Vive La Campagne !
Magali bronzait nue au bord de sa piscine lorsque surgit la voiture de son gendre, de sa fille et de leurs s dans la cour attenante. Elle eut juste le temps de se couvrir d'un paréo pour accueillir les arrivants, totalement inattendus.
- Notre location était pourrie, on a décidé de partir pour finir nos vacances chez vous. Vous êtes contents, non ?, sourit Angélique, la fille.
Effectivement, Magali et son mari Régis pouvaient se satisfaire de ce regroupement assez rare vu l'éloignement géographique de leur petite famille. Mais passé le plaisir des retrouvailles, les inconvénients ne tardèrent pas à apparaitre au couple d'âge mûr, dérangé dans ses habitudes. Les s turbulents monopolisant la piscine, il fallait toujours jeter un oeil sur eux. Les parents imposaient plus ou moins leur mode de consommation. Et il y en avait au moins pour une semaine.
Le soir, Magali s'en ouvrait à Régis :
- Ils ne manquent pas de culot de s'imposer ainsi. Ils auraient pu au moins nous prévenir, dit-elle.
- Et ça aurait changé quoi ? On ne va quand même pas les mettre à la porte, déjà qu'on ne les voit pas beaucoup.
- D'accord. Mais mon bronzage intégral est foutu puisque je suis obligée de mettre un maillot et je vais avoir l'air d'un cul blanc quand on ira à la plage naturiste.
- N'exagérons rien, tu as pris de l'avance.
A ce stade, il convient de décrire ce couple. Régis est chauve, grand et sec comme un coup de trique, sans un pouce de graisse, prototype du senior sexy. Magali est une petite femme aux cheveux châtains le plus souvent rassemblés en chignon. Menue dans son jeune âge, elle est devenue plus voluptueuse avec le temps. Ses seins sont devenus lourds, ses hanches rondes, ses fesses charnues mais son ventre est à peine bombé grâce à une pratique assidue de la gym. Lorsque le couple déambule sur le sable sur la partie naturiste de la grande plage, il ne passe pas inaperçu. Les femmes considèrent avec intérêt le pénis long et épais de cet homme mûr si bien conservé.
Quant à Régis, il sait que sa femme, livrée à elle-même, serait capable de céder à la pulsion sexuelle d'un "coup vite fait" dans les dunes avec un inconnu dont elle apprécierait les attributs. Elle lui a plusieurs fois avoué ce fantasme, jamais réalisé à ce jour, et Régis tient à ce qu'il en soit toujours ainsi.
Mais les femmes sont paradoxales. En dehors du lit où elle se lâche totalement, Magali aime à jouer les pudibondes et demeurer dans le déni de sa grande affaire : le sexe. C'est ainsi qu'au bout de quelques jours de regroupement familial, son visage devint de plus en plus renfrogné et son humeur irritable. Non qu'elle regrettât explicitement la présence de ses petits s, de sa fille et de son gendre sous son toit. Mais elle était en manque de quelque chose que Régis identifia illico : sa queue. Pas question de l'avouer à son mari : ce serait lui donner une importance que son orgueil féminin et sa dépendance à l'organe masculin lui refusent d'admettre. Mais c'était tellement évident que Régis comprit qu'il devrait rapidement passer à l'action pour que le séjour familial se poursuive pacifiquement. Pour ne rien arranger, Angélique, leur fille, et son mari Xavier, ne se gênaient pas pour copuler dans leur chambre voisine de celle du couple hôte au seuil de la nuit.
- Franchement, ils exagèrent ! J'en peux plus, je les vire demain, dit-elle à Régis dans leur lit.
Celui-ci comprit qu'il devait agir. Dès le lendemain, il prit Magali à part :
- On va prendre la voiture et faire un tour à la campagne. On pourra baiser tranquillement.
- A la campagne ? Ah non. Il y a des serpents, des moustiques, des tiques...
- On ne va quand même pas prendre une chambre d'hôtel chez nous ! Reconnais que tu as envie de baiser, c'est ça qui te met de mauvais poil.
- Tu me prends pour qui ? Je ne suis pas une chaudasse !
- Mais non, j'ai pas dit ça. Bon, allez, après le petit déj, on dit qu'on va faire les courses et on va se trouver un coin tranquille. Je vais prendre un grand drap pour que tu sois plus à l'aise.
Magali ne dit mot mais à son attitude, Régis comprit qu'elle adhérait totalement à sa proposition. Il avait touché juste. Elle avait envie de sa bite. Elle seule pouvait la calmer. Mais elle ne l'avouerait même pas sous la .
Il faisait chaud ce jour là et leur départ soi disant pour des courses ne souleva aucune objection de l'autre couple, trop heureux d'échapper à cette corvée. Régis prit la direction de la campagne, mais le plus dur restait : débusquer le coin idéal. L'affaire ne fut pas simple. Magali trouvait l'endroit tantôt trop à l'ombre, tantôt trop ensoleillé, tantôt trop exposé aux intrus ou aux "bestioles". Régis commençait à s'impatienter et envisageait déjà d'abandonner, se demandant si sa femme désirait vraiment se faire sauter, tant elle montrait des réticences pudibondes à cette partie de jambes en l'air campagnarde lorsqu'un énième chemin les conduisit vers une lisière de bois donnant sur des champs à perte de vue, sans âme qui vive à portée de regard :
- Là, ici ! s'exclama Magali.
Ce fut alors une nouvelle femme qui apparut. Régis eut à peine le temps d'étaler le drap qu'elle avait fait passer sa robe par-dessus sa tête, révélant l'absence de sous-vêtements, preuve qu'elle avait bien dans la tête l'idée de forniquer. Allongée coudes au sol, cuisses ouvertes, pointes de seins dressés, elle était l'image vivante de la femelle en chaleur impatiente de se donner au mâle. Régis banda illico. Il allait lui faire comprendre qui était l'homme. A genoux, il lui tendit sa queue qu'elle goba et dans le même mouvement, pendant qu'elle le suçait, il se pencha entre ses cuisses et dégusta sa vulve, déjà bien humide. Ce fut néanmoins un préliminaire assez bref. Elle saisit le membre tendu à pleine main et exigea :
- Mets la moi. Et tu as intérêt à être à la hauteur.
Dans le temps qui suivit, la femme abandonnant sa posture pudibonde se mua en un volcan en éruption. Régis se demanda si elle n'allait pas lui engloutir les couilles tant elle ruait, se rivait à lui par ses talons, lui pétrissait les fesses de ses doigts tout en braillant des insanités d'où il ressortait qu'un amollissement de sa queue serait un cas majeur de rupture.
Lorsqu'il la retourna pour le prendre en levrette, il se dépêcha d'entrer en elle et de la pilonner afin de ne pas se faire engueuler. Dur, intransigeant, il la malmenait de sa queue rigide comme du bois et elle tourna la tête vers lui pour lui montrer un visage à la fois douloureux et extasié, lâchant un "continue" ou un "t'arrête pas" entre deux roulements de hanches. Confiant dans sa virilité, il poursuivait son forage intime jusqu'au moment où elle creusa les reins en criant un "oh ouiiii" qui faillit le faire éjaculer. Il se retira précipitamment en se comprimant la queue, laissant perler une goutte de sperme.
Magali comprit l'enjeu. Il ne s'était pas retiré pour l'abandonner mais au contraire pour continuer à lui donner du plaisir. Reconnaissante, elle l'invita à s'allonger et s'empala sur lui, afin de lui montrer son cul.
Le regard perdu vers les champs, elle louvoyait avec toute la science de la femme d'expérience, se mettant parfois sur ses pieds pour accen l'effet de pénétration, savourant chaque minute de ce coït bucolique qu'elle ne voulait surtout pas abréger. Lui se régalait du mouvement des deux globes découvrant un anus brun ne demandant qu'à être visité. Puis elle se retira pour déguster de la bouche cette bite qu'elle vénérait comme un objet d'art, organe masculin par excellence conçu pour donner du plaisir au sexe féminin plus encore que pour procréer. Régis était flatté comme tout homme l'aurait été devant une femme aussi religieusement attachée à sa queue. Plus rigide que jamais, elle était toujours prête à faire son oeuvre là où elle était attendue : dans la chatte de son épouse.
Mais en fait, celle-ci avait une autre idée. Pour remercier son mari-amant de l'avoir déjà pleinement satisfaite (elle ne comptait plus ses orgasmes), elle lui offrit de combler son fantasme habituel de mâle, pas toujours assouvi dans leurs ébats :
- Et si tu m'enculais maintenant ?
- Quoi ? Tu veux vraiment ?
- Oui, j'ai envie de ta grosse bite dans mon cul. Mais prépare-moi bien avant. Avec ta langue. Sois bien cochon.
Il fallait vraiment qu'elle soit bien mûre pour réclamer qu'il soit "cochon". En fait, c'était elle la cochonne mais il se garda bien de le lui dire. Il était convaincu qu'avoir entendu Angélique dire à son mari "encule-moi" et l'avoir entendu gémir de plaisir avait déclenché chez Magali ce besoin particulier, comme pour se montrer à elle-même qu'elle n'avait rien à envier à sa fille.
Il s'exécuta avec enthousiasme, pensant à tous les mecs de la plage qui rêvaient devant sa croupe mouvante aux fesses bien séparées. Un appel implicite à la sodomie auquel il allait répondre séance tenante. Lui seul. Il entra à petits coups afin d'éviter au maximum la douleur mais il faut croire que Magali avait autant envie de ça que lui car son introduction totale fut rapide. Planté sur ses pieds, jambes fléchies pour disposer du meilleur angle, il lui asséna de vigoureux coups de queue qui la firent aussitôt bramer. Heureusement qu'il n'y avait personne à la ronde ! A l'aise, peu resserré, il évoluait dans le confort en faisant claquer sa peau sur les fesses de sa femme qui elle-même sentait les grosses couilles battre contre son intimité, qu'elle masturbait en même temps. La tête contre le drap, elle bavait d'extase, ce qui confirma Régis dans l'idée qu'elle était bel et bien portée sur l'enculade, quoi qu'elle en dise. Il se sentait capable de limer un temps infini dans cette position. Voir Magali empoigner le drap en se mordant et le léchant les lèvres, parfois en lâchant une exclamation bien crue, comblait son orgueil de mâle. Mais il fallait bien s'arrêter et l'occasion lui fut fournie lorsqu'elle lâcha entre deux râles :
- Jouis dans mon cul ! Jouis dans mon cul !
Il put enfin se libérer et produire plusieurs giclées qui le soulagèrent de l'extrême tension qu'il vivait depuis le début de leurs ébats. Il se retira avec précaution, considérant l'anus grand ouvert d'où débordait la substance blanchâtre de son sperme. Elle l'embrassa langoureusement et lâcha :
- C'est bien, tu as été à la hauteur, j'en avais vraiment besoin.
Un aveu de taille qu'il savoura comme il se doit.
********
Ils arrivèrent tardivement au déjeuner après être passé au supermarché. La petite famille était déjà à table. Angélique s'exclama :
- Mais où étiez-vous passés ? Vous en avez mis du temps pour ces courses ! Les s avaient faim, on ne vous a pas attendus et j'ai fait des pâtes pour tout le monde.
Régis évoqua "un monde fou" pour expliquer le retard, sans trop convaincre. Au moment de la vaisselle, Angélique souffla à Magali pendant qu'elle essuyait les plats que sa mère lavait :
- Vous êtes allés faire l'amour, hein ?
Magali ne répondit que par un petit sourire en coin, qui inspira à Angélique cette réponse :
- Vous avez bien fait. C'est vrai qu'on vous dérange un peu ici. De toute façon, on s'en va demain.
Magali protesta pour la forme. Bien qu'apaisée (provisoirement), elle avait envie de se retrouver seule avec Régis. Et bronzer à nouveau à poil. Et baiser au bord de la piscine. L'été, sa libido fonctionnait à plein régime et son mari lui avait montré qu'il en était de même pour lui. A un certain âge, ce sont des situations qu'il serait dommage de gaspiller.
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