Maria 6 : Hélène Se Soumet
Cest Maria qui raconte ensuite les aventures de son été qui, il faut le dire, sera celui de tous les bonheurs !
***
Le soir où Jean ma ramenée chez moi après ce week-end torride, jétais sur un petit nuage ! Emmanuel ma envoyé je ne sais combien de ces petits messages qui sont si discrets ! Il ma appelée vers 4 heures du matin en sortant de boite, me demandant si je suis nue, à ma réponse négative, il me demande de me dévêtir, ce que je fais, de me caresser, de lui raconter ce que je ressens. Je suis toute mouillée, je me branle le clito comme une folle au son de sa voix, il me dit quil faudra que jachète un gode ou un vibro, je jouis en me masturbant comme une collégienne, à mon âge !
Je mendors ensuite comme une masse, alors quil me parle, je lentends tout de même me dire que son forfait est fini et quil ne pourra plus mappeler. La fin de la nuit est peuplée de doux rêves érotiques où jimagine des jeunes mâles qui mempalent par tous les bouts en même temps, je me réveille en sueur, trempée aussi à lintérieur ! Je me dis, Décidément ma vieille tu deviens nymphomane!
Je suis en peignoir, en train de prendre le petit déjeuner et il est onze heures lorsque Hélène arrive.
« Eh bien ! Ma chérie ! Où étais-tu passée depuis deux jours ?
Je lui raconte, sans trop de détails au début, nos « exploits » Elle me trouve « bizarre » et je suis obligée de lui raconter ma rencontre avec Emmanuel. Ca la rend dingue que je puisse faire lamour avec un garçon si jeune. Tu trouves que je suis folle, ou perverse ?
Oui ! Non ! Enfin je ne sais pas ! Je naurais jamais pensé quun garçon de 19 ans puisse sintéresser à une femme plus âgée !
Tu peux dire à une vieille !
Voyons ma chérie ! Je nai pas dis ça !
Non, mais tu las pensé ! Hélène viens derrière moi, mentoure de ses bras, glisse les mains dans le peignoir et me masse les seins, membrasse dans la nuque.
"Tu sais bien que cest pas vrai ! Mais je suis jalouse ! Tu mas manquée !
Écoute ! Jai une idée ! Emmanuel me manque déjà ! On va aller à Bayonne faire des courses cet après midi et ensuite on va là bas et je lappelle. Que penses-tu, si on se trouvait un appartement en location pour quelques jours ?
Tu es vraiment folle !
La vie est courte et à mon âge je dois en profiter au maximum et puis, je peux me le permettre !
Dis donc ! Tu es vraiment « accro » à ce garçon toi ! Mais daccord, je te suis, et puis, jai envie de voir cette merveille ! »
Je mhabille, nous passons par chez Hélène, puis direction Bayonne et ses petits magasins pour quelques achats : lingerie, parfum, produits dhygiène intime et continuant sur ce sujet, je me rappelle la demande dEmmanuel, nous entrons dans un sex-shop et choisissons un gode de belle taille, un gode ceinture, le vendeur est persuadé que nous sommes gouines, nous complétons par du gel et un vibro-masseur.
Après ces achats hautement érotiques, nous avons du mal à ne pas les essayer tout de suite dans la voiture. Hélène, qui est une vrai salope, se saisi du vibro lorsque nous sommes sur la route et se caresse avec, pendant que je conduis. Arrivées à destination, jappelle Emmanuel qui arrive quelques minutes après. Son regard se voile lorsquil découvre que je ne suis pas seule, mais très vite je lui explique quHélène est une - tendre- amie qui mourrait denvie de le connaître et qui ne croyait pas quun bel homme, si jeune de surcroît, puisse sintéresser à une vieille femme comme moi.
"Mais, Maria chérie ! Tu nes pas vieille ! Et tu me plais beaucoup !
Tu es gentil mais je suis une vieille dame indigne !
Comment cela ?
Eh bien, je couche avec un garçon qui a cinquante ans de moins que moi, qui pourrait être mon petit fils et jaime ça, je suis folle de sa bite comme je parle mal - et il y a trois jours je ne pensais pas que je pouvais encore intéresser un homme, depuis, jai fait lamour avec trois hommes et deux femmes ! Tu ne trouves pas cela indigne, toi Hélène ?
Mais pas du tout ! Et puis, pourquoi te soucier de ce que peuvent penser les gens ! Profite du bon temps !
Justement, Emmanuel, connaîtrais-tu un appartement que je pourrais louer par ici ?
Ma mère en a un, avec petit jardin, dont je fais lentretien.
Bien sûr ! Je pourrais ainsi rester près de toi
si tu le veux encore !
Super ! Attends il faut que je lappelle ! Peux-tu me prêter ton portable ?
Allo, Maman, Dis, je suis avec une dame, enfin, deux dames, qui sont intéressées par ton appartement de la rue dAlbret, il est libre. ?
Il est occupé ?
à partir du 20 juillet, jusquau 15 août ? Attends, je demande Madame, me dit-il avec un clin dil, il serait libre jusquau 20 juillet !
. Cest 150 euros la semaine
Elle est daccord Maman
. Pourrait-elle le reprendre après le 15 août ?
daccord
Pour tout ça, elle vous le laisse à 600 euros et si vous voulez septembre le tout pour 1000
.. Elle est daccord Maman
Bon, daccord, je lui fais visiter,
son visage sassombrit Tu nous rejoins là bas ? Je fais signe que oui. Daccord, on sy retrouve.
Cest génial, dommage quelle vienne ! Et si elle se rend compte de quelque chose ?
Au contraire, elle va voir deux dames plutôt mures et vieilles, elle sera rassurée, on va se comporter comme des étrangers ! !
Nous partons vers lappartement, Emmanuel, en moto devant la voiture, nous guide.
« Tu es gonflée, tout de même me dit Hélène !
Cest toi qui mas dis den profiter ! Tu es la bienvenue, tu le sais !
Tu me prêteras ton
étalon,
Oh ! ! Cochonne ! Je ne sais sil voudra dune jeunesse comme toi ! Mais pour moi tu sais bien quil ny a pas de problème ! Mais laisse-le-moi un peu toute seule tout de même ! »
Lappartement est très bien, une grande pièce ouvrant vers le petit jardin à larrière, protégé tout le tour par une haie opaque, qui lisole des voisins, à létage, deux chambres et une salle deau. Le tout à proximité de la plage et du centre, tout en étant un peu isolé. Discrétion assurée. Nous sommes à la fenêtre qui ouvre sur la mer, lorsque la mère dEmmanuel nous rejoint.
« Ma mère, Madame... excusez-moi, je ne connais pas votre nom !
Madame Massé, mais appelez moi Maria et voici Hélène, mon amie. »
La mère dEmmanuel est une charmante dame à la quarantaine épanouie, qui semble enchantée de voir deux dames plutôt âgées, qui ne ferons donc pas trop la fête et garderont lappartement sans labîmer.
« Ça vous plaît ? demande la dame
Bien sûr ! pour moi cest idéal
Et ... pour le prix ?
Pas de problème, écoutez, je vous paye jusquà fin septembre, quand pouvons nous y rentrer ?
Quand vous le voulez, mais vous savez quil est loué fin juillet ?
Oui, oui pas de problème, je dois aller voir des amis en Espagne, jirai à ce moment là »
Laffaire est vite faite et cest autour dun verre dans un café que nous signons les papiers.
« Jeune homme, dis-je à Emmanuel, puis-je te tutoyer ? A ton âge on ne se soffusque pas ?
Oui, bien sûr dit-il en rougissant un peu.
Mais bien sûr rajoute sa mère, il pourrait être
Mon petit fils ! Dis-je en éclatant de rire, seule sa mère ne comprend pas notre joie. Tu pourras venir, si tu veux, faire lentretien, ça me fera plaisir davoir une jeune compagnie
si cela ne tennuie pas, bien sûr !
Non... Non... Répond-t-il troublé malgré tout.
Oui ! Ajoute, sa mère. Tu pourras toccuper de Madame, sans la déranger si elle savait comment ! ! Il pourra vous faire les courses, un peu dentretien, çà loccupera au lieu de traîner à la plage toute la journée, ou dans les bars !
Maman !
Ce nest pas vrai peut-être ? Et puis tu as ton examen à préparer, donc fini toutes ces journées à ne rien faire !
Un examen de quoi ? dis-je
Pour entrer à lEcole Normale, Je veux devenir professeur.
Je pourrais lui donner des conseils, dis-je, je suis enseignante à la retraite, si je nai pas trop perdu.
Oh Madame, vous êtes gentille mais je ne voudrais pas quil vous dérange pendant vos vacances !
Mais pas du tout, au contraire !
Si javais su, je vous aurais fait une ristourne, je vais vous rembourser !
Ny pensez pas ! Ça me fais plaisir ! si elle savait !
Je tiens à vous inviter chez nous un de ces jours, nest-ce pas Emmanuel ?
Emmanuel, Comme cest joli ! Dis-je comme si je le découvrais je me trouve diabolique Tu permets que je tappelle Emmanuel ?
Bien sûr,
. Madame !
Appelle-moi Maria !
Daccord ...Maria dit-il avec une certaine jubilation.
Ça ne vous dérange pas, Madame ? Dis-je en madressant à sa mère. Je ne voudrais pas vous paraître trop familière, mais mon pauvre mari jen rajoute un peu aimait supprimer ces frontières entre générations, lui-même acceptait que ses élèves lappellent Michel, cela nempêchait pas le respect !
Vous avez raison, et jespère que si mon Emmanuel vous manque de respect, vous nhésiterez pas à le remettre à sa place ! Je lai élevée toute seule mais avec le souci du respect des autres.
Je manque de m, si elle savait que hier, il ma baisée, sodomisée, que je lai sucé et bu son sperme, ce serait-elle qui sait ! Pour continuer le change, alors que Emmanuel est écarlate et Hélène écroulée de rire !
« Je voudrais bien voir cela ! Je saurais le corriger, vous savez, « Une main de fer dans un gant de velours » telle est ma devise, mais soyez sans crainte, il saura se tenir ! Et il fera des progrès, dans tous les domaines, nest-ce pas Hélène ?
La dame semble rassurée pour la suite des événements et alors quelle va nous quitter, je demande « innocemment » à Emmanuel, Maintenant nous aimerions profiter de la plage, tu en connais une qui ne soit pas trop fréquentée ? A nos âges nous aimons la tranquillité !
Bien sûr, vous naurez quà me suivre! »
Nous allons bien sûr à la plage des casernes, lieu de notre rencontre. Hélène, adepte de longue date, nous dévoile son corps entièrement bronzé et musclé. Emmanuel est sensible à son charme et je remarque ses regards. Au lieu dêtre jalouse, jentrevoie des perspectives pour nous trois et puis, je suis tout de même consciente que Emmanuel ne doit pas sattacher exclusivement à moi, car notre histoire, qui me remplie !!, de bonheur, nest pas viable à long terme. Je dois me faire une raison, cest moi qui doit être raisonnable ! Lintérêt de mon jeune amant pour mon amie, me conforte dans cette décision. Hélène découvre le sexe dEmmanuel, qui, même au repos, est assez impressionnant, heureusement quelle porte des lunettes noires car ses yeux doivent lui sortir de la tête, sa bouche entrouverte manifeste son incrédulité. Jadmire, la ligne de ma maîtresse qui sous le soleil, ne trahit pas son âge et je maperçois quelle a entièrement supprimé sa toison pubienne.
"Ma chérie ! Mais tu tes entièrement épilée !
Oui ! jai beaucoup aimé gougnoter ta chatte sans poils et me suis dis que ce serait agréable pour mes partenaires.
Parce que
vous !
sétonne Emmanuel !
Oui mon chéri, ta vieille maîtresse à aussi découvert les amours saphiques avec Hélène ! Tout ça à cause de Jean ! Ca te dégoûte ?
Pas du tout !
Au... contraire !
Petit vicieux ! Tu as déjà envie davoir deux femmes dans ton lit !
Je
..
Ne ten fais pas ! Je suis daccord pour quHélène se joigne à nous et vu ce que nous avons fait hier, nous ne serons pas trop de deux pour arriver à te calmer
Si nous y arrivons! »
Dès le lendemain, nous avons décidé daménager aussitôt, nous nous retrouverons dans la maison de la mère dEmmanuel qui durant lété va être notre nid damour. En fait, je ne vais pas quitter Emmanuel de toute la saison, lamenant avec moi en Espagne pendant que lappartement est loué, mais ceci est une autre histoire.
Ce jour là nous rentrons à la maison toutes les deux après la plage, en promettant à notre jeune ami de revenir dès le lendemain. Il est un peu déçu que nous labandonnions, mais je dois prendre mes dispositions avant de quitter ma maison, afin que mes amis ne sinquiètent pas. Avec Hélène nous mettons en place des alibis croisés prétextant que cest lautre qui a trouvé la location, en laissant sur nos répondeurs, un message où nous joindre en cas durgence. Seul, Jean, bien sûr, est au courant de notre véritable destination et situation. Il viendra dailleurs plusieurs fois nous voir. Nous passons chez Hélène dabord, pour vider le petit studio quelle loue et qui est plutôt insalubre. Elle donne congé au propriétaire, même si le mois nest pas fini, de toute façon il est payé, et ses affaires, peu nombreuses, chargées dans mon break, nous rentrons chez moi.
Hélène ne veut pas mobliger à une cohabitation dérangeante, aussi je linstalle dans le petit pavillon à quelques mètres de la maison, nous garons sa vieille voiture dans le garage fermé à clé, puis, je prépare mes bagages pendant quelle fini de sinstaller. Je passe quelques coups de fil aux amis proches et à la famille, pour leur dire que je pars en vacances. Nous dînons ensuite et après une soirée calme nous allons nous coucher. Hélène me rejoint dans mon lit sans que jy trouve à redire. Comme lautre jour, cest elle qui prend linitiative et jadore me laisser faire.
Elle menlève la nuisette légère qui tentait de cacher mes rondeurs et membrasse sur tout le corps. Un long baiser profond nous unit, alors que ses mains parcourent mon corps, un peu brimée de ne pouvoir la caresser directement, jentreprends de lui enlever laffreux pyjama quelle a revêtu. Celui-ci la recouvre du cou aux pieds, cest en fait un pyjama dhomme, Hélène sest faite jetée par son copain allemand qui ne lui a laissé que le minimum. Comme je la veux nue contre moi, je lenjambe pour la bloquer et arrache sa veste, je me précipite sur ses petits seins aux pointes bien dures, je mordille les bouts, les lèche, alors que de lautre main je pince le téton qui est libre, je dessine avec la langue des caresses sur son corps, le nombril fait lobjet de toute mon attention, puis je descends lentement.
La culotte du pyjama fait là aussi obstacle, je la baisse complètement écarte ses jambes et nichant ma tête entre ses cuisses, moccupe de tout son bas ventre maintenant épilé. Jéprouve la sensation quont maintenant mes partenaires, lorsquils soccupent de ma chatte, cest très agréable davoir tout dégagé, le nid est accueillant et sa corolle suinte déjà de mouille. Je nai pas beaucoup le loisir de flâner ainsi, car Hélène me saisie par les hanches et me retourne sur elle en soixante neuf. Je macharne sur son clitoris, elle me rend aussitôt la pareille, jenfonce deux doigts dans sa moule humide, aussitôt elle mimite, elle jute bientôt sous mes caresses et je mabandonne sous les siennes.
Hélène, qui ne perd pas la tête, a amené nos achats « coquins » de laprès midi, elle sharnache du gode ceinture et me le présente devant les lèvres, jembouche le gland qui ressemble vraiment à un sexe. Je lenduis bien de salive, Hélène me chevauche alors, me prenant comme un homme, allant et venant en moi tout en suçant mes tétons. Elle att mes jambes pour les relever et me fourre à fond, ma jouissance monte lentement dans mes reins et je gueule mon plaisir. Toujours équipée de son sexe factice, ce qui est assez comique, Hélène prend le vibro masseur, me pénètre avec, fait quelques va et viens, met en route le moteur qui transmet à mon corps des sensations terribles, puis, se présentant devant mon anus bien graissé, elle me sodomise de toute sa longueur avec le gode ceinture qui orne toujours son bas ventre. Je grimpe littéralement aux rideaux ! Les orgasmes senchaînent sans arrêt, je devine dans une sorte de brouillard, que Hélène a détaché la ceinture tout en laissant le gode en moi, elle a attrapé lénorme gode quelle senfonce elle même, tout en remuant celui quelle a laissé dans mes reins. Heureusement après un moment elle arrête le moteur du vibro, car je serais devenue folle. Elle laisse les deux instruments enfouis dans mes orifices, maintenant en elle le sien. Cest comme ça que nous nous endormons comme des masses.
Plus tard je me réveille, la tête dans son compas, et tendrement, je la lèche, avant de mendormir à nouveau. La nuit sera ponctuée de caresses entrecoupées par le sommeil. Au matin, nous émergeons doucement, nous retrouvons dans les bras lune de lautre, chiffonnées mais heureuses de cette nuit lesbienne, nos mains dans le vagin de lautre, nous jouissons, nos langues emmêlées dans un dernier spasme.
Longtemps nous traînons dans les draps ravagés, cest la faim et lenvie duriner qui nous tire du lit. Sous la douche, que nous prenons ensemble, je fais pipi devant elle sans honte, me rappelant la séance avec Jean. Hélène aussi, urine devant moi, et je frotte ma main sur son clito pendant toute la miction, ce qui lui procure un plaisir pervers. Je suis crevée, mais en même temps jai limpression dêtre sur un nuage. Hélène se charge de préparer le « pti dej ». Il fait tellement bon, en ce début dété, que nous restons nues, cest le bruit de la voiture du facteur qui nous fait fuir. Comme il frappe à la porte, il doit avoir quelque chose de spécial, jatt un peignoir et vais ouvrir. Cest un paquet quil livre, je dois signer, jen profite pour lui dire que je mabsente et sil pourrait menvoyer le courrier à lautre adresse. Il me dit que normalement il faut faire une demande mais comme cest lui qui sen charge, il ny aura aucun souci. Je lui propose un verre quil accepte. Je ne sais si ce sont ces derniers jours qui agissent sur ma libido, mais jai limpression quil me reluque attentivement. Mon peignoir plutôt court sest entrebâillé sur mes seins, il y a quelques jours, je naurais pas prêté attention, mais maintenant, jai limpression que mes sens sont en éveil permanent.
Je ne peux décemment pas chercher laventure avec ce garçon qui doit avoir dans les trente cinq ou quarante ans, les langues vont vite dans le coin, mais tout de même ! Faire envie à bientôt soixante neuf ans à un homme de trente ans de moins, qui me connaît depuis longtemps et ne me regardais pas vraiment ! Faire lamour doit agir comme un rayonnement ! Je le laisse mater, sans chercher à cacher quoi que ce soit, mais sans encourager autre chose. Heureusement que Hélène ne vient pas en rajouter car notre facteur aurait du mal à partir.
A regret, semble-t-il, tout de même, il continue sa tournée après mavoir saluée, sa poignée de main est un peu plus appuyée que dordinaire, mais je ne fais rien pour lencourager. Après son départ, Hélène hilare revient, toujours nue.
"Quel succès ! Je crois quil nattendait quun geste pour te sauter dessus !
Oui ! Mais je ne tiens pas à passer pour une vieille salope dans tout le canton !
Tu crois quil sen vanterait ?
Sen vanter sûrement pas mais faire courir que je baise avec nimporte qui à mon âge, une fois quil maurait eue, tu sais bien que le sexe des vieux est encore assez tabou ! Je suis sûre quil na pas idée de mon âge, ou du moins pas précisément. Il me croit plus jeune, car si jusquà 60 ans tu peux faire lamour, après çà nest pas pensable, surtout pour les femmes ! Pourtant, ma chérie, je peux te dire que nous avons des envies !
Surtout depuis trois jours !
Cest vrai que ce diable de Jean a tout déclenché ! Le pauvre ! Je labandonne déjà pour un plus jeune !
Je ne crois pas quil ten veuille ! Si tu permets, je le consolerais avec plaisir !
Salope que tu es ! Tu me le piques déjà ?
Mais
Cest toi qui
Je plaisante ! Jespère bien quil va tout de même me solliciter, malgré Emmanuel !
Ne tinquiète pas !
De toute façon, il y a Valérie et Jeremy dans le coin, ça lui fera un prétexte !
Il faut que tu me les présente ceux-là !
Mais tu es intenable !
Parce que toi, tu te gênes peut-être !
Daccord ! Un à un ! Bon ! On shabille et on y va ?
Il fait très chaud quand nous arrivons à notre appartement, notre déménagement en pleine chaleur, ne nous donne pas envie de sortir ensuite. Les volets clos, nous profitons de la fraîcheur relative de la maison pour faire une petite sieste réparatrice. Cette pause de laprès-midi deviendra vite un rituel car nos nuits seront à limage des précédentes : agitées !
Il est presque dix sept heures, lorsque Emmanuel vient frapper à la porte. Alors que je vais pour lembrasser tendrement, il me tend la main en fronçant les sourcils. Je comprends vite quil faut garder de la distance, car quelquun doit regarder. Je lui propose cérémonieusement de rentrer et dès la porte refermée, il change dattitude en se jetant littéralement sur moi ! Il me dévore les lèvres, retire ma robe et alors que je suis nue, abandonnée déjà à ses caresses, il déclare en me laissant en plan :
"Le voisin était à côté, heureusement que tu as compris ! Je vais ressortir et je reviendrai par derrière, hier soir, après votre départ, jai aménagé un passage discret dans la haie. » Il mentraîne derrière lui dans le jardin où Hélène bronze nue à son habitude. Il pose un baiser sur la pointe dun sein, puis mamène contre la haie où après avoir détaché un fil qui relie deux branches, très discrètement, un passage invisible permet de se glisser. « Je passerai par là avec la moto et je la mettrai dans lappentis, comme ça le voisin ne verra rien même sil matte à travers la haie, de toute façon, vu votre tenue, je vais rajouter du cannisse serré de son côté. Bon ! Je vous laisse et je reviens dans un quart dheure! »
Le petit jeune homme timide a pris de lassurance en quarante huit heures. Autant il reste timide avec sa mère ou son entourage, autant il est déluré et sûr de lui avec nous. Pendant tout lété, il adoptera ce double comportement, garant de notre tranquillité et de notre bonheur.
Son retour est si discret, que nous ne nous en rendons compte que lorsque il franchi la haie en douceur, cinq secondes plus tard, sa moto est cachée dans la remise. En sortant de celle-ci, Emmanuel se déshabille en déclarant quil ne veut pas choquer en restant le seul habillé ! Il faut dire que le bougre bande déjà et que son bermuda le serre bigrement !
Je me jette littéralement sur lui, je dois dire que son contact me manquait ! Contre moi je sens sa bite dure dressée, je latt et je sais déjà que, comme la première fois, il va me prendre debout, là, dans le jardin ! Ses mains empoignent mes fesses et me soulèvent comme un fétu de paille, mes jambes entourent ses hanches, je guide sa verge vers mon antre dans laquelle le sang bat la cadence, je maccroche à son cou et enfin, sa queue me pénètre au tréfonds du vagin dont il écarte les chairs qui épousent sa forme turgescente ! Jétais tellement en attente de ce pénis sublime que mon corps me trahit et je jouis comme une folle ! Heureusement quEmmanuel a pris mes lèvres, avec les siennes, car on mentendrait à deux cent mètres à la ronde ! Hélène que notre accouplement sauvage a dû mettre dans tous ses états, sagenouille sous moi et dune main masse les couilles dEmmanuel apportant ses caresses à notre coït brutal ! Emmanuel décharge son flot de sperme sous leffet conjugué de mes contractions et du massage dHélène. Vidée, je « descends de larbre » et Hélène se précipite pour avaler la bite dEmmanuel qui dégouline de sperme et de mouille. Ses lèvres doivent vraiment se distendre au vu des dimensions de lengin, mais Hélène qui en a vu dautres, se régale, dautant plus que leffet de sa fellation, maintien Emmanuel dans une raideur qui lui laisse entrevoir une suite des plus agréable pour elle.
Le résultat ne se fait pas attendre, mais sans doute fatigué par le coït précédent, Emmanuel couche Hélène dans lherbe et la pénètre dans la position classique du missionnaire ! Le corps tendu sur ses bras, il baise mon amie de toute la longueur de sa verge, admirant le spectacle de la femelle pâmée sous son maître. Je dois dire que le spectacle de mon amie, baisée par mon jeune amant, loin de me rendre jalouse, mexcite plutôt et étendue à leurs côtés, je me caresse le bourgeon, prolongeant de la sorte mon plaisir. Hélène pousse des petits cris comme le ferait un petit chien, Emmanuel ahane comme un bûcheron ou un paysan qui « laboure » sa terre. Hélène est complètement « partie » dans ses orgasmes qui se succèdent lorsque Emmanuel lâche,- pour la deuxième fois en quelques minutes - son jus mais sûrement pour le plaisir, cest sur le ventre dHélène quil se laisse aller en longues traînées blanchâtres. Ne voulant rien laisser perdre, je me précipite sur mon amie et lèche la liqueur qui part de la base de son cou jusquà son pubis.
Un peu calmés après ce moment de folie, nous pensons tout dun coup que le voisin a peut-être pu nous surprendre. Emmanuel va voir derrière la haie et nous appelle. Nous-nous approchons pour découvrir que le voisin a bâti un mur de deux mètres de haut pour faire un appentis de son côté et ce mur, court tout au long de la clôture, isolant parfaitement les deux jardins. Au moins de ce côté là, nous sommes tranquilles, dautant plus que le pavillon voisin na pas détage contrairement au notre et donc pas de vue plongeante sur notre « jardin dEden » comme nous le surnommerons, car nous y serons nus quasi en permanence, tout comme dans la maison dailleurs, ce qui nous vaudra quelques fou-rires lorsque il nous arrivera douvrir à des visiteurs inopinés.
Après cette « pendaison de crémaillère » un peu particulière et un rapide passage sous la douche et nous partons à la plage.
Les jours passent vite, trop vite dans notre havre damour. Emmanuel a dabord culpabilisé auprès de moi, davoir fait lamour à Hélène, il faudra toute ma persuasion pour lui faire comprendre que je ne lui en veux pas et quau contraire cela renforce notre amour. Il mettra un peu de temps à ladmettre ce qui je dois dire, me soulagera, toujours dans la perspective où je me place, que notre amour ne peut durer. Il est vrai aussi que lorsque nous étions tous les deux seuls, nous avions de vrais moments de complicité. Ceci sest amplifié après le quatorze juillet.
A cette date, nous nous sommes rendu compte que la fin de la première partie de notre séjour sapprochait et nous navions pas envie de nous séparer. Accompagnée dHélène, je vais chez la mère dEmmanuel. Je la félicite dabord pour le sérieux ! ! de son fils dans ses révisions et lui propose de lemmener avec moi en Espagne afin quil se perfectionne dans cette langue quil étudie pour son examen :
« La route est longue et à mon âge, je fatigue vite ! Hélène doit rester chez elle, je suis donc seule Je vais chez ma sur à côté dAlicante. Ils ont une grande maison et la venue dEmmanuel ne pose aucun problème, ils sont dailleurs daccord, je les ai appelés ! »
Mise quasiment devant le fait accompli, la mère dEmmanuel ne peut refuser. Elle na jamais laissé partir son fils, mais la présence dune dame âgée la rassure (la pauvre !). Elle me propose tout de même de participer aux frais, je lui suggère plutôt de donner de largent de poche à Emmanuel qui gérera cela à son goût.
En prenant le thé, elle minterroge pour savoir si Emmanuel ne me dérange pas trop pendant mon séjour, sil se comporte bien, Il lui paraît parfois un peu fatigué. Elle sinquiète aussi de ne pas le voir avec des amis ou des amies. Je lassure que son fils se comporte très bien ! ! Il est assidu et ma foi, lorsquil est à la plage avec nous, je le vois samuser je ne dis pas avec qui - Quand au soir je suppose quil doit sortir, mais cela ne me regarde pas. Elle me confirme en effet quil rentre tard (ce que je sais et pour cause, puisquil est dans mon lit). Tout ceci est plein de sous-entendus, qui me font sourire intérieurement, Emmanuel lui est obligé daller dans sa chambre sous un faux prétexte, rouge jusquaux oreilles. Je me trouve machiavélique !
Elle me remercie encore de mon aide. Afin de faire taire déventuelles mauvaises langues je lui raconte en riant, quEmmanuel veut memmener sur sa moto vous croyez, à mon âge ! Cest un plaisir que je lui ai, pour le moment, toujours refusé de peur des commérages des voisins, mais que je compte assouvir. Elle rit avec moi et ajoute :
« Excusez moi dêtre si indiscrète, mais entre femmes, on peut poser ce genre de question. Si je puis me permettre, quel âge avez-vous ?
IL ny a pas de mal ! Jai soixante huit ans !
Oh ! Mais... je
je vous croyez beaucoup plus jeune ! ! Excusez-moi
Vraiment je suis confuse ! Vous ne les faites pas
Mais si mon fils vous dérange, vous savez, il faut me le dire !
Mais pas du tout, au contraire sa jeunesse apporte un rayon de soleil dans ma vieillesse ! - si tu savais comme il me baise bien ! Et puis il me fait penser au petit fils que je nai pas eu, mon mari et moi, nous navons pas eu d.
Quel dommage ! Eh bien, puisque cela ne vous dérange pas, je veux bien quil aille avec vous en Espagne, mais nhésitez pas à le gronder sil se tient mal, je trouve que votre influence lui fait du bien depuis le début de lété !
Je crois que cest réciproque, sa jeunesse me fait aussi beaucoup de bien. Je crois que je mencroûtais vraiment! »
Après cette conversation surréaliste avec ma « belle-mère », durant laquelle jai failli, ainsi quHélène, éclater plusieurs fois de rire, je suggère quEmmanuel amène ses affaires la veille du départ.
- « Jai lintention de partir tôt le matin. » Je propose « innocemment » quil dorme ainsi dans lappartement. Hélène sera retournée à la maison et il y a donc une chambre de libre inutile de dire quelle le restera La dame approuve ce départ matinal et je lui donne rendez-vous au dix neuf, je viendrai chercher Emmanuel et ses affaires. Je prends congé et par habitude, je vais vers mon amant pour lembrasser. Heureusement, je me reprends, je parviens à me bloquer et fais mine de lui demander :
" Tu permets que je tembrasse ?
Emmanuel est rouge de confusion en se rendant compte que nous avons failli nous trahir, en tournant sa joue il ajoute Oh oui Madame, jen serai très content ! »
Sous les yeux de sa mère nous échangeons un baiser chaste, elle sapproche et vient embrasser son fils qui sans réfléchir nous prend chacune dans un bras et déclare, je vous aime toutes les deux ! Je mécarte assez vivement de peur que sa mère ne soupçonne quelque chose, elle au contraire dit :
"Voyons, Emmanuel tu dis des bêtises ! Tu ne vois pas que tu déranges Madame avec tes façons de faire !
Pas du tout dis-je, jai été surprise, cest tout. Ça ne me gêne pas que ce grand garçon membrasse, il y a bien longtemps que cela ne mest pas arrivé ! Mais quun jeune homme me fasse une déclaration, cest surprenant. Je ris autant de nervosité que pour cacher mon trouble.
Si cest ainsi, daccord, puisque vous le permettez, jen suis très heureuse, linfluence dune autre femme que moi, lui fait du bien, vous êtes un peu comme la grand-mère excusez-moi quil na pas connu ! »
Alors là nous sommes dans un délire total ! Il est temps que je méchappe ! Jai mal au ventre de me retenir et de rire et de lui jeter à la figure que son fils est un amant formidable, superbement monté et qui me baise chaque fois quil le peut, dans tous les trous et toutes les positions ! Dailleurs cette conversation ma totalement excitée que si la mère nétait pas là je violerais le fils ici même !
Le dimanche suivant, deux jours avant notre départ, Jean, passe nous voir. Afin de méviter un voyage, il va ramener Hélène. Connaissant les deux compères et les regards échangés, je ne doute pas quil « consolera » notre amie de ne pas être du voyage en Espagne ! Je lui laisse la parole pour un petit aparté.
« Jétais passé un week-end pour voir linstallation de Maria et Hélène et je navais pas eu loccasion de revenir. Lorsquaprès le quatorze juillet je viens leur rendre visite, je trouve les deux femmes qui sont nues dans lappartement, ce qui semble être leur tenue habituelle. Adepte de cette tenue, je suis néanmoins surpris et au début, ne sais trop quelle attitude adopter. Maria, après trois semaines au grand air et au soleil est entièrement bronzée et je dois dire superbe. Le regard admiratif que je laisse traîner sur ses formes ne lui échappe pas et elle semble flattée de mon attention.
Mettez vous à laise et venez dans le jardin, me dit-elle, nous prenions le petit déjeuner. Vous savez, nous nous levons tard il est onze heures passée »
Maria mexplique alors le stratagème du voyage en Espagne. Comme elle doit ramener Hélène le lendemain, je propose de lui éviter le voyage et de la ramener moi-même aujourdhui. Hélène échange avec moi un regard qui en dit long sur ses intentions à mon endroit. Je sais que Maria, fine mouche, a vu son amie et à son sourire amusé, devine les projets de celle-ci.
Nous partons ensuite à la plage, un moment avant la grosse chaleur, puis revenons à lappartement pour une sieste, qui contrairement à mon attente, se révèle tout à fait chaste. Je me lève lorsque Maria redescend, constatant mon érection, elle passe la main sous mes bourses et mon sexe en disant :
« Alors, toujours dattaque, mon chéri ! Cest moi qui vous fait cet effet, ou bien ce sont vos rêves» Mais ce sera tout ce quelle fera, il faut dire quelle avait entendu arriver la moto dEmmanuel et était descendue pour le recevoir et peut-être lui signaler ma présence. Nous repartons à la plage et Maria profitant de ma présence, décide dy aller en moto avec Emmanuel alors que jamène Hélène en voiture. Sur la plage, je constate avec plaisir que Maria ne dépare pas au milieu des autres, son corps harmonieusement basané, semble aminci, elle passe son temps entre la baignade où elle joue dans les vagues gaiement et la serviette sur le sable où elle lit un roman. Emmanuel ne la quitte pratiquement pas, dans leau avec elle, à ses côtés sur le sable.
Alors que nous sommes encore dans leau avec Hélène elle me les désigne « Ils sont mignons, comme un couple, nest-ce pas ? Lui est comme un petit chien, si elle le laissait faire il ne la lâcherait pas. Tu restes avec moi ce soir ? Jai envie et besoin dun homme pour moi seule! » Javais prévu de passer chez Valérie et Jeremy, mais je me dis que jaurais loccasion dy retourner. Je les appellerai tout à lheure pour les prévenir, nous irons la semaine prochaine ! Hélène qui ne les connaît pas, mais en a entendu parler, est ravie de la perspective. Nous passons la fin daprès-midi sur la plage qui se vide du monde petit à petit. Nous sommes les derniers sur le sable, dans ce moment agréable où la température est plus clémente et leau, qui à marée basse est plus calme. Nous jouons au bord de leau, frisbee, ballon, baignade, en riant comme des s, Maria nétant pas la dernière. Quiconque la verrait à ce moment là ne croirait pas que la dame est presque septuagénaire !
Je ne sais si cest ma présence ou le moment un peu « hors du temps » que nous passons, mais, aucun signe de tendresse excessive ni baiser ou caresse ne sont échangés, nous sommes simplement heureux de nous trouver là, à partager ce moment de calme.
Le soir avançant malgré tout, nous quittons la plage avec regrets. Pour terminer cette journée nous savourons un plateau de fruits de mer dans un petit restaurant sympa. De retour à lappartement, alors que Emmanuel rentre chez sa mère, pour une fois de bonne heure. Hélène rassemble rapidement ses affaires et nous laissons Maria qui se retrouve seule pour la première fois depuis que je lai rencontrée, trois semaines déjà ! Elle déclare, un peu émue malgré tout que cela lui fera du bien de passer une soirée calme.
Pendant le trajet du retour, Hélène sommeille. Elle a revêtu une simple robe de plage sous laquelle elle est nue. Il faut dire quelle a un peu sur le vin blanc qui était servi avec les fruits de mer. Hélène allongée sur son siège pour dormir, a sa robe remontée jusquen haut des cuisses, dune main je la caresse et bien vite cest sa main qui sinfiltre et dans son sommeil, elle se caresse inconsciemment. La nuit est tombée lorsque nous arrivons chez Maria, je réveille ma passagère et nous descendons ses affaires, elle me demande de sortir sa voiture du garage et dy mettre la mienne à la place afin dêtre discrets, je fais donc léchange des véhicules, à mon retour, Hélène est sous la douche, sûrement pour récupérer un peu. Ayant envie de me rafraîchir je me déshabille et la rejoins dans la petite cabine. Mon intrusion ne semble pas lui déplaire et apparemment revigorée par leau fraîche, elle se fait câline et provocante, nous quittons la cabine et pour conserver un peu de fraîcheur nous ne nous séchons pas, cest avec nos langues que nous recueillons les gouttes sur la peau de lautre.
Hélène se lève un moment et va dans sa chambre, elle revient avec une boite de laquelle elle sort divers instruments : des menottes, un collier avec une laisse, des pinces reliées par une chaînette un gode vibrant et un Martinet.
"Je voudrais être ton esclave ce soir ! Tu veux bien ?
Je ne sais si je saurais, en tous cas arrête-moi lorsque tu le désires.
Daccord, jai envie! »
Je commence à léquiper des pinces sur les tétons, sur celles-ci on peut régler le serrage aussi, lorsquelle grimace, jarrête, mais elle insiste pour que je serre plus fort, malgré sa demande je ne pince pas trop ses tétons qui me semblent déjà très douloureux. Je pose ensuite le collier et attache la petite laisse, que je prends en main, de lautre, je saisis le martinet et prenant un air autoritaire, je dis :
"A genoux chienne ! Allez avance ! On va faire la promenade! »
Hélène obéit aussitôt, ce qui nempêche pas quelle reçoive un coup de lanières sur les fesses, afin de bien marquer son état, ce dont elle ne se plaint dailleurs pas. Nous faisons ainsi le tour de la pièce, puis jouvre la porte et la tire vers dehors. Elle a une hésitation qui lui vaut un nouveau coup de martinet sur les cuisses. Dehors, le sol est rugueux et devient même caillouteux lorsque nous quittons la petite terrasse et gagnons lallée en gravillons. Hélène est inquiète malgré tout que quelquun ne nous aperçoive, mais la nuit est tombée et même si son corps nu se détache dans lombre, il y a peu de chance que de la route en contrebas, on puisse nous voir. Un véhicule qui passe à ce moment éclaire brièvement la scène dans le pinceau de ses phares, mais cest si rapide que cest plutôt un flash, malgré cela Hélène sest raidie, ce qui bien sûr lui vaut quelques traces supplémentaire sur la peau.
Nous sommes maintenant sur la pelouse et malgré les genoux douloureux la promenade doit lui sembler moins difficile. Afin de maintenir la pression je passe les lanières sur sa peau, la faisant frissonner et sans raison, uniquement par plaisir et pour la maintenir dans son statut desclave, jaccompagne la promenade nocturne de quelques coups de martinet, plus symboliques que forts sur le corps dHélène.
Notre équipage bizarre fait le tour de la propriété et mon esclave commence à fatiguer, je la sollicite un peu plus en tirant sur la laisse et en fessant sa croupe. Nous arrivons dans un coin sombre du parc, près dun arbre.
« Maintenant tu vas pisser, comme la chienne que tu es !
Oh non !
Ne discute pas ! Lève la jambe et pisse !
Je ny arrive pas ! Dit-elle en pleurnichant
Je vais taider ! Aussitôt le martinet tombe sur ses fesses déjà endolories.
Aïe ! Aïe ! gémit-elle. Puis, tout dun coup, peut-être sous leffet du martinet ou du froid de la nuit, elle abdique toute pudeur, se lâche et commence sa miction. La flaque sélargit sous elle dans un délicieux bruit. Elle avait manifestement la vessie bien pleine, car cela dure un bon moment. Enfin le jet se réduit puis sinterrompt. Je la tire vers moi pour léloigner de la zone mouillée, jouvre mon pantalon, baisse celui-ci accompagné du slip, je la retourne et magenouillant derrière elle, lui dis. Maintenant je vais te prendre comme une chienne que tu es. Je me guide dans son antre ruisselant qui prouve bien lexcitation que notre petit jeu a provoqué. Considérant quelle nest quun instrument et que comme esclave elle na rien à dire, je la baise rapidement, cherchant mon seul plaisir sans me préoccuper du sien. Mais elle na pas besoin de longue préparation car lorsque je me vide en elle, elle se crispe et clame son plaisir.
Je me retire sans attendre, me relève, lui présente ma queue et lui fourre dans la bouche en disant « nettoie bien sale chienne » à la fin, je me rhabille et sans la laisser se reprendre, je lentraîne vers la maison. Nous rentrons et je me dirige vers la chambre, la tirant toujours par la laisse.
"Je... voudrais me laver ! Dit-elle
Ah bon ? Une chienne ça se lave maintenant ? Tu na quà te nettoyer la chatte avec tes doigts et ta langue ! Couche-toi au pied du lit, moi je vais dormir ! »
Je quitte mes vêtements et me couche laissant Hélène sur la moquette. Discrètement je la regarde et je vois quelle suit mes conseils et plonge les doigts dans son sexe plein de ma semence léchant ensuite le foutre quelle recueille. Je mendors assez vite abandonnant Hélène à son triste sort.
Dans la nuit je me réveille, Hélène dort tranquillement, afin de prolonger le jeu, je la réveille sans ménagement, la fait monter sur le lit et la baise rapidement. Une fois fini, je la fais redescendre sur le tapis.
Le soleil est haut dans le ciel lorsque je me réveille. Hélène est à genoux, réveillée depuis un moment et guette ma réaction. Tout dabord je lui demande de monter sur le lit à mes côtés, ce quelle fait docilement. Elle se met en position à genoux, pensant quune nouvelle fois je vais la saillir par derrière, mais je juge que la plaisanterie a assez duré, aussi, tendrement je détache les pinces de ses seins, la grimace quelle fait lorsque le sang afflue à nouveau à ses tétons montre la douleur quelle ressent. Jenlève aussi son collier et la couche à mes côtés, très doucement, je lenlace et la caresse, les cernes sous ses yeux montrent que lépreuve quelle a subit la fatiguée. Lentement jembrasse son corps, multipliant les attouchements, puis je la chevauche, elle guide elle même mon sexe vers le sien et lentement, avec précaution je la pénètre. Sa vulve est trempée, preuve que sa condition desclave ou la situation lui ont plu. Je lui fais lamour tendrement, ses yeux sembrument démotion et elle jouit alors que les larmes inondent ses joues. Elle sendort épuisée alors que je me finis en aspergeant son ventre et ses seins de ma semence. Je laisse Hélène se reposer et après une bonne douche, je vais faire quelques courses.
Je prépare le repas à base de salades et autres mets à picorer, car je ne sais à quelle heure Hélène va se lever. La nuit a été éprouvante pour elle et il faut quelle récupère. Cest vers trois heures de laprès midi que jentends couler leau de la douche et après un bon moment, Hélène apparaît en peignoir, la mine encore défaite mais, malgré les cernes, lil est brillant et un sourire égaye ses lèvres. Elle sapproche de moi et vient membrasser :
"Merci ! Lexpérience était forte mais jai beaucoup aimé, jai encore les tétons qui me lancent et jai limpression quils ont allongé! »
Elle ouvre son peignoir pour me présenter sa poitrine et effectivement les pointes de ses seins sont dardées, jen prends une délicatement entre les lèvres et le suce tendrement. Elle soupire et renverse la tête en arrière sabandonnant à la caresse. Après sêtre restaurée et avant de me laisser partir elle me demande de la prendre une dernière fois en levrette, position quelle apprécie particulièrement
Je la quitte enfin lui promettant de revenir un autre jour. Une heure plus tard, elle mappelle sur mon portable. Dune petite voix elle me dit avoir remis le collier et les pinces aux tétons. Cest dur mais jai envie de les voir sallonger et ainsi tu pourras les téter plus facilement. Ah, aussi, jai enfilé le gode pour la nuit avec une culotte par dessus pour quil y reste. Bonne nuit !
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