Céline (3)

Le séjour approchait de sa fin. Nous étions vendredi. Il ne restait que deux jours avant le retour programmé dimanche matin. Ce séjour avait réveillé la sexualité endormie de Céline. Elle avait attiré le jeune Sébastien dans sa chambre puis avait jeté son dévolu sur François avec qui il fallait concrétiser après qu’elle l’ait masturbé pendant son sommeil. La fin de séjour s’annonçait hard. La jeune Josette lui avait proposé un plan à trois ce soir avec le chauffeur du bus qui les véhiculerait à Tolède aujourd’hui et qui jouissait d’une réputation hors norme. Et le lendemain ce devrait être le tour du jeune François. La veille au soir, un court conciliabule s’était tenu avec Josette. « Céline, tu fais plus femme que moi parce que tu es plus vieille. Il faut qu’on allume le chauffeur. Mets-toi en jupe. Pas de culotte sage. Un string ou un tanga. Si tu as un chemisier un peu opaque ne mets pas de soutif. Fais-en sorte d’être dans son champ de rétroviseur. Moi je me mets aussi en jupe. String ficelle. Tu as eu Brigitte Lelong l’an dernier ? Et bien elle s’est fait sauter par lui. Elle en rêve encore. Allez, bisous. Bonne nuit. Prends des forces tu vas en avoir besoin. »
Céline avait suivi les consignes. Elle avait envie d’une queue, envie de jouir. Jupe blanche courte, string noir, chemise blanche à manches courtes, seins nus. Elle avait l’excuse du temps caniculaire. Elle se doutait que la chaleur moite dessinerait avec précision le relief ses seins sous le tissu. Le bus arriva. Le chauffeur avait une quarantaine d’année, le teint mal, les cheveux noirs. Il paraissait bien bâti. Céline monta la première et posa son sac sur la première rangée de droite. De sa place, via le rétroviseur, elle voyait le chauffeur. La réciproque serait donc vraie. Les élèves montèrent, se répartissant par affinités. Le bus démarra. Il y avait un peu plus d’une heure de route pour gagner Tolède. Céline fit semblant de s’absorber dans la lecture d’un guide touristique.

Elle avait croisé les jambes, dévoilant ainsi largement une cuisse. Le chauffeur paraissait absorbé par la route. Elle finit par surprendre son regard sur ses jambes. Elle décroisa lentement les jambes, laissant les cuisses disjointes. A l’évidence, le chauffeur appréciait le spectacle. Elle se tourna légèrement, comme si elle voulait regarder derrière elle et surveiller l’arrière du bus. Elle resta ainsi une bonne minute. Dans le mouvement ses cuisses s’étaient écartées davantage. Le chauffeur devait apercevoir le string. Cette garce lui plaisait terriblement. Il connaissait la réputation des françaises.
Ils arrivèrent à Tolède. Céline se pencha en avant pour récupérer son sac. Dans le mouvement, son chemisier bailla, dévoilant largement ses seins visibles par l’échancrure. Le chauffeur n’en perdait pas une miette. Cette garce n’avait pas de soutien-gorge. Il sentait son mandrin se déployer dans son pantalon. Il ne perdrait pas sa journée. Bientôt cette femelle se tortillerait sous ses coups de boutoir. Ah, ces françaises….
Sortie du bus, et la prenant à l’écart, Josette s’adressa à Céline « C’est bon, je crois qu’il est à point. Et tu as vu la bosse dans son froc ? Ça promet pour ce soir. Il te reluque comme un fou. »
La visite de Tolède occupa leur journée. La chaleur était accablante. Les vêtements collaient à la peau. En fin de matinée, au hasard d’une petite rue, Céline tomba sur Sébastien. « Je t’ai espionnée. L’autre soir je ne dormais pas quand tu es venue sucer François dans son lit. J’ai tout vu. Et je sais que ce soir tu vas te faire sauter par le chauffeur avec Josette. Et que demain tu espères attirer François dans ta chambre. Je peux tout faire capoter. Ou tout faciliter. Et oublie le chantage avec mon père. J’ai des photos de toi en fâcheuse posture pour une prof si tu vois ce que je veux dire. Alors voilà ce que je te propose : ce soir tu rejoins ton chauffeur. Demain soir je m’arrange pour convaincre François de venir te voir dans ta chambre.
Mais au retour tu m’invites chez toi et tu me laisses baiser avec toi. Sinon, nada. Et puis je te dis pas la réputation. Bye bye le lycée…. Alors qu’est-ce que tu en dis ? « Céline réfléchissait. Elle n’avait pas vraiment le choix. Il la faisait chanter et elle risquait gros dans l’histoire. En plus coucher avec lui n’était pas à proprement parler une corvée trop désagréable. Et il y aurait les vacances et à la rentrée il partirait dans une ville universitaire. « Bon, d’accord. Mais je te demande de la discrétion. » « C’est OK. Pour sceller notre accord, donne-moi ton joli petit string qui doit bien sentir ta mouille. Et oui tu as bien entendu, enlève ton string. Tu finiras la journée sans culotte. Ça devrait plaire à ton hispanique. Tu vas bien l’allumer au retour, cuisses bien écartées. Et ce midi je m’assois en face de toi au restau et tu me laisses te branler avec mon orteil. Allez, enlève ton string et donne-le-moi. Il n’y a personne dans la rue. Sauf peut-être aux fenêtres. C’est ce qui rajoute à l’excitation, non ? Et puis avec la chaleur ta chemise colle à ta peau. On voit tes seins. Et ils bandent bien. Ne me dis pas que tu n’es pas excitée petite salope. »
Céline souleva sa jupe et se débarrassa de son string qu’elle remit à Sébastien. Elle avait l’impression d’être plus nue que nue. Arrivés au repas, ils se mirent en bout de table, contre un mur. Céline sentit rapidement l’orteil inquisiteur remonter le long de ses jambes. D’elle-même elle écarta les cuisses. Il trouva rapidement son chemin et pénétra le sexe ouvert et mouillé. Il prenait son temps. Il arrivait à rentrer de quelques centimètres, ajustant un va et vient approximatif, affolant la jeune enseignante. Il la fixait des yeux. Quand il la sentit au bord de l’orgasme il se retira, la laissant sur sa frustration. Elle se déchaussa à son tour et envoya son pied sous la table, appuyant sur l’entre-jambe. Elle agaça ainsi la verge qu’elle sentit grossir. Sébastien réussit discrètement à l’extraire de son pantalon.
Céline sentit le cylindre de chair chaud rouler sous son pied déchaussé. Elle le masturba ainsi et sentit un liquide chaud couler sur son pied. L’après-midi passa lentement. Arriva le moment du retour. Céline reprit sa place dans le bus et entama son jeu de jambe. Elle était de plus en plus excitée. Elle avait l’impression que tous étaient au courant de sa nudité. Le bus ramena le groupe au séminaire. Céline quitta le bus en dernier. Elle se pencha en avant pour parler à l’oreille du chauffeur « attends-moi dans le jardin ce soir à minuit ».
Peu avant minuit, deux ombres se glissèrent dans le jardin. Céline ne s’était pas changée. Josette avait opté pour une jupe plus courte. Josette brisa le silence « Tu l’as déjà fait à trois ? » Céline lui répondit que non. « Et avec une nana, tu l’as déjà fait ? » Céline lui sourit « oui, quand j’étais ado et puis après pendant mes études pendant quelques mois avec une autre étudiante, et toi ? » « Moi oui, j’ai un copain mais il est en fac, on ne se voit pas souvent, et je sors aussi avec sa sœur. Elle c’est une homo pure et dure. D’ailleurs tu l’avais en cours cette année en première : Karine Ruffault. Elle en pince pour toi. Un jour tu as fait cours avec une petite jupe marron en daim et des collants gris clair. Et tu avais un pull assez moulant. Elle a passé l’heure à te reluquer. Elle en a mouillé sa culotte en classe tellement elle te trouvait canon. Je te dis pas dans quel état je l’ai récupérée le soir. Quand je vais lui raconter notre soirée… » Un craquement sur leur droite annonça l’arrivée du chauffeur. Il apparut, surpris de trouver les deux jeunes femmes ensemble. « Viens, suis-moi » lui intima Céline. Elle ouvrait la voie. Elle savait qu’en montant l’escalier la première elle offrirait à l’homme le spectacle de ses cuisses dénudées. Il ne perdait en effet pas une miette du spectacle offert, de cette envolée de jambes, de cuisses et de fesses. Derrière lui, Josette gravissait les marches. Main tendue, elle caressait sans vergogne les fesses masculines, palpant son entrejambe prometteur.
Elle constata qu’il bandait déjà. Ils arrivèrent sur le palier. Céline se retourna et enlaça l’homme. « Comment t’appelles-tu ? » lui demanda t-telle en mordillant son oreille. « Miguel » répondit-il. Il sentait le corps souple de la femme contre lui. Il sentait sa verge durcir et grossir encore. Derrière lui, la plus jeune s’était collée contre son dos et écrasait sa poitrine en se frottant lascivement contre son dos. Il sentit des mains déboutonner sa chemise. Un concerto à quatre mains. Quatre mains qui prirent possession de son torse poilu, le caressant, pinçant doucement ses mamelons. Il se laissait guider. Deux mains s’attaquèrent à son pantalon et à son caleçon. Elles s’employèrent à libérer sa verge bandée. Une femme lui caressait le torse, une autre le sexe. C’était le paradis. Il se retrouva vite nu.
Céline s’accroupit pour happer avec gourmandise la verge tendue, large et longue, au gland proéminent. Elle n’arrivait pas l’engloutir dans sa bouche. Josette contourna Juan et vint prêter main forte à Céline. Leurs langues se frôlaient parfois le long de la hampe. Juan caressait leurs chevelures. Il se savait performant et endurant. Il se laissait faire. Il avait le temps. Il les baiserait toutes les deux. La prof d’abord et l’autre ensuite. Céline se redressa. Fixant l’homme, elle déboutonna lentement sa chemise, libérant ses seins. Elle fit glisser sa jupe le long de ses cuisses. Elle releva Josette et la déshabilla tendrement. Les deux jeunes femmes, nues, s’enlacèrent, échangeant un baiser sucré, mêlant leurs salives et se frottant l’une contre l’autre. Elles prirent Juan par la main et l’entrainèrent dans la chambre.
Céline alluma la petite lampe de chevet. Elle s’allongea sur le lit, cuisses largement écartées. Miguel s’approcha et s’empara de la vulve avec sa langue, s’y enfonçant largement, préparant le terrain. Pendant ce temps, Josette embrassait Céline, leurs salives et leurs langues se mêlant. Miguel, sentant sa partenaire prête, après s’être coiffé d’un préservatif, présenta son sexe à l’entrée de la vulve. Prenant appui sur ses avant-bras, il la pénétra d’un coup, lui arrachant un cri rauque. Il s’immobilisa au fond. Puis entrepris un mouvement de va et vient, lent d’abord, plus rapide ensuite. Céline avait attrapé les fesses masculines qu’elle griffait, elle l’attirait pour qu’il vienne buter au fond de son sexe trempé. Il se retira. Il fit comprendre à Josette de s’allonger sur le lit, Céline tête-bêche sur elle, cuisses écartées. Il la prit ainsi en levrette. Il sentait la langue de la jeune lécher sa verge en même temps qu’il limait la prof. Avec ses mains il jouait avec les seins. Il savait qu’elle ne tiendrait pas longtemps à ce rythme. Il accéléra. Il l’entendait haleter. Il accéléra encore. Il se sentait bien dans l’écrin de son sexe doux, chaud et trempé. Il coulissait sans mal. Elle était offerte. Elle haletait, la bouche rivée au sexe de la plus jeune qui commençait aussi à gémir. Avant de s’occuper de la jeune, il voulait vaincre. Il accéléra encore. Il la sentit trembler, se raidir et hululer dans un long gémissement rauque. Elle jouissait. Il se retira, attrapa la jeune et la mit à quatre pattes sur le lit. Son sexe était étroit. Il la prit pourtant d’une seule et longue poussée. Elle cria. De douleur et de joie mêlées. Il coulissait dans ce conduit étroit, pas encore fait pour l’amour. Il ne la ménageait pas. Il savait qu’à son âge une seule joute serait suffisante. Après il reviendrait s’occuper de l’autre. Il la tenait aux hanches, la bousculant à chaque poussée. Son vagin commençait à s’habi à ses dimensions. Elle se relâchait. Céline était venue se placer face à Josette. Elle caressait ses seins avec douceur tout en l’embrassant, laissant sa langue glisser sur le cou, sur ses seins, mordillant doucement les pointes qu’elle sentait grossir et se tendre. Josette gémissait. La douleur avait disparu. Seul le plaisir restait. Céline venait de prendre sa bouche. Elle eut une pensée pour Karine. Karine qui en pinçait pour Céline. Elle savait que ces deux-là se rencontreraient intimement. Les deux étaient faites pour l’amour. Qui de la prof ou de l’élève ferait le premier pas ? Elle le saurait d’une façon ou d’une autre et en éprouvait un soupçon de jalousie.
Miguel continuait de pilonner Josette. Il savait qu’il pourrait durer des heures. Mais la plus vieille lui plaisait. Il la voulait encore. Il savait qu’elle aussi attendait un nouveau round. Il décida d’en finir avec la jeune. Il accéléra brutalement, s’enfonçant au fond de la jeune matrice, claquant les fesses. Ne pas ralentir. La laisser s’envoler. Elle aussi fut prise de tremblements. Elle lâcha un long cri aigu et s’écroula sur le lit.
Sans débander, Miguel s’assit au bord du lit, faisant comprendre à Céline qu’elle devait venir s’empaler sur sa queue. Ce fut elle qui dicta le rythme, se laissant retomber sur le sexe raide. Elle transpirait à chaudes gouttes. Elle avait noué ses bras autour de sa tête et l’embrassait à pleine bouche. Elle sentit les mains de son amant descendre au bas de son dos, chercher sa rosette qu’un doigt inquisiteur investit d’un coup. Telle une machine-outil bien réglée, il la perforait. Quand il la sentait prête à défaillir il variait le rythme. Le temps passait. De longues minutes s’écoulèrent, troublées par leurs ahanements. Tout d’un coup l’orgasme fut là, puissant, dévastateur, naissant du fond de son ventre, irradiant jusqu’au bout de ses seins. Elle crut manquer d’air et pour ne pas réveiller le séminaire entier mordit Miguel à l’épaule pour son cri. Il l’a prit à bout de bras, arracha son préservatif et présenta son sexe triomphant à la bouche vorace des deux femmes. Il éjacula longuement sur le visage de Céline. Il ramassa ses affaires et se rhabilla, laissant les deux femmes prostrées sur le lit, cuvant leur béatitude. Au clocher de l’église, trois heures sonnaient….

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