Enfin Le Prep (4)
Laménagement
Je suis resté tout le Weekend avec eux, partageant du sexe à outrance, ne dormant jamais seul, la plupart de temps entre Walid et Younes, mais pas que ça. Déjà, ils étaient tous super heureux que je sois toujours disponible pour leurs envies à chacun, mais aussi pour moccuper deux. Javais exercé à titre bénévole dans une association, une activité de FLE (Prof de Français pour Langue Étrangère) quelques heures par semaine, où javais suivi des étudiants anglophones, mais aussi arabes, mes deux séjours dun an au Maroc, même si je ne pratiquais pas la langue, jen connaissais quelques rudiments permettant de communiquer plus facilement.
Par chance, mon mariage plus ou moins par mes parents à lépoque, sétait rapidement soldé par un divorce, assez conflictuel, je dois le dire. Mais la vente de nos biens communs avec mon ex-épouse, dont la plupart provenait de ma famille (Merci la Séparation de Biens
!!!) mavait permis de récupérer un certain pécule que javais immédiatement réinvesti dans lachat dun appartement, ni luxueux ni immense, mais qui me convenait parfaitement. Le crédit complémentaire auquel javais souscrit était terminé depuis quelques mois. Par ailleurs, suite au récent décès de mon père, je percevais des loyers en usufruit partagés avec ma mère que je détestais copieusement et qui me le rendait bien, me laissant, je ne dirais pas une aisance, mais une certaine indépendance financière.
Les questions matérielles nintervenant pas dans mon choix, je me sentais libre de prendre une décision, tout en conservant mon chez-moi, pour rejoindre mes nouveaux amis, amants, maris
Peu importait. Jai appelé Walid pour nous revoir après plusieurs jours passés, en intermittence avec eux, je ne souhaitais pas que tout aille trop vite pour nous tous, même si je les pensais super droits et honnêtes, la question dargent navait jamais été effleurée, je me faisais souvent « engueuler » quand jarrivais avec des paniers remplis de bouffe.
On sest retrouvés dans un Kebab pas très loin de chez eux, et super discret, un de mes hommes y bossait assez souvent.
Sans rentrer dans trop de détails, jai expliqué à Walid que je pouvais quitter mon appartement, tout en le conservant, comme un bien de famille, et venir vivre avec eux, à une condition.
« Si je viens vivre avec vous, je dois tout partager aussi, même les courses, la cuisine, que jadore faire, et rendre notre intérieur le plus agréable possible »
« Il nen est pas question
. Cest aux hommes à entretenir leur femme, pas linverse
!!! »
« Cest pas ça dont je te parle Walid
. Si on va faire les provisions pour tout le monde tous les deux et que tu as largent pour payer, tu payes, et sinon, ce sera moi, cest simple
Quand je vivais seul, je me nourrissais aussi, non ? »
« Oui, mais quand même
!!! »
« Alors, un couple doit tout partager, même si nous sommes une dizaine dans notre vie commune. »
On a palabré un petit moment, puis, comme javais faim, jai dévoré mon kebab dagneau, copieusement garni.
« Ça y est ? Tu vas mieux ? Rassasié ? »
« Pas vraiment
Il y a qui à lappart en ce moment ? »
« Younes, cest sûr, et je crois que Kader et Bachir doivent y être aussi
Ils bossent pas aujourdhui. »
« On va les rejoindre ? Jai envie, pas toi
!!! »
Au vu de la barre monstrueuse entre ses jambes qui avait pris toute son ampleur avec mes simples mots, on est rentrés de suite, voyant, dès notre arrivée, les trois garçons affalés devant la télé, yeux rivés devant un porno et se paluchant la bite. Je restais toujours autant fasciné et un peu apeuré par ce que Younes avait entre ses cuisses.
« Il était temps que jarrive les mecs, on dirait que vous avez besoin daide. »
Je ne les avais pas vu depuis 3 jours, occupé à quelques démarches, et ma chatte me démangeait
. Grace au PREP, javais répondu totalement à la Loi de Darwin : « La fonction fait lorgane » et mon cul était devenu un véritable vagin, fécondable, accueillant les sexes et les semences masculines.
« Alors, on a besoin de se faire prendre par ses hommes ? »
« Oui Kader, trop envie
!!! »
« Ça tombe bien, on a super envie de baiser, tu vois ça, non »
Excité comme un malade par la vue de ces mâles en retour, jai tout de suite pris mon rôle de femelle, les branlant, les suçant, pendant que Bachir me fouillait la fente pour sy introduire dun trait, me défonçant en force. Que cétait bon de retrouver le plaisir dêtre prise, dêtre la poupée qui soffre aux besoins masculins. Walid, Kader et Bachir mont défoncé tout à tour, se déversant dans moi, et jen connaissais la raison, celle de me préparer à laccouplement avec Younes dont le pieu atteignait ses proportions extrêmes. Dès que la place a été libre et ouverte, il est venu me prendre. Il savait que jarrivais à le supporter en totalité, à la condition davoir été bien rempli avant et dilaté par dautres zebs. Il ma bien tout mis, effectivement la perte du dépucelage de mon deuxième sphincter datait de Nicolas, et je pouvais en supporter toute sa longueur et son diamètre, surtout que ce nétait plus la première fois quil me baisait.
Souvent, les autres nintervenaient pas quand Younes me possédait, au vu de son calibre et de la puissance de ses coups lorsquil se sentait bien ancré bien au fond de mon vagin. (La fonction crée lorgane
!!!) Mais javais envie de plus
Alors, Walid sest approché pour que je le suce, en branlant Kader et Bachir en même temps. Ca excitait Younes qui me défonçait encore plus violemment jusquà minonder de sa jouissance. Nous étions enfin repus
Ou presque
!!!
Enfin, Walid a annoncé la nouvelle
Je métais décidé à venir vivre avec eux, et je venais de terminer toutes mes démarches pour pouvoir le faire, si ils étaient tous daccord, bien sûr. Un grand « Hourra » a retenti, et ils se sont collés à moi, tous les quatre, me couvrant de câlins et de bisous. Notre désir a retrouvé son apogée, mes mains ont très vite retrouvé le chemin de leurs corps et de leurs sexes, les leurs, celle de ma vulve, encore bien ouverte par ce coït avec Younes.
Sans quils ne sen rendent trop compte, Walid avait préparé ma chambre, avec un immense lit, 2 gros matelas bien épais de 140 collés un à lautre, et une grande penderie pour mes affaires. Il savait que jallais rarement coucher seul, mais plutôt entouré de 2 ou 3 de ces beaux spécimens.
Younes bossait assez régulièrement dans une petite entreprise, et du fait de son sérieux et de ses compétences, son patron lui permettait dutiliser, de temps en temps, une petite camionnette de la boite, pour des besoins personnels. Peu après, accompagné de Walid, nous sommes allé jusque chez moi, prendre ce dont je pouvais avoir utilité à notre appart, sans intention aucune de déménager le mien en totalité. Vêtements à part, nous avons fait le tri, souvent en rigolant comme des fous, en remplissant quelques cartons, dont
. Dont
. Ma machine à café Expresso, qui moffrait un nectar, presque aussi merveilleux que celui de mes hommes.
Ils étaient tous là le soir de mon arrivée, tous les 8, ayant préparé un repas de fête avec tout ce que jaimais, même les pâtisseries orientales et les glaces ne manquaient pas, ils savaient, par Walid, que jétais super gourmand.
Je narrive pas à vous décrire dans quel degré dépanouissement je me trouvais. Pendant ce repas, nous avions décidé quand même certaines règles.
Cette soirée a été vraiment merveilleuse, pleine de tendresse, daffection, de respect et de mise au point de notre vie en commun future. Chacun soffrirait à lautre, aussi bien dans un lit, que pour aller faire des courses, la cuisine ou le ménage à la recherche dune vie la plus harmonieuse possible entre nous, sachant, et ce point était très clair, que moi seul serait la femelle et que je devais pleinement assumer ce rôle pour eux tous, à chacune de leurs envies, ils ne sétaient jamais touchés entre eux.
Si javais accepté de les rejoindre, cétait en pleine connaissance de leurs féroces appétit sexuels, cest sûr, mais pas que ça aussi. Emigrés dans un pays quils ne connaissaient que très peu, leur culture Sub-Saharienne, hyper respectueuse, les tenait très à lécart des « petit beurs algériens » tumultueux, voire agressifs envers un pays qui, pour eux, avait été le leur pendant plus dun siècle. Même si le sexe était souvent omniprésent, ils avaient aussi besoin de tendresse, de partage, de complicité, de rires et de sourires. Dêtre considérés comme des hommes, et non pas uniquement comme des grosses bites quon utilise et quon jette, comme un Kleenex quand il est plein, et je pouvais les aider, aussi bien en Français, quen intégration.
Après ce repas super génial, jai voulu aller me coucher
.
« Mes hommes
Je vous aime et je vous désire autant, tous et je serais toujours tout à vous
Mais vous ne men voulez pas si ce soir, je dors avec Walid ? Seul
»
« On respectera toujours tes désirs, Marc, fais nous confiance. »
« Cest grâce à lui que je suis avec vous maintenant, cest lui qui ma fait confiance et cest lui qui ma donné une entière confiance en vous
Alors, pour ce soir, pour le remercier, je voudrais rester quavec lui »
Il ma accompagné dans ma chambre, et nous avons fait lamour, tendrement, mais aussi, fougueusement, ne parvenant pas à nous lasser du corps et du sexe de lautre.
Le lendemain, jai appelé Daniel ainsi que le médecin de lHôpital. Je voulais avoir leur avis, médical pour lun mais aussi celui de Daniel, habitué à autant de pénétrations.
Javais peur quand même, quautant de rapports sexuels, avec des sexes hors normes me rendent, comment dire, incontinent et je ne voulais pas subir cette gêne.
On devait se rencontrer deux jours après, avant ma consultation chez le médecin.
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