Leslie Nr54 : Le Train De Nuit
Leslie NR54 Nouveaux récits
Rencontres insolites Le train de nuit
Il est vingt-trois heures, le train de nuit démarre enfin
Cest la fin de lété et elle rentre chez elle à Paris, elle est seule dans le compartiment, et sinstalle tranquillement en rêvant dune nuit calme bercée par le seul bruit des roues sur les rails. Elle préfère voyager de nuit.
Elle porte une minijupe et un corsage transparent qui laisse deviner ses petits seins nus aux petites aréoles roses, sa petite poitrine ferme na aucun besoin dartifices pour se tenir, dautant que ses tétons très érectiles sont souvent dressés.
En dessous des bas et des chaussures à talons hauts et surtout un minuscule petit string blanc, ouvert, elle adore provoquée discrètement car elle sait quon peut voir son string si elle desserre un peu les jambes ou si elle fait un mouvement, et on peut même découvrir son sexe toujours soigneusement épilé.
Elle est, à ce que lon dit, une jolie femme de vingt-huit ans, séduisante, blonde, yeux verts. Elle plait aux hommes et ne refuse pas une aventure avec un homme qui lui plaît et les jolies femmes ne la laissent pas indifférentes, oui elle est bi-sexuelle.
Un groupe de trois types ouvre soudain la porte de son compartiment, trois noirs, ils sont gigantesques, énormes et leur attitude ne fait pas de doute sur leurs intentions.
Ils le disent et ils lui font bien comprendre aussi, elle va y passer. Elle me maudit de sêtre habillée de façon aussi courte et sexy, bien que le contraire naurait certainement rien changé
Ils lobservent, ironiques. Elle a envie de sortir et de senfuir, mais la peur lempêche de bouger, elle est tétanisée, une peur incroyable lenvahit, et elle prend soudainement conscience quils vont la violer, maintenant elle en est sure.
Elle narrive même pas à limaginer, mais elle est certaine que ce sera le cas
Ils sinstallent, lun à sa droite et les deux autres sur la banquette en face delle, et lun deux ordonne :
- Ecarte tes cuisses, salope.
A ce moment le type à côté delle passe son bras droit autour de son cou et commence à lui peloter la poitrine de sa main gauche, comme elle ne porte pas de soutien-gorge, il sen aperçoit, et dit :
- Elle est nue, poitrine offerte !
- Le minimum sur sa chatte, déclare lun deux en face delle.
- Elle nous attendait, déclare le dernier.
Ils ouvrent son chemisier et libère ses seins quils se mettent à palper durement.
En même temps, celui den face se penche et lui écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. Elle a les seins à lair et la jupe remontée haut, et disent :
- Oh la salope ! tu as vu comme elle est sapée cette gonzesse, pratiquement rien sur elle, on ne va pas la décevoir
Le noir placer à sa droite lui met directement la main sur la vulve, il ouvre le string fendu et plonge directement un doigt dans sa fente, elle hurle sachant que personne ne viendra
Il lui fouille le sexe, elle est désespérée de la situation, mais elle sent quelle mouille malgré elle et sen veut de prendre du plaisir et de lui montrer.
Puis il la place au milieu du compartiment et lui relève sa minijupe jusquà la taille, en ayant toujours le corsage ouvert sur ses seins nus à lair, elle est à la merci de ces trois noirs lubriques.
Elle imagine leur désir et lexcitation quelle provoque avec le spectacle quelle leur offre ainsi troussée, les seins à lair et la jupe retroussée sur la taille, dévoilant son string ouvert qui ne cache même plus sa vulve glabre
Les jambes à demi écartées, son string fendu voir sa vulve humide aux lèvres bien visibles déjà entrebâillées, la rendant prête à lemploi, et les jarretelles et les bas lui donne un air encore plus désirable, quant à ses seins fièrement dressés aux pointes déjà durcis qui dansent à chaque mouvement, lempêche de cacher son désir.
Lun deux lui arrache son string et ils la scrutent, la palpent et lui caressent toutes les parties sensibles de son corps, elle sent des mains partout sur son corps et des doigts entrent et sortent de tous ses orifices.
Ils ont, maintenant, tous sortis leur membre, ils sont énormes, longs épais, noirs, aux glands luisants, dressés, érigés, durs, palpitants, menaçants, prêts.
Elle ne peut sempêcher de les comparer aux sexes de ses ex, ils sont tous, et de beaucoup, plus gros, plus longs que ce quelle a déjà vu et enduré en lui donnant du plaisir, dans le passé.
Elle est maintenant résignée, soumise, ouverte, consentante, elle attend linéluctable, quils la baisent, la défoncent et la possèdent comme ils veulent. Elle na quune hâte, cest de jouir, longtemps et de nombreuses fois, mais elle ne veut pas être déchirée et espère quils seront doux.
Elle frissonne dimpatience et de peur mélangées dans cette attente insoutenable, même si elle sait quelle va être violée encore et encore, des viols multiples et répétitifs.
Elle simagine déjà subissant leurs assauts, elle en frissonne et lenvie quils la pénètrent, devient insoutenable
Elle est maintenant devenue une femelle en chaleur, les idées lui ont tournées la tête, elle a le feu aux joues et les gouttes de sueur qui perlent à son front démontrent quelle est au bord de la jouissance, et rien nempêche sa bouche de souvrir pour dire :
Bande se salauds, violez-moi puisque cest ce que vous voulez !
Le premier la soulève et en la basculant sur lui, il force sa vulve. Son membre est trop gros pour entrer en une fois, mais ses lèvres humidifiées de sa liqueur souvrent sous la poussée du gland, sécartent pour laisser le membre entrer, il la pénètre au plus profond delle, jusquau fond du vagin.
Elle crie car cest gros, mais aussi de plaisir, ses muqueuses sont envahies, écartées, son clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse bite, son vagin est rempli, plein de cette virilité dure,
Puis en allant et venant, il senfonce sans relâche délicieusement tout au fond delle, qui de ses yeux écarquillés ce sexe noir démesuré qui rentre en elle, qui va et vient dans son intimité, elle est baisée comme jamais elle ne las jamais été.
Toute cette jouissance lui fait oublier les deux autres, ils sont là attendant patiemment leur tour, car comme elle ils savent que cela ne fait que de commencer et que le voyage va être long
Ils ont le temps et elle pressant quelle va déguster
Soudain, elle sent que lon écarte ses fesses et quune langue râpeuse lui lèche lanus, un bon moment après, alors quelle sent son illet est bien humide, elle sent quun énorme gland se place à lentrée de son anus.
Elle ne veut pas, et crie pour qui veut lentendre :
- Non, non, pas par-là !
- Tu nas pas le choix, lui réponds une voix grave dans son dos.
Puis elle sent le gland rentrer au contact de ses chairs rectales intimes, puis une poussée, la force, lui faisant mal.
Elle gueule comme jamais, la douleur est insupportable, mais il pousse encore, il va la déchirer, mais enfin il entre le gland en elle et elle jouit tellement de celui qui la baise que son anus sans le vouloir souvre, ce qui facilite involontairement lintroduction du membre dans son anus.
Il rentre petit à petit un peu plus, elle hurle de douleur, elle le sent sinsinuer petit à petit dans ses chairs les plus intimes et soudain avec un grand coup de rein il sest enfoncé jusquà la garde, son ventre est scellé à ses fesses, il lencule et elle prend toute la longueur de son membre raide dans le rectum, elle nose imaginer jusquoù il va, son anus est totalement distendu, anormalement dilaté, mais il est entré, il est au fond delle, sest insensé, elle est prise en sandwich par deux membres aux dimensions démesurées.
La douleur se calme doucement, remplacée par une excitation nouvelle, une chaleur, il synchronise ses mouvements sur celui qui lui ramone la vulve, son esprit chavire au bord de la perte de conscience.
Ce viol monstrueux lui procure un orgasme démentiel, elle crie et gueule, lenculage doublé de la baise lui procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées, cest incroyablement bon, ses orgasmes se succèdent
Les uns après les autres ils se déversent en elle en puissantes giclées, lorsque lun se retire dun de ses orifices, un autre arrive immédiatement et le remplace, sans cesse elle est prise par la chatte et le cul qui sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, ils rentrent maintenant en elle sans problème et souhaite que ça ne sarrête jamais.
Sa peur a fait place au plaisir et elle saperçois quelle aime ça, elle jouis en continuité, sa bouche continuellement obstruée pas un sexe au fond de sa gorge, lempêche de hurler et seuls quelques gémissement se font entendre.
Et cela recommence, encore et encore, ils nont pas de cesse
Ils la prennent, devant, derrière, dans la bouche, chacun à leur tour, ils entrent, ils sortent, ils le baisent, lui défoncent le cul, ils jouissent lui remplissant tous les orifices, ils nt delle comme ils veulent au gré de leur pulsion.
Elle est haletante, épuisée. Elle a le cul en feu et le ventre douloureux, la bouche meurtrie, le corps poisseux parcouru dincessantes ondes de plaisirs.
Plus tard, bien plus tard, ils la laissent seule dans son compartiment, nue et épuisée de tant de jouissance, La lueur de la pleine lune fera bientôt place à celle du jour qui se lève, elle est complètement cassée, car depuis le départ du train elle sest faite baisée sans interruption, car il y en avait toujours au moins un qui la besognait.
Sa minijupe et mon corsage sont déchirés, comme ses vêtements elle est maculée de sperme, elle en a partout et elle en est pleine, il coule de mon sexe et de son cul. Elle na même pas honte de sêtre laissé aller, elle a tellement joui.
Jai juste le temps de faire une toilette avant darriver et de mettre de lordre dans sa tenue, et en rangeant ses habits souillés, elle pense quelle ne serais pas contre de faire une même expérience de ce type.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!