La Sexualité Compulsive De Florence : Au Club Libertin. (Partie 15/ 15)

samedi 29 août 2020 12 heures

Après l’épisode au sexshop à Marseille, je retrouvais Alexandre et mon foyer le dimanche en fin d'après-midi. Il était impatient que je lui raconte comment c'était passé ces deux jours. Au fil de mon récit, dont j'oubliais volontairement certaines scènes, Alex devenait de plus en plus excité, me caressant tendrement. Lorsque ses doigts glissèrent sous ma petite jupe, s’apercevant de la nudité de mon intimité, il me fit la réflexion :
— Tu oublies de plus en plus souvent d'enfiler une culotte.
— Oui c'est mon nouveau style, je sais que ça te plait énormément.

Sa tête glissa entre mes cuisses tout en baragouinant, il aimait me savoir nue sous mes jupes. Si mon chéri était surexcité, je dus me forcer pour lui donner le change car j'étais repue question sexe. Après le repas Alex me confia que ma liaison avec Sylvain prenait trop d'ampleur et que, sous prétexte que j'étais sa soumise, il me faisait plonger chaque fois un peu plus, dans la débauche. Il était convaincu que mon amant me manipulait pour satisfaire sa perversité, en m'offrant à chaque fois, à un plus grand nombre d'hommes. Piquée au vif par l'attaque soudaine contre Sylvain, je lui répondis sèchement.
— Pas plus que toi mon chéri ! Dis-moi ! Qui a voulu que sa petite femme ait des amants ? Qui a eu un immense plaisir à la regarder se faire baiser par trois hommes à la fois ? Et qui lui a demandé de continuer parce qu'il prenait un plaisir fou à me voir jouir de la queue des autres hommes ? En fait mon chéri, tu critiques Sylvain, mais tu es comme lui.
— Mais…
— Chut ! Tais-toi, je n'ai pas fini ! Et pour ta gouverne, je tiens à te signaler que ça me plait, ce qu'il me fait faire. Je jouis comme pas possible et j'espère qu'il m'en fera faire encore plus. Il ne fallait pas ouvrir la boite de Pandore. Sur ce, je vais me coucher !

Alexandre vint me rejoindre quelques minutes plus tard, en échangeant un simple : « bonne nuit » de convenance.

Fatiguée, je ne tardai pas à sombrer dans les bras de Morphée. Je ne sus pas si Alex avait trouvé rapidement le sommeil, mais dans la nuit je m’étais réveillée, la chatte trempée, je venais de rêver que Sylvain m'enculait comme il avait l'habitude de faire durant mon sommeil. Je me suis caressée jusqu'à me faire jouir en imaginant mon amant alors qu'Alex ronflait à côté de moi.

En allant au travail comme chaque matin, à l’arrêt de bus, j'envoyais un texto à Sylvain afin de lui souhaiter une bonne journée et que je languissais de le revoir. Dans la matinée, je reçus de ses nouvelles, il remplaçait un collègue en maladie dans une commune proche de chez moi. Il me proposait de passer les nuits de mardi et mercredi à son hôtel. Toujours pressée de le revoir, j'acceptai sans même consulter mon mari. Le soir, j'annonçai la nouvelle à Alexandre :
— Je rejoins Sylvain à son hôtel mardi et mercredi soir et je me rendrai directement à mon travail.

La discussion qui s’en suivie fut vive, je conclus en lui disant sur un air narquois : « Désolée de profiter de la liberté sexuelle que tu m'as donnée, alors assume ! » Comme par hasard, Alex était rentré plus tôt du travail le mardi soir, cela m'avait évitée de lui laisser un mot. En sortant de la chambre avec un petit sac contenant des vêtements pour aller travailler et un nécessaire de toilette et maquillage, je vis les yeux d'Alex s'arrondir. Je portais une petite robe d'été légère et bien courte, avec un joli décolleté raisonnable :
— Mais tu ne vas pas sortir comme ça !
— Pourquoi qu'est qui ne va pas ?
— Le tissu est si fin qu'on fait plus que deviner la pastille de tes tétons !
— Et alors c'est joli et sexy, j'aime bien, comme ça personne ne se posera la question de savoir, si j'ai un soutif ou pas et puis il me veut comme ça. Allez mon chéri ! Viens embrasser ta petite salope de femme qui t'aime à la folie.

Je ne simulais pas, mon baiser était passionné, enfiévré, je lui murmurai à l'oreille qu'il est le plus merveilleux des hommes.
Alors que j'avançais vers la porte, Alex s'exclama :
— Mais Flo ! On voit ton cul, le tissu laisse deviner la raie de tes fesses.
— Ils sauront aussi que je n'ai pas de culotte ! Je suis certaine que ça te fait bander de savoir que ta femme, va se faire mater, allez je file mon amour, je t'aime à demain soir !

Les deux nuits passées avec Sylvain, furent courtes question sommeil, mais riches de jouissance et de plaisir. Récupérant doucement après un intense moment de plaisir, tout en me caressant sensuellement sylvain me dit :
— Il me semble que tu jouis bien plus fort quand je me vide en toi. Tu aimes sentir l'éjaculation jaillir dans ta chatte ou ton cul.
— Bien sûr que oui ! J'adore, c'est le plaisir ultime et même là, c'est bon de sentir ton sperme en moi et de le conserver.
— Tu préfères donc sans capote.
— C'est clair, il n’y a pas photo !

Lentement sans m'en rendre compte, le sommeil m'envahit. Le vendredi soir, je reprenais la route pour rejoindre Nîmes en emportant les effets que Sylvain souhaitait me voir porter. Après une soirée câline et une nuit calme, il me dit que le lendemain, une surprise de taille m'attendait. Il m’amènerait dans un club libertin où le thème de la soirée portait sur le BDSM. Il y aurait donc, d'autres Dominants offrant également leur soumise, à de nombreux hommes triés sur le volet, venant spécialement se vider les couilles, sans être pour autant pratiquants. Il tenait beaucoup à ce que je lui fasse honneur, il ne voulait pas être la risée du club, il devait être fier de moi :
— Je tiens à ce que tu me fasses honneur, je ne tiens pas à ce qu'on se raille de moi, c'est clair pour toi ?
— Je t'assure que tu seras fier de ta soumise.
— Donc demain, je veux que tu ne refuses rien de ce qu'on pourra te demander, totalement disponible, mais rassures toi je serai là pour veiller sur ma chienne soumise et la voir prendre du plaisir.

Le samedi-soir, nous prenions la route, en direction de ce club libertin.
À sa demande, je portais la petite robe qu’il avait commandé sur le net. Noire, moulante longueur mi-cuisse faite d'un tulle extensible, elle était scandaleusement translucide, elle révélait plus que ce qu'elle cachait, hormis une paire de bas autofixants, je n’avais rien d'autre si ce n'est, le collier de chienne autour du cou et une paire de sandales à talons hauts qui affinait ma silhouette. Cette robe moulait parfaitement et laissait plus que deviner, tous les reliefs de mon corps. Sylvain me trouvait délicieusement sexy et salope, j’étais heureuse de lui plaire, ça m'excitait, j’étais bouillante de désir.

Pendant le trajet, tout en me parlant ses doigts jouaient délicieusement avec mon clito et ma chatte, l'excitation et le plaisir que je ressentais altéraient quelque peu ma lucidité, le désir montait déjà en moi comme toujours quand j’étais avec lui. Il insista encore sur mon comportement, me rappelant ses précédentes consignes. Je lui avais répondu qu'il serait fier de sa soumise, que je serais la plus salope des chiennes, une vrai putain même.

C’était la première fois que j’allais dans ce genre de club. À notre arrivée, je vis des canapés ceinturant la grande salle, dont l’éclairage tamisé et l’ambiance qui y régnait faisait penser à une discothèque. Sylvain me tenait en laisse, nous nous étions installés au bar, vers l’entrée sur un côté où certains clients étaient installés, haut perchés sur leur tabouret avec une femme à leur côté, s’embrassant à pleine bouche pour certains. Je n’avais pas encore trente ans, j’étais de loin la plus jeune des femmes et la plus jolie et sexy d’après les dires de mon amant.

Je fus surprise, Sylvain connaissait beaucoup de monde, serrant la main à de nombreux hommes et faisant la bise à plusieurs femmes, en tenues très légères. Il se dirigea vers une femme, toujours maintenue en laisse, je le suivais comme un petit chien. Il discuta à l’oreille de la patronne sans doute, une pétasse d’un âge mûr, l’air mère maquerelle, en compagnie d’un certain Daniel, tenant également en laisse, Térésa sa soumise.
Sur les banquettes, des femmes se faisaient peloter par un ou plusieurs hommes. Je me revoyais quelques années plutôt en discothèque où je me donnais en spectacle discrètement. La différence avec cet endroit, était que l’on pouvait s’exhiber sans problème, sans que personne nous l’interdise.

À ce moment-là deux types se présentèrent à Sylvain et à Daniel.
— Messieurs, vous possédez là deux belles chiennes soumises. S'adressant plus particulièrement à Sylvain.
— La vôtre est sublime dans cette robe qui ne cache rien de son corps, si vous le permettez, nous souhaiterions les baiser et les faire baiser.
C'est Daniel qui répondit et Sylvain acquiesça.
— Mais avec plaisir, vous pouvez disposer de nos salopes et les utiliser comme bon vous semble.

Après avoir discuté avec eux un instant, Pierre et Édouard nous emmenèrent en nous tenant par la laisse, non pas dans une alcôve mais dans une grande pièce ouverte où à l’intérieur, un grand matelas rond était posé à même le sol. Je ne saurais dire combien de types m’étaient passés dessus, ni sur Térésa. Mais à un certain moment, suivant les ordres de son Maitre, elle était venue me caresser, me lécher et se faire sucer. Nous nous étions retrouvées dans un 69 nous aspirant le clitoris, le désir montait en moi, sa langue et ses doigts me faisaient beaucoup de bien.

Un homme s’impatientait, je vis devant moi, sa queue pénétrant son anus, ses bourses à quelques centimètres de mes yeux. Puis une deuxième bite prenait place dans le rectum de Térésa en double anal et sous les coups de boutoirs des deux types et du cunnilingus que nous vivions, nous avions pris notre orgasme. Nous buvions mutuellement notre jouissance, pendant que je reçus sur le visage, les yeux, le front et les cheveux, le sperme des deux types, après s’être débarrassés de leurs capotes.

Sylvain m’ordonna de me retourner, il voulait que je connaisse moi aussi la double anale. Alors que deux types avaient repris possession de Térésa, une belle queue bandante me sodomisa. Sous les encouragements de mon maitre, un autre type était venu prendre mon cul, mais le second ne bandait pas suffisamment, il n’était pas assez raide pour s’introduire profondément. Cela c’était traduit par une double pénétration classique. Sur ce matelas, avec Térésa nous avions eu droit à tout : Fellation, sodomie, double pénétration, même une double vaginale.

Je ne pourrais pas dire combien de temps cela avait duré, probablement une bonne heure, mais nous avions fini toutes les deux recouvertes de sperme des pieds à la tête. Nous étions parties nous laver, nous nous étions câlinées avant de retourner au bar où Sylvain et Daniel nous attendaient. J'avais récupéré en buvant plusieurs coupes de champagne, pendant une petite heure, durant laquelle, j’avais dansé avec des inconnus qui ne s'étaient pas gênés de me peloter et en discutant avec Sylvain et ce couple sympathique parlant que de sexe et du plaisir des hommes offrant leur soumise. Mais la soirée n’était pas terminée, Sylvain me dit :
- Allez suis moi chienne !

Sans plus attendre, Sylvain, en me tenant par la laisse m'avait amené dans une pièce dédiée au BDSM. Il y avait là toutes sortes d'instruments de , de la croix de saint André à la table de gynécologie tout ce qu'il fallait pour des jeux SM. Là, je reconnus immédiatement Brian, Kader et Michel, les trois hommes, auxquels il m’avait déjà offerte et quatre autres types. En voyant leur sexe à demi bandé d'une bonne dimension, je pensais que j'allais déguster. Aidé de Brian et de Kader, Sylvain m'attacha, à l'aide de bracelets aux poignets, à deux chaines scellées au plafond, distante de presque 2 m, puis fit de même avec mes chevilles fixées aux anneaux sortant du plancher. Je me retrouvais écartelée, les bras et les jambes en croix, au milieu de cette grande pièce capitonnée.

Ce fut Sylvain qui commença, le martinet s’était abattu sur tout mon corps. Si la violence des coups était supportable, les marques que portaient mes fesses, mon dos, mes cuisses, mon buste, mon ventre, mon entrecuisse, prouvaient qu’il ne faisait pas semblant. Tous ceci devant le regard excité des hommes s'apercevant que j'y prenais plaisir. J'entendais les commentaires : « Elle aime ça cette salope ! Regarde comme elle mouille sous les coups ! La salope, plus elle se fait taper, plus elle jouit !
— Allez les gars ! À vous de jouer, vous avez la cravache, le martinet ou vos mains. N’hésitez pas ! Elle aime ça.

Ayant l’autorisation du maitre, pendant plus de vingt minutes, je fus flagellée, frappée, claquée mais aussi caressée. Heureusement, cela me permettait de supporter la douleur. Si les coups de fouet de deux des quatre inconnus étaient timorés, les coups portés par les cinq autres étaient bien plus coriaces, les gifles de Kader, le martinet de Brian et surtout les coups de cravache de Michel étaient, quant à eux à la limite du supportable. Néanmoins, paradoxalement ma chatte suintait, je mouillais lorsque les caresses étaient intimes où lorsque des doigts me trituraient les mamelons.

Cette séance se termina ainsi, mais ce n’était pas terminé pour autant. Sylvain me détacha pour me placer sur le pilori où j’avais la tête et les poignets entre les deux plaques de bois, pliée en deux à l'équerre, les jambes écartées, fesses tendues, prisonnière et à la merci du groupe d’hommes qui venait de grossir. En effet, quelques voyeurs s’étaient joints aux premiers, j’avais à présent autour de moi, une bonne douzaine de types voulant se vider les couilles.

Dans cette position, j'offrais ma chatte et mon cul, mais aussi ma bouche. Je fus prise par tous mes orifices, je fus copieusement insultée, certains m'avaient craché au visage et Michel dans ma bouche. Si les six premiers dont les voyeurs avaient retiré leur capote avant d’éjaculer sur moi et dans ma bouche, les six derniers n'avaient pas mis de préservatif et s’étaient vidés en me sodomisant ou en me baisant le vagin. En ressentant cette douce chaleur couler dans mes entrailles, je jouissais de plus belle. À cet instant, je n’avais pas réagi, ni même protesté. À aucun moment, je n’avais pensé à dire le mot code, pourtant je fus, à la fois très en colère après Sylvain et en même temps, je jouissais et jouissais de nouveau, en sentant leur sperme m'éclabousser mes orifices. J’étais dans un état d’excitation pas possible, ma lucidité était irrationnelle, seule ma jouissance m'importait.

Sur le chemin du retour je restais silencieuse. Je m'en voulais, je n’avais pas su m’opposer d'être prise sans préservatif. Malgré ses propos rassurants, en m'affirmant que ces hommes étaient sains, le risque était bien réel. Sylvain venait de tromper ma confiance. Pourtant s’il avait demandé mon accord, il aurait sans doute eu mon approbation, je ne pouvais rien lui refuser. Alexandre avait probablement raison sur la perversité de mon amant. Je me trouvais odieuse, depuis mon départ de vendredi et le bisou de mon mari, je n'avais pas pensé une seule seconde à lui.

Ma décision était définitive, je ne reverrais plus Sylvain ! Je me sentais incapable de lui dire de vive voix, je savais pertinemment que lors de la discussion, j'aurais craqué devant ses arguments, il m'aurait retournée comme une crêpe, ma passion pour lui était trop grande. Je décidai donc de lui envoyer un texto durant le trajet retour du dimanche soir, d’ici là, je ferais comme si de rien n'était. Je sais, c'était lâche de ma part !

Sylvain venait de poser sa main en haut de ma cuisse, sa caresse était douce, j'écartai mes cuisses et ses doigts effleurèrent ma fente :
— Houlà un vrai marécage là-dedans ! Me dit-il
— Tu m'étonnes, avec tout le sperme que j'ai pris !
— J'ai vu que tu avais sacrément joui.
— Beaucoup oui, suis vannée maintenant. Dis-moi ! Tu as été fier de ta chienne soumise ?
— Plus que fier même, bien au-delà de mes espérances. Tu m'as comblée !

Je n'avais pas vu passer le reste de la nuit, j'avais ouvert un œil vers 11 h, hormis quelques courbatures, je me sentais relativement bien. Avant de passer sous la douche, je m'observais dans la glace, mon corps était marqué par de nombreuses zébrures. Je sortais nue de la salle de bain, douchée, coiffée et maquillée lorsque Sylvain me dit : « Nous allons manger une grillade chez Brian, tu partiras directement de chez lui, l'autoroute est toute proche ». Je préparai mon petit bagage, j'enfilais la robe que j'avais à mon arrivée, je ne l'avais pas portée de tout le week-end. Sylvain m'enlaça, m'embrassa tout en vérifiant si j'étais bien nue sous ma courte robe.

— C'est très bien, tu as compris qu'une bonne chienne soumise ne met jamais de culotte. Mais tu mouilles déjà, sale pute, tu as encore envie de te faire déglinguer.
— Oui j'ai envie de ta bite la sentir bien en moi.
— T'inquiète, en plus de la mienne, tu auras celle de Brian, Kader et Michel.
— Vous irez mollo, car suis un peu meurtrie avec ce que j'ai pris cette nuit !

Je souhaitais qu'il ne se doute de rien, car si la discussion s'engageait sur la raison qui m'amenait à ne plus le revoir, je savais pertinemment que je céderais et je continuerais cette relation. La preuve, je l'avais en moi avec cette envie de le sentir me pénétrer, de jouir de ses coups de rein. Le repas fut bien sympa et animé et l'après-midi très crapuleuse. Tous les quatre m'avaient donné du plaisir, j'avais joui plusieurs fois, ils s’étaient tous vidés, soit dans mes fesses ou dans mon vagin, j'étais pleine de leur sperme. Sylvain m'ordonna de mettre une culotte, je n'avais qu'un string qui fit l'affaire et il ajouta :
— Je veux que ton cocu de mari, voit comment je remplis ma pute de sperme.

J'embrassai les quatre hommes et pris le chemin du retour. Dès la première aire de repos sur l'autoroute je m'arrêtais pour lui envoyer le SMS.
« Tu as trompé la confiance que j'avais en toi en autorisant ces hommes à me prendre sans préservatif, jamais je ne t’avais donné mon accord. Ma décision est ferme et définitive, notre relation s'arrête là. »
Ce ne fut qu'une fois arrivée chez moi que je pris connaissance de sa réponse « Dommage pour toi », j’avais une folle envie de lui demander des explications, mais la raison m'empêcha de l'appeler.


Alexandre était tout heureux de me retrouver, moi aussi mais intérieurement, je culpabilisais sur ma conduite, je sentais en moi gonfler mon désespoir d'avoir quitté mon amant mais surtout d'avoir mis à mal les sentiments de mon couple. D'une voix nouée j'essayais de parler.
— Si tu savais Alex ... si tu savais ce ...

Tout remonta et j'éclatai en pleurs. Je racontais tout à mon chéri, qui avais su prendre sur lui, la passion que j'avais pour cet amant. Il trouva les mots pour me réconforter. Il n'avait jamais douté de mon amour et de mes sentiments à son égard. Sachant que j’allais réagir, il n'eut aucune parole déplacée envers Sylvain, il avait juste essayé de m'alerter. Durant plus d'un mois Alexandre avait dû mettre des préservatifs et quel grand ouf de soulagement, lorsque nous avons reçu les résultats négatifs de mes analyses.

Depuis ce week-end-là, voilà près un an, j'ai connu d'autres amants, Alexandre me les présente parfois ou pas, maintenant nous fantasmons tous les deux car j'aimerais avoir un amant black et mon mari m'y encourage. Cependant, je sais encore aujourd'hui qu’il suffirait d'un simple coup de fil de Sylvain pour que j'aille le retrouver, car cet homme je l'ai dans la peau.


Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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