Le Petit Monde D'Amandine.
- Il serait possible que je passe un coup de fil, me fit Amandine après avoir toquer à la porte de mon bureau.
- Oui bien sûr. Tiens le téléphone est là. Fis-je en lui le montrant de lindex.
Elle sapprocha et se saisit du combiné.
- Cest un appel local, me fit-elle en composant le numéro.
- Tu préfères peut-être que je te laisse seule ?
- Non
non, jappelle mes parents pour
coupant net la conversation quelle avait avec moi pour mieux prendre celle de son correspondant.
- Oui maman, je tappelle pour te dire que jai bientôt fini, donc tu peux venir me chercher
comment ça que tu ne peux pas ! Mais moi, je fais pour rentrer ? Oui je comprends que tu ne peux pas rester seule. Oui surtout si il dort
papa nest pas rentré et tu narrives pas à le joindre
bon maman, laisse tomber, je vais me débrouiller
oui tinquiète, je vais bien trouver dans le groupe une âme charitable pour maccompagner
oui maman, à tout à lheure.
Puis elle raccrocha.
- Je mexcuse Alain. Ma-t-elle dit. Ça était plus long que prévu
cest que
-
Pourquoi texcusé, et de quoi ? Répondis-je en lui coupant la parole.
- Eh bien
davoir raccourci notre discussion pour parler à ma mère.
- Toccupes, ce nest pas grave. Tu as bien fait. Car une maman ont en a quune, alors il faut la préserver, comme jai toujours fait avec la mienne.
Sur ces paroles elle se mit à rire et quitta prestement la pièce.
Amandine fit de nouveau irruption dans mon bureau quelques minutes plus tard, dépitée.
- Que tarrive-t-il ? Lui fis-je.
- Il faut quà tout prix que je joigne ma mère de nouveau, sinon je suis bonne à faire de lauto-stop.
- Tu nas trouvé personne pour te raccompagner.
- Non personne, répliqua-t-elle. Je peux ? Rajouta-t-elle en me désignant le téléphone.
- Je ten prie. Fait donc.
Elle prit le combiné et composa le numéro.
- Je pense réellement que je vais devoir rentrée à pince.
- Tu habites loin Amandine ? La questionnais-je.
Elle me communiqua son adresse. Cela me faisait un réel détour. Mais je nétais pas du genre de laisser une personne dans la merde.
- Tu veux que je te dépose ?
- Tu ferais ça.
- Je ne peux pas te laisser seule sur la route surtout à cette heure tardive. Sil tarriverait quelque chose je ne me le pardonnerais pas.
- Cest gentille.
- Je file dans les loges pour me changer.
- Oh Amandine !
- Oui, fit-elle en se retournant, alors quelle allait franchir la porte.
- Il va falloir que tu patientes. Jai encore du boulot avant de prendre la route.
- Oui, je sais bien. Tinquiète jai de quoi moccuper.
Bien une heure plus tard, alors que tout le monde avait déserté le lieu, jappelais Amandine toujours dans les loges. Elle arriva, portant un débardeur de jersey à même la peau. Un vêtement qui lui arrivé au-dessus du nombril et moulait comme une second peau sa poitrine. Dont les épais mamelons pointaient sous le tissu. Le reste de sa tenue se composait dune minijupe moulant dune paire de bottes à talons hauts. Rien ne mieux, pour mettre en valeur ses longues cuisses, fines, sensuelles. Il dégageait chez elle une féminité exacerbée.
Pendant le trajet, elle entretenait poliment la conversation. Cependant ses questions nétaient pas innocentes. Je métais vite rendu compte quelle cherchait à se renseigner sur moi. Jéludais une après lautre chacune de ses question insidieuses. Et cela, jusquà nous arrivions, (bien sûr sous ses indications) devant son portail.
- Bon, te voilà chez toi. Fis-je. Pas mécontent de pouvoir enfin men débarrasser
- Je te remercie Alain de mavoir emmené. Cest très gentil de ta part, de dêtre inquiété de mon sors.
- Laisse tomber Amandine. Cela ma fait plaisir de te rendre ce service.
- Mais jinsiste ! Tu mérites une faveur de ma part. Je te suis redevable. Et tu ne sais peut-être pas, mais chez moi cest une chose que je ne supporte pas.
- Mais où tu vas chercher cela. Tu ne me dois rien.
- Oui je te dois. Beaucoup même. Répliqua-t-elle en posant sa main sur ma cuisse. Cela te dirait que je te fasse une pipe.
- Mais Amandine ! Quest-ce que tu dis là ?
- Tu veux que je te suce, formula-t-elle en toute innocence. Comme si elle me disait un simple « bonjour ». Tu sais que cela me ferait plaisir de te faire du bien. Je ne cache pas que cette envie est ancrée en moi depuis belle lurette. Je suis canon, non tu ne trouves pas ?
- Oui parfaitement Amandine, je te trouve même appétissante, mais aussi très coquine.
- Alors ! Pourquoi hésiter. Tinquiète cela restera entre nous.
- Cest que ! Il se fait tard !
- Tu nas rien trouvé dautre à me sortir que cette réponse bidon. Allez laisse toi faire ! Lâcha-t-elle, en me malaxant la verge à travers létoffe de mon pantalon. Tu vas voir, les copains trouvent que je fais ça bien ! Et après cela nous serons quittes. Tu nas pas envie quand soit quitte ? Tu sais, comme je te lai déjà dit, je naime pas moi, être redevable de quelque chose, si tu vois ce que je veux dire.
Elle a eut un petit rire excité pendant quelle baissait la fermeture Eclair de ma braguette. Je me laissais faire.
Quand il y à plaisir au bout, jai toujours tendance à jouer le soumis. Elle me masturba quelques secondes, puis elle baissait mon jean. Mon slip suivit linstant daprès. Puis elle posait ses lèvres sur mon gland, pour un baiser mouillé.
- Tu sens bon, Alain ! Tu as lodeur du mâle excité.
- Cest que tu mexcites.
- Ah oui ! Cest gentil tentendre cela de ta bouche !
Elle se pencha, un sourire rétif aux lèvres, et elle memprisonna dans sa bouche.
Elle sest ensuite redressée, reprenant sa place sur son siège. Me jaugeant du regard quelque instant, avant dajouter :
- Cela te dirait de passer la nuit avec moi. Je suis toute seule.
- Je croyais que tes parents étaient chez toi.
- Je lavoue je tai menti.
- Alors le coup de fil ?
- Pipo !
- Tu ais vraiment une
- Salope ! Oui, je sais ! Qui ne tente rien, nas rien. Dailleurs, maintenant tu mais redevable à ton tour.
- Et je peux savoir de quoi ?
- Je tai donné un plaisir, tu men dois un à ton tour.
- Tu veux que je te masturbe ?
- Jaurais espéré plus originale de ta part. Je ne suis plus une petite fille.
- Ça je men suis rendu compte. Je te propose alors un léchage en règle, jusquà lorgasme.
- Tu veux dire
sur ma chatte ?
- Oui, sur ta chatte.
- Putain ! Jai la chatte qui suinte, juste dy penser.
Elle réfléchit quelques secondes avant dajouter :
- Va pour un léchage de chatte, alors !
Sur ses dernières paroles elle ouvrit la portière et sortit, prenant son sac avec elle. Comme la coquine voyait que je nen faisais rien, elle se pencha pour poser ses yeux sur les miens et dajoutait.
- Alors tu viens ?
- Tu veux dire chez toi.
- Oui
chez moi, cela te dérange ? Ma mère travaille, ma sur partit en week-end avec son copain, et mon père disparut.
Je pris à cet instant conscience de ma faiblesse, et de ma fragilité sur tout ce qui touche le sexe. Elle pouvait exiger tout, de moi. Elle me tenait entièrement sa merci. Comme létait aussi ma verge, qui me somma de couper le contact de ma voiture et de suivre cette jeune effronté.
Nayant pas la volonté de refusé une si exquise invitation, je suis sortis de ma voiture pour la rejoindre. Quand je fus à ses pieds, elle prit seulement là sa clé dans une poche de son sac et sempressa toute radieuse, douvrir la porte dentrée. Juste à penser à ce qui allait suivre je bandais dur. Et cela malgré mon éjaculation.
Je me suis laissé entrainer jusquà sa chambre qui se trouvait à létage. Sitôt la porte fermée et pris dune excitation folle, je nai pas pu mempêcher de peloter de mes mains, son corps. Le palpant comme pour massurer de la réalité de sa présence. Puis je posais mes lèvres sur sa joue, avant quils glissent jusquà sa bouche. Une bouche qui sest soudée avec une sorte davidité désespérée, à la mienne. Greffant dans le même instant une main, là où une jeune fille bien élevée ne devrait pas la nicher. Elle avait le souffle court, tant son excitation était forte à cet instant.
- Coquine
Tu ne pers pas de temps, toi ! Lui ai-je dis, après avoir reculé ma tête, pour méchapper de sa bouche.
- Oh oui. Tu n'imagines même pas combien j'avais hâte de me retrouver seule avec toi. Disait-elle, avant d'ajouter. Je suis à cran de toi.
Comme laurait fait une anguille, elle ma filé dentre les mains, pour aller sinstaller sur son lit défait. Me fixant avec un sourire perverti sur ses lèvres. À laide de sa main droite, elle a tapoté sur le couvre lit, minvitant de mapprocher.
- Dis-mon en toute sincérité tu me trouves belle ? Me fit-elle alors que je prenais place à ses côtés.
- Tu as vraiment besoin que je te le dise, tu ne le sais pas.
- Alors veux-tu bien me déchausser ? Fit-elle en levant sa jambe droite.
Dans le mouvement sa jupette sétait retroussée, pour mon plus grand plaisir. Dévoilant quelle avait dû être très distraite le matin, parce quelle avait hormis de se passer une culotte. À moins quelle sen était séparée après sa répétition. Je remontais mes doigts le long de sa botte. Je suis arrivé au bord, au-dessus du genou, là où elle sélargissait. La fermeture Eclair était interminable. Je lai descendue sous son regard ingénu. Puis je lai déchaussé. Une odeur incroyable, malodorante pour certain, magnifique pour moi sen dégagea.
- Tu sens bon des pieds ! Lui susurrais-je.
- Tu trouves ? Fit-elle en laissant échapper un petit rire moqueur.
Elle se saisit de son pied droit et le porta avec une souplesse inouï jusquà ses narines. Là elle fit la grimace.
- Tas vraiment un problème de nez, toi alors !
Sans prendre la peine de lui répondre, Je déchaussais son second pied. Puis je me suis mis à les masser. Palpant les côtés, dun mouvement extrêmement doux, leffleurant même par moments.
- Tu ne peux pas savoir le bien que ta caresse me fait. Au point davoir envie de faire des cochonneries.
- Il serait indiscret de savoir ce que veux dire envie de faire des cochonneries chez toi ? Lui répondis-je en caressant avec légèreté et habileté la plante de son pied. Une zone particulièrement sensible.
- Plein de chose
du genre très, très sale.
Jétais de plus en plus sous son charme. Et tout en lécoutant, je me rendais compte que je la désirais intensément.
- Tu ty connais toi en cochonnerie ? S'exclama ma petite conquête du jour.
- Attends de mieux me connaître ma belle. Et tu verras. Tu seras peut être moins enthousiaste ensuite. Je suis un vieux pervers tu
Sais ? Disais-je, avec un sourire en coin. Avant de porter son pied jusquà ma bouche pour suçoter les orteils, lun après lautre.
- Mais cest que jadore ça, les cochons.
- Je suis étonné dentendre cela, sortir dune bouche dune belle jeune fille.
- Je dois cela à ma marraine. Cest elle qui ma inculqué la jouissance. Une jouissance que je nai pas avec mes mecs de mon âge. Tu sais ! Je suis à peu près sûr quelle ne serait pas contre une rencontre avec toi.
Dans mon cerveau des pensées salaces vagabondaient plus que jamais. Puis, elles devinrent plus précises au fil des secondes. Se rapprochant dun certain type de projet très pervers. Choquante, tabou.
- Pourquoi pas ! Mentendais-je lui dire.
Je reposais son peton pour défaire mon pantalon, baiser mon slip. Mettant ma queue à lair libre pour quelle vienne me la gober, pour la seconde fois de la soirée. Après seulement quelques secondes de travail, ma verge se mit rapidement à durcir.
- Je crois que ta queue est maintenant prête à baiser une chatte en chaleur comme lest la mienne. Fit-elle en se redressant. Bien dure et bien droite ! Ajouta-t-elle en me regardant, sourire aux lèvres.
Se désintéressant de moi, elle déboutonna sa minijupe. La laissant tomber avec un doux bruissement sur ses chevilles. Le sexe apparut, béant et humide. Seulement une exubérance de poils sombre qui formait un épais triangle dont la pointe allait se perdre entre les deux cuisses. Jai déglutis avec difficulté, devant cette scène si alléchante.
Lexcitation devenant trop intense, je lai allongé sur son lit, et sans tarder, jai enfouis mon visage dans les poils crépus odorants. Elle a écarté tant quelle pouvait ses jambes, mouvrant laccès de son sexe en ébullition, doù sourdait une source odorante. Comprimant fermement les fesses, jai entrepris de lécher avec ivresse la longue fente sexuelle. Me régalant comme toujours, du jus épicé qui sen échappait. Plongeant ma langue le plus profondément dans les replis gorgés de sèves, pour le plus grand plaisir dAmandine. Qui se mit a respiré fortement par la bouche, de façon irrégulière, défigurée par le plaisir qui monter en elle. Puis jai placé un doigt à lentrée de son anus. Quand elle a senti ce que je faisais, elle a poussé un petit cri, qui a été bientôt suivi dautres, coupés de phrases destinées à me pousser de mintéresser à son cul.
Cétait curieux de sentir du bout de ma langue le dessin de sa déchirure anale. Des plissements gravés dans sa chair, et en même temps lévolution de la muqueuse, dabords serrée, et ensuite se distendant sous ma caresse. Sans oubli aussi le goût amer qui se dégager du petit orifice.
Tout en tétant son anus, je glissais ma main plus haute. Y rencontrant les doigts de la jeune fille, qui avaient amorcé un va-et-vient frénétique. Elle était tellement ouverte que jaurai pu sans mal rentrer mon poing en elle. Elle coulait abondamment, crachant par intermittence des filaments gras et épais. Entre deux plaintes, elle a balbutié :
- Pousse ta langue dedans ! Tu ne peux pas savoir à tel point que jaime cela !
Cétait un appel auquel il était difficile de résister. Jai tourné sur la muqueuse jusquà ce que je le sente assez souple, et je me suis glissé à lintérieur de lanus, aussi loin que je pouvais. Jai perçu létroitesse du canal mais en même temps la délicatesse de ses muqueuses. Elle sest tendue en poussant un braillement et dautres flots de liquide ont coulé sur mes doigts.
Je pris les mêmes doigts pour les fourrer dans son cul, replaçant ma langue, devenue douloureuse. Elle accompagna mon intrusion dun cri aigüe. Adroitement, je fis aller et venir mes doigts dans son cavité. La coquine était comblée. Jaccélérai la cadence de mon branlage, lamplifiant même, et cela pour le plus grand plaisir de ma malicieuse. Qui était aux anges, au point de ne plus me calculer.
Tout en continuant mes fouilles, je cherchais aux milieux de poils humides, le clitoris, que jai titillé du bout de la langue. Je sentais quelle nétait plus loin datteindre le pourquoi elle mavait entrainé jusquà sa chambre. Je fis rouler pour cela, de plus en plus vite le petit bouton gluant entre mes lèvres. Elle se mit à trembler et à râler de plaisir. Aussitôt les gémissements se troquèrent en cris dencouragements, de paroles obscènes :
- Oh oui !... Astique-moi !... Oh putain, que cest bon
Oh oui
Salaud, que jaime ça
Vas-y, régale-toi !... Bois mon jus
Oohh, oouuiii
Cest à ce moment là que jai vu la porte souvrir en grand à la volée, sur une femme en chemise de nuit qui lança :
- Mais quest-ce qui tarrive ma chérie, tu es malade ?
Elle resta figée quelques secondes devant le tableau que sa fille et moi formions. Puis après sêtre gaver suffisamment ses yeux, elle se décida à rebrousser chemin, refermant la porte aussi brutalement quelle lavait ouverte.
Un instant plus tard, une autre porte a claqué dans le couloir, sans doute celle de sa chambre.
Inapte à poursuivre mon activité culinaire, je me suis rajusté. Amandine a voulu me prendre doucement dans ses bras au moment où je décidai de partir. Je lai repoussée doucement en expliquant que nous avions fait assez de connerie comme ça.
Javais limpression davoir vieilli de dix ans en seulement quelques secondes. Pour ne pas faire de nouveau une désagréable rencontre, jai quitté la chambre en passant par la fenêtre. (A suivre)
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