Collection Zone Rouge. Maman Et Le Jeune Prête (3/3)
Vous avez une vue densemble du traumatisme que jai subi en voyant mère, oui, depuis ce jour, mère est déjà beaucoup dans ma bouche.
Avec lexpérience de la vie et de mot autre que celui-là.
Jaurais plutôt envie de dire salope, pute, vide couille, roulure, raclure, suceuse de bite, voire étron quand on sait comment ses turpitudes avec le père Étienne a conduit mon pauvre père.
Cest lui qui a la sortie de la messe à proposer à ce briseur de couple, qui plus est celui constituant ma famille de venir prendre le café et surtout la brioche toujours connue depuis ma plus tendre enfance embaumant mes réveils du dimanche.
Quaurait été ma vie, si mes parents avaient décidé de mettre mes surs dans ce salon transformé en chambre pour moi.
Cest la surface de la chambre dans les combles qui a décidé de mon destin.
Bien plus grande pour deux que pour un garçon seul.
Seul dans ma chambre et seul dans nos jeux, mes surs avaient horreur de jouer au ballon et moi à la poupée ou à la maîtresse décole.
À une période de ma vie, jaurais bien joué au docteur avec elles, mais javais déjà été traumatisé par la vue du cul de mère se faisant mettre ou de sa bouche lui faisant des fellations.
Mon père ayant découvert les amants a eu la plus mauvaise réaction quun homme peut avoir dans ces circonstances.
Il est aller se noyer dans le Marne tout proche, nous obligeant à lenterrer après des jours où il avait donné à manger aux poissons.
Cette pute, cest mis en ménage avec son défroqué bien avant que je décide de tout plaquer pour me rendre à Aubagne à 23 kilomètres de la ville de Marseille.
En mengageant, je gagnais six mois avant ma majorité et surtout une nouvelle famille et une solde me permettant dêtre indépendant.
La pute tient, jaime bien ce terme plutôt que mère pour parler delle.
La pute donc avait voulu me conduire à la gare de Lyon, mais dès que jai eu franchi les portes de cette maison quelle mavait rendues maudite surtout avec les femmes que jai essayé de conquérir.
Parmi elles, outre ma petite voisine, il y avait une vraie pute que jai payée, argent perdu quand sa bouche sest approchée de ma queue.
- Garde-à-vous !
Repos.
Garde-à-vous, repos !
Pendant des heures, voire des jours, jai appris à devenir un bon légionnaire, jusquau jour où jai entendu.
- Rompez les rangs.
Ceci pour notre première soirée à Marseille.
Nous avons fait les bars dans les ruelles près du vieux port.
Dans ces années-là, la ville dans ces quartiers était loin des lieux huppés quelles sont devenues.
Putes qui suçaient les militaires nous offrant leur vertu comme le disait Brel.
Pour mes copains, oui, pour moi la peur de leurs bouches ou de leurs culs me terrorisait au point que dans la caserne, on entendait.
- Eh, le puceau, corvée de chiotte.
Eh, le puceau plus vite quand tu franchis les obstacles.
Bref même à 900 kilomètres de là , la suceuse de bite me pourrissait la vie.
Fin des classes, affectation Dakar au Sénégal dans la base mise en place malgré lindépendance de ce pays en 1962.
Base marine et base de larmée de terre où je suis affecté.
À Dakar, il y a le quartier noir et le quartier européen.
Cest dans le quartier noir que les anciens nous emmènent lors de notre première sortie.
Pour les vieux de la vieille, je suis toujours le puceau, ce qui est, hélas, le cas.
Dans la médina, les bars à putes étaient là comme dans de nombreuses villes.
Je savais quen France la prostitution était interdite, du moins le racolage depuis les lois Marthe Richard, elle-même ancienne prostituée.
Mais ici les bars et les boîtes regorgeaient de filles toutes plus noires les unes que les autres.
Cest dans lune delles que jai dansées avec Dialy.
Je bandais, car depuis des jours, je mastreignais à ce que ma main séloigne de ma queue.
Je voulais supplanté la vision qui me pourrissait la vie.
- Viens, je vais te soulager.
Certes, mon portefeuille de quelques billets jusquà larrière de la boîte où elle sest agenouillée et a avancé sa bouche aux grosses lèvres dAfricaine.
Je lai regardé maspirer sentant pour la première fois des lèvres me lentourer et surtout une langue venir me lécher.
Jai lâché la purée incapable de résister plus longtemps, cela faisait si longtemps que ce plaisir métait refusé.
Pour la première fois, mon cerveau avait évité de penser à la pute que javais pour mère.
De retour à la base, jai essayé danalyser avec ma tête, ce qui sétait passé.
Le temps avait-il fait son effet et javais réussi à dépasser ma phobie
À force de chercher, jai voulu en avoir le cur net, mes potes, jen avais quelques-uns de leur côté en avais ras le bol de baiser de la noire.
Il existait dans le quartier dit européen une boîte où les filles venaient principalement de la Côte dAzur en punition, elles bouffaient de la bite noire.
Cétait le monde à lenvers.
Fanny était bandante, mais refusant son statut de prostitué avait par deux fois été rattrapée par ses macs qui lavaient envoyé à Dakar pour la punir.
Je lai payé comme je lavais fait avec Dialy quelques jours plus tôt, mais ce fut un échec.
Je tenais la solution à mon problème.
Une bouche blanche, ma verge, ma verge dans cette bouche blanche qui était la bouche de ma mère inévitablement.
Je suis retourné à mon bar à pute dans le bidonville et jai dansé avec Oumy.
La sucette, ça avait marché, je venais de toucher ma solde et cest son cul que je me suis payé.
En levrette, cest en levrette que lorsque je caressais ses rondeurs, javais de plus en plus envie de me la mettre et que je me suis là suis mise.
Javais compris, baiser du noir, ça allait, baiser du blanc sétait voué à léchec.
Le plus sympa dans tout ça, cest que mon patronyme a changé.
De « puceau » je suis passé à « bois débène » les copains ayant remarqué quà partir de ce moment, je réservais ma bite exclusivement aux noires, aux bamboulas féminines.
Au bout de deux ans, jai eu une aventure avec la femme du jeune commandant venu remplacer son prédécesseur ayant fait valoir ses droits à la retraite.
Pas de chance pour ce jeune marié, elle était togolaise et était jolie comme un cur.
Je la sautais chaque fois quelle arrivait à lui échapper.
À ce quelle me disait, je savais mieux me servir de ma queue que son puceau de mari.
Un jour il est rentré plus tôt que prévu.
Nous nous sommes battus.
Jétais passé sergent avant leur arrivée et conformément à la pratique dans la légion, les problèmes se réglaient en interne.
Je suis redevenu simple troufion merdant mon grade et jai été envoyé à Djibouti où nous avions une autre base dans ces années-là.
Javais fait beaucoup de chance, Dakar, ville noire, Djibouti, ville chocolat plus claire.
Il y avait des Somaliennes, jai même sauté une touarègue, ça été le pied.
Jai voulu la racheter à son mac, mais il a refusé.
Il me restait un an de contrat et cest de nouveau Dakar que jai rejoint après une perme passée à Marseille.
Je cherchais les blacks, ce qui était loin dêtre rare.
Comme la femme du commandant, jai rencontré une honorable mère de famille dans les quartiers nord ayant flaché sur luniforme de la légion.
Elle avait cinq gosses, quelle élevait sans mari et sans faire la pute, simplement les aides de lÉtat.
Elle avait un gros cul, mais qui était noir.
Cest avec elle que jai appris la sodomie jamais pratiquée à ce jour.
À Dakar, je retrouvais certains copains que javais dirigés quand jétais sergent.
Jai eu la chance que lun deux prenne une biture carabinée en ville, soit arrêtée et soit condamnée à 30 jours de prison et perdue son grade que je récupérais.
Ça, jusquà ce que lors dune fête au camp, je rencontre Radia, cétait la fille du boy du nouveau commandant.
Elle avait 16 ans et moi un peu plus de 22 ans.
Son grand-père élevait des dromadaires à Saint-Louis au Sénégal où je vais retourner dans quelques jours après avoir encaissé largent de la vente de notre pavillon parisien.
Ce fut loccasion de revoir mes surs ou les choses ont été très vite.
Si papa sétait suicidé cest parce quil était en conflit avec moi, ma mère ayant été une oie au cul blanche pour elle.
Le défroqué, cest parce quil était tombé amoureux de sa salope quil avait quitté les ordres pour lépouser jusquau jour où la vengeance divine les avait fait passer sous un camion avec la 403 acheté avec lassurance-vie contactée par mon père.
Jignore et je men fiche, comment ils avaient réussi à toucher largent dun suicidé.
Pavillons, plus chèque de lassurance du poids lourd ayant franchi le terre-plein sur lautoroute du soleil où ils partaient pour des vacances sur la côte.
Avec ce chèque, à Saint-Louis, jai pu macheter autant de dromadaires que ma femme.
Pour elle, je suis prête à nous, mais vous mexcuserez de garder mes ébats amoureux avec elle pour notre chambre à couché là-bas au soleil africain.
À oui, une dernière chose, elle attend notre fils Robert, premier du nom, mais prénom de son grand-père, paix à son âme.
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