit canon exhibitionniste que jaspire à devenir en secret. Ils continuent à débiter des insanités à mon endroit, et leur vulgarité commence à mexciter. Mon vagin shumidifie, mes tétons durcissent et sallongent. Je sens un orgasme arriver. Ce nest pas le bon moment ! Je ne peux pas jouir assise dans la pisse avec ces 2 vicieux à proximité. Je ne peux pas aimer cela ! Je ne peux pas être cette chienne en chaleur prête à jouir en public à tout moment. Le sifflet du contrôleur retentit. Les cheminots repartent vers le train. Je mécroule en gémissant, en plein orgasme, jai des spasmes et me recroqueville sur moi-même. Je reste enfin seule. Jai de la boue des seins jusquaux genoux. Je pue, je suis une vraie truie. Jhésite une seconde, je me relève. Je suis bien visible par les gens qui sont au fond de la gare, Mais les traces de boue font quils ne remarquent pas ma nudité. Je décide de profiter de mon apparence pour revenir vers la place de la gare. Sans hésiter, décidée à leur montrer mon corps, je marche vers eux, je franchis le passage.
- Un des mômes rigole, « avec ce que tu viens de lui mettre à ta chatte, si tas pas une chaude pisse tauras du pot ? »
- « Sil te plait, tripote moi si tu veux mais ne mets pas les mains dans chatte. Je suis trop sale ». Je lui mens, je ne veux pas quil sache que je suis vierge.
- « Putain, quest-ce que tu pue ! »
- « Je sais, un passager du train ma pisser dessus, ce con. Si vous voulez je vais me laver à la rivière et je reviens »
- « Non tu bouges pas, je préfère que tu restes un moment »
Il me met la main sur les seins, nullement indisposé par ma saleté, il se commence à me branler la chatte et les seins. Je recommence à gémir, je vais bientôt jouir à nouveau par la main dun gamin que je ne connais pas. Le deuxième ado est debout devant moi et se branle. Il sapproche de moi, il se raidit et éjacule sur moi. Son sperme tombe sur mes seins et mon menton. Le deuxième laisse ma chatte en rade, se lève et se branle comme son copain. Je reprends ma masturbation pour finir ma jouissance et quand il éjacule sur mon minou.
- « Tiens salope, jespère que tu as ta dose »
- « tes une vraie pute » renchéris lautre
- « Si tu ne puais pas autant on taurait pris le cul, mais tu donnes envie de gerber »
Ces 2 imbéciles viennent de trouver une fille exhibitionniste, qui se laisse éjaculer dessus sans rien dire, qui leur aurait même nettoyé la bite avec la bouche, mais ils préfèrent faire les machos. Ils disparaissent comme ils sont venus, je me lève péniblement. Jai mal au ventre. La masturbation avec la batte de baseball nest pas un truc à refaire. Je la repousse dans un coin, et commence à redescendre au rez-de-chaussée. Japerçois les ados sur la place se faisant des passes avec un ballon de foot. Je ne me cache pas, impudique. Ils me font signe de mapprocher. Je me dirige vers eux. Je suis au milieu de la place, dans les maisons les gens peuvent me voir, mais je men fiche. Un des ados me dit « Dis, si tu te laves on pourrait baiser tous les 3 ? ». Je ris « Quand je serai propre, je reviendrai te voir » et je repars vers la gare. Après mêtre assuré quil ny a toujours personne dans la gare, je retourne au jardin par le sentier que jai repéré pour rejoindre ma clairière. Je suis épuisée. Je regarde lheure, ça fait une heure et demie que je me fais jouir. Il faut que je fasse une sieste sinon ma mère va comprendre. Au bout de 5 minutes, je reconnais lendroit, je suis presque arrivé, cest plus rapide par là. Mais surprise désagréable, le chemin est bloqué : cest celui qui traverse le zone dorties. Je suis trop fatiguée pour faire demi-tour. Javance un peu je me fais piquer les jambes. Hésitante, je me dis « ça tapprendra ma salope, tu mérites ta punition ». Je décide moi-même de la punition, je me mets à 4 pattes, je me retourne et à reculons je traverse la zone dortie. Je me cambre et jécarte les genoux de façon à faire glisser les orties à lintérieure de ma fente. Je gémis sous les piqures urticantes. Mon minou a tellement jouis cet après-midi, quil souvre tout seul. Les orties frottent à lintérieur de moi, sur les chaires les plus fragiles. Je suis couverte de piqures dortie, jambes sexe ventre seins. Jai envie de hurler, mais jai peur quon mentende. Jhésite à avancer, mais je sens les orties déjà passées revenir dans ma fente, alors je recule encore. Jarrive enfin en bordure de la zone. Jai les seins qui me brulent, mais pour ma fente cest pire. Je ne peux plus resserrer les cuisses. Je marche les cuisses écartées, comme une grenouille, vulgaire ! Dès que je peux, je me mets dans leau, et commence à me laver, à faire disparaitre les traces du sperme des ados, de la boue, et des fleurs dortie qui se sont logées dans les plis de ma fente. Je reste une bonne demi-heure dans leau. Le feu entre mes jambes disparait petit à petit. Je sors de leau et je mallonge dans lherbe, la tête sur mon sac, les seins contre le sol. Un coup de soleil sur les seins me suffit. Je mendors comme une masse.
Mon téléphone sonne presque 2 heures après. La clairière est totalement à lombre. Je décroche, cest ma mère.
- « Tu es où ? »
- « Toujours au bord de leau, je dormais, cest toi qui vient de me réveiller. Désolée, Il est quelle heure ? »
- « 17h15. Tu devrais être là depuis un quart dheure. »
- « Désolée maman, je remets mon jogging et je rentre le plus vite possible. Au moins 30 minutes tu sais ! »
- « La prochaine fois, met un réveil, crétine »
Jadore ma mère, ma punition pour le retard, me faire traiter de crétine. Si mon père savait le quart du dixième de ce que javais fait aujourdhui, je serais cloitrée jusquà la fin de mes jours. Je me lève prudemment, jai un peu mal aux jambes, mais je suis en pleine forme. Même les piqures dorties sont oubliées. Je mhabille, et sans me faire voir, je retourne vers la zone de passage des gens. Trente minutes plus tard je rentre à la maison.
- « Salut maman, tu as passé une bonne journée ? »
- « Je me suis ennuyée toute seule, jespère que la semaine prochaine tu me consacreras un jour sur deux au moins ».
- « Je file prendre une douche et me laver, et je reviens moccuper de toi »
Je me précipite dans ma chambre, sans même fermer la porte, je me mets nue dos à la porte. Je ne vois pas mon père passer. Il voulait me parler, mais quand il ma vu nue de dos, et mon reflet de face dans mon grand miroir, il est devenu tout rouge. Il a continué son chemin vers son bureau pour se faire oublier. Quand il a entendu que jallais sortir de ma chambre il sest retourné pour parler, et deuxième round, je passe à poil dans le couloir pour entrer dans la salle de bain. Je ne lai pas vu, tant mieux, jaurai été gêné de la belle bosse qui déformait son short. « Papa, tas pas honte, je suis ta fille !! » mais compte tenu de laprès-midi que jai passé, je nai rien à dire.
(à suivre)
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