Un Strip Pour La Future Mariée (Partie 3)

J’étais rhabillé et je finissais de lasser mes chaussures quand Cathy passa la tête par la porte du garage qui me servait de loge pour me dire :
— Viens, je vais te faire ton chèque.
Je la suivis alors dans l’escalier – ce qui me donna l’occasion de mater de près le galbe de ses jambes musclées – jusqu’au rez-de-chaussée. Depuis la salle de séjour se faisait entendre une musique techno-house que les filles avaient dû mettre à fond ou presque. J’en aperçus trois qui dansaient sous la lumière tamisée dans laquelle j’avais moi-même « fait mon show » quelques minutes auparavant. Show qui m’avait, je dois le dire, sacrément excité !
Cathy me conduisit au bout d’un couloir jusque dans une des chambres de la maison, où se trouvait, outre le mobilier habituel d’une chambre à coucher, un petit bureau sur lequel était posé un chéquier. Elle me dit alors :
— Mince, j’ai oublié mon stylo. Ne bouge pas, je vais le chercher.
Elle repartit dans le couloir en fermant la porte de la chambre derrière elle. Ce geste me surprit, mais je l’interprétai comme une sorte d’automatisme et n’y consacrai alors pas davantage d’attention.
Au bout d’un temps qui me parut relativement long pour simplement récupérer un stylo, j’entendis des rires derrière la porte. Puis celle-ci s’ouvrit à la volée et les filles poussèrent Estelle, la future mariée, à l’intérieur de la pièce. Elle portait toujours sa longue blouse à boutons pression, mais plus sa corde de pendue. Cathy lança une poignée de préservatifs dans la chambre et claqua la porte qu’elle ferma à clef !
Après un instant où je restai stupéfait, je vis Estelle éclater de rire et lancer :
— Ah les garces, elles avaient tout prévu !!
Je compris alors à mon tour et lui répondis par un sourire, quand elle ajouta :
— Bon ! Puisque c’est ça qu’elles veulent, on va le leur donner, non ? Regarde, moi aussi je sais faire les strip-teases !
Là-dessus, elle planta ses yeux dans les miens et fit sauter un à un les boutons de sa blouse, sous laquelle elle ne portait qu’un ensemble string-soutien-gorge rouge carmin, sobre mais de très bon goût.

Particulièrement, son string était très échancré, semblant lui dessiner un cul (que je n’avais pourtant pas encore vu) absolument satanique ! Sa poitrine généreuse, un bon 90C, bien valorisée par son soutien-gorge, achevait ce tableau des plus excitants.
Une fois la blouse entièrement déboutonnée, et avant que j’aie pu prononcer le moindre mot, elle se colla à moi et riva sa bouche à la mienne en saisissant des deux mains mon visage. Immédiatement, nos langues se trouvèrent et s’emmêlèrent en une danse torride qui n’en finissait pas, sortant par instants de nos bouches pour se mélanger à l’air libre.
Se faisant, Estelle caressait toujours mon visage. Tout en poursuivant notre torride baiser, je lui avais rapidement enlevé sa blouse et commençai à descendre mes mains dans son dos jusqu’à ses fesses auxquelles j’infligeai de longues caresses. Elles étaient fermes et charnues, comme je les aime !
Puis, je remontai dans le dos d’Estelle jusqu’à son soutien-gorge dont je fis sauter les trois agrafes, libérant les seins gonflés de la demoiselle que je me mis à peloter avidement. Estelle, en m’embrassant toujours à pleine bouche et à pleine langue, me poussa doucement jusqu’à m’asseoir sur le lit, puis elle vint à califourchon sur moi. Sa bouche quitta alors la mienne pour me dire, caressant de ses mains ses propres seins :
— Ils te plaisent hein ?? Mange-les !!
Je ne me fis pas prier ! Ma bouche partit à la dégustation de ses globes laiteux dont la dureté me surprit. Je dévorai longuement la poitrine de la miss, léchant ses aréoles et suçant ses tétons à n’en plus finir. Estelle commença à respirer plus vite et plus fort. Mes lèvres et ma langue passaient frénétiquement d’un sein à l’autre quand, soudainement, Estelle me serra fort contre elle. Je sentis une longue ondulation partir de sa poitrine et descendre jusqu’à son bas ventre tandis que ses épaules et ses bras se crispaient autour de moi. Je perçus son orgasme et le reçu comme un véritable cadeau, tant il était impromptu ! Estelle saisit alors à nouveau mon visage, et ses yeux dans les miens, me lança avec un sourire malicieux :
— Je n’y crois pas… Tu m’as fait jouir !! Maintenant, tu vas me le payer !!
Elle riva alors de nouveau ses lèvres aux miennes, puis nous sortîmes nos langues qui reprirent leur folle samba.
Ses deux mains virèrent promptement de mes pieds mes chaussures et mes chaussettes avant de s’attaquer à mon tshirt qu’elles firent voler par dessus ma tête. Mon jean résista un tout petit peu plus, mais les doigts de la coquine étaient experts. Boucle de ceinture et boutons furent vite matés, et mon jean glissa le long de mes jambes pour finir au pied du lit. Dans mon boxer noir, seul « vêtement » qu’il me restait, ma queue était tendue comme le bâton d’un pèlerin. Estelle la caressa quelques secondes à travers le tissu, puis m’ôta mon boxer qu’elle jeta à travers la pièce. Elle m’allongea sur le lit, plaça sa tête entre mes jambes et enfourna mon manche dans sa bouche chaude. Sa fellation me fit frémir. Estelle accompagnait de la main les langoureux va-et-vients de sa bouche autour de ma queue, accélérant ou ralentissant au gré de mes soupirs de plaisir. Quelques minutes de ce traitement suffirent pour qu’Estelle me sente sur le point d’exploser. Elle arrêta alors son châtiment, pivota et enjamba ma tête d’une jambe pour nous mettre en 69. Bien lui en prit… j’étais décidé à la châtier autant qu’elle me châtiait !
Mes doigts écartèrent le string qui emprisonnait encore sa petite chatte parfaitement épilée, que ma bouche goba d’un seul coup. Estelle cria. La tenant fermement par les hanches au-dessus de mon visage, j’entrepris de lui dévorer le sexe comme un sauvage. Ma langue allait et venait entre ses lèvres en de longs et appuyés mouvements, s’introduisait dans son intimité pour en goûter l’intérieur avant d’en ressortir pour à nouveau lécher l’ensemble, puis y retourner. Quand mes lèvres trouvèrent son clitoris, elles se mirent à le téter doucement, puis ma langue le martyrisa de petits coups secs. Estelle se mit à haleter, puis tout son corps se raidit dans un long orgasme qu’elle ponctua d’un puissant cri de plaisir.
Sans même nous laisser quelques secondes de répit, elle se mit alors à quatre pattes, fesses levées, dos cambré, et me lança d’un ton qui n’admet pas la réplique :
— Baise-moi en levrette, tout de suite !!
Le temps d’enfiler une des capotes gracieusement offertes par Cathy, et je la pénétrai doucement mais profondément.
Estelle poussa un gémissement. J’accélérai la cadence de mon bassin. Je voulais qu’elle sente mon membre entier coulisser en elle. La vue que j’avais sur son cul merveilleusement dessiné par son string que j’avais pris grand soin de ne surtout pas enlever me rendait à moitié fou. A cela s’ajoutait le fait qu’elle se mariait la semaine suivante, pensée qui achevait de m’exciter. Progressivement, mes mouvements en elle se durcirent. Estelle haletait et criait. Ma bite pilona alors sa chatte plusieurs minutes jusqu’à ce que je sente inexorablement monter ma sève crémeuse. Je me retirai alors prestement pour éjaculer à longs traits sur les fesses d’Estelle en poussant un râle de plaisir, avant de m’écrouler à plat dos sur le lit, à moitié dans les vapes.
Nous restâmes un moment allongés à reprendre nos esprits, puis Estelle se leva, renfila sa blouse et tapa à la porte. Les filles ouvrirent tout sourire, comprenant à nos tenues et à nos visages que nous avions plus que relevé leur défi !
Estelle et moi primes une douche pendant laquelle nous échangeâmes encore de longs et torrides baisers, puis je retournai dans la chambre pour me rhabiller. Quand j’en sortis, je tombai sur Cathy qui m’attendait, et me dit :
— Nous sortons dans une boite afro finir la soirée. Si ça te dit, tu es le bienvenu !

À suivre

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!