Première Sodomie, Préparation Du Mariage
Norbert m'a annoncé qu'il avait fixé la date de notre mariage. Je suis folle de joie. Enfin je vais lui appartenir entièrement. Nos rencontres dans son appartement deviennent de plus en plus dures à gérer. Je ne veux pas qu'il me prenne avant le mariage, c'est bête mais c'est une question de principe. Seulement quand je suis nue contre lui, que je sent sa grosse bite sur mon ventre, j'ai du mal à me retenir. Il m'a fait franchir un nouveau pas. Un jour, alors que je lui suçais le zob (j'adore ça sentir une belle pine dans ma bouche, la lécher, la faire cracher son foutre que j'avale avec délice) , il me saisit la tête et la recula.
- J'ai envie d'autre chose.
- Je ne veux pas que tu me baises avant le mariage. Je t'en prie mon chéri, tu m'as promis de ne pas le faire.
- Chérie tu as trois trous, tu m'as déjà donné ta bouche, tu ne veux pas que je prenne ta chatte, je te l'ai promis, je ne le ferais pas. Mais il reste ton cul.
- Oh non ! tu vas me faire mal, tu es trop gros.
- N'ai pas peur mon amour, tu es souple et je vais encore te l'assouplir. Tu verras, tu vas aimer cela. D'ailleurs si tu veux être prise par trois mecs en même temps, il faut que tes trois trous soient disponibles.
- Je ne veux pas être prise par d'autre que toi.
- On verra, et pour ton cul c'est daccord ?
- D'accord mais si j'ai mal tu arrêtes tout de suite.
- OK
Norbert se dirigea vers un placard et en sortie un objet comme je n'en avais jamais vu.
- Qu'est-ce que cest ?
- C'est un gode pour t'assouplir le cul. Tu vois il va en s'évasant vers la base. Mes-toi à quatre pattes sur le lit.
Je fis ce qu'il me dit.
- Non pas comme cela, met ta tête sur le lit, tourne ton cul vers la fenêtre, notre spectateur est là.
Là encore j'obéis, j'aimais quand il me dirigeait ainsi, qu'il m'exhibait. Mon voyeur était là, comme à chaque fois. Je soupçonnais Norbert de le prévenir les jours où je venais.
- La, il est au fond. Tu vas rester quelques minutes comme cela.
J'imaginais la vue que je devais offrir à notre voisin. Les cuisses écartées, la chatte ouverte et ce gode dans le cul, il devait se branler en me matant. A cette idée, ma chatte se mit à couler. Norbert s'était servi un whisky, il revint vers moi et passa sa main sur ma moule.
- Mais tu mouilles ma salope, ça te plaît ce gode dans le cul.
- Oh oui ! mais ce n'est pas ça qui me fait mouiller.
- C'est quoi alors ?
Je n'osais lui répondre.
- Vas y, dis le
- C'est l'idée du voisin qui me mate.
- Salope tu es vraiment une pute, je vais lui dire de venir, il va pouvoir profiter de toi lui aussi, depuis le temps qu'il se branle en te regardant.
- Non je t'en prie, exhibe moi tant que tu veux, mais je ne veux pas qu'un autre homme me touche.
- Pourtant l'autre fois, à la boite et dans le métro, tu t'es bien laissé faire.
- Oui mais je n'étais plus moi-même. Je ne veux plus recommencer.
- Bon d'accord. On en reparlera. Fais voire ton cul.
Il retira le gode.
- OK, t'es bien ouverte. Je vais pouvoir t'enculer. Mais avant tu vas me faire une pipe pour me mettre en forme.
Il s'installa devant moi. J'avais toujours le cul tourné vers le voisin. Maintenant il pouvait voir ma chatte et mon cul ouvert. Je me saisi du braquemart de Norbert et l'engloutis jusqu'aux couilles. Après quelques instants, il m'arrêta.
- Aller, viens te faire enculer poufiasse.
Norbert m'attira vers lui.
- Met toi face à la fenêtre que notre voisin en profite puisque tu ne veux pas qu'il vienne.
Je me tournais face à la fenêtre. Maintenant je voyais notre voyeur. Il me fit un petit signe et me montra sa bite. Elle était énorme, il bandait comme un âne.
- Viens t'asseoir sur ma queue.
Je me laissais descendre. Quand je sentis le gland appuyer sur ma rosette, j'eus un instant d'hésitation, mais Norbert qui me tenait aux hanches appuya. Le gland m'écarta les sphincters. C'est vrai que je n'eus pas mal, il m'avait bien ouverte avec son gode. Je sentis la bite m'envahir, m'écarter le cul. C'était une sensation extraordinaire.
- C'est bon ?
- Oui mon amour.
- Descend encore, je vais te la mettre jusqu'aux couilles.
Quand je me retrouvais assise sur ses cuisses, je poussais un soupir. Sa bite m'emplissait d'une manière extraordinaire, c'était formidable. Elle me défonçait, mais me sentir emplie comme cela était un tel bonheur que j'acceptais la souffrance toute relative.
- Branle toi
Mon doigt se porta sur mon clitounet que je caressais doucement. Ainsi prise, la bite de Norbert me défonçant la rosette, mes cuisses largement écartées, j'offrais à notre voisin un spectacle qu'il avait l'air d'apprécier beaucoup. Ses yeux exorbités se fixaient sur ma chatte que je branlais et ma rosette défoncée par la bite de Norbert. Il se masturbait lentement lui aussi, j'avais déjà remarqué qu'il faisait toujours durer sa branlette pour jouir en même temps que nous. Dans cette position je profitais pleinement de la situation puisque je pouvais le voir me mater, se branler. Cela m'excite encore plus. Mon doigt s'agitait sur mon clito, de mon autre main je maintenais ma chatte bien écartée afin que le voyeur n'en perde pas une miette. Norbert me pinçait les tétons, les tordait, tirait dessus.
- Tu me fais mal.
- Mais tu aimes ça salope. Je sens ta mouille qui me coule sur les cuisses.
C'est vrai que j'aimais ça.
- Coulisse sur ma bite chérie.
Prenant appui sur mes mains je remontais le long de sa colonne jusqu'à ce que le gland atteigne ma rosette, puis je me laissais retomber d'un seul coup.
- Ben ma salope, on peut dire que ça te fait de l'effet d'être enculée.
- C'était merveilleux mon chéri. J'ai joui comme une folle.
- Tu vois je te l'avais dit. Et crois-moi à trois c'est encore mieux.
- Non chéri, pas question.
- Tu y viendras, tu verras.
Il se faisait tard. Je courus dans la salle de bain me laver la moule. Je me rhabillais. Ce fut vite fait, car comme Norbert me l'avait imposé, je ne portais ni slip, ni soutien-gorge. Juste un pull très moulant qui laissait deviner mes seins et un mini kilt très très court. Au moment de dire au revoir à Norbert il me dit
- Penche toi en avant et écarte les fesses.
- Non chéri, je n'ai plus le temps.
- Ce n'est pas pour te baiser.
Je fis comme il me demanda, l'habitude aidant, je me mis cul vers la fenêtre.
- Bien petite salope, je vois que tu y prends goût.
Il s'approcha de moi et m'enfonça dans le cul un objet bizarre.
- Qu'est-ce que cest ?
- Un anus picket, c'est pour t'élargir. Vient voir.
Il m'amena devant son armoire qu'il ouvrit. Une collection de gode de toutes tailles étaient alignés, certain avec des courroies dont je devinais l'utilité. A côté, une dizaine d'objet de forme conique et plus étroit à la base.
- Tu vois la partie renflée vas t'élargir, et ta rosette se resserrant sur la base va l'empêcher de tomber, quand à cette partie plate, elle l'empêche de remonter dans ton cul. Tu vas le garder une semaine sans l'enlever. La semaine prochaine je te mettrais la taille au-dessus. Regarde il y a toutes les tailles.
- Mais mon chéri, avec mes jupes courtes on me voit le cul en permanence.
- Ce n'est pas grave, et ne me dis pas que tu n'aimeras pas ça, je ne te croirais pas.
- Et maman. Elle n'a déjà rien dit quand elle s'est aperçue que je ne portais plus de culotte. C'est bizarre d'ailleurs, ça à l'air de l'amuser. A chaque fois qu'elle invite notre voisin elle en profite pour m'asseoir en face de lui. Ce vieux salaud n'en perd pas une miette. Il ne se cache même plus pour me mater. Quand je monte les escaliers il me fait passer devant pour reluquer mon cul. Il va tout de suite comprendre en voyant l'anus picket.
- Et alors ça te gène ?
Je dû avouer que non.
- Alors garde le et rentre vite. Au revoir ma chérie.
- Au revoir mon amour.
Je me retrouvais dans le métro, la sensation de l'anus picket dans mon cul n'était pas désagréable. Il n'y avait qu'un inconvénient, ça me faisait mouiller en permanence. J'avais l'impression que tout le monde était au courant. Il est vrai que la présence de cet objet me forçait à marcher le cul légèrement écarté, et puis avec mes yeux cernés, ma bouche gonflée par les pipes, bien mise en valeur par le rouge à lèvre qui l'agrandissait encore, mes tétons qui pointaient à travers mon pull tant la présence de l'anus picket les faisait bander et ma mini qui arrivait au ras des fesses j'avais l'air de ce que j'étais, Une salope qui venait de se faire enculer.
 
Dans deux jours je me marie. Ce soir mes copines ont décidé de m'emmener au bain turc pour me préparer. Devant mon étonnement, elles m'ont déclaré vouloir faire une surprise à Norbert, quelque chose qui lui fera très plaisir.
Huit heures. Rosine sonne à la porte, à son habitude, elle est vêtue très court, porte un chemisier transparent. Mon frère se précipite pour l'embrasser et en profite pour lui glisser une main sous la jupe. Rosine se marre et lui roule un patin. Nous sortons. Notre succès, dans le métro, est fou. Nous sommes le point de mire de tous les mâles présents. Nos tenues provocantes, notre attitude, excitent tous ces mecs. Rosine m'embrasse de temps en temps, les gars n'en peuvent plus. Bien que le métro ne soit pas bondé, elle s'est plaquée contre un mec et agite son cul sur sa bite. Le pauvre type est tout excité.
Nous sommes arrivées. Rosine me fait entrer dans le bain turc. Elle a l'air d'y être connue, la réceptionniste lui roule un patin. Elle nous tend nos serviettes. Dany et Julie sont déjà là. Elles nous attendent. Nous nous déshabillons et les rejoignons.
Mes trois copines me font entrer dans l'eau qui est très chaude, elles me lavent. C'est bon de se laisser faire ainsi. Je me détends. Ces mains qui parcourent mon corps, me caressent plus qu'elles ne me lavent, me font du bien. C'est la première fois que je suis caressée par des filles, à ma grande surprise je ne déteste pas.
Rosine me prend par la main et me fais sortir de l'eau. Elle en profite pour me serrer contre elle et me rouler une pelle. Après un instant de surprise, je réponds à son baisé. Ses mains parcourent mon corps, me caressent les seins, elle s'empare de ma chatte, son doigt glisse sur mon clitoris, le titille. Je pousse un gémissement de plaisir.
- Vous avez vu les filles, on nous a changé notre Danielle.
Rosine m'entraîne vers la table de massage. J'ai un recul, un beur d'une vingtaine d'année nous y attend. C'est le masseur.
- Allonge toi me dit-il.
Je m'étends sur le dos.
Dany prend la parole :
- Attend avant de la masser, il y a une petite formalité à accomplir.
Elle s'empare d'un sac sous la table de massage et sort un nécessaire à épiler.
- Mais que fais-tu.
- Nous allons t'épiler la chatte, ainsi tu seras complètement nue pour ton mariage.
- Mais ça va faire mal.
- Mais non ma chérie, je le fais régulièrement.
Dany fit chauffer la cire qu'elle étala ensuite sur mon pubis. Le masseur immobile me contemplait. Dany me fit écarter les cuisses pour m'épiler partout. Puis elle me demanda de me retourner pour m'épiler également la rosette. Brusquement je songeais à l'anus picket que j'avais toujours (j'en étais à l'avant dernière taille), et je rougis. Je me mis cependant sur le ventre, les fesses écartées.
- Regardez. Qu'elle salope cette Danielle elle nous avait cachées ça. Quel braquemart. Tu vas avoir le cul le plus accueillant de Paris.
Ahmed, le masseur, c'était approché, très intéressé. Il avait sorti sa bite et la caressait.
- Je ne veux pas qu'il me touche, m'écriais-je. Il regarde tant qu'il veut mais c'est tout.
- Ne t'en fais pas on va s'occuper de lui.
Dany enleva l'anus picket pour m'enduire de cire. Ma rosette resta béante, offerte. Cette situation commençait à m'exciter sérieusement. Ma chatte coulait, mes tétons bandaient, ainsi que mon clito. Je n'osais me branler à cause de la cire. Rosine se rendit compte de mon état.
- Attend ma chérie, dès que tu seras épilée on va s'occuper de toi.
Dany, jugeant que la cire était assez prise, tira dessus. Je poussais un cri de douleur, mais c'était fini. J'avais la moule et le cul aussi lisse qu'une gamine. Julie m'amena devant un miroir.
- Regarde chérie, tu es encore plus excitante comme cela. On dirait une gamine vicieuse avec ta moule toute lisse, ta bouche à pipe et tes yeux cernés, tu vas faire bander tous les mecs. Regarde Ahmed, il n'en peut plus.
C'est vrai que l'effet était saisissant. Mes grandes lèvres étaient gonflées par le désir, elles s'écartaient d'une manière obscène, laissant pointer mon clitoris.
- Vient te faire masser.
Ahmed s'approcha de la table où je m'étais allongée. Il s'enduisit les mains d'huile odorante et commença à me masser. La sensation était extraordinaire. Ses mains étaient douces, légères. Elles parcouraient toutes les parties de mon corps sans s'attarder nulle part, du moins au début. Peu à peu, elles se mirent à insister sur mes seins qui durcirent, les tétons gonflés par le désir me faisaient mal. Puis il descendit vers la chatte, massant mon pubis glabre, me forçant à m'écarter, il me massa l'entrecuisse remontant vers la moule qu'il effleurait sans jamais s'y arrêter. Puis il me retourna sur le ventre, m'écarta les fesses, me massa la rosette, l'écartant. Je n'en pouvais plus. Mes bonnes résolutions s'envolaient. Il est vrai que depuis quelques mois Norbert avait tout fait pour cela, me révélant peu à peu mon goût pour l'exhibitionnisme, la jouissance, la bite. Je ne voulais plus qu'une chose, qu'on me bouffe la chatte, qu'on m'encule. Tant pis pour mes bonnes résolutions. J'étais trop excitée. Je me saisis de sa bite qui était énorme. J'entrepris à mon tour de le masser. Ma main n'en faisait pas le tour. Ahmed se présenta devant mon visage, sa bite à hauteur de mes lèvres. Je caressais le gland avec ma langue, puis toute la longueur de la pine. Je lui léchais les couilles, j'ouvrais grand la bouche pour l'engloutir. Il s'enfonça jusqu'aux couilles. Je faillis , mais que c'était bon cette grosse bite. J'avais les mâchoires écartées au maximum. Je remontais le long de sa colonne creusant les joues pour mieux le caresser. Je jouais avec son gland, le léchant, faisant glisser ma langue autour, le mordillant. Soudain une langue s'empara de ma chatte, la léchant sur toute la longueur, aspirant mon clitoris, je ne sais pas qui avait entrepris de me bouffer la moule, mais c'était une (ou un) expert. La bite d'Ahmed me ramonait toujours la bouche, je la relâchais pour lui lécher le gland. Julie en profita pour l'avaler. La salope elle me laissait sur ma faim. Me voyant déçu, Dany s'installa devant moi, la chatte à hauteur de ma bouche.
- Suce moi ma chérie, il y a longtemps que j'en ai envie.
C'était la première fois que je bouffais une moule, j'hésitais un instant, puis me décidant, je pointais ma langue dans sa vulve béante, la léchais, je lui attrapais le clitoris et me mis à le sucer, il était long, et je pouvais lui appliquer le même traitement qu'à une bite. Ma bouffeuse soudain abandonna ma chatte. Je poussais un gémissement de frustration. Mais Dany me tenait la tête m'empêchant de me retourner. Soudain deux mains se posèrent sur mes fesses, les écartant, un gland se posa sur mon cul qui avait était bien lubrifiée par Ahmed, lors de son massage. Je sentis le gland appuyer sur la rosette, je m'écartais au maximum pour faciliter la pénétration. D'un coup il força mes sphincters et s'enfonça sur toute sa longueur. Quelle sensation, la bite était énorme, bien que mon cul soit très souple depuis les séances d'anus picket, j'avais la sensation que j'allai être ouverte en deux, mais c'était une sensation merveilleuse. La bite commença à me ramoner les intestins, à chaque fois qu'elle atteignait ma rosette, je reculais mon cul pour qu'elle revienne, et mon enculeur me l'enfonçait d'un grand coup de rein m'arrachant des hurlements de plaisir. Je mordais la chatte de Dany sous l'emprise du plaisir, mais celle-ci loin de protester, semblait apprécier le traitement, sa mouille me coulait dans la bouche, je la buvais avec un plaisir immense. Je fourrais ma langue partout où je pouvais, l'enfonçant dans sa chatte, dans son cul. Lui bouffant le clito. Elle jouissait en permanence. Julie continuait sa pipe sur Ahmed qui ne me quittait pas des yeux. Ses yeux exorbités étaient fixés sur le braquemart qui me défonçait le cul.
- Vas-y encule la, bourre lui le cul, elle aime ça cette chienne, regarde comme elle remue son cul pour que tu active. Elle aime se faire défoncer.
Soudain Ahmed ne put plus se retenir, la pipe savante de Julie et le spectacle que nous lui offrions, vinrent à bout de sa résistance. Il cracha tout son foutre. Julie se précipita vers moi, et me roula un patin, recrachant dans ma bouche le sperme d'Ahmed que j'avalais avec délice. Ceci déclencha mon orgasme. Mais mon enculeur était infatigable, il ne déchargeait toujours pas. Je compris soudain pourquoi, quand Ahmed dit :
- Allez les filles on ferme.
La bite libéra mon cul qui resta béant. Une sensation de vide m'envahit. Je me retournais et à ma grande surprise, je constatais que mon enculeur était Rosine, qui s'était harnaché avec un gode ceinture. Le spectacle était troublant. Cette belle fille, dotée d'une poitrine magnifique, avec ce zob. Elle ressemblait à un transsexuel.
J'arrivais chez moi épuisée par cette soirée. Je me déshabillais éteignis la lumière et m'endormit en rêvant à Norbert et à ma séance au hammam revivant toutes les séquences, ce qui me fit encore mouiller.
Le grand jour est arrivé. C'est aujourd'hui que je me marie, et que je vais perdre mon dernier pucelage. Je suis tout excitée à cette idée. Mes copines ont dit qu'elles me prépareraient pour cette soirée.
A quatorze heures, Rosine, Julie et Dany sont là. La maison est en effervescence. Mes copines s'enferment avec moi dans la chambre.
- A poil, me dit Rosine, et allonge toi sur le lit je vais te maquiller.
Etonnée de devoir me déshabiller et m'allonger pour cette opération, j'obéis. Rosine sort de son sac un bocal qui contient un liquide rouge sang. Elle s'empare d'un pinceau et me peint les lèvres, elle me dessine une bouche plus large que la mienne, une vraie bouche d'avaleuse de bites. Puis quand la bouche fut terminée, elle entreprit le même travail sur mes tétons, puis sur ma chatte, peignant les grandes lèvres, dégageant bien mon clitoris pour le recouvrir également de ce liquide dont j'ignore la destination. A mes questions Rosine se contente de sourire en me disant :
- Il faut que tu sois belle pour ta nuit de noce.
Elle me fit replier les cuisses pour bien dégager ma rosette qu'elle maquilla également.
Son travail terminé elle m'ordonne de ne pas bouger avant que le liquide ne sèche. Etendue sur mon lit, j'attends. Mes trois copines me regardent en souriant. Je me demande bien pourquoi. Au bout d'un quart d'heure, une sensation étrange m'envahit. Mes tétons se mettent à bander, ils gonflent, durcissent, se tendent. Mes grandes lèvres suivent le même chemin, doublant de volumes, mon clito s'allonge, ma bouche me démange, ma rosette est en feu, ma chatte s'ouvre et commence à mouiller.
- Que se passe-t-il ? Que m'as tu fais ?
Rosine éclate de rire.
- C'est un liquide excitant, au fur et à mesure que la journée va avancer, tu seras de plus en plus excitée. Tu ne désireras qu'une chose, te faire baiser. Ta chatte sera ouverte en permanence. Regarde déjà le résultat.
Elle tend un miroir devant ma chatte. Quel spectacle. Mes grandes lèvres gonflées et écartées laissent voir ma vulve. Mon clitoris, qui n'a jamais atteint cette taille, même au cours de mes branlages les plus furieux, pointe d'une manière indécente, comme un doigt qui indiquerait le chemin à suivre. Le rouge qui les enduit les rend encore plus obscène. Je mouille comme une chienne sans même me toucher.
- Debout maintenant, il faut t'habiller.
Rosine m'attache un porte-jarretelles blanc au quel elle fixe des bas de même couleur, puis elle me présente un slip brésilien très échancré que j'enfile, très étonnée, je navais plus lhabitude de porter des slips. Rosine me remonte le slip très haut pour qu'il pénètre bien dans ma raie culière, puis, écartant mes grandes lèvres, elle glisse sa main sur ma vulve pour qu'il pénètre bien ma chatte. Celle-ci dépassent sur les côtés du slip. Elle m'enfile ensuite un soutien-gorge si fin et si transparent que mes tétons, qui il est vrai ont doublé de volume et de longueur, pointent à travers. J'enfile ensuite ma robe de mariée. Les tétons continuent leur percée. On dirait qu'ils veulent se retrouver à l'air libre. Chaussures à très hauts talons, coiffure. Me voilà prête. Quand j'apparais dans le salon un sifflement admiratif m'accueille.
La journée s'est déroulée d'une manière merveilleuse. Le soir est arrivé. Comme l'ont prévue mes copines, je suis dans un état d'excitation comme je n'en ai jamais connu. Le frottement du slip sur mon clitoris et ma vulve me fait mouiller en permanence. Je ne compte plus mes orgasmes. Mon slip est trempé. Les mâles présents, qu'ils soient de la famille ou non, ont tous la même attitude. Quand ils dansent avec moi, ils se collent contre mon corps, je sens leurs bites qui bandent contre mon ventre. Ils me sentent en chaleur, comme les chiens flairent les chiennes, et puis danser avec une jeune pucelle qui va y passer ce soir, ça les excite. Ce n'est pas fait pour me calmer. Norbert a demandé à notre voisin d'assurer l'animation. Celui-ci avec quelques amis brésiliens et antillais a formé un orchestre. Samba, lambada, toutes ces danses sud-américaines sensuelles ont fait monter la fièvre dans la salle. Tout le monde est chauffé à blanc.
A minuit, Arsène, notre voisin et voyeur, prend le micro.
- Mesdames et messieurs, nous allons passer à la cérémonie traditionnelle. La mise aux enchères de la jarretière de la mariée. Mais pour faire quelque chose de plus original, le mari a décidé de mettre aux enchères les dessous de son épouse.
Un tonnerre d'applaudissements éclate dans la salle. Rouge de honte, je hurle :
- Non pas ça.
Je m'enfuis dans une pièce voisine.
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