Petit Secret

"As-tu bientôt fini, Mollesse?" Valérie l’appelait depuis le salon.

"Presque fini, madame." La jeune femme chargeait à la hâte la vaisselle sale dans le lave-vaisselle et cherchait le détergent. C'était une jolie fille de vingt-quatre ans. Cependant, avec ses cheveux coiffés en arrière en queue de cheval, son maquillage léger, on lui aurait donné à peine vingt ans.

"Dépêche-toi, tu m'embarrasses devant ma tante."

"Je suis désolée, madame." Merde pour la tante. Où diable était caché ce putain de détergent? Ce travail était éprouvant dans le meilleur des cas. S’occuper du gamin de Valérie avait déjà été assez pénible. Pire encore, elle était maintenant obligée d'être la bonniche personnelle de Valérie. Mais lui demander de travailler dans une maison étrangère était pire que tout. Sans oublier, cet uniforme moulant avec ses talons hauts qui la faisaient ressembler à une pute.

Finalement, elle trouva le détergent, le versa dans la machine et la mit en marche. 
Elle retourna en courant dans le salon, avant que Valérie n’augmente la difficulté.

"Il était temps !" ricana Valérie. "Qu'est-ce qui t'a pris autant de temps ?"

"Je ne trouvais pas le détergent, madame."

"C’est une idiote." Dit Valérie en s’adressant à la tante, Sandra.

Mollesse détestait qu'on parle d’elle comme ça, comme si elle était absente, ou comme si elle ne comprenait pas.
Plus encore, elle détestait ces deux riches salopes qui la traitaient comme une moins que rien.

"Oui, n'est-ce pas terrible" renchérit Sandra. "La semaine dernière, j'ai dû me séparer de Maria. Elle se plaignait constamment de travailler trop dur, de ne pas être suffisamment payée, enfin de pleins de choses. Je l’ai dénoncée comme clandestine à l’immigration et elle a fait l’objet d’une reconduite à la frontière. Bon débarras !"

"Eh bien, heureusement, je n'ai pas à supporter ça de Mollesse," dit Valérie.

 "Même si parfois, je ne sais pas qui a le plus de travail. Elle ou moi qui passe beaucoup de temps à la surveiller. N'est-ce pas, Mollesse ?"

Le visage de Mollesse a viré au rouge cramoisi. "Oui, madame."

Valérie se tourna une fois de plus vers Sandra : "Elle est kleptomane. C’est une maladie, vous savez ?"

Sandra arqua un sourcil curieux.

"Une sale petite voleuse !" insista Valérie. "C'est ça qui t'a pris aussi longtemps, Mollesse ? Étais-tu occupé à voler ma tante, son argent ? Ses bijoux ?"

Les yeux de Mollesse s'écarquillèrent de peur et la sueur perla sur son front. "Oh non, madame."

"Elle a pu aller directement dans ma chambre et remplir ses poches pleines de mes bijoux" a déclaré Sandra. 
"Je ne peux pas croire que vous apporteriez ça chez moi."

Mollesse détestait la façon dont Sandra disait «ça» en hochant la tête dans sa direction, comme si elle n'était même pas une personne.

"Ne vous inquiétez pas, ma tante" dit Valérie, tapotant le genou de Sandra pour la réconforter. 
"Ses poches ne sont que de la décoration. Elle n’a que très peu d'endroits pour cacher des bijoux."

"Je peux imaginer certains endroits."

Vieille salope. Mollesse la détestait déjà.

"Approche, Mollesse," exigea Valérie. "Montre-nous. Enlève ta robe."

La jeune bonniche refoula ses larmes. Elle a essayé de penser qu'elle était dans sa dernière année d'université. 
Elle essayait de se convaincre que ce n'était pas pour toujours. Elle détestait cette robe tablier grise qu'elle portait. 
C'était un vêtement de travail d'une seule pièce qui jurait sur une jeune étudiante en fin de cursus. Elle détestait la façon dont les gens la regardaient de façon méprisante pendant qu'elle la portait. Elle n’était pas du tout pratique, beaucoup trop moulante, et trop courte aussi, trop échancrée, elle n’offrait qu’une protection illusoire.

Ses doigts tripotaient le bouton du haut, hésitante sur la conduite à tenir.


"Il y a toujours une alternative" l’a prévenu Valérie.

Les larmes que Mollesse ne pouvait contenir coulaient sur ses joues, laissant des traces de mascara sombre. 
Ses doigts tremblaient en tâtonnant sur les boutons de sa robe. Son jeune corps tonique apparut lentement et un tremblement de ses hanches laissa tomber sa robe en tas à ses pieds. Avec une main sur ses seins fermes et dodus et une autre sur son pubis, elle faisait de son mieux pour cacher son intimité au regard lubrique de la vieille femme.

"Un voleur doublé d’une salope" estima Sandra. Elle dévorait des yeux la jeune fille nue tremblante devant elle. 
"Elle ne porte même pas de sous-vêtements. Vous l’avez trouvée où ? C’est une sorte de pute, non ?"

Valérie a eu un petit sourire entendu. Elle avait vu juste en pensant que Mollesse était le genre de fille qui saurait séduire, par sa timidité autant que par sa beauté, la vieille maquerelle. Elle se tenait là docile, vêtue seulement d'une paire de talons noirs. Elle avait la taille étroite et le cul rond. Ses seins ronds étaient fermes.

"Il faut s’en assurer" a déclaré Valérie. "C’est très facile de l'inspecter pour s'assurer qu'elle n'a rien subtilisé."

"C’était bien mon intention" ricana Sandra." Approche, voleuse. Plus près, viens là, je veux tout voir."

"Écarte tes sales pattes de là !" ordonna Sandra. "Comment puis-je voir si tu caches quelque chose ?"

Mollesse s'avança docilement et reprit sa pose humiliante devant les deux femmes mûres, dont une qu'elle ne connaissait même pas. Son menton tremblait, ses larmes ruisselaient sur ses joues fraîches.

Mollesse se détestait de s’être laissée entraînée de cette façon, contre son gré, dans cette aventure rocambolesque. 
Elle détestait comment Valérie pouvait la transformer en un clin d’œil. D'une jeune femme volontaire en une pleureuse. 
Elle prit une profonde inspiration et laissa pendre ses mains sur ses côtés.


"Rien de caché" dit Valérie. "Satisfaite ?"

"Pas assez."

Horreur, Sandra se pencha vers Mollesse, et il ne pouvait y avoir qu'un seul endroit où sa main voulait aller. 
"NON" hurla Mollesse, et ses mains saisirent le poignet de Sandra.

"Cette salope m'a attaquée !" elle se frottait le poignet là où Mollesse l'avait saisie. "Appellez la police !"

"Non" supplia Mollesse. "S'il vous plaît, madame. Je suis vraiment désolée, je ne le ferai plus."

Les choses allaient de mal en pis. Elle était déjà coupable de vol et maintenant elle pouvait être accusée de voies de fait. Elle écarta ses mains et baissa la tête en signe de soumission.

Sandra sourit, un rictus luisant de victoire. Sa main reprit sa progression entre les cuisses tremblantes de Mollesse. Sandra a pris son temps, s'assurant que Mollesse subissait une humiliation maximale. 
Elle tripota ses grandes lèvres roses, enquêtant comme s'il était possible de cacher quelque chose entre elles. 
Puis elle a tâtonné autour de l'ouverture de son sexe. Mollesse grimaçait de dégoût, essayant de ne pas penser. 

Essayant en vain de penser à autre chose. Surtout ne pas penser à cette riche garce qui tripotait son sexe, oublier l’émoi que cette situation lui procurait, à ce trouble qui l’envahissait, essayant de ne pas réagir.

"Elle mouille" constata Sandra. "Cette petite salope aime ça, ou peut-être a-t-elle graissé sa chatte pour fourrer mes plus beaux bijoux là-haut. Réponds-moi, stupide guenon ? Est-ce que je t’excite ou as-tu volé mes bijoux ?"

Au grand désespoir de Mollesse, Sandra avait maintenant trois doigts enfoncés dans sa chatte et les faisait aller et venir. Pire encore, Sandra avait l'air déterminée à forcer un autre doigt ou même toute sa main dans le sexe déjà douloureusement étiré de Mollesse. Mollesse dévisageait la méchante vieille salope qui la tourmentait. 

Cette célibataire dans la cinquantaine.
 Cette vieille salope immensément riche avec son lifting et ses vêtements hors de prix. Elle était moche. Mollesse n'était pas gouine, et même si elle l’avait été, elle ne serait pas attirée par cette vieillerie.

Mais, elle ne pouvait pas nier la trahison de son corps. Elle se détestait pour ça, mais elle était excitée. 
Cette vieille salope, avec son regard, son mépris, la façon dont elle la traitait, tout ça l'excitait.

"C’est vous, madame, vous m'excitez" admit Mollesse, le visage rouge d'émotion, ses jambes flageolantes, comme une sorte de marionnette humaine, manipulée par Sandra. C'était la dernière chose au monde qu'elle aurait voulu avouer, mais cela semblait être le seul moyen d'amener la vieille bourgeoise à la laisser tranquille.

Sandra sourit et retira ses doigts du sexe de Mollesse. Elle se redressa, taquinant nonchalamment les plis roses et le clitoris tendu de la jeune femme.

"Je suppose qu'elle ne les a pas mis ici" admit-elle. "Fais demi-tour, petite fille."

Mollesse avait hâte de s'éloigner de la main de Sandra, avant d'être e à l'orgasme par la vieille salope. 
Cependant, son soulagement fut de courte durée. 
La main de la vieille femme serpenta le long de ses cuisses puis se glissa entre ses fesses.

"S'il vous plaît madame," sanglota Mollesse. "Je jure que je n'ai rien pris. Je suis allée seulement dans la cuisine."

"Tais-toi, pétasse" exigea Sandra, glissant son doigt le long de la raie culière jusqu’à la rosette froncée de la jeune fille.
"N’essaye pas de me faire croire que tu ne l'as jamais pris dans le cul, une salope comme toi."

"Je … euh … jamais …ne ..."

Sandra a poussé son majeur dans le cul vierge et serré de Mollesse. La jeune femme a essayé de s'écarter, mais Sandra fit preuve d’agilité en saisissant les poils de son pubis et en la maintenant fermement.

"Détends-toi, petite," dit Sandra,

"Aïe" hurla Mollesse, souffrant autant de l’intrusion violente dans son anus, que du tirage de ses poils pubiens.

"Oui, c’est ça, t’es une bonne fille," dit Sandra. "Détends-toi. Ouvre-moi ce petit cul serré. Voilà, bonne fille."

Mollesse grognait d'inconfort lorsque le doigt se frayait un chemin encore plus loin, piochant dans et hors de sa rosette.
Sandra semblait éprouver de la sympathie pour elle, ce qui la différenciait de Valérie pendant toute l'année de son emploi, et plus encore pendant les deux semaines de son asservissement. 

Il n'y avait qu'un seul problème, sa sympathie était condescendante. C'était la sympathie qu'on éprouve pour un petit animal de compagnie, pas pour une personne.

"Presque fini." Sandra retira heureusement son doigt et commença à fouiller dans son sac à main. 
"Bon, maintenant, qu’est-ce que j’ai fait de mon trousseau ? Ah, il est là."

Sandra tenait ses clés d'une main et poussa sur les reins de Mollesse de l'autre. "Penche-toi en avant, chérie."

La jeune femme se pencha en avant, anxieuse et légèrement effrayée par les intentions de l'autre tordue.

"Maintenant, ouvre-toi bien, que je puisse voir à l'intérieur de ton cul" exigea Sandra. 
"Je dois m’assurer que tu n’essaies pas de m’arnaquer en cachant mes objets de valeur là-dedans."

Elle ne voulait sûrement pas faire ce qu’elle suggérait. Mollesse regarda derrière elle, alarmée. 
La vieille femme était prête, lampe-stylo à la main, bien déterminée à regarder l'intérieur de ses entrailles ! 
Mollesse a serré son trou du cul. Jamais ! Mon cul ne se visite pas !

"Es-tu timide ou sournoise ? Hein ?" Demanda Sandra. "Est-ce que la petite Mollesse est timide et obéissante? Ou est-elle une sale petite voleuse hypocrite ?"

Timide et obéissante, pensa Mollesse. "S'il vous plaît, madame, je ne vous ai rien pris. S’il vous plaît, madame."

C'est à ce moment-là que Sandra a choisi de réinsérer son doigt dans le jeune cul serré de Mollesse jusqu'à la garde.

"Peu importe," dit Sandra. "Je saurais bien assez tôt."

Mollesse supportait du mieux qu'elle le pouvait l’intrusion, mais la lubrification précédemment fournie par ses sécrétions avaient disparu, et le doigt sec commença à racler son sphincter. "Aïe !" Elle tressaillit et essaya en vain de s'éloigner.

"Est-ce que je te fais du mal, ma petite chérie ?" Demanda Sandra. "Est-ce que je suis une méchante vieille tante avec toi, ma petite fille ?"

"Oui, oh, oui !" Les jambes de Mollesse tremblaient, mais Sandra la maintenait fermement par ses poils pubiens.

"Explique juste le problème à ta tante Sandra et elle fera mieux."

"Vous êtes trop rude, trop sèche, et mon ... ma..."
Mollesse serrait les genoux inutilement. Cela ne faisait que causer plus d'inconfort à son pubis.

Sandra tira deux coups secs sur les poils pubiens de la jeune fille. "Tais-toi," dit-elle. "Tu devrait être respectueuse, n'est-ce pas, Mollesse? Maintenant, adresse-toi à moi en tant que ta tante, et explique à ta tante ton problème."

Non-non-non! Pas question pour Mollesse d'accepter cette folie. Son nom n'était même pas Mollesse, c'était Mélanie. 
Elle était doctorant en commerce international et ne se soumettrait jamais à cette indignation. 

Oui, elle avait été surprise en train de voler et elles avaient l’enregistrement de son forfait. Oui, elle avait accepté d'être l'esclave domestique de Valérie pendant deux ans pour éviter la prison. Oui, elle a accepté de travailler pour elle nuit et jour sans aucun salaire, sans jour de repos, et sans vacances.

La douleur rêche dans son cul, et le tiraillement douloureux de ses poils pubiens sur sa chair sensible l'ont vite convaincue du contraire.

"Aïe, ma tante," dit Mollesse vaincue. "Vous me fais mal. Votre doigt est sec. Mon cul est sec."

"Là, là, petite fille" l’apaisa Sandra, palpant intimement ses fesses. "Tante Sandra va améliorer les choses."

Sandra a cessé de forcer son doigt dans le cul de Mollesse, amenant la jeune femme à espérer bêtement que son calvaire était terminé. Cependant, Sandra plaça ses doigts sur les globes de ses fesses, les écarta, se racla la gorge et cracha dans la raie de son cul.

Mollesse a sursauté. Elle aurait fui au loin, mais la vieille régnait fermement sur ses poils pubiens.

"Calme-toi, fillette" dit Sandra, donnant un sec coup de semonce à son pubis. 
"Tu m’as dit que c’était sec. Eh bien, maintenant, c'est réglé."

Oh jamais, jamais plus. Son trou du cul n'étais pas destiné à de tels abus. Elle voulait partir. Elle voulait rentrer. 
"Valérie, s'il vous plaît !" plaida-t-elle, cherchant en vain l'aide de son employeur. "S'il vous plaît, aidez-moi !"

"C'est ton choix," dit Valérie. "Nous avons toujours l’enregistrement." Valérie détestait ce qu’elle faisait. 
Mais un accord est un accord, et Mollesse l’avait accepté.

"Tu n’as que l’embarras du choix, ma fille" gloussa Sandra, en enculant vigoureusement la jeune femme avec son doigt râpeux. "Que veux-tu, humide ou sec ?"

Mais pas du tout, pensait Mollesse, ce n'était pas une option. "Humide, s’il vous plaît, ma tante."

"Penche-toi plus en avant, petite fille," gloussa Sandra. "Et écarte bien tes grosses fesses."

Mollesse se pencha en avant, étouffant ses sanglots dans sa poitrine, pendant qu'elle tendait ses mains derrière elle, et qu’elle écartait ses fesses joufflues. Elle pouvait entendre la vieille bourgeoise se racler la gorge et cracher à nouveau, cette fois avec une mortelle précision sur sa rosette. Qui se contracta brusquement et inutilement.

"Bonne fille." Sandra a réintégré son index en elle. Mais, elle ne s'est pas contentée de l'insérer dans la jeune femme. 
Au lieu de cela, elle s’amusait à la branler avec. La baiser avec. Dedans, dehors. Dedans, dehors.
Au début, c’était douloureux. Mais à la grande consternation de Mollesse, la douleur s’est vite estompée, remplacée par des sensations presque agréables. Ses genoux sont devenus si faibles qu'elle a vacillé.

"Ça va ma fille. Ta tante sait ce qui te fait du bien." Dit Sandra. "Descends au sol. Cul haut."

Mollesse ne voulait même pas imaginer ce à quoi elle ressemblait. Elle était baisée. Nue, à quatre pattes. Baisée par une vieille femme. Comme un animal de compagnie. Elle était nue, accroupie sur le sol, son cul cambré émettait des bruits humides, baisée par une vieille salope perverse, sous les yeux de son employeur. Le pire, elle aimait ça.

"Ton joli petit cul si étroit," commenta Sandra. "Serré, mais affamé, avec ses fesses joufflues. Mollesse, tu dois apprendre à se détendre. Fais confiance à ta tante, abandonne-toi, chérie."

C'était carrément mortifiant, et pourtant son corps était ivre de sensations. Sandra voulait qu'elle se détende et cesse de résister, mais son corps luttait pour arrêter la progression de l’envahisseur. Avec toute la force de sa résolution, Molasse obligea son sphincter à se relâcher.

Oh putain. Un deuxième doigt la pénétra. Elle ne put s'empêcher de grogner et de gémir, mais elle se contint fermement et prit docilement les deux assaillants. Elle cambra plus ses reins en prenant un doigt supplémentaire dans son cul.

Et juste au moment où son esprit a pu enfin se libérer de ses contraintes, les doigts ont été retirés. 
La fraîcheur de l’air. Cette sensation curieuse d’être ouverte. Elle a essayé de resserrer son sphincter, mais c'était dur.

"Détends-toi, ma fille," dit Sandra. "Laisse tante regarder à l'intérieur."

Mollesse a osé la regarder procéder. Sandra était là, lampe-stylo à la main, regardant attentivement ses entrailles.

"Allez petite fille," roucoula Sandra. "Laisse ta tante regarder. Un si mignonne petite boîte à chocolat. Laisse ta tante admirer ton intérieur, maintenant."

Mollesse enfouit sa tête entre ses bras. Le front posé au sol, le cul dressé en l’air, elle ne pouvait s'empêcher d'obéir, elle ne pouvait pas maintenir l'effort de garder son trou du cul fermé sous le regard vicieux de la tante.

"Une si bonne fille," dit Sandra. "Non, pas de bijoux volés ici. Valérie, voudriez-vous regarder ?"

Valérie secoua négativement la tête, le nez plissé de dégoût. "Ce n'est pas mon truc. En fait, terminons notre affaire."

"Pas encore," dit Sandra. "Chère Valérie, allez à la cuisine. J'ai un morceau de gingembre dans l'armoire à épices au-dessus du poêle. Pouvez-vous le peler et le ramener ici ? Maintenant !"

Valérie n'aimait pas les manières de la tante. Cette façon autoritaire de lui parler, de l’envoyer chercher des trucs.
Elle n’était pas sa bonniche. D'ordinaire, elle l’aurait envoyée se faire voir, mais elle avait besoin de Sandra.
De plus, Mollesse était occupée, et Sandra s’occupait de Mollesse.

Quand elle revint, le gingembre pelé à la main, Sandra était toujours très occupée par Mollesse.

"Oh, pauvre chérie" disait Sandra. "Cela a dû être si horrible pour toi. Une si jolie jeune fille. Si prometteuse. Et te voilà ici dans un tel état. Et tes pauvres parents. Est-ce qu'ils sont au courant de tes ennuis ?"

"Non ma tante."

"Et nous allons continuer ainsi, n'est-ce pas ma chérie ?" Dit Sandra. 
"Tout cela sera notre petit secret. Notre sale petit secret."

Valérie secoua la tête de dégoût. C'était une malade. Un spectacle malsain. Sandra pourrait très bien être la mère de Mollesse, sa grand-mère même. Mais elle savait si bien dompter les jeunes femmes récalcitrantes.

"Oui ma tante." Mollesse était agenouillée, le visage posé sur le sol, son cul joufflu dressé haut en l'air, la main entre ses cuisses, elle avait deux doigts fermement plantés dans son trou du cul.

Sandra a giflé Mollesse fort sur le cul : "T'ai-je dit d'arrêter ?" Elle la gifla à nouveau. "Bouge tes doigts. Branle-toi mieux que ça. De l’énergie. Je veux que tu m’élargisses ce petit trou."

Mollesse grimaça et ses doigts reprirent leur mouvement, baisant son trou du cul déjà douloureux.

Dégoûtée, mais étrangement excitée, Valérie regarda les mains de la femme plus âgée errer sur la jeune fille, soi-disant pour l'apaiser, et plantant parfois un doigt ou plus dans le sexe humide de Mollesse. Même embrasser ses fesses, puis sa chatte, avec amour, presque avec dévotion. Mais Valérie connaissait la tante. Elle savait à quel point Sandra était une prédatrice. Vicieuse. Perverse. Mais Valérie elle-même n'était pas irréprochable. Elle avait livré la jeune femme aux griffes de son bourreau.

Sandra pris le gingembre que lui apportait Valérie. Elle a humé ce parfum de citron propre. 
"Sur le sol, petite catin. Le cul haut. Le dos cambré. Écarte-moi ça, nous devons te brancher."

Mollesse était mortifiée. Valérie ne l'a jamais mise dans une position aussi humiliante. Et branché ? Qu'est-ce que la vieille folle voulait dire par là ? Et pourtant, Mollesse n’avait pas le cran de résister à la vieille femme. Elle rougit profondément en sachant que sa patronne la regardait s’humilier devant la vieille tante. Elle obéit. Se soumettre docilement. Oublier qui on est. Obéir à la voix sèche de la dominante. Faire tout son possible pour lui plaire.

Sandra sourit et fit un clin d'œil à Valérie. Valérie ne savait pas trop quoi en penser. Elle n’était pas sûre que Mollesse soit déjà domptée. Sandra pressait énergiquement la racine de gingembre dans le trou du cul de la jeune femme.

"Bonne fille" dit-elle à Mollesse, puis elle aida la jeune femme à s’agenouiller. "Ici, petite, pose ta tête sur les genoux de ta tante, pendant que nous parlons affaires."

"Elle est parfaite," dit Sandra, tout en caressant les cheveux de Mollesse. "Avez-vous l’enregistrement ?"

"C'est ici." Valérie l’a retiré de son livre de poche et l'a remis avec la confession signée de Mollesse. 
"Et pour mon fils?"

"Il y a un formulaire d'admission sur mon…"
Sandra s'arrêta de parler pour regarder Mollesse qui lui tapotait frénétiquement le genou.

"Ma tante !" suppliait Mollesse.

"C'est impoli d'interrompre sa tante quand elle parle" a déclaré Sandra.

Mollesse se mordit la lèvre. L'inconfort se lisait sur son visage. Elle a attendu aussi longtemps qu'elle le pouvait.

"S'il vous plaît ..." supplia-t-elle, tirant frénétiquement sur l'ourlet de la jupe de Sandra.

"Oh, quelle casse-pieds !" Dit Sandra. "Quoi encore ?"

"Ça chauffe !" Mollesse montrait son trou du cul ardent.

"T’ai-je autorisée à m’interrompre ?" Sandra saisit l'oreille de Mollesse et la tordit légèrement.

"Non ma tante mais…"

Le regard de Sandra s'adoucit. Elle caressa la tête de la jeune femme, comme on flatte un chien. "C’est chaud, non ?"

"Oh oui, ma tante !" Répondit Mollesse. Elle se tortillait. Chaque fois qu'elle serrait ses fesses, la sensation de brûlure devenait plus intense. "Oh mon Dieu, c’est si chaud !"

"Tu veux que ta tante améliore cela ?"

"S'il vous plaît, ma tante ?"

Sandra se souleva et roula sa robe autour de ses hanches. Elle ne portait pas de culotte. Mollesse reçu un choc à la vue de la chatte poilue et humide de la vieille femme.

"Tu vois, ta tante est sexy aussi," dit Sandra. "Peut-être, si tu calmes le feu de ta tante ..."

"Tu as déjà admis que je t’excite," dit Sandra. "N'est-ce pas ce que tu m’as dit plus tôt ? Tu ne mentais pas ? Hum ? N'est-ce pas ?"

"Non, mais …" Les pensées de Mollesse étaient confuses. Elle avait avoué qu'elle était excitée, mais ça ne voulait pas dire qu'elle voulait se gouiner, ou est-ce que c'était ? Et si elle l'était, elle ne voulait certainement pas de cette femme de cinquante ans. Elle choisirait quelqu'un de son âge, ou peut-être quelqu'un dans la trentaine comme Valérie.

"Eh bien, tu m'excites aussi," dit Sandra. "Il n'y a rien de tel que des jeunes filles sexy, sexy mais dociles, qui me font plaisir."

"Ici, repose juste ta tête ici," Sandra plaça le menton de Mollesse sur le canapé entre ses jambes, "Et tes mains ici sur les genoux de ta tante, et pense à la chaleur qui brûle la chatte de ta tante. Et à quel point cette chaleur est inconfortable. Si tu pouvais, avec ta bouche, faire en sorte d’apaiser ta tante, la faire se sentir mieux. Prends ton temps, chérie, ta tante va fumer une cigarette pendant que tu y penses."

Sandra se pencha pour attr le paquet de cigarettes sur la table. Ce geste amena ses poils pubiens en contact avec le nez de Mollesse. Elle a sorti une cigarette, l'a allumée, a pris une longue bouffée et l’a expirée.

Mollesse était dans une situation désespérée. Cette vieille femme, maléfique et perverse, l'avait dépouillée de ses vêtements. Elle l'avait dépouillée de sa dignité, de son amour-propre. Elle s’était agenouillée entre ses cuisses ouvertes, le nez contre le sexe odorant de la vieille gouine. Le parfum musqué de Sandra était presque irrésistible. 

Elle était mouillée, tellement mouillée et désirable. Et poilue. Elle ne pouvait pas espérer qu'elle fasse ça. 
Elle ne le ferait pas. Pour rien au monde.

Mais son cul la brûlait. Et son propre sexe était tellement enflammé. Cela lui donnait tellement envie de se tortiller. 
Elle pouvait sentir ses jus suinter et glisser le long de ses cuisses. Que doit penser Valérie d'elle? Comment pourrait-elle vivre après cela?

"Maintenant, où en étions-nous ?" Dit Sandra, ignorant les bruits d'inconfort entre les cuisses de la jeune femme.

"L'admission." Dit Valérie. "Pour mon fils." Elle serait déjà partie sans ce document. Elle n'avait vraiment rien contre les homosexuels. Son coiffeur était gay. Mais la dernière chose qu'elle voulait voir, c’était deux femmes ayant des relations sexuelles. Elle voudrait détourner le regard, mais le spectacle de Sandra dressant cette jeune fille était spectaculaire. Valérie était sidérée par l’aisance, le charisme de Sandra qui avait réduit la morgue de cette étudiante à néant.
Il faut reconnaître que la vieille bourgeoise avait de la pratique. Elle en avait dressé un tas, de ces jouvencelles.

"Oh oui, votre fils," dit Sandra. "Vous avez besoin de ce formulaire d'inscription. Je suppose que ça doit être terriblement embarrassant d'avoir tous ses amis acceptés dans cette école, alors que pour lui, ce n'est pas le cas. Ce n'est pas juste que les gens soient jugés d’après leurs s, n'est-ce pas ?"

Ce n'était pas juste. Valérie avait inscrit Henri auprès du meilleur professeur de violon de la ville. Elle avait même engagé une nounou, qui était une putain inutile, et qui maintenant se traînait à genoux là-bas, avec une racine de gingembre plantée dans son cul. Elle avait tout fait correctement. Et tous les jours, au club, en faisant du shopping, ou en croisant des amis, les gens disaient:
"Nous avons reçu notre avis par la poste aujourd'hui. Notre Patrick ira au conservatoire, tout comme votre Henri."

Ouais, ouais, elle avait menti. Elle avait dit qu'Henri était reçu avant même l'arrivée de la lettre. Elle était si sûre qu'il serait accepté. Et quand elle a su qu’il ne l'était pas, elle a tout essayé, même soudoyer le registraire. 
Elle frissonna en se souvenant des exigences de Sandra. Elle ne lui avait pas demandé d’argent. Ce n'était pas de l'argent qu'elle voulait, mais du sexe. Une esclave sexuelle. Un jouet.

Elles avaient conclu un marché. Valérie avait jusqu'à la fin de l’année. Elle devait trouver une jeune fille, jolie et docile, puis l'amener à Sandra sur un plateau. Valérie a choisi la seule fille qu'elle connaissait, la nounou de son fils. 
Elle a fait installer un système de surveillance discret et a laissé traîner de l'argent et des bijoux à proximité. 

Elle priait tous les soirs pour que la petite garce cède à la tentation, et chaque jour, elle était aussi désagréable et insolente que possible, pour que la petite ait envie de se venger. Elle savait qu'elle devait réussir cette entreprise, ou c’était elle qui serait à la place de Mollesse, agenouillée entre les cuisses de la vieille salope.

Elle trembla en entendant des bruits humides qui ne pouvaient signifier qu'une chose. Dieu merci, Mollesse le faisait. Elle mangeait la chatte de cette sale vieille gouine.

"C'est une gentille fille," roucoula Sandra en lui caressant la tête, comme on flatte un chien. 
"Ta langue est douce, petite fille. Mets-la bien là-dedans. Juste dans la chatte de ta tante. Bien profond. Oh oui, bien, j'aime ta langue. Remue ta langue dans la chatte de ta tante. J'aime entendre ces sons mouillés. Maintenant, suce le clito de ta tante."

"Valérie, regardez dans mon bureau. La première porte à gauche dans le couloir" a déclaré Sandra. "Le formulaire d'admission est sur le … Hum ! Bien !"

Mollesse gémissait entre les cuisses de Sandra. Elle léchait la chatte de Sandra avec délectation. Lapant ses jus qui suintaient de la chatte sombre et ridée. Suçant son gros clitoris charnu. Elle a enlevé ses mains des genoux de Sandra dans l'espoir de soulager la brûlure dans son cul.

"Pas de ça, fillette" gronda Sandra. Elle l'attrapa par les poignets et lui tordit les bras dans le dos. 
"Garde tes mains ici. Comme une jeune femme bien dressée."

Les hanches de Mollesse se trémoussaient. Elle ne pouvait pas se tenir immobile, autant à cause de la sensation de brûlure dans son cul, mais aussi des crispations chaudes et sexy qui agitaient sa chatte. Elle a fait tout ce qu'elle pouvait faire pour faire jouir la vieille tante. Elle l’a léchée. Elle l’a sucée. Elle l’a grignotée. Elle s'est même frottée le visage.

"Putain, tu es douée pour sucer la chatte, ma fille" gémit Sandra. 
"Je crois que je tiens ici une des meilleures lécheuses de chatte de la planète. Sandra enroula son poing autour de la queue de cheval de Mollesse, puis se pencha en arrière sur le canapé, pressant le visage de la fille sur sa chatte.

"Et tu vas devenir tellement meilleure" songeait Sandra. "Je vais t’entraîner et te donner beaucoup de pratique."

"Oh, non !" gémit Mollesse, à demie-étouffée par la chatte de Sandra.

"Oh oui, tu m’appartiens maintenant, et je vais faire ton éducation" dit Sandra, maintenant fermement la tignasse de Mollesse et tirant le visage la fille contre sa chatte. La tante s’est mise à frotter durement son pubis contre le visage de Mollesse. "Des tas et des tas de pratiques quotidiennes. Tu deviendras la meilleure lécheuse de chatte."

"Non, je vous en prie" supplia Mollesse, mais sa protestation fut vaine et ne servit qu'à stimuler son bourreau.

"Oh putain, je viens !" Sandra gémissait, son visage se tordait d’extase et de passion. 
"Bouffe mon clitoris, bouffe mon putain de clitoris, salope !"

Le formulaire d'admission n'était pas sur le bureau. Ah si, il l'était, mais dans la corbeille de réception du courrier.
Et il n'était pas signé. Valérie avait espéré se faufiler par derrière, mais elle allait devoir retourner se présenter devant la vieille peau. Retour dans la fosse aux lions.

"Monte sur cette chaise, petite fille" dit Sandra en tapotant la chaise avec impatience. "Ta tante n'a pas toute la journée."

Mollesse monta sur l’assise de la chaise. Elle dominait maintenant Sandra en taille, mais elle se sentait encore plus vulnérable qu'avant.

Sandra prit la main de Mollesse et la plaça entre ses cuisses, sur son sexe, l’obligeant à se caresser de haut en bas. La tante saisit l'extrémité de la racine de gingembre qui dépassait du cul de Mollesse, et commença à l’agiter en tous sens, la pénétrant, ressortant, en la tournant.

"Magnifique" roucoula Sandra. "J'adore voir tes fesses joufflues trembler et se contracter."

Mollesse essayait de garder son équilibre. La brûlure dans son cul s'était stabilisée. Jusqu'à ce que Sandra tripote la racine de gingembre, faisant répandre une vive chaleur. Et frotter son sexe, même si cela ne soulageait pas la douleur, avait son importance.

Valérie est retournée dans la pièce avec le document et un stylo. Elle n’osait pas l’interrompre, cela ne semblait pas le bon moment, alors elle patienta à la porte, et regarda la vieille continuer le dressage.

"Tu veux apprendre, ma fille ?" Demanda Sandra. "Tu veux que ta tante te soulage ?"

"Oh, oui, s'il vous plaît. . ." Supplia Mollesse en se mordant la lèvre inférieure. Sa sueur coulait dans ses yeux. Son visage encore gluant des sécrétions de Sandra. Sa main secouait maintenant plus vite sa fente humide.

Sandra retira la main de Mollesse de son sexe, la forçant à s’arrêter de se masturber.

"Maintenant, voici ton choix, petite" dit-elle :
"Tu peux choisir de soulager soit ta chatte frissonnante, soit ton cul brûlant. Mais un seul. Lequel choisiras-tu ?"

Mollesse regarda sa persécutrice avec des yeux suppliants. Son visage était un désordre de maquillage ruiné, de traces jus de chatte et de larmes séchées. Ses tétons avaient gonflé en deux pics durs. Son cul la brûlait. 
Son sexe nécessiteux réclamait sa bienveillance.

"Penses-y, ma fille," dit Sandra. "Valérie a un document à me faire signer."

À la mention du nom de Valérie, les yeux de Mollesse se levèrent et papillotèrent avec un embarras coupable. 
Sandra fit signe à Valérie et griffonna rapidement sa signature sur le formulaire d'admission. Henri était maintenant un étudiant officiel de l'académie. La réputation de Valérie était intacte.

Ignorant Valérie, Sandra a parlé à Mollesse : "Tout est fini, maintenant, ma fille. Tu m'appartiens. Ton cul, ta chatte et tout le reste, sont officiellement à moi, aussi longtemps que je le voudrais."

Mollesse était stupéfaite. Elle rassembla ce qui lui restait de force et de volonté, voulant protester contre les commentaires désinvoltes de son bourreau, mais elle savait qu'elle devait rester prudente. 

"Nous avions un accord. Que pour deux ans. Je dois terminer mon cursus à l'université." 

Ce n'était pas ce que Valérie avait promis. Elle avait été surprise en train de voler. Elle avait accepté de la dédommager en étant sa bonniche pendant deux ans. Cuisiner, nettoyer, faire quelques petites courses. Prendre soin de son stupide gamin. Elle avait déjà fait ça pendant ses deux premières années d'université, sauf pour la rémunération. 
Mais elle n'avait jamais signé pour … pour … servir de poupée sexuelle à une vieille folle.

Elle avait accepté deux ans. Elle pouvait faire deux ans. Qu’est-ce c’est, deux ans, dans une vie ?
Le vol qu'elle a commis. L’enregistrement de son larcin. Cette tache indélébile. Si ça venait à se savoir, son diplôme universitaire ne valait plus rien. Elle ne pouvait pas se permettre que cela s’ébruite.

"Tout va bien, jeune fille," Sandra se voulait rassurante. "Nous discutions des modalités de votre accord pendant que tu étais dans la cuisine."

Sandra a partagé un regard avec Valérie, et Valérie savait qu'elles n'avaient jamais discuté de la durée de l'accord. 
Elle savait également que Sandra ne serait pas satisfaite tant qu'elle ne posséderait corps et âme Mélanie.

"Deux ans" continua Sandra. "J'ai ta confession signée et les enregistrements sous clé. Ne t'inquiète pas, fillette."

Valérie a pris le formulaire d'admission signé et l'a mis rapidement dans son sac à main. Elle se dirigea encore plus rapidement vers la porte. Elle n'avait pas été préparée à voir ce qu'elle avait vu. Elle savait que la vieille femme était une malade perverse. Elle savait ce qui attendait la jeune femme lorsqu'elle lui a tendu le piège avec l'argent et la caméra. 
Mais elle n'avait jamais imaginé assister à cela, regarder la vieille maquerelle briser la volonté de la jeune étudiante trop naïve et trop timide juste sous ses yeux.

"Alors, jeune fille, as-tu pris ta décision ? Lequel veux-tu soulager ? Ta chatte ou ton cul ?" 

Sandra la tourmentait, en forçant Mollesse à caresser son sexe, et en lui baisant le cul avec la racine de gingembre.
"Ton cul joufflu ou ta chatte ruisselante ?"

"Oh s'il vous plaît, ma tante, s'il vous plaît !" suppliait Mollesse, se cramponnant pour ne pas tomber de sa chaise.

"Ni l'un ni l'autre, alors ?" la brusqua Sandra, éloignant la main de Mollesse de son sexe. 
"Puisque c'est ça que tu veux. On peut le faire, tu sais. On peut garder cette petite chatte affamée, et ton gros cul en feu pendant des semaines, si tu ne veux pas choisir."

"Ma chatte" gémit Mollesse, vaincue.

"Dis-le bien fort," ordonna Sandra. "Ta jolie petite chatte bien chaude."

"Ma chatte, s’il vous plaît, ma tante" Pompage des hanches. Volonté brisée. Désir de se toucher. Mollesse a supplié, "Baisez-moi, ma tante. Baisez ma petite chatte chaude."

Sandra s'est emparée de la racine de gingembre et a recommencé à enculer le trou du cul serré de Mollesse. 
Elle taquinait doucement les plis mouillés de la chatte de la jeune fille.

"Et à qui appartiens cette petite chatte chaude, hum ? Une étudiante tu dis ? Quel est ton cursus ?"

"Droit international" haleta Mollesse. Elle ne put s'empêcher de s'accroupir, les jambes écartées, les talons grinçant sur la chaise.

"Regardez Valérie" dit Sandra. "Regardez bien. Mon propre petit avocat personnel. Regardez-la se tortiller, cette pute. Pouvez-vous croire cela? Une petite bonniche, simple d'esprit, qui croit qu'elle va devenir manager."

Ça pourrait être moi, réalisait Valérie en regardant les deux femmes depuis la porte d'entrée. 
Cela pourrait être moi qui danse sur la chaise pour cette vieille salope, me masturber pour son plaisir, me balançant sur ses doigts comme une marionnette. Son propre sexe brûlait et sa culotte était trempée. Elle se demandait quel choix elle aurait fait dans une situation similaire.

"Si seulement tes parents pouvaient te voir maintenant, sale petite pute. Regarde-toi t’avilir, accroupie sur cette chaise" la torturait Sandra. "Plus tard, quand tu sera docile et soumise, hum? J'inviterai mes copines. Elles n'ont probablement jamais baisé de manager auparavant. Je suis sûre qu'elles n'ont jamais donné de fessée à un manager. Nous ferons tout cela un jour prochain. Oui, nous prendrons le thé toutes ensemble, et toi, à quatre pattes sous la table, tu pourras nous manger la chatte à tour de rôle. Améliorer ton talent en pratiquant souvent le léchage de chatte. Ta tante a un gros gode avec ton nom dessus. Arrête de te tortiller et approche ce clitoris. Ici, où ta tante peut le sentir. Un beau clito. Tellement gros. Tellement épais et affamé. Une petite bite de fille. Tu veux que ta tante s’en occupe ? "

"Oh oui ma tante" grogna Mollesse. "Tirez sur mon gros clitoris. Putain, je vais jouir. Oh mon Dieu, si proche ..."

Valérie referma la porte derrière elle. En s’éloignant, elle pouvait entendre le cri aiguë de Mollesse en train de jouir. 
Elle ne pouvait s'empêcher d'imaginer la pauvre fille, en train de manger un tas de vieilles salopes embourgeoisées. 
Passer de l'une à l'autre, comme un sextoy humain. Une esclave impuissante pour leur amusement sordide. 
Elle sentit un frisson de plaisir humidifier sa chatte. La pauvre fille. La pauvre petite fille. Oh mon Dieu, et pourtant...
Pourtant, elle aimerait tellement être à sa place. . .

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