Maria 7 : Viva Espagna
Le dix neuf juillet, à la veille de partir, nous étions seuls sur la plage, Emmanuel et moi, seuls depuis trois semaines passées avec Hélène et franchement, malgré le plaisir que nous avions avec elle, cette « intimité » nous plaisait. Allongés en amoureux sur notre serviette, nous séchons tranquillement après le bain, lorsque Emmanuel suggère de partir le soir même afin de quitter cet environnement où nous sommes obligés dêtre prudents, tout au moins en ville et dans lappartement.
Je trouve lidée excellente, aussi nous filons à lappartement, préparer les valises, Emmanuel fait le ménage comme promis à sa mère, puis nous passons chez elle pour lui donner les clés. Pendant quEmmanuel se prépare, je parle un peu avec ma « belle-mère » qui me recommande une nouvelle fois de sermonner Emmanuel sil ne se tient pas bien, quil ne soit pas envahissant chez mes amis et ne fréquente pas nimporte qui.
"Vous me raconterez à votre retour, entre femmes on peut se soutenir et puis il pourrait être votre fils !
Petit-fils ! Dis-je pour mamuser. Nayez crainte, jaurais un il sur lui et autre chose pensais-je je veillerais de près très près à son comportement.
Merci beaucoup ! Vous permettez que je vous embrasse ?
Bien sûr »
Nous-nous embrassons comme de vielles amies, elle est un peu émue et me serre entre ses bras, cest à ce moment quEmmanuel revient avec ses bagages et nous trouve enlacées, je suis face à lui et sa mère ne le voie pas, son air surpris laisse place à un sourire et il lève le pouce en riant.
"Je vois que vous vous entendez bien dit-il ! »
Sa mère, surprise se détache comme prise en faute, les joues un peu rouges.
"Madame est très gentille de temmener avec elle, alors ne me déçois pas. Sois très gentil avec elle ! Elle me tiendra au courant si tu te comportes mal et ne fais pas bien tes devoirs ! Et puis, tu pourras tout de même toccuper un peu delle !
Mais oui Maman, ne tinquiètes pas, je men occuperais, je serais gentil et je ferais mon devoir !
Tes devoirs ! Que tu parles mal ! Ça aussi tu pourras faire attention, ne me fais pas honte !
Oui pardon Maman dit-il en lembrassant, ne tinquiète pas !
Avant déclater de rire à cause de ses sous-entendus et phrases à double sens, nous montons en voiture et après un dernier adieu, nous prenons la direction du sud ;
A peine sortis de la ville, Emmanuel glisse une main sous ma robe, dune tape, je lui intime lordre de reste sage.
Je nai pas promis à ma mère de rester sage, mais dêtre gentil, dit-il en maintenant sa main et même en la remontant sur mes cuisses. Jabandonne la bataille et toute pudeur lorsquil atteint la fourche humide et chaude où il insère un doigt. La route sélargit ensuite et je peux écarter un peu mes jambes. Sa main va rester ainsi tout le voyage, même au passage des péages où la vue plongeante de lemployé ne peut pas louper le manège.
A la deuxième gare jessaie de prendre la file automatique mais le voyou moblige à emprunter celle où il y a le contrôleur, il remonte même ma robe, dévoilant la quasi-totalité de mes cuisses. Je dois être cramoisie et le sourire amusé de la dame dans la cabine me confirme quelle se rend compte de la situation, ceci dautant plus que mon bourreau, voyant quelle paraît intéressée, me demande dattendre un peu plus, relève encore ma robe sur mon ventre et enfonce un peu plus sa main dans ma fente. Un coup de klaxon derrière nous, nous rappelle tous les trois à la réalité. Je démarre rapidement, à la limite de la jouissance, tellement la situation ma excitée.
Laire de repos suivante sera le théâtre de mon orgasme, sous les doigts fureteurs de mon jeune amant.
Nous franchissons la frontière et lenvie nous prend de faire notre première étape à Saint Sébastien. Par chance nous trouvons assez vite un hôtel confortable où lemployé me propose une chambre à deux lits ! ! Après une douche nous-nous habillons pour la soirée. Jexplique à Emmanuel quen Espagne, il est de tradition de bien shabiller pour le paseo avant de dîner.
Nous flânons dans les vielles rues de « Sansé », sans nous être concertés, nous marchons main dans la main. Cest lorsque japerçois le regard de deux femmes sur nous, regard plutôt réprobateur, que je me rends compte de que notre couple peut surprendre, ici en pleine lumière, notre différence dâge se voit bien plus, je lâche la main dEmmanuel qui se retourne vers moi surpris, voyant mon trouble il me demande ce quil y a, je lui explique en lui disant que ce nest pas correct, pour réponse, il prend ma taille fermement et même membrasse sur les lèvres, déclarant :
" Ici on ne nous connaît pas, nous sommes majeurs et je suis fier que les gens sachent que je suis ton amant !
Mais voyons !
Il ny a pas de mais, moi je nai pas honte, tu nas pas a en avoir honte, ce ne sont que des préjugés, quand je te baise, je ne pense pas à cela autrement je taurais quittée il y a longtemps.
Cette déclaration en pleine rue, ne peut que me rendre heureuse, nous prenons un léger apéritif avec des tapas en regardant passer les gens, je me rends compte quil y a dautre couples aussi disparates que nous, interraciaux, ou inter-générations, avec beaucoup dhommes plus âgés accompagnés par des jeunes femmes. Un seul couple « comme nous » avec toutefois une différence qui semble moins grande.
Nous entrons ensuite dans une sidrerie, pas loin de la « Plaza de la contitucion » où nous dégustons une belle côte de buf avant de revenir tranquillement vers lhôtel. Lorsque nous passons la belle place de la mairie, nous voyons une discothèque en forme de bateau et Emmanuel propose dy aller.
"Tu ny penses pas, à mon âge !
Jai envie de danser avec toi ! allez, viens! »
Il mentraîne sur la passerelle qui sert daccès, le garde à lentrée hésite un peu mais nous laisse tout de même entrer, lorsque je lui parle en espagnol.
Il y a du monde dans la boite, nous dansons un peu puis trouvons une place dans un coin pour boire un rafraîchissement, mon jeune compagnon boit du coca, boisson de son âge, je prends plutôt un jus dananas.
Lorsque le disc-jockey met un slow, Emmanuel mentraîne sur la piste où nous nous enlaçons langoureusement, jai perdu lhabitude, mais je me laisse faire lorsque ses mains me caressent, quand il prend mes lèvres je bascule les yeux clos dans un délire sensuel, je sens mes seins se gonfler et les pointes dures sélectrisent contre le torse dEmmanuel, je sens entre mes cuisses, mon sexe se liquéfier, je mouille comme une folle et si nous étions seuls je violerais mon partenaire, mais nous ne sommes pas seuls et cest cela aussi qui mexcite !
Emmanuel me ramène à la table toute flageolante, le ventre noué par le désir.
La danse sinterrompt et galant, me ramène à ma table avec lintention de poursuivre son avantage, mais Emmanuel se lève à ce moment en déclarant :
"Désolé mon vieux, merci de lavoir bien chauffée mais maintenant cest moi qui vais la baiser! »
Nous abandonnons le bonhomme frustré, mais aussi surpris de la tournure de ce couple étrange. Il pensait que jétais la mère ou la grand-mère du grand jeune homme et comptait bien me faire connaître sa bite. Il fait une drôle de tête alors que nous sortons de la boite serrés lun contre lautre. Dehors, je me rends compte que latmosphère était enfumée et oppressante, lair frais me fait du bien, je retrouve mon calme et en profite pour traiter Emmanuel de voyou et de malade sans le penser vraiment
Nous retrouvons notre belle chambre à lhôtel et celle-ci ayant un balcon donnant sur la célèbre « Concha » la plage de Saint Sébastien, nous contemplons le superbe panorama nocturne avec à nos pieds la foule des promeneurs.
Accoudée à la rambarde, je laisse Emmanuel menlacer, excité lui aussi par lépisode de la boite, il empaume mon sein en glissant sa main sous ma robe sous laquelle il avait tenu à ce que je sois nue, doù létat dexcitation que cela a entretenu, notamment, lorsque lhomme a dansé avec moi.
Alors quà nos pieds, les passants déambulent, à la fois lointains et si proches, Emmanuel se place derrière moi et tout en membrassant dans le cou, sensation quil sait que jadore. Il glisse ses mains sous ma robe et la remonte sur mes hanches. Coincée entre son corps et la rambarde, je ne peux my soustraire, cest vrai que je nen ai pas non plus très envie. Néanmoins, dans un reste de pudeur, je tente de le retenir. Tout en mordillant mon oreille il me murmure son désir de me prendre là, face à la baie, devant tout le monde. Cest vrai quà notre hauteur et derrière la barrière formée par le balcon on ne doit pas nous voir, mais faire lamour ainsi, en se figurant que lon peut se rendre compte de notre acte, me fait à la fois peur, mais aussi très envie. Ma chatte dégouline ! Malgré tout, mon éducation me bloque encore. Je tente de le retenir, mais le bougre est fort et je suis obligée de mincliner cet état de soumission me plais dailleurs-. Mincliner, cest ce que fais Emmanuel qui me fait reculer les jambes et les écarter, pendant ce temps, il à ouvert son pantalon et se guide en moi sans trop de problème. Son sexe énorme me pénètre et je fonds littéralement. Il va en moi, lentement, me faisant sentir toute la longueur de son chibre. Penchée sur la main courante, je cambre mes reins à la possession délicieuse de mon jeune amant. Après avoir coincé le bas de ma robe dans la ceinture, Emmanuel sagrippe à mes hanches afin de me pénétrer à fond. Je mimagine les fesses- que jai bien développées -, exposées nues à la vue de tous, en fait personne ne peut nous voir den bas, mais cela alimente ma libido. A ce moment, un couple, dans la rue fait de grands signes dans notre direction, voient-ils quelque chose ? Ils insistent, car jai bien du mal à répondre, je lève ma main pour rendre le salut. Ils me disent quelque chose que je nentends pas, faisant signe de descendre les rejoindre, je me rends compte alors que les mouvements de mon amant, font que moi aussi javance et recule au dessus du balcon trahissant mon activité. Peu mimporte ce que ces gens peuvent penser, leur regard mélectrise et je coule sur la verge qui me laboure, mordant ma main pour ne pas gueuler mon plaisir. Emmanuel se vide en moi, serrant mes fesses à me faire mal, longtemps il continue à me baiser, son sexe restant raide dans ma fente qui se régale, je nen peux plus de jouissances, mes jambes sont molles, je suis tenue par les mains de Emmanuel à ma taille et le pat du balcon sur lequel je suis couchée. Tout à coup je me lâche complètement, mes muscles ne commandent plus et je vide ma vessie, inondant la verge et le pantalon de mon bel amant, mais peu mimporte, le soulagement est tel, que jai limpression de continuer à jouir. Ce plaisir de pisser me rappelle Jean qui me la appris. Mon Dieu ! Comme jai changé depuis sa rencontre ! Je ne me reconnais plus. Emmanuel qui sest rendu compte du spectacle que nous donnions, dégrafe lattache du haut de ma robe derrière mon cou et dévoile mes seins. Ma robe forme une espèce de ceinture, ne couvrant que ma taille. En appui sur les coudes, mes seins se balancent à lair au rythme des allées et venues dEmmanuel dans mon antre. Je suis anéantie, complètement à la merci de ce magnifique étalon dont jadore être la femelle consentante. A son tour, il vide sa vessie dans mon vagin, lurine déborde de mon ventre et vient augmenter la flaque sous nos pieds. Je suis heureuse dêtre le réceptacle de son envie, dêtre son urinoir dévoué, une sorte divresse me prend, prête à accepter tous ses caprices. Emmanuel a empaumé mes seins lourds et les malaxe sans vergogne. Je sais quen bas le couple qui nous observe, sait ce que nous faisons, mais je nen ai cure, abandonnée à « mon homme » je suis soumise à ses désirs même sil a cinquante ans de moins que moi, fière quil me trouve à son goût.
Enfin il me retourne, se plaque à moi et membrasse face à cette splendide baie de la « Concha » qui restera à jamais dans ma mémoire. Puis, me saisissant dans ses bras il memmène dans la chambre où après une rapide toilette nous tombons sur le lit et nous endormons dans les bras lun de lautre.
Lorsque le matin la femme de chambre entre dans la chambre pour porter le petit déjeuner, elle nous trouve nus sur le lit, quelle nest pas sa tête de voir ce jeune homme dont lérection matinale est impressionnante, couché avec celle qui prétend être sa grand-mère (cest le prétexte que jai donné pour prendre une seule chambre). Surprise par son entrée, je nai pas eu le temps de me couvrir non plus. Emmanuel, afin dajouter à la confusion de la femme, lui demande de nous porter le plateau sur le lit. En se penchant elle touche involontairement (ou pas?) la verge dEmmanuel et peut sentir lodeur de nos corps. Elle se retire rapidement sûrement choquée de notre attitude et du fait que ce beau jeune homme couche avec une vieille femme. Avant de sortir, elle se retourne tout de même une dernière fois. A notre départ de lhôtel les regards du personnel sur nous, prouvent quelle a tout raconté à ses collègues.
Nous quittons Saint Sébastien, direction le sud, je ne suis pas pressée darriver à destination car, jai envie de profiter dEmmanuel pour moi seule pendant quelques jours. La prochaine étape nous emmène à Madrid où je fais visiter cette magnifique ville et ses environs à mon jeune amant. Nous restons deux jours dans la capitale. Jai trouvé une chambre chez lhabitant. Cest une dame sensiblement de mon âge qui semble toute réjouie de côtoyer notre étrange couple. Au moment du départ, elle vient spontanément membrasser en me glissant « muchas gracias para todo » (merci beaucoup pour tout) preuve quelle a du entendre nos ébats nocturnes, « estupendo este chico con usted » (magnifique ce garçon avec vous). Le tout agrémenté dun clin dil complice
La dernière étape de notre voyage a lieu à quelques kilomètres de notre lieu de vacances. Jai peur, tout à coup, daffronter nos hôtes. Emmanuel qui en dînant se rend compte de mon état me questionne et je dois lui avouer la raison de ma peur !
"Pourquoi as tu peur donc, si ce sont tes amis, ils ne doivent pas te juger, ou alors cest moi qui te fais honte ?
Mais non
Cest que
. Cest un peu particulier !
Dis-moi tout !
Voilà ! Ces amis, ce sont en fait, ma sur et mon beau frère ! Ils vivent ici depuis deux ans et je ne sais pas comment ils vont réagir. Je panique à lapproche de la rencontre, que vont-ils penser de moi ? Ne suis-je pas folle de mafficher ainsi ? Je leur ai dis que je venais avec un ami, ce qui a enchanté ma sur qui me reprochait ma solitude après mon veuvage, mais je nai pas précisé ton âge !
Je crois que tu te fais du mouron pour rien, ta sur et ton beau-frère taiment, puisquils se soucient de toi.
Oui mais les préjugés
Sils sont venus sinstaller ici cest quil ont un esprit jeune et indépendant »
Emmanuel finit par me rassurer et est particulièrement tendre avec moi durant la soirée
et la nuit, il me saoule de caresses et de baisers et je finis par mendormir dans ses bras. Réveillée de bonne heure, je prends un long bain et attache une attention particulière à ma tenue et mon maquillage, je veux paraître le plus à mon avantage aux côtés de mon superbe compagnon. Lorsque je sors de la salle de bain, Emmanuel lance un sifflement admiratif à mon attention, preuve que mon travail a porté ses fruits. Quand il me prend dans ses bras et membrasse, je le retiens en lui disant quil va ruiner mes efforts.
Les quelques kilomètres qui nous séparent de ma famille, je les parcours à très petite allure, retardant au maximum le moment de la rencontre. Pourtant ils me paraissent très courts ! Très vite nous arrivons à « La Torre », petit village au bord de la mer entre Alicante et Murcia. Lautoroute nous y amène à moins dun kilomètre. Ce sont juste quelques maisons de pêcheurs. Je me retrouve devant lentrée de la propriété, incapable de sortir de la voiture, figée par la panique, le cur battant à deux cent à lheure. La silhouette de ma sur sortant de la maison et venant à notre rencontre avec un grand sourire, me réconforte, je suis heureuse de la revoir. Cest la première fois depuis le décès de mon mari. Cela me fait oublier le stress et je descends de la voiture pour tomber dans ses bras, les retrouvailles sont joyeuses, elle me félicite de ma bonne mine :
"Mais tu rajeunie ma chérie ! Cest le soleil ou lamour ?
Un peu les deux
dis-je, troublée malgré moi.
Présente-moi à ton bel ami, il est très beau !
Et très jeune ! Elle ne semble pas choquée et il ny a aucun reproche dans sa remarque, mais mon cur saccélère !
Je te présente Emmanuel, dis-je sans plus de précision, Emmanuel, voici ma sur Ginette, mais au fait où est ton mari ?
Oh lui ! Il part tous les matins en mer pour pêcher et ne rentre que vers une heure, comme nous ne savions pas quel jour vous arriviez
.
Vous avez bien fait ! Nous avons fait du tourisme à Madrid.
Vous avez raison, cest une ville superbe. Mais ne restons pas là, entrez donc ! Elle sapproche dEmmanuel On sembrasse ? Après tout vous êtes un peu mon
beau-frère ! »
Eh bien ! Ma petite sur a lair de bien prendre la chose ! Voilà au moins un poids en moins pour moi. Il est vrai que nous-nous sommes toujours bien entendues ensemble, bien quelle ait dix ans de moins que moi. Avec ma sur aînée, qui na pourtant quun an décart avec moi, nous navons jamais eu cette complicité. Nous vidons la voiture et Ginette nous emmène dans notre chambre qui est immense avec un superbe lit à baldaquin. Une grande salle de bain comme savent faire les espagnols. Azulejos de bas en haut et couleurs chatoyantes. Le balcon couvert qui court autour, donne sur le patio au milieu duquel un jet deau sur un bassin, apporte une note de fraîcheur.
« Vous serez bien ici, me dit ma sur, un vrai « nid damour » ! Cétait notre chambre au début, mais maintenant, Dédé préfère rester en bas »
Ginette nous laisse seuls pour nous installer. Une fois installés, alors que je redescends voir ma sur, Emmanuel décide de rester dans la chambre pour bûcher son examen, je le soupçonne de vouloir nous laisser seules ensemble entre surs et puis, il est un peu intimidé par la situation. Jusquà présent, il ne se trouvait jamais avec moi face à des personnes nous connaissant et étant au courant de notre situation, ni susceptibles de nous juger. Pour la première fois sans doute, il ressent la pression que génère notre drôle de couple, dont la plupart des gens naccepterait pas lexistence. Cest difficile pour un jeune homme de découvrir quil nest pas dans la « norme » et quil pourrait être mal jugé. Aujourdhui, ma sur semble accepter cette situation mais quen sera-t-il de son mari ou dautres personnes ?
Je retrouve Ginette dans la cuisine, nous sommes très heureuses de nous revoir. Elle me demande des nouvelles du pays, de notre sur aînée, pensionnaire dans une maison de retraite et qui dépérit lentement, ne se relevant pas dune attaque cérébrale il y a cinq ans. Je lui demande si cette vie choisie au fond de lEspagne, dans ce petit village, lui convient. Elle massure que oui, ayant maintenant quelques amies et profitant de sa retraite allègrement, oubliant le froid qui chez nous la paralysait chaque hiver.
Cest vrai quelle semble plus épanouie, le teint mat lui va bien et elle qui na jamais été épaisse, elle semble musclée, à ma remarque elle me précise quelle marche et fait de la natation quasiment tous les jours, bref, le climat et la cuisine à lhuile dolive sont dexcellents médicaments, quand à lisolement, Alicante est à vingt minutes en voiture, avec ses boutiques, ses théâtres et autres attraits de la grand ville. Elle mavoue ne pas éprouver le besoin dy aller fréquemment. Ayant épuisé les sujets de discutions « bateaux », Ginette déclare tout dun coup :
« Mais, dis-moi, toi, tu las pris au berceau ton petit ami, il est très jeune !
A ton avis, quel âge a-t-il ?
Je ne sais pas vingt cinq, vingt sept ?
Dix neuf !
Mais
Tu es folle !
Pourquoi ?
Tu te rends compte ! Mais il pourrait être ton
Petit fils ! Oui ! Mais je te signale tout de même que ce nest pas moi qui lai cherché, cest lui qui ma draguée !
! ! Ah bon ? Mais comment çà ?
Lhistoire est un peu longue, mais il faut que je texplique ! »
Je parle rapidement de Jean, de ses amis, en passant sous silence les épisodes un peu « scabreux » que nous avons commis. Lorsque je précise que la plage sur laquelle Emmanuel ma rencontrée est une plage naturiste, elle ne peut sempêcher de paraître horrifiée
"Comment ? Nue ? Mais tu n as pas honte ?
Pas du tout, tu verrais comme cest agréable ! une vraie sensation de liberté !
Tout de même ! Je crois que je noserais pas me montrer comme ça
Si tu veux, nous pourrons trouver un endroit car Emmanuel et moi adorons dorer et nous baigner ainsi
Tu sais ici, cest plutôt pudique !
Il y a bien des criques sauvages où lon peut être tranquille ?
Faut voir avec Dédé, lui qui est toujours sur son bateau. Mais ne compte pas sur moi pour vous suivre !
On verra. Ce nest pas la peine den faire une montagne, cest tellement agréable ! Cest le début septembre. En ce dimanche où la petite station retrouve un peu de calme, je suis passé voir Maria et Emmanuel qui sont rentrés dEspagne. Jai bien senti quils avaient envie dêtre seuls, ce qui ne me dérange pas. Jai été à la plage quasi déserte maintenant et avant de prendre la route, je sirote une bière bien fraîche sur le mail promenade.
Japerçois la commerçante en lingerie quen compagnie de Jérémy et Valérie, nous avions rencontrée alors que Maria et Emmanuel étaient seuls à la maison. Elle sapproche moi pour me saluer. Je lui propose de sasseoir pour prendre un verre, ce quelle accepte. Après quelques banalités, elle se rapproche de moi afin de me parler plus bas.
" Vous savez, pour ce que vous mavez fait découvrir lautre jour ?
Quoi donc ? Dis-je pour la taquiner.
Vous savez bien, enfin
avec... la règle et... les photos !
Oui bien sûr ! Et alors ?
Eh bien, des clientes ont vu les photos, certaines ont rougi, mais aucune ne sest offusquée. Jai profité dun week-end pour équiper mon magasin de miroirs afin de surveiller tous les coins.
Vous navez pas pensé à une webcam branchée sur votre PC ?
Oui... Comment lavait vous su ?
Simplement une idée, mais je ne pensais pas que vous pouviez lavoir, vous !
Vous me trouvez
vicieuse ?
Coquine dirons-nous, quavez-vous fait alors ?
Jen ai acheté une, mais je nai pas su la faire marcher.
Pour ça je peux vous aider, mais racontez moi un peu.
Eh bien, après mon installation, je pouvais contrôler pratiquement toute ma boutique, mis à part la cabine dessayage derrière mon bureau, doù lidée de la caméra. Ce nest pas très légal mais
Je ne sais si cest leffet des photos, ou des miroirs, mais jai remarqué dès la première semaine une dame qui dissimulait une culotte dans son sac.
Vous lavez interpellée ?
Noon... je nai pas osé, dit-elle penaude.
Oh dommage !
Oui mais jétais plus gênée que la dame en fait.
Cest sûr ! Mais vous pensez quelle lavait fait exprès ?
Je ne sais pas, elle se cachait bien.
Elle nallait pas le faire au grand jour tout de même !
Détrompez-vous ! Vous-vous rappelez la dame qui était venue le même jour que vous ?
Bien sûr ! Très belle dame et distinguée !
Oui ! Cest une habituée. Eh bien, elle est revenue le lendemain du jour où javais surpris lautre dame. Elle a regardé « sa » photo, ma regardée dans les yeux et est partie dans le fond de la boutique. Arrivée devant le présentoir, elle a bien vérifié que je la voyais dans le miroir et bien en vue, a mis un soutien gorge dans son sac. Elle est revenue à la caisse, lair sûre delle et sest plantée devant moi, elle navait rien dans les mains.
Vous ne me demandez rien ? demanda-t-elle. Jétais horriblement gênée, mais jai pris conscience quelle attendait de moi que je recommence la séance comme avec vous. Alors, me redressant je demandais :
Pourriez-vous me montrer votre sac sil vous plaît Madame ? » Elle le pose sur le comptoir et louvre sans vergogne. « Je crois, Madame, que vous avez dérobé ce soutien gorge ! Vous savez ce qui vous attend ?
Oui, madame, je mexcuse ! Elle prend aussitôt lattitude dune petite fille prise en faute.
Vous navez pas dexcuse ! Sale petite voleuse, vous allez être punie, mais auparavant vous allez me régler le prix de cet article !
Bien sûr Madame ! Pardonnez-moi ! Combien vous dois-je ?
Ce sera 40 euros le prix normal est augmenté de 25 pour cent - La cliente paye immédiatement. Merci, maintenant mettez vous en position ! »
Sans se faire davantage prier, elle se retrousse et je découvre quelle à des bas à jarretelles et ne porte pas de culotte !
« Petite cochonne ! Vous-vous promenez les fesses nues !
Oui, jaime sentir le tissu ainsi !
Pour cela vous aurez droit à cinq coups supplémentaires !
Oh non ! Sil vous plaît !
Pas de discussion ! Allez ! Écartez bien les jambes, je vais bien rougir votre joufflu, jai limpression que vous aimez ça, vous allez être servie !
Jatt ma règle et avant de commencer je tape dans ma main en la faisant claquer, la cliente se retourne et frissonne
" Relevez bien votre jupe ! Vous allez rester un moment comme çà !
Mais
Si quelquun vient ?
Eh bien il vous verra ainsi, comme vous avez vu la dame lautre jour
Mais ... on me connaît !
Et bien, on saura comme ça la belle voleuse que vous êtes et que vous aimez vous faire fesser.
Cest pas vrai !
Mais si ! la preuve vous avez tout fait pour que je vous vois.
Je lavoue.
Cest bien, faute avouée, à moitié pardonnée ! Aussitôt je frappe un bon coup de règle sur ses fesses qui ne lattendait pas. La dame sursaute et sa peau se marque de rouge, jenchaîne les coups en alternant les coups rapprochés ou en attendant un peu pour la surprendre. Jinterromps son récit.
Je vois que vous apprenez vite ! dis-je pour manifester mon intérêt
Ou...oui dit-elle en baissant la tête, confuse. Jy... ai... pris ... goût !
Petite coquine lui dis-je. Vous prenez du plaisir ?
Ou
Oui Oh ! ! Avoue-t-elle encore
Bien ! Continuez ! Dis-je alors. Votre cliente a reçu tous les coups sans broncher ?
A la fin elle criait en mettant son poing dans la bouche pour ne pas quon entende. Le dernier coup, je crois quil a porté sur ses grandes lèvres et elle a sauté haut. Quand jai eu fini elle est restée couchée un bon moment sans se soucier de sa pudeur ni de savoir si quelquun pouvait rentrer. Javais un peu de crème sur mon bureau et jai enduit ses fesses avec longuent ;
Ben dites donc ! Et je suis sûr que ça aussi vous avez aimé !
Oui répond-elle les yeux brillants. Je
Cest à dire
Oui ? Que voulez vous dire ?
Que
Que
Enfin
.. jai vu depuis que certaines ... de mes
clientes
prenaient .. du plaisir... quand
je les fessais ...
Elles
jouissent ?
Oui ! Et je
Il y en a qui
se
caressent !
Non ! Et ... vous ? Dis-je, puisque nous en sommes aux confidences intimes.
De plus en plus souvent
quand elles sont parties, je dois me caresser !
Et ... vous même, vous avez pensé à recevoir une fessée ?
Cramoisie, elle balbutie un oui quasi-inaudible. Pour changer une conversation qui commence à la dérouter, elle me dit avoir trouvé un petit appareil photo numérique elle augmente sa galerie de « portraits ». Dailleurs « elles » viennent de plus en plus et certaines ont même ajouté leurs initiales à la main sur les photos. Bref les affaires marchent de mieux en mieux et dernièrement une femme est même venue avec son mari, qui a assisté à la scène très intéressé, ils sont ensuite partis très vite et vu la bosse dans le pantalon du monsieur ils ont dû en profiter. Surtout vu les cernes de la dame entrevue le lendemain à lhypermarché du coin, la nuit a dû être agitée !
Finalement, cest une bonne chose pour votre commerce. Si vous voulez je peux essayer de faire marcher votre webcam.
Je ne voudrais pas vous déranger !
Ce nest rien, ça devrait aller vite ! Nous terminons nos boissons et, à pied, nous gagnons le magasin. Arrivé devant, les grilles sont tirées.
Cest fermé cet après-midi, mais nous allons passer par derrière, me dit la dame en prenant le couloir à côté de la boutique. Elle débloque la sécurité et nous pénétrons à lintérieur par la réserve. Le magasin est sombre ce qui donne une atmosphère étrange, lorsquon est habitué à voir un magasin éclairé. Nous-nous installons au bureau pour allumer lordinateur, je vérifie les branchements et après quelques essais, jobtiens une image, mais pas très claire.
Il faudrait plus de lumière dans la cabine.
Je vais allumer, il y a des spots.
Je vais faire des essais, vous navez quà y rester pour que je règle, je vous direz quand cela sera bon. Elle passe dans la cabine et avec la lumière, jarrive assez rapidement à avoir une image correcte. Je teste des prises de photo et bien que jai fini je la laisse un peu, pour lobserver. Pensant que je nai pas terminé et pour passer le temps elle sadmire dans la glace, remet les cheveux en place, passe la langue sur ses lèvres et sadmire sous toutes les coutures. Oubliant même la caméra elle masse ses seins, relève un peu sa robe de plage et admire ses jambes. Bien quun peu ronde, elle est tout à fait appétissante. Pour faire semblant de régler encore je lui demande de bouger. Alors elle lève les bras, se tourne, se penche.
Ça y est, je commence à voir, dis-je, continuez ! Prise dans son jeu, elle joue au mannequin et prend des poses, je rentre dans son jeu : Levez les bras ! Tournez vous ! Mettez vos mains derrière la tête, cambrez-vous ! Elle obéit à mes ordres, aussi jen profite. Penchez vous, relevez le bas de la robe ! Bien ! Parfait ! Je prends quelques photos pour lui montrer le bon fonctionnement puis je lappelle. Elle sort de la cabine, un peu émoustillée par lintermède, les yeux brillants.
Alors ? Ça marche ?
Bien sûr, regardez, jai isolé quelques photos !
Cest super ! Elle rougit tout de même en se rendant compte de quelques poses assez suggestives.
Vous-vous encanaillez ! Dis-je pour la taquiner
Cest ... cest vous qui me faites faire des horreurs !
Je crois que vous méritez une punition pour votre attitude !
Oh ! Mais pourquoi ?
Ne mavez vous pas dit que vous aimeriez connaître ce plaisir quont certaines de vos clientes ?
Oui ! Non ! Mais, cétait une parole comme, ça
en lair. Vous nêtes pas sérieux ?
Si ! Tout à fait, dis-je en prenant un ton volontairement plus grave, allez ! En position ! Vous savez où vous mettre ?
Je ... Ne ... me faites pas mal ! » Elle accepte par là le principe de la fessée, mais avec tout de même une réticence, ou une dernière pudeur. Elle se penche sur la table où ses clientes sont déjà passées, elle sagrippe au rebord attendant et redoutant la correction. Je relève la légère robe de plage, dévoilant des fesses dodues, dans un maillot de bain des plus réduits. Jatt celui-ci et je baisse sur les jambes sans quelle proteste, déjà soumise. Ses fesses sont entièrement bronzées, sans la moindre trace blanche prouvant quelle fait de lintégral.
Je vois petite coquine que vous fréquentez les casernes ! Dommage que je ne vous y ai jamais vue !
Non ! Oh ! Cest que
Ne vous excusez pas je trouve ça très bien y allant moi même. Bon, maintenant passons aux choses sérieuses. Combien pensez vous que vous méritez de coups ?
Je
ne sais pas
cinq ? dit-elle dune petite voix.
Voyons ! Vous nêtes pas sérieuse !
Dix ?
Là vous vous moquez de moi ! Javais pensé à vingt mais vu votre manque de participation, jen rajouterai cinq de plus !
Non ! Sil vous plaît !
Ça suffit ! Je passe la règle sur les fesses et entre les cuisses pour bien les écarter puis je commence doucement à frapper sur lensemble de la surface pour bien la rosir. Malgré quelques sursauts elle supporte bien cette « prise en main ». Après un court arrêt, je reprends la fessée mais en appuyant plus les coups. Ma soumise se met à chanter au rythme des frappes, un chant lancinant entre plainte et mélodie inarticulée. Son souffle saccélère. Je dépasse la ration promise sans quelle manifeste quoi que ce soit. Je marrête enfin et devant cette lune opulente et bien rouge qui mattire, jouvre mon pantalon et je guide ma queue dans son antre chaude et ruisselante, preuve du plaisir quelle prend à recevoir la fessée. Jempoigne ses fesses et les malaxe, accompagnant ce coït de la douleur occasionnée par mes doigts. La commerçante gémit, mais cest plutôt de plaisir et alors que ne pouvant me retenir, je jouis dans son antre, elle pousse des cris et se pâme avec moi. Nous revenons doucement sur terre et lorsque je me retire et laide à se relever, son visage est cramoisi et ses yeux plein de larmes. Son air heureux compense limpression et cela me rassure. Je la prends dans mes bras et déclare :
Pardon ! Je nai pu me retenir en vous voyant ainsi !
Ce nest rien ! Mais
Vous êtes le ... premier !
Co...Comment ? mais, vous nétiez pas
Vierge ? Non des objets y sont passés
mais jamais
un
homme !
Oh ! Je ne pensais pas.
Eh bien voilà, cest fait ! Par contre, mon cher ami, tu mas volé quelque chose
! !
Et oui ! Tu mas volé mon pucelage ! Tu connais la sanction ?
Mais
Il ny a pas de mais. En position ! Puisque tu baisses facilement ton pantalon, dépêche toi !
Elle att la règle et reconnaissant que mon prétexte ne valait pas plus que le sien, je suis bien obligé de mincliner, au sens propre du terme et me voilà couché à la place de la commerçante et de certaines de ses clientes.
« Ce seront mes premières fesses dhomme ! ajoute-t-elle, mais cest un juste retour des choses puisque cest toi qui as tout déclenché ! »
Je ne peux malgré tout mempêcher de frissonner, ce que remarque la drôlesse.
« Ah Ah ! ! On rigole moins ! Ne ten fais pas, tu vas être servi ! »
Les premiers coups tombent, mais pas trop fort et sont supportables, ma fouetteuse nayant pas bronché tout à lheure, je me force à ne rien dire. Mais néanmoins les fesses commencent à me cuire ! Elle arrête un peu tout en promenant la règle sur mon postérieur, puis, dun coup, sans que je my attente elle frappe fort ! Je retiens le cri de surprise et de douleur qui allait jaillir de ma bouche en serrant fortement les dents. Elle alterne maintenant les coups rapides, puis espacés, ce qui fait que je ne sais jamais quand le prochain va tomber. La correction dure longtemps, mes fesses brûlent, mais je ne sens plus la douleur, comme anesthésié, je suis dans une sorte de brouillard, lorsque jentends :
« Lève toi maintenant et viens ici ! Comme un automate je me relève, les yeux embués mais avec une trique bien dressée. Approche ! Tu nes quun chien ! A genoux ! Puisque tu nes quun chien tu va lécher ce que tu mas mis dedans ! »
Elle att ma tête, pose un pied sur un tabouret et plaque mon visage sur sa motte frisée. Nettoie bien ! Quil ne reste rien ! Elle accompagne ses ordres de coups de règle sur mes fesses déjà bien endolories. La séance dure longtemps et même plus quil ne faut au nettoyage, car la bougresse y prend plaisir. Jai mal partout, aux fesses, bien sûr, mais aussi aux reins et la nuque, ainsi quaux genoux. Elle nen a cure.
Enfin elle me lâche et je peux me relever. Létat de ma bite ne sest pas amélioré et elle est toujours aussi raide. Viens ! Dit-elle. Avant, tu mas baisée par surprise, mais maintenant je te veux en moi ! Elle relève sa robe et me prend la verge, mattire ainsi, contre elle en la guidant dans son sexe. Déchaînée, elle menlève le polo et elle fait passer sa robe par dessus sa tête en dessous elle ne porte rien, et je découvre sa superbe poitrine lourde et bronzée. Je plonge mon visage sous son aisselle pour mimprégner des son odeur de femelle en chaleur et pose les mains sur ses seins pour en malaxer les tétons. Ma partenaire se pâme et collabore activement. Les pieds entravés dans le pantalon, nu au milieu du magasin en train de forniquer avec la patronne, la situation bien que excitante nen est pas moins fatigante. Heureusement encore, que les rideaux sont tirés et que lon ne peut pas nous voir de lextérieur. Nous sommes en nage et ma « fausse vierge » se régale, nos corps et nos mains glissent sur toutes les parties de celui du partenaire. Nous haletons, cherchant lair, plusieurs fois nos mouvements provoquent des « déboîtements » intempestifs, tout à coup, La commerçante se met à gueuler et je plaque ma main sur sa bouche pour quelle nameute pas le voisinage, elle agrippe mes fesses avec ses ongles pour se plaquer à moi, moccasionnant dautres douleurs qui me font jouir en elle, les yeux exorbités elle séclate longuement.
Nous récupérons lentement de ces débauches enlacés et ruisselants, elle entoure mes épaules avec ses bras et membrasse, les yeux, le nez le visage, revenant régulièrement enrouler sa langue à la mienne.
« Cétait bon ! Cétait, bon
. Répète-t-elle sans fin. Quest-ce que cest bon un homme ! Rien ne vaut cette chose vivante ! Si javais su, je naurais pas attendu tout ce temps ! »
On se détache tout de même et me prenant la main elle mentraîne vers larrière du magasin. Je suis obligé de larrêter car jai toujours les chevilles entravées dans mon pantalon, je dois le remonter, ce qui la fait rire. Dans larrière boutique une porte cachée derrière un rideau donne accès à son appartement. On se dirige vers la salle deau, qui est superbement équipée avec un spa, une douche à jets et une table à bronzer, doù le corps sans traces de ma maîtresse.
"Je comprends le bronzage intégral ! dis-je. Quel superbe endroit ! Mais tout de même ça ne vaut pas la plage et la mer
Je nai jamais osé ! Tu sais, en fait, si je nai jamais eu dhomme avant toi, ni fréquenté la plage cest que jétais enfermée dans un système, mais prenons une douche, je te raconterai après ! »
La douche fraîche avec des jets venant de partout, est un délice. Nous la quittons à regret et après un séchage rapide, ma compagne reste nue et mentraîne dans son salon.
"Chez moi je suis totalement impudique et pratiquement nue en permanence.
Je ne men plains pas !
Viens ici, dans mes bras! »
Nous-nous étalons sur le canapé et niché lun contre lautre, ma compagne commence à se confier
"Quand jétais jeune, jétais complexée parce que jétais grosse. Ma mère, qui était une grande femme autoritaire, narrêtez pas de mhumilier car je ne correspondais pas à la fille quelle attendait, en fait, elle me faisait payer pour mon père qui nous avait abandonnées à ma naissance. Je devais tout faire à la maison, le ménage, la lessive, la vaisselle. Elle mhabillait comme une souillon et je navais le droit de sortir que pour lécole ou les commissions, elle surveillait le temps et si javais un peu de retard elle me flanquait une fessée !
Eh ! Eh dis-je, voilà pourquoi ce goût est vite revenu !
Oui ! dit-elle dune petite voix en rougissant Je te dégoûte ?
Mais non voyons ! Moi aussi je tai prouvé que jaimais ça, continue,
Oh cest vrai ! Tu te rends compte quon a fait lamour et que lon se connaît même pas nos prénoms ! Moi cest Laurence !
Joli ! Jaime bien, moi cest Jean !
Jaime aussi ! Donc je navais pas damis ni damies. Les autres s se moquaient de moi et ça a duré jusquà que jai vingt cinq ans. A ce moment, ma mère est tombée malade et jai dû moccuper delle, en plus du magasin. Pendant dix ans je lai soignée, lavée, habillée, fait manger, elle était comme un légume, ne parlait pas, seul ses yeux suivaient mes mouvements sans que je sache ce quelle pensait. Jétais une vieille fille, que personne ne regardait et ma vie était limitée à ce petit espace entre la boutique et lappartement.
Jai découvert le plaisir toute seule, dabord avec mes doigts, puis divers objets ou légumes pardon puis jai découvert dans une revue, lexistence de ces godemichés et autres instruments. Jen ai commandé par correspondance et je les cachais dans ma chambre pour la nuit où je me donnais du plaisir.
Pauvre de toi tu devais être malheureuse !
Non car je ne connaissais rien dautre et puis, on se fait à tout. Ce nest quà la mort de ma mère que jai éprouvé le besoin de changer. Elle ma laissé un bon pécule, quen fait javais moi même contribué à amasser, ne sortant pas et nayant pas de dépenses à faire. Jai commencé par refaire la boutique et changer la gamme, ensuite, jai arrangé lappartement à ma convenance en léquipant au mieux.
Cest vrai quil est superbe !
Tu nas pas tout vu, mais veux-tu rester dîner et
un peu plus ?
Écoute, je ne mennuie pas et nest pas marre de toi, mais je dois rentrer chez moi ce soir, par contre, demain soir, je reviens et je reste toute la semaine, demain, je suis invité à une soirée chez mes amis, tu sais, ceux qui étaient avec moi le premier jour ?
Jaimerais rester avec toi.
Daccord, mais je leur ai promis dy être. Tu peux venir, ça me fera plaisir de temmener.
Bon daccord, si je ne dérange pas, mais
après
tu toccuperas de moi ?
Ne tinquiètes pas ! (je me dis, que là ou je vais lamener, il y aura bien quelquun pour soccuper aussi delle)»
Avant de partir, nous faisons une fois encore lamour, mais très tendrement et je la prends au bord du canapé, jouissant de la vue de sa croupe opulente ornée de deux fossettes craquantes. Une fois fini elle me prend dans sa bouche « pour te nettoyer comme tu las fais et pour sentir cette bonne chose entre mes lèvres ». Jai droit ensuite à une séance où à cheval sur le bidet elle procède à sa toilette intime sans la moindre gêne. Deux doigts enfoncés dans le vagin, puis mettant le jet du bidet semblant y prendre plaisir.
Nous-nous quittons en prenant rendez-vous pour dix neuf heures trente le lendemain. Tenue décontractée de rigueur. Je la laisse nue dans son appartement, ce qui semble être sa tenue préférée.
En rentrant je téléphone à mes amis leur annonçant une compagnie surprise pour le lendemain.
"Aucun problème ! Me dit Jérémy. Te connaissant ce sera sûrement une belle surprise !
Tu sais que Maria est revenue avec son amoureux ? Ils sont rentrés il y a quelques jours de leur escapade espagnole.
Ah bon ? Ils sont invités aussi bien sûr je vais les appeler ! Mais pas de problème, on sarrangera bien. Plus on est de fous plus on rit !
Je crois quon ne va pas sennuyer !
***
VIVA ESPAÑA !
****
Le dix neuf juillet, à la veille de partir, nous étions seuls sur la plage, Emmanuel et moi, seuls depuis trois semaines passées avec Hélène et franchement, malgré le plaisir que nous avions avec elle, cette « intimité » nous plaisait. Allongés en amoureux sur notre serviette, nous séchons tranquillement après le bain, lorsque Emmanuel suggère de partir le soir même afin de quitter cet environnement où nous sommes obligés dêtre prudents, tout au moins en ville et dans lappartement.
Je trouve lidée excellente, aussi nous filons à lappartement, préparer les valises, Emmanuel fait le ménage comme promis à sa mère, puis nous passons chez elle pour lui donner les clés. Pendant quEmmanuel se prépare, je parle un peu avec ma « belle-mère » qui me recommande une nouvelle fois de sermonner Emmanuel sil ne se tient pas bien, quil ne soit pas envahissant chez mes amis et ne fréquente pas nimporte qui.
"Vous me raconterez à votre retour, entre femmes on peut se soutenir et puis il pourrait être votre fils !
Petit-fils ! Dis-je pour mamuser. Nayez crainte, jaurais un il sur lui et autre chose pensais-je je veillerais de près très près à son comportement.
Merci beaucoup ! Vous permettez que je vous embrasse ?
Bien sûr »
Nous-nous embrassons comme de vielles amies, elle est un peu émue et me serre entre ses bras, cest à ce moment quEmmanuel revient avec ses bagages et nous trouve enlacées, je suis face à lui et sa mère ne le voie pas, son air surpris laisse place à un sourire et il lève le pouce en riant.
"Je vois que vous vous entendez bien dit-il ! »
Sa mère, surprise se détache comme prise en faute, les joues un peu rouges.
"Madame est très gentille de temmener avec elle, alors ne me déçois pas. Sois très gentil avec elle ! Elle me tiendra au courant si tu te comportes mal et ne fais pas bien tes devoirs ! Et puis, tu pourras tout de même toccuper un peu delle !
Mais oui Maman, ne tinquiètes pas, je men occuperais, je serais gentil et je ferais mon devoir !
Tes devoirs ! Que tu parles mal ! Ça aussi tu pourras faire attention, ne me fais pas honte !
Oui pardon Maman dit-il en lembrassant, ne tinquiète pas !
Avant déclater de rire à cause de ses sous-entendus et phrases à double sens, nous montons en voiture et après un dernier adieu, nous prenons la direction du sud ;
A peine sortis de la ville, Emmanuel glisse une main sous ma robe, dune tape, je lui intime lordre de reste sage.
Je nai pas promis à ma mère de rester sage, mais dêtre gentil, dit-il en maintenant sa main et même en la remontant sur mes cuisses. Jabandonne la bataille et toute pudeur lorsquil atteint la fourche humide et chaude où il insère un doigt. La route sélargit ensuite et je peux écarter un peu mes jambes. Sa main va rester ainsi tout le voyage, même au passage des péages où la vue plongeante de lemployé ne peut pas louper le manège.
A la deuxième gare jessaie de prendre la file automatique mais le voyou moblige à emprunter celle où il y a le contrôleur, il remonte même ma robe, dévoilant la quasi-totalité de mes cuisses. Je dois être cramoisie et le sourire amusé de la dame dans la cabine me confirme quelle se rend compte de la situation, ceci dautant plus que mon bourreau, voyant quelle paraît intéressée, me demande dattendre un peu plus, relève encore ma robe sur mon ventre et enfonce un peu plus sa main dans ma fente. Un coup de klaxon derrière nous, nous rappelle tous les trois à la réalité. Je démarre rapidement, à la limite de la jouissance, tellement la situation ma excitée.
Laire de repos suivante sera le théâtre de mon orgasme, sous les doigts fureteurs de mon jeune amant.
Nous franchissons la frontière et lenvie nous prend de faire notre première étape à Saint Sébastien. Par chance nous trouvons assez vite un hôtel confortable où lemployé me propose une chambre à deux lits ! ! Après une douche nous-nous habillons pour la soirée. Jexplique à Emmanuel quen Espagne, il est de tradition de bien shabiller pour le paseo avant de dîner.
Nous flânons dans les vielles rues de « Sansé », sans nous être concertés, nous marchons main dans la main. Cest lorsque japerçois le regard de deux femmes sur nous, regard plutôt réprobateur, que je me rends compte de que notre couple peut surprendre, ici en pleine lumière, notre différence dâge se voit bien plus, je lâche la main dEmmanuel qui se retourne vers moi surpris, voyant mon trouble il me demande ce quil y a, je lui explique en lui disant que ce nest pas correct, pour réponse, il prend ma taille fermement et même membrasse sur les lèvres, déclarant :
" Ici on ne nous connaît pas, nous sommes majeurs et je suis fier que les gens sachent que je suis ton amant !
Mais voyons !
Il ny a pas de mais, moi je nai pas honte, tu nas pas a en avoir honte, ce ne sont que des préjugés, quand je te baise, je ne pense pas à cela autrement je taurais quittée il y a longtemps. Je taime pour ce que tu es, je vais même te dire que jai beaucoup plus de plaisir avec toi quavec Hélène ! Parce que je taime !»
Cette déclaration en pleine rue, ne peut que me rendre heureuse, nous prenons un léger apéritif avec des tapas en regardant passer les gens, je me rends compte quil y a dautre couples aussi disparates que nous, interraciaux, ou inter-générations, avec beaucoup dhommes plus âgés accompagnés par des jeunes femmes. Un seul couple « comme nous » avec toutefois une différence qui semble moins grande.
Nous entrons ensuite dans une sidrerie, pas loin de la « Plaza de la contitucion » où nous dégustons une belle côte de buf avant de revenir tranquillement vers lhôtel. Lorsque nous passons la belle place de la mairie, nous voyons une discothèque en forme de bateau et Emmanuel propose dy aller.
"Tu ny penses pas, à mon âge !
Jai envie de danser avec toi ! allez, viens! »
Il mentraîne sur la passerelle qui sert daccès, le garde à lentrée hésite un peu mais nous laisse tout de même entrer, lorsque je lui parle en espagnol.
Il y a du monde dans la boite, nous dansons un peu puis trouvons une place dans un coin pour boire un rafraîchissement, mon jeune compagnon boit du coca, boisson de son âge, je prends plutôt un jus dananas.
Lorsque le disc-jockey met un slow, Emmanuel mentraîne sur la piste où nous nous enlaçons langoureusement, jai perdu lhabitude, mais je me laisse faire lorsque ses mains me caressent, quand il prend mes lèvres je bascule les yeux clos dans un délire sensuel, je sens mes seins se gonfler et les pointes dures sélectrisent contre le torse dEmmanuel, je sens entre mes cuisses, mon sexe se liquéfier, je mouille comme une folle et si nous étions seuls je violerais mon partenaire, mais nous ne sommes pas seuls et cest cela aussi qui mexcite !
Emmanuel me ramène à la table toute flageolante, le ventre noué par le désir. Il y a à peine quelques secondes que nous sommes assis quun homme sapproche et minvite à danser en français. Je vais lui refuser, lorsque Emmanuel dit mais oui vas y, profite un peu ! Comme une somnambule, je suis lhomme qui a pris ma main. Il menlace sur la piste et prend ma mollesse et ma langueur pour une acceptation à ses avances, il me pelote sans vergogne, croyant que lexcitation quil ressent en moi vient de lui, il va même jusquà membrasser mais je ne lui accorde que mes lèvres serrées, cela ne le freine quun peu, une main sur un sein dont il sent la pointe dardée sous le léger vêtement, il infiltre sa jambe entre les miennes, me faisant sentir la dureté de son sexe qui gonfle le pantalon.
La danse sinterrompt et galant, me ramène à ma table avec lintention de poursuivre son avantage, mais Emmanuel se lève à ce moment en déclarant :
"Désolé mon vieux, merci de lavoir bien chauffée mais maintenant cest moi qui vais la baiser! »
Nous abandonnons le bonhomme frustré, mais aussi surpris de la tournure de ce couple étrange. Il pensait que jétais la mère ou la grand-mère du grand jeune homme et comptait bien me faire connaître sa bite. Il fait une drôle de tête alors que nous sortons de la boite serrés lun contre lautre. Dehors, je me rends compte que latmosphère était enfumée et oppressante, lair frais me fait du bien, je retrouve mon calme et en profite pour traiter Emmanuel de voyou et de malade sans le penser vraiment
Nous retrouvons notre belle chambre à lhôtel et celle-ci ayant un balcon donnant sur la célèbre « Concha » la plage de Saint Sébastien, nous contemplons le superbe panorama nocturne avec à nos pieds la foule des promeneurs.
Accoudée à la rambarde, je laisse Emmanuel menlacer, excité lui aussi par lépisode de la boite, il empaume mon sein en glissant sa main sous ma robe sous laquelle il avait tenu à ce que je sois nue, doù létat dexcitation que cela a entretenu, notamment, lorsque lhomme a dansé avec moi. Je ne sais si celui-ci sest douté, dans la pénombre, avoir à faire à une presque- septuagénaire, mais son érection nétait pas feinte. Décidément, ma vie a bien changé en quelques semaines !
Alors quà nos pieds, les passants déambulent, à la fois lointains et si proches, Emmanuel se place derrière moi et tout en membrassant dans le cou, sensation quil sait que jadore. Il glisse ses mains sous ma robe et la remonte sur mes hanches. Coincée entre son corps et la rambarde, je ne peux my soustraire, cest vrai que je nen ai pas non plus très envie. Néanmoins, dans un reste de pudeur, je tente de le retenir. Tout en mordillant mon oreille il me murmure son désir de me prendre là, face à la baie, devant tout le monde. Cest vrai quà notre hauteur et derrière la barrière formée par le balcon on ne doit pas nous voir, mais faire lamour ainsi, en se figurant que lon peut se rendre compte de notre acte, me fait à la fois peur, mais aussi très envie. Ma chatte dégouline ! Malgré tout, mon éducation me bloque encore. Je tente de le retenir, mais le bougre est fort et je suis obligée de mincliner cet état de soumission me plais dailleurs-. Mincliner, cest ce que fais Emmanuel qui me fait reculer les jambes et les écarter, pendant ce temps, il à ouvert son pantalon et se guide en moi sans trop de problème. Son sexe énorme me pénètre et je fonds littéralement. Il va en moi, lentement, me faisant sentir toute la longueur de son chibre. Penchée sur la main courante, je cambre mes reins à la possession délicieuse de mon jeune amant. Après avoir coincé le bas de ma robe dans la ceinture, Emmanuel sagrippe à mes hanches afin de me pénétrer à fond. Je mimagine les fesses- que jai bien développées -, exposées nues à la vue de tous, en fait personne ne peut nous voir den bas, mais cela alimente ma libido. A ce moment, un couple, dans la rue fait de grands signes dans notre direction, voient-ils quelque chose ? Ils insistent, car jai bien du mal à répondre, je lève ma main pour rendre le salut. Ils me disent quelque chose que je nentends pas, faisant signe de descendre les rejoindre, je me rends compte alors que les mouvements de mon amant, font que moi aussi javance et recule au dessus du balcon trahissant mon activité. Peu mimporte ce que ces gens peuvent penser, leur regard mélectrise et je coule sur la verge qui me laboure, mordant ma main pour ne pas gueuler mon plaisir. Emmanuel se vide en moi, serrant mes fesses à me faire mal, longtemps il continue à me baiser, son sexe restant raide dans ma fente qui se régale, je nen peux plus de jouissances, mes jambes sont molles, je suis tenue par les mains de Emmanuel à ma taille et le pat du balcon sur lequel je suis couchée. Tout à coup je me lâche complètement, mes muscles ne commandent plus et je vide ma vessie, inondant la verge et le pantalon de mon bel amant, mais peu mimporte, le soulagement est tel, que jai limpression de continuer à jouir. Ce plaisir de pisser me rappelle Jean qui me la appris. Mon Dieu ! Comme jai changé depuis sa rencontre ! Je ne me reconnais plus. Emmanuel qui sest rendu compte du spectacle que nous donnions, dégrafe lattache du haut de ma robe derrière mon cou et dévoile mes seins. Ma robe forme une espèce de ceinture, ne couvrant que ma taille. En appui sur les coudes, mes seins se balancent à lair au rythme des allées et venues dEmmanuel dans mon antre. Je suis anéantie, complètement à la merci de ce magnifique étalon dont jadore être la femelle consentante. A son tour, il vide sa vessie dans mon vagin, lurine déborde de mon ventre et vient augmenter la flaque sous nos pieds. Je suis heureuse dêtre le réceptacle de son envie, dêtre son urinoir dévoué, une sorte divresse me prend, prête à accepter tous ses caprices. Emmanuel a empaumé mes seins lourds et les malaxe sans vergogne. Je sais quen bas le couple qui nous observe, sait ce que nous faisons, mais je nen ai cure, abandonnée à « mon homme » je suis soumise à ses désirs même sil a cinquante ans de moins que moi, fière quil me trouve à son goût.
Enfin il me retourne, se plaque à moi et membrasse face à cette splendide baie de la « Concha » qui restera à jamais dans ma mémoire. Puis, me saisissant dans ses bras il memmène dans la chambre où après une rapide toilette nous tombons sur le lit et nous endormons dans les bras lun de lautre.
Lorsque le matin la femme de chambre entre dans la chambre pour porter le petit déjeuner, elle nous trouve nus sur le lit, quelle nest pas sa tête de voir ce jeune homme dont lérection matinale est impressionnante, couché avec celle qui prétend être sa grand-mère (cest le prétexte que jai donné pour prendre une seule chambre). Surprise par son entrée, je nai pas eu le temps de me couvrir non plus. Emmanuel, afin dajouter à la confusion de la femme, lui demande de nous porter le plateau sur le lit. En se penchant elle touche involontairement (ou pas?) la verge dEmmanuel et peut sentir lodeur de nos corps. Elle se retire rapidement sûrement choquée de notre attitude et du fait que ce beau jeune homme couche avec une vieille femme. Avant de sortir, elle se retourne tout de même une dernière fois. A notre départ de lhôtel les regards du personnel sur nous, prouvent quelle a tout raconté à ses collègues.
Nous quittons Saint Sébastien, direction le sud, je ne suis pas pressée darriver à destination car, jai envie de profiter dEmmanuel pour moi seule pendant quelques jours. La prochaine étape nous emmène à Madrid où je fais visiter cette magnifique ville et ses environs à mon jeune amant. Nous restons deux jours dans la capitale. Jai trouvé une chambre chez lhabitant. Cest une dame sensiblement de mon âge qui semble toute réjouie de côtoyer notre étrange couple. Au moment du départ, elle vient spontanément membrasser en me glissant « muchas gracias para todo » (merci beaucoup pour tout) preuve quelle a du entendre nos ébats nocturnes, « estupendo este chico con usted » (magnifique ce garçon avec vous). Le tout agrémenté dun clin dil complice
La dernière étape de notre voyage a lieu à quelques kilomètres de notre lieu de vacances. Jai peur, tout à coup, daffronter nos hôtes. Emmanuel qui en dînant se rend compte de mon état me questionne et je dois lui avouer la raison de ma peur !
"Pourquoi as tu peur donc, si ce sont tes amis, ils ne doivent pas te juger, ou alors cest moi qui te fais honte ?
Mais non
Cest que
. Cest un peu particulier !
Dis-moi tout !
Voilà ! Ces amis, ce sont en fait, ma sur et mon beau frère ! Ils vivent ici depuis deux ans et je ne sais pas comment ils vont réagir. Je panique à lapproche de la rencontre, que vont-ils penser de moi ? Ne suis-je pas folle de mafficher ainsi ? Je leur ai dis que je venais avec un ami, ce qui a enchanté ma sur qui me reprochait ma solitude après mon veuvage, mais je nai pas précisé ton âge !
Je crois que tu te fais du mouron pour rien, ta sur et ton beau-frère taiment, puisquils se soucient de toi.
Oui mais les préjugés
Sils sont venus sinstaller ici cest quil ont un esprit jeune et indépendant »
Emmanuel finit par me rassurer et est particulièrement tendre avec moi durant la soirée
et la nuit, il me saoule de caresses et de baisers et je finis par mendormir dans ses bras. Réveillée de bonne heure, je prends un long bain et attache une attention particulière à ma tenue et mon maquillage, je veux paraître le plus à mon avantage aux côtés de mon superbe compagnon. Lorsque je sors de la salle de bain, Emmanuel lance un sifflement admiratif à mon attention, preuve que mon travail a porté ses fruits. Quand il me prend dans ses bras et membrasse, je le retiens en lui disant quil va ruiner mes efforts.
Les quelques kilomètres qui nous séparent de ma famille, je les parcours à très petite allure, retardant au maximum le moment de la rencontre. Pourtant ils me paraissent très courts ! Très vite nous arrivons à « La Torre », petit village au bord de la mer entre Alicante et Murcia. Lautoroute nous y amène à moins dun kilomètre. Ce sont juste quelques maisons de pêcheurs. Je me retrouve devant lentrée de la propriété, incapable de sortir de la voiture, figée par la panique, le cur battant à deux cent à lheure. La silhouette de ma sur sortant de la maison et venant à notre rencontre avec un grand sourire, me réconforte, je suis heureuse de la revoir. Cest la première fois depuis le décès de mon mari. Cela me fait oublier le stress et je descends de la voiture pour tomber dans ses bras, les retrouvailles sont joyeuses, elle me félicite de ma bonne mine :
"Mais tu rajeunie ma chérie ! Cest le soleil ou lamour ?
Un peu les deux
dis-je, troublée malgré moi.
Présente-moi à ton bel ami, il est très beau !
Et très jeune ! Elle ne semble pas choquée et il ny a aucun reproche dans sa remarque, mais mon cur saccélère !
Je te présente Emmanuel, dis-je sans plus de précision, Emmanuel, voici ma sur Ginette, mais au fait où est ton mari ?
Oh lui ! Il part tous les matins en mer pour pêcher et ne rentre que vers une heure, comme nous ne savions pas quel jour vous arriviez
.
Vous avez bien fait ! Nous avons fait du tourisme à Madrid.
Vous avez raison, cest une ville superbe. Mais ne restons pas là, entrez donc ! Elle sapproche dEmmanuel On sembrasse ? Après tout vous êtes un peu mon
beau-frère ! »
Eh bien ! Ma petite sur a lair de bien prendre la chose ! Voilà au moins un poids en moins pour moi. Il est vrai que nous-nous sommes toujours bien entendues ensemble, bien quelle ait dix ans de moins que moi. Avec ma sur aînée, qui na pourtant quun an décart avec moi, nous navons jamais eu cette complicité. Nous vidons la voiture et Ginette nous emmène dans notre chambre qui est immense avec un superbe lit à baldaquin. Une grande salle de bain comme savent faire les espagnols. Azulejos de bas en haut et couleurs chatoyantes. Le balcon couvert qui court autour, donne sur le patio au milieu duquel un jet deau sur un bassin, apporte une note de fraîcheur.
« Vous serez bien ici, me dit ma sur, un vrai « nid damour » ! Cétait notre chambre au début, mais maintenant, Dédé préfère rester en bas »
Ginette nous laisse seuls pour nous installer. Une fois installés, alors que je redescends voir ma sur, Emmanuel décide de rester dans la chambre pour bûcher son examen, je le soupçonne de vouloir nous laisser seules ensemble entre surs et puis, il est un peu intimidé par la situation. Jusquà présent, il ne se trouvait jamais avec moi face à des personnes nous connaissant et étant au courant de notre situation, ni susceptibles de nous juger. Pour la première fois sans doute, il ressent la pression que génère notre drôle de couple, don
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