Ma Vie De Bâtard Boteux. Chapitre 2
Chapitre 2 : Arrivée à la ferme
Je me suis complètement endormi dans le train. Mais je me réveil 5 minutes avant mon arrêt. Anxieux découvrir ma nouvelle vie pour l'année à suivre, et aussi un peu excité a l'idée de vivre dans un nouveau coins de campagne.
J'arrive à la gare. Je ne connais pas du tout le coins. C'est une assez petite gare. Un seul quai, et pas plus de 10 personnes dans les alentours. Je n'ai pas vraiment idée de la tête de Luc. Alors j'attends dans le petit bâtiment, ma valise à mes coté.
D'un coup jentends une voix
« Hey Hugo ! Viens voir par là ! »
Je me retourne et je vois qui je suppose être Luc ? Il fait bien 1m85, brun, cheveux quasiment rasé, il dois avoir environ 35 ans ! Il a un fort accent du coin, et bien évidemment mon attention se porte vite sur ce qu'il porte. On est en milieu d'après midi et il fait grand beau, mais Luc est quand même en bottes ! Énorme soulagement. Il porte aussi un pantalon de travail vert et noir. Il a aux pieds des grosses Dunlop. Malgré leurs largeur, il les porte sans aucun soucis et elles semble quand même bien le prendre au mollet. C'est vrai que de loin je ne l'ai pas forcement vu, mais Luc à une sacré carrure ! De grosses épaules et de gros bras, c'est tout ce que je peux deviner sous son t shirt.
« - Bonjour Luc ! Excuse je t'ai pas reconnu, enfin je t'ai jamais vu en même temps !
-Ouai ment. Bon, on papotera dans la voiture, la magasin ferme à 16h et mon père m'as dis que t'avais besoin d'être équipé. Je t'aurai bien prêté quelque affaire les premier jours mais tu vois ça ? »
Il pointe ses bottes du doigt. En effet j'ai pas fais attention mais elles sont vraiment grande !
« -C'est du 48. Tu nagerai dedans. Pareil pour les cottes. Il m'a bien prévenu que t'étais pas encore au physique du paysan ! Mais tinquiète pas ça va venir. Pas le choix de toute façon !
-Ah oui je comprend bien. J'aurai bien amené quelque affaires mais mon père en avait encore besoin.
-Oh c'est pas plus mal ! Nouvelle bottes pour une nouvelles vie ! Et je pense que c'étais plutôt sec par chez toi. Ici c'est humide et c'est bien rare qu'il fasse beau comme aujourd'hui ! »
On arrive à la voiture. C'est un vieux utilitaire. Plein de poussière et de terre, habituelle pour un véhicule de paysan. Des enrouleurs, les piquet et d'autre outils traînes derrière. Rien de choquant.
« -Ouai pousse un peu le bordel et viens. Plus trop l'habitude d'avoir des gens sur le siège passager !
La dernière fois c'étais pour un apprenti comme toi. Mais lui venais de la ville. Il a eu du mal à supporter le travail physique. Ah ils ont pas l'habitude de bosser comme des hommes à la ville ! »
J'aquiesse gentillement. Je suis quand même un peu stressé, et je suis pas forcement plus physique que ça personnellement ! Je peux quand même pas passer à coté de lénorme bosse que je vois a l'entrejambe de Luc. C'est qu'il a un sacré paquet en plus !
« -On va aller te chercher ce qu'il te faut au fournisseur ! C'est un bon copain Denis ! Il fait tout. Tracteur, outils, habit, et pour pas chère ! Il connaît tout le monde. Et faut que tu le connaisse aussi. »
On s'arrête dans un bâtiment qui ressemble plus a un hangar que à un magasin. Luc ouvre la porte. Une sonnette retenti.
« -Ouai ouai j'arrive ! -on entend crié depuis l'autre bout du hangar Ah mais c'est toi Luc ! Alors comment ça va mon gars ! »
Denis dois avoir vers les 45 ans. Salopette de mécano et rangers militaire au pieds ! Intéressant. Il a les mains pleine de cambouis.
« -Oh et je vois que tu ramène du monde ! Salut toi !
-Bonjour M'sieu ! Je m'appel Hugo, je vais....
-Ouai ouai encore un nouvelle apprenti ! Ça t'arrive jamais de les garder plus d'un mois ? Faudra être gentil avec celui ci ! - Denis se tourne vers moi- Il peux être un peu rustre des fois, mais faut le pardonner. Il a plus l'habitude de voir du monde ! »
Luc me montre un coin du hangar et me dit d'aller déjà me trouver une cotte et des bottes.
« -Mais ça va jamais passer en même temps si tu laisse ton pantalon bourrique va ! »
C'était Luc. Il étais déjà de retour. Denis étais avec lui.
Jenlève mon pantalon, un peu gêné. Je fait tout pour retenir mon érection et j'enfile vite la cotte pour la cacher.
« -Ah bah elle te va comme un gants ! T'as même la place pour prendre un peu de muscle sans la faire péter ! »
Ça fait bien marrer Denis. Luc lui dit
« -Tu peux aller récupérer ce que je t'ai demandé ? On va lui choisir des bottes entre temps »
je dois dire que mon choix était tout fait. En mettant ma cotte j'ai vu un magnifique faire de Aigles Parcours ISO 2. C'était presque les même que Mat, l'ouvrier de ferme de mon père !
Je m'empresse d'aller les enfiler. Elles me vont parfaitement. Elles sentent encore le caoutchouc neuf mais ça changera bientôt.
« - Ah ok. Je les aime bien ces bottes. C'est plutôt des truc de chasses mais vu el temps que tu va passer dedans tu as intérêt a avoir un truc de qualité ! Pour moi y'a que Dunlop qui prévois ses bottes pour un grand gaillard comme moi ! Sinon Aigle il faut du sur mesure et là c'est hors budjet ! »
Denis reviens, les bras plein d'affaire.
« -Tiens ! Voilà pour le petit ! Ça devrai lui allé ! »
Luc fait la liste de tout ce que Denis me jette aux pieds.
« -Voilà, alors ciré jaune. Spécial haute mer, du Helley Hansen,version mandal, la meilleur . Non doublé, épais, mais en même temps il pleut souvent des cordes alors c'est mieux comme ça ! Chaussette en laine.
-Ça marche. Elle commence a grossir attention ! Jespère qu'avec celui ci tu pourra la repayer ! »
Denis dit ça en me regardant et en éclatant de rire. Je suis pas sur d'avoir tout compris mais je commence a retirer les bottes pour me préparer au départ . Luc m'interrompront.
« -Tu sais tu peux rester comme ça ! Y'a pas d'étiquette, tu va en avoir besoin dès que on arrive de toute façons !
-Ok Chef ! »
Je lui ai répondu ça instinctivement en réponse à son ton autoritaire. Je me rend compte de la bourde que je viens de faire. Il rit un bon coups et me répond :
« Haha, il est un peu trop tôt pour être aussi formel ! Mais je garde l'idée !»
Je ne prête pas vraiment attention à sa remarque car je fond de honte. On se dirige vers la voiture. J'ai ce rush d'adrénaline en sentant pour chaque mouvement le caoutchouc de mes bottes frotter contre ma cotte. Et on entend le bruit lourd des grosses bottes de Luc a travers tout le hangar. Heureusement que la cotte et un peu ample a l'entrejambe, car sinon on y verrai une belle bosse.
On se met en route pour la ferme.
« - Tinquiète pas pour le prix de tout ça ! Ça reviens a quasiment rien ici. Et comme ça t'es tout neuf pour te mettre a bosser pour de vrai ! Tu verra ça va aller. Je peu être un peu rustre mais tu connais les paysan ! Et toi t'as déjà bosser a la ferme alors je minquiète pas. Tu devrai bien t'en sortir. J'ai une vieille ferme, mais la maison est a part. Y'a un petit apparat au sous sol. Je louais pour des week-end à la ferme a une époque. C'est pas grand chose mais tu as un lit, une douche, et de électricité. Normalement l'ancien apprenti a tout débarrasser. Mais j'ai pas vérifié .
Et en effet. On arrive au milieu de nulle part. A bien 15 minutes du dernier village. Y'a quelque ferme dans les alentour, mais rien de plus. On arrive devant son exploitation. Et la maison. On sors et la route est juste un chemin de terre. Je comprend mieux pourquoi j'aurai plutôt besoin de bottes !
« -Ah merde. Ça me fait penser que j'ai oublié mes chaussures chez Denis !
-Ah, bon voilà une bonne excuse pour le revoir ! De toute façon tu devrai pas en avoir tant besoin ici ! Personnellement je n'ai que des bottes de toute façon ! »
Il me dit ça pendant que on rentre. Et en effet, dans son vestiaire, qui fait aussi office de garage. Il n'y a que des bottes. Toute en 45. De tout les type. Ainsi que une certaine collection de cotte.
A vrai dire il nenlève même pas ses bottes mais les glisse dans des espèce de gros chausson.
« - Ça c'est la meilleur invention ! Comme ça tu salit pas lintérieur, et tu perd pas de temps a les enlever pour chaque fois que tu viens chercher un truc ! Y'en a pour toi aussi.»
Directement connecté au vestiaire il y a 4 portes. Luc me montre celle qui donne sur les escalier pour monter dans les pièce à vivre. Une qui donne dans la cave. Une qui est fermé a clé. Luc me dit que c'est une vieille pièce de stockage.
« - Et voilà, la dernière porte c'est ta chambre ! Comme tu vois, tas un lit, petit WC et douche, et deux armoire ! La serrure marche plus vraiment mais met un panneau si tu veux faire des cochonnerie haha ! »
Je ris jaune à ses blagues un peu déplacé, mais il est bon vivant ! Il continue la visite. On monte les escalier. Cuisine, chambre a coucher, et salon. Rien de très particulier. Spatiaux pour une personne !
« -Enfin de toute façon la plupart de mon temps je le passe à la ferme avec les animaux ! »
On ressort donc, on traverse la petit route en terre et on est directement a l'exploitation. C'est un énorme bâtiment. Il y a deux porte qui donne sur des hangar, et une sur la partie traite !
Je connais bien tout ces coins. Petit hall d'entrée, avec un table et des outils, et une poubelle. Une salle a part pour l'arrivé de grain, et les panneaux électrique. Relativement vide. Un accès au couloir d'alimentation où on peut nourrie les vaches, et un accès sur la salle de traite.
« -Bon alors comme c'est le tout début je vais rien te demander de faire seul, mais va pas falloir tarder a faire les choses sans supervision. Bien évidemment, tu commencera par des choses simple. Pas de temps a perdre. Faut déjà aller chercher les bêtes ! Je viens avec toi te montrer dans quel parc elles sont.
-Ok ! »
On se met en route. Le parc était a environ 50m, et on voit les vaches au fond. Je marche derrière Luc. Je matte son cul magnifique mouler dans son pantalon de travail serré. Il marche avec une confiance absolue dans ses bottes. Il ne fait qu'un avec, et il a un pas lourd et détermine.
Il appel déjà ses animaux a travers le champs. Avec une bonne phrase qui est propre a tout les paysan. Il parle si fort avec un accent si marqué et rustre. J'ai ce même sentiment dinfériorité que j'avais eu a lépoque avec Mat.
La traite se passe sans soucis. Luc prend le temps de m'expliquer les chose, mais il est clairement dur au travail. Ses ordres sont directe. Il n'y a aucune politesse ou retenue. Certain aurai trouvé ça lourds, moi j'avais l'habitude et j'aimais même.
On arrive a la fin de la traite.
« Bon là il me reste environ 30 minutes. Histoire de nettoyer la salle. Tu sais comment on fait. La prochaine fois ce sera a toi. Mais là, profite en pour rentrer tinstaller et prendre une bonne douche ! Tu transpire comme un porc alors que on a presque rien fait ! »
Il y à beaucoup de dédain dans la voix de Luc. Ça m'excite énormément. Je me sens inférieur a lui, et lui n'a aucun doute qu'il m'est supérieur !
Je m'empresse de rentrer a la maison. J'arrive dans le garage. Et là, la vue de toute ses bottes, toute ses cottes, l'odeur forte qui s'en dégage, et la vue de mes nouvelle bottes, déjà crade par le travail, et des tache qui commence a apparaître partout sur ma cottes, je ne peux pas résisté. Aucune de ses paire de bottes n'as été utilisé récemment. Donc aucune n'a son odeur. Mais par contre elles sont toute lèchable ! Sans perdre une seconde, je me met à quatre pattes devant toutes ses bottes et j'en lèche une paire. Je fait vite, car j'ai peu de temps. Je sens le talon de mes bottes crade venir frotter contre la cottes. Je goûte au botte de Luc en regardant tout les autres. Je me vide en quelque seconde. Je me vide sur ses bottes, et je me dépêche de nettoyer ( à la langue bien sur ) ma semence de bâtard sur ces bottes de Mâle.
Je file dans ma chambre pour enfin enlever ma cotte et mes bottes. Comme tout est en une seul pièce sans fenêtre. L'odeur forte des chaussette en laine et des bottes ne tarde pas a embaumer ma chambre. Je prend une douche rapide, enfile un pantalon et un t shirt et monte à létage voir Luc. Il est affalé sur le canapé, toujours en salopette, bottes sur la table en bois devant, bière a la main en regardant la télé.
«- Ah il est tout beau tout propre le petit ! Ça va pas trop fatigué ?
-Oui un peu mais surtout avec le trajet de la journée ! - Je lui parle mais je suis complètement fixé sur ses bottes -
-Ah oui je les garde. Je comptais faire le ménage demain mais tu pourra t'en occuper en faite ! Je prendrais ma douche après manger. Y'a des reste au frigo, on va se faire ça. »
Ah ! Donc en plus je vais devoir nettoyer après lui ? Bon... Je suis nourrit loger, et de toute façon ce sera vite fait, c'est assez petit. Pendant que on mange, il enchaîne deux et trois bière. Je sens ses bottes sous la table. On mange rapidement. Puis il part prendre sa douche. En partant il me donne l'heure du réveil demain
« En général petit déjeuner a 5h30, pour commencer vers 6h. T'as intérêt à être debout, cotte, bottes, et met ta salopette cirée. C'est humide le matin et c'est toi qui lavera la salle de traite après coup. »
Je retour me poser dans ma chambre. Elle sent déjà fort la ferme... pas étonnant avec mes bottes fumante et ma cotte par terre.
Je commence à vider ma valise. Je rempli rapidement une armoire, mais quand j'arrive au fond du dernière étage. Quelque chose se trouve au fond. Sûrement un truc que l'autre apprenti a oublié. Je vais le récupéré et je suis sur le cul de découvrir une cage de chasteté, avec un cadenas et des clés. J'en ai déjà vu sur internet mais jamais en vrai, et l'idée m'excitait terriblement. Quel énorme chance ! L'ancien apprentie devais aussi avoir ses petits fantasmes !
Il se fait tard mais je meurt d'envie de l'essayer. J'en ai jamais porté avant mais celle ci semble plutôt adapté ! Je met donc mon réveil pour 5h le lendemain, pour avoir le temps de l'enlevé avant d'aller bosser et je vais me mettre dans la douche pour la mettre. C'est vraiment pas évident car je bande rien qu'a l'idée de la porté. Mais après bien 15 minutes elle est mise. Ma bite mole la rempli bien, et les couilles sont fermement coincé. Je met le cadenas histoire que tout soit fixe, et que rien ne senlève si je bande. Je garde les clé sur la table de nuit et tente de m'endormir. Mais la cage, et l'odeur de botte dans la pièce rendent la chose très difficile. Bander en cage est extrêmement douloureux. Mais j'ai lu sur plusieurs forum que cétait normal, et que je mhabiai vite.
Je m'endors difficilement.
Je me retrouve réveiller a 4h50 par une intense douleur a la bite. J'avais une érection si massive qui poussais la cage que mes couilles était terriblement tendu. C'était insupportable. Et comme mon réveil n'allait pas tarder à sonner, je prend les clé sur ma table de nuit pour ouvrir le cadenas.
Mais là... le cadenas ne s'ouvre pas. Je ressaye dans tout les sens, avec toute les clés, mais rien ne marche. Et merde. Elles doivent être quelque part dans ma chambre ! Je cherche comme un fou, mais voilà, jentends Luc qui se lève et commence à se préparer. Je n'ai plus le temps. Bon, je les chercherai plus tard. J'enfile vite un slip, ma cotte, de grosses chaussettes de laine, ma salopette en PVC jaune, et bien sur mes bottes ! Heureusement, le triple couche slip, cotte et salopette fond que la cage n'est pas du tout visible. Quel connerie quand même.
Je sors de ma chambre et je vois Luc dans le vestiaire, en train d'enfiler sa cotte, et ses bottes. Mais pas les même que hier. Celle que j'avais lécher hier !
«- Ah salut Hugo ! J'ai eu peur que tu te lève pas ! Bon t'as pensé à ta salopette. C'est bien. Ah et ouai, je change de bottes de temps à autre. Celle ci avait un tache d'eau hier soir quand je suis revenu ! Sûrement un signe du destin ! Aller, c'est parti. Prêt pour une journée entière de boulot ?
-Oui bien sûr ! »
Comment j'allais faire pour bosser toute la journée avec cette cage ? Et si les clés n'étais pas dans la chambre ? Et avec tout ça tout est fait pour mexciter ici, ça ne la rend pas plus confortable. Mais bon, je n'avais pas d'autre choix que de commencer ma première journée complète au ordre de Luc dans cette tenue, et avec cette cage !
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