La Sexualité Compulsive De Florence : Au Sexshop. (Partie 14/ 15)
Même si Alex avait adoré que je lui explique mes exploits sur les parkings avec des routiers sympas, notre relation commençait à battre de laile, il était très malheureux que je vive ces moments intimes et pervers avec un autre que lui. Seulement, à partir de là, tout saccélérait. Alex nétait pas né de la dernière pluie, sachant que désormais, Sylvain exigeait que je vienne, tous les vendredis soir et que jarborais à Nîmes ce collier dappartenance, même si je lavais bien mérité après ma prestation auprès des trois inconnus de la cité. Alex craignait pour notre couple, il avait peur que je méloigne peu à peu de lui et que je le quitte pour rejoindre définitivement mon amant. Afin de le rassurer, toute la semaine, je prenais grand soin de lui, étant toujours disponible et très câline.
Bien sûr, je comprenais ses doutes. Navait-il pas des raisons de sinquiéter ? En effet, ma relation avec Sylvain datait de trois mois et depuis mon comportement avait changé, jétais sous son emprise, docile et en totale soumission. Toute la semaine, je ne pensais quà lui, je culpabilisais, j'essayais de me raisonner, « Je devrais peut-être stopper cette liaison qui prenait une trop grande place dans ma vie. » Mais non ! Je ne pouvais pas, je prenais tant de plaisir avec sa belle bite en bouche ou au fond de mon ventre ou lorsque ma chatte coulait sous les coups de fouet.
Même ce lundi matin, seule dans la salle de bain, mon esprit s'évada vers Sylvain et les plaisirs qu'il avait su me donner. Inconsciemment ma main partit entre mes cuisses, je constatais sous mes doigts que je mouillais encore ! Je voulais le revoir au plus tôt, j'avais besoin de lui, c'était viscéral et obsessionnel, sachant fort bien qu'il allait encore m'avilir et m'humilier. Même de ça, j'en avais envie. Une fois prête, je filai prendre le bus pour me rendre au travail. En attendant le car, je n'avais pu mempêcher denvoyer un énième texto à Sylvain lui disant :
« Tu me manques, j'ai très envie d'être avec toi.
Début juin il faisait beau, nous avions passé ce week-end dans la région de Marseille. Où nous avions visité le vieux port, les calanques et pris un peu le soleil sur la plage de Cassis. Mais pas que ! Le samedi soir, Sylvain avait organisé une soirée spéciale dans le sexshop voisin à notre hôtel, tout en me montrant la publicité, sur un site spécialisé :
« A 10 minutes à pied, sortie gare Saint-Charles, en bas des escaliers, Bd D. Tous les genres sont représentés. Létablissement propose, sur un espace climatisé de 1000m?, un service tout public et des espaces entièrement réservés aux adultes où les clients peuvent profiter du cinéma et des cabines-vidéo X ou encore acheter et louer des DVD de charme en toute discrétion. Possibilité de baise un peu partout et de sy exhiber à souhait. »
Ce quil ne mavait dit tout de suite, mais que bien plus tard, cétait quil avait passé une annonce disant quil amenait sa chienne soumise à baiser. En mentionnant le lieu, la date et la fourchette de temps que je serais à leur disposition.
Sur le boulevard, la façade ne payait pas de mine, coincée entre un restaurant et un hôtel. Néanmoins, dans ce quartier très fréquenté, ce sexshop ne passait pas inaperçu, avec ses lettres dorées géantes et ses néons bleus, cétait un des derniers témoins de ce qu'était ce quartier chaud de Marseille dédié au sexe. Sylvain était déjà rentré depuis cinq bonnes minutes, il mavait fait attendre seule, sur le trottoir volontairement, munie de mon collier dappartenance, telle une prostituée sur son bout de trottoir. Ce qui me frappa en lisant les écriteaux sur la vitrine, cétait la diversité des activités proposées, hormis celles dédiées aux adultes. Ici, on pouvait venir faire des photos didentité, acheter une friandise ou faire un double de clé. Je trouvais cela surprenant, cétait sans doute pour faciliter les entrées et permettre aux consommateurs davoir une excuse de leur venue, au cas où ces mêmes clients croiseraient une vieille connaissance, dans ce lieu de débauche.
À mon arrivée sur les lieux, je fis leffet dune bombe, avec un haut noir, façon guêpière en maille ajourées, très ajusté ne cachant rien de ma poitrine, ma jupe ultra courte, ne couvrant pas le bas de mes fesses, mes bas-résille tenus par des jarretières, partant du bustier et mes escarpins à talons de 10 cm, j'avais tout, du look d'une prostituée. Un silence profond accompagna mon entrée, sous les yeux de tous ces hommes présents. Dans le hall, je restai quelques minutes devant les affiches montrant la programmation des salles de cinéma. Deux étaient dédiées aux longs-métrages hétéros : « Julie est très ouverte », « Maman fait des extras avec des blacks » ou encore « Fucking a brother » pour la troisième salle, réservée exclusivement aux films gays.
Suivant les consignes que mavait donné mon amant, je déambulais dans la boutique afin de mexhiber, en commençant par le rayon DVD. Je fus surprise par autant de choix, de lhétéro à lextrême, en passant par le lesbien, le mature, les gros nichons, les partouzes, lhomo, lethnique, du bizarre. Il y avait même dans un coin, du genre « Zoophilie ». Les clients pouvaient les visionner sur place, dans des cabines individuelles, les louer ou les acheter. Sur mon passage, les hommes quittèrent leurs revues, ou leurs jaquettes des yeux pour me mater, en me dévisageant sans scrupule, une main indiscrète avait même effleurer mes fesses.
Je pris la direction du paradis des jouets coquins : godes en tous genre, vibromasseurs, lingeries, plugs, poupées gonflables, accessoires fétichistes. On trouvait même des fausses jambes en latex avec vagin intégré, jétais stupéfaite. Suivant la promo, meilleure vente du mois, lobjet qui se vendait le plus était « Le gode-ceinture ». Une nouvelle fois, les regards des hommes se posèrent sur moi et ma tenue. En quittant ce rayon, je venais dapercevoir la première femme dans cet endroit, elle était en couple, devant le rayon BDSM.
Javais fait impression auprès de la quinzaine dhommes, ils mobservaient du coin de lil, se demandant sans doute ce que je pouvais bien faire ici. Je me dirigeai au comptoir de laccueil où je vis le sympathique caissier de cette boutique du sexe. Hassan était maghrébin, un gars dune quarantaine dannée. Après avoir discuté avec lui quelques instants, jappris, quen moyenne une centaine personnes venaient chaque jour, principalement des hommes de tous les âges et de tous les milieux sociaux.
Connaissant lobjet de ma visite, il navait pas lair gêner, il me remit un jeton permettant d'ouvrir la porte donnant sur l'espace cinéma où Sylvain mattendait. À partir de 20h, le prix de l'entrée sélevait à 7 , alors qu'en journée, il fallait ajouter 3 de plus :
Les salles de projection servent surtout de lieu de rencontres. Cest souvent bien plus chaud dans la salle quà lécran. Pour toi c'est gratuit. Me prévient-il en souriant
Si je me doutais de quelque chose avant de venir ici, Hassan me fit comprendre ce qui mattendait. Tous les yeux des types étaient encore posés sur moi, nosant pas maborder. Ils me suivirent du regard jusqu'à la porte d'accès, conduisant aux salles de cinéma. Déjà trois types suivaient derrière moi, les yeux fixés sur mon cul, avec ma démarche chaloupée, faisant claquer les talons de mes escarpins.
Sept rangées de huit sièges rouges étaient disposées entre deux larges allées devant lécran surélevé. Lespace était intégralement plongé dans la pénombre, malgré quelques spots déclairage tamisé, une grosse douzaine d'hommes, de tout âge, il me semblait tout de même qu'il y avait une dominante dAfrique du nord. Seuls les bruits de succions qui se dégageaient du film, des bruits étouffés de va-et-vient se faisaient entendre.
Je vous amène ma chienne à baiser. Vous pouvez tout lui faire, mais capote obligatoire.
Tout autour de moi, tous les sièges étaient vides. Je mhabituai très vite à la légère obscurité et en quelques minutes, des hommes déjà présents dans la salle et les trois autres, mayant suivie, occupèrent les sièges devant, à côté et derrière moi. Malgré les râles et gémissements de la blonde sur lécran, je percevais le souffle de mes voisins. Jétais entourée de dix hommes, dans ce cinéma de sex-shop. Je savais avant dy entrer ce quil allait se passer. Mon voisin de gauche, se pencha en tournant la tête de mon côté pour mieux voir mes cuisses nues remontées sur mon siège, avant dy plonger sa main pendant que celui de droite limita aussitôt. Dans mon dos, deux autres clients passèrent leurs bras autour de moi pour me peloter franchement ma poitrine, par-dessus le bustier de fine résille.
Je choisis douvrir un peu plus mes cuisses pour faciliter lexploration de leurs mains, touchant le fin duvet de mon pubis. A ce contact, jeus un soupir haletant et je me cambrais vers larrière. Lorsque je reçus leurs doigts en même temps dans ma chatte, je poussais un petit gémissement. Cela navait pas échappé aux autres, dans les rangées de derrière et de devant qui ne regardaient plus le film. Les mains qui me paluchaient les seins, me malaxaient fermement et me tiraient les mamelons à la limite de la douleur. Jétais trempée, des filets de cyprine coulaient le long de mes jambes.
Pendant que les doigts senfilaient dans ma fente grande ouverte et mouillée, senfonçant dans ma vulve, dautres mains fourrageaient ma toison ou titillaient mon clito. Ils commencèrent à me masturber en règle, sous les regards silencieux des spectateurs, qui avaient envie den faire autant. Je devais en faire de même, mes mains saisirent la bite de mes voisins que jempoignais avec douceur. Mes doigts fins allaient et venaient lentement sur leur queue que je sentais se durcir, je prenais plaisir à les branler.
Dès cet instant, toutes les bites autour de moi sortirent de leur cachette, je sentis un fort mélange dodeurs de queues en rut. Leurs glands commencèrent à se rapprocher de mon visage ou se balader sur mes cuisses dévoilées. Dans mon dos, un pénis tendu me frottait la joue et un autre sinsinuait dans ma chevelure. Je touchais à tour de rôle, la plupart des queues. Jexultais ! Je narrivais pas à flatter toutes ces grosses paires de couilles qui mentouraient, cétait un embouteillage autour de moi, jen étais fière, je ne savais plus où donner des mains.
Ce fut mon voisin de droite, qui métouffa presque, lorsquil enfila son gland dans ma bouche, je commençais à avaler une belle bite en pleine érection. Puis très vite, je fus assaillie, devant, derrière, à droite et à gauche, braguettes ouvertes, les types me présentaient leur sexe à sucer. Jaimais ça, je men donnais à cur joie, je ne men privais pas mais cette fois, jétais servie. Javais des difficultés à suivre le rythme, je sentais leur bites dans mes cheveux, sur mes joues, se branlant contre mes seins.
Entre mes cuisses, les types se succédaient pour me bouffer la chatte, leurs langues me procuraient de plus en plus de plaisir, je me trémoussais en tous sens, doigtée, léchée, aspirée et assaillie par les queues bandantes. Jétais aux anges, je mouillais de plus en plus, je jouis pour la deuxième fois tout en continuant de lécher, de pomper ces glands rouges et luisants. Jen étais arrivée à en avaler deux en même temps, respirant comme je pouvais. Pendant plus de vingt minutes, je suçais tout ce qui passait à ma portée, sans que mes mains restent inactives sur leurs bites ou sur leurs couilles. Cétait pour moi une vraie folie et je mappliquais toujours autant.
Le gros derrière moi, que je suçais délicatement avait ses doigts enfoncés dans mes cheveux, me caressant ma tête. Il senfonça dun coup, mon front touchait son ventre bedonnant et sa queue se retrouvait au plus profond de ma gorge sans ménagement, je la pompais toujours. Soudain, il cracha sans prévenir tout son foutre. Jen avais partout, je dus avaler quelques gorgées et fus copieusement arrosée car une deuxième queue venait dimiter la première et maspergea le visage et les seins. La décharge commença alors à se généraliser. Les mecs se régalaient de me viser et de menvoyer leur sperme en pleine figure. Je ne sus combien ils furent à éjaculer mais en tout cas, jétais devenue poisseuse de partout.
Cétait indescriptible, pendant que lactrice criait sa joie à lécran, les types qui jouissaient sur moi en râlant des : « Haaa ! Ohhh ! Waouh ! Quelle suceuse ! Elle mexcite cette pute ! » Cétait un brouhaha sous cette douche de sperme. Puis des : « Je larrose, hum ! Elle me fait décharger la salope ! Jen peux plus ! Oh ! Tiens, prends ça, salope ! » Au total, six types sétaient vidées les couilles, mais il restait du monde car deux autres vicieux sétaient joints aux quatre qui entretenaient leur érection. Ils étaient tous prêts à me baiser.
La pauvreté des dialogues du film permit à Sylvain de prendre la parole et dune voix forte dit :
Gardez des forces les gars, profitez de cette pute, baisez-là, enculez-là, elle nattend que cela.
Alors que je léchais une nouvelle bite, à ces mots, je me sentis happée par plusieurs mains, soulevée par les mollets et les bras. Je me retrouvais dans une position peu orthodoxe sur le fauteuil de la première rangée devant lécran où la blonde platine vivait une double pénétration. Javais la tête repliée contre le dossier, mon dos sur le siège, les jambes relevées au-dessus des épaules dun métis, ma croupe à sa disposition et aux trois autres excités qui tenaient leur verge à la main, attendant leur tour.
Sans préliminaires sa bite se présenta à lentrée de ma chatte, et me perfora en senfonçant sans problème, jétais trempée de mouille. Le mec commença à me labourer violemment, javais mal au cou car jétais cassée en deux. Ce navait pas gêné le métis, qui après quelques allers-retours, ne pouvant plus se retenir se retira, enleva sa capote et gicla sur mon entrecuisse toute sa semence. Ce fut une nouvelle bousculade, sans soccuper de mon bien être, dans une position inconfortable, le suivant accrocha ses mains à mes chevilles en disant à son prédécesseur : « Tiens là, je prends ta place ! » Il posa mes jambes sur ses épaules et comme le métis, il me lima à grands coups de bassin et à toute vitesse, ne pensant quà se vider les bourses, surement trop excité.
En effet, il neut pas le temps dôter son préservatif, la moitié de son foutre resta dedans et lautre tomba au sol. Je profitai de ce petit temps mort pour changer de position. Je métais relevée et me mise à genoux sur le fauteuil, présentant mon cul devant les types se masturbant toujours. Les deux nouveaux arrivants se placèrent devant moi afin que je puisse les prendre en bouche à tour de rôle, pendant quun mec avec une énorme moustache en profita pour me sodomiser sans préparatif. Malgré la brûlure ressentie, je jouis une nouvelle fois sous les coups de boutoirs de sa queue épaisse qui remplissait mon rectum. Lui était parvenu à se maitriser, son éjaculation atterrit sur mes fesses. Son jus dégoulinait, suivait la raie puis sécoulait sur mon entrejambe avant de finir sur mes bas.
La tournante nétait pas finie, je me retrouvai en levrette pour les deux suivants, un mavait baisée par de longs va et viens, amples avant daccélérer plus brutalement. Étant au bord de lexplosion, il se leva, tira sur le latex et menvoya sur le visage ses longs jets blanchâtres et gluants. Lautre mencula bestialement pendant plusieurs minutes et éjacula dans sa capote en saffalant sur mon dos. Le dernier avait choisi de menvoyer son foutre dans ma bouche, lorsquil se trouvait en gorge profonde. J'avais perdu le compte des hommes qui me passaient dessus ou dessous pour me prendre en double pénétration alors que j'en suçais un autre.
Épuisée et repue, je maffalai sur le fauteuil lorsque la dernière bite se retira de ma bouche. Les mecs étaient repartis un par un, après sêtre soulagés. Jétais seule avec Sylvain dans cette salle de projection. Lorsque Hassan, le gars de laccueil, ayant vu le dernier client sortir, entra et demanda sil pouvait lui aussi profiter de mon corps. Voyant que mon amant acquiesça de la tête, je compris que je nen avais pas encore fini. Après sêtre vidé les couilles, il nous quitta avec un grand sourire :
Vous avez une douche au sanitaire, vous pouvez en profiter.
Ce fut la fin du défilé, toutes ces queues sétaient succédées tantôt dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul, avant de méclabousser. Jen avais partout, dans mes cheveux, sur mes yeux, sur mes bras, sur mon haut, sur mes seins, sur les jambes, même mes escarpins ne furent pas épargnés. Je fus baisée à la chaîne sous les : « passe-moi la ! Allez à mon tour ! Je vais me la faire ! Je te la repasse, remets-lui-en un coup et repasses moi la ! » Je me remémorais, tous ces hommes ne sétaient pas gênés, ils y étaient allés fort, tout en éructant : « Les mecs, je lencule cette salope ! Elle est étroite là ! Elle aime ça ! Regardez son cul ! Quelle est bonne ! Vas-y, bourre là à fond ! Elle aime la bite cette pute ! Putain, elle adore les queues ! Quest-ce quelle le bouge son cul ! Elle en veut encore ! Oh ! putain, quest-ce-que je lui mets ! Quelle est bonne cette chatte ! je te remplis salope ! » Et jen passe et des meilleurs.
Ne sachant pas exactement ce quil marriverait, je navais pas pris des vêtements de rechange, heureusement que notre hôtel était à côté, javais rejoint notre chambre aux bras de Sylvain toute souillée, en habit de pute, devant certains clients médusés. Après une douche bien méritée, nous étions allés diner avant de nous coucher. Cette nuit-là, je passai un super moment dans les bras de mon amant, mon Maitre. En milieu de matinée nous avions libéré la chambre, le retour chez Sylvain fut l'occasion de m'exhiber en doublant les quelques routiers qui circulaient.
Je vous raconterai la suite de mon aventure de chienne soumise à Sylvain mercredi prochain.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons danonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.
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