1986, 10 Ans Après.

1986, dix ans plus tard, au mois de juin, je me trouvais sur la commune de Montluçon pour un stage d’une quinzaine de jours dans le cadre de mon travail.
Ne pouvant rentrer chez moi durant le week-end, j’eus l’idée de téléphoner à ma marraine Huguette afin de savoir si elle pouvait m’accueillir durant ces deux jours. Le week-end à Montluçon ne m’intéressait pas et j’avais pour arrière pensée d’avoir une relation sexuelle avec Huguette. Il fallait bien fêter les dix ans où elle avait fait mon éducation sexuelle (voir récit 1976). Serait-elle d’accord, telle était la question.
Au coup de fil, elle répondit qu’elle m’accueillait avec joie. Je pris la route en direction de son domicile à côté de Clermont-Ferrand.
Arrivant vers midi, elle me reçut avec grand plaisir en me serrant dans ses bras. Cela faisait quelques années qu’on ne s’était vu. Les contacts fréquents se concrétisaient par des appels téléphoniques.
Je trouvai ma marraine toujours rayonnante, souriante, belle et….toujours sexy. Elle vivait seule maintenant après son divorce. A table, nous avons parlé de ça.
Elle disait qu’elle finirait ses jours seule, sans homme. Que l’homme maintenant lui servait, de temps en temps, pour prendre son pied. Comme elle me dit « un petit coup de bite de temps en temps, ne fait pas de mal ». Je pensais alors que j’avais une chance de baiser ce week-end.
L’après-midi ensoleillé, fut consacré, dans un premier temps, à une petite séance de bronzage, seins nus pour ma marraine. Ils étaient toujours aussi beaux malgré la cinquantaine. Ils donnaient vraiment envie d’être tétés, léchés. Mais je n’en fis rien. Juste une érection en les regardant. En début soirée, après avoir mis juste un chemisier, qui laissait bien apparaître les tétons, elle m’emmena dans un bar pub de la ville. Dans ce lieu, plusieurs hommes et mêmes des femmes ont fortement regardé ma marraine et sa poitrine. Elle n’y faisait pas attention. Moi, cela m’excitait encore plus de voir qu’elle était désirée par d’autres.

Après quelques bières, nous sommes revenus à la maison.
Huguette décida de prendre une douche. Je l’a suivie discrètement et attendit à la porte de la salle de bains, Dès que j’entendis l’eau de la douche, je décidais d’entrer. La douche état sur la gauche en entrant, le lavabo sur la droite. J’allais jusqu’au lavabo pour me laver les mains, et regardant dans le miroir, je la voyais se savonner. Bien sûr, elle m’avait vu, mais cela ne la gênait pas. Je me suis retourné et j’ai vu sa petite culotte au sol.
Je l’ai ramassée et sentie de suite. Huguette me regardait à travers la vitre. J’ai posé la culotte sur le bord du lavabo, me suis totalement déshabillé et repris la culotte pour la sentir. J’ai attrapé mon pénis, me suis masturbé en sentant la culotte et en regardant ma marraine. Elle aussi, continuait à me regarder. J’ai descendu sa culotte autour de mon sexe et ai continué à me caresser et à la fixer. C’était très jouissif. Je me suis approché de la paroi de la douche. Plusieurs giclées de semence sont alors venus s’écraser contre la paroi. J’ai joui tout en continuant à la regarder, à la fixer.
Elle faisait de même. J’ai lâché sa culotte, essuyé la paroi et suis sorti. Plus tard, j’ai pris une douche à mon tour.
A la fin du du repas du soir, je lui ai demandé ce qu’elle pensait de ce que j’avais fait dans la salle de bains. Elle m’a répondu que j’avais pris mon pied, c’était le principal. Je lui ai demandé si cela l’avait excitée. Elle a dit que j’aurai du aller voir. Zut alors !
Plus tard, vers 22 heures, après avoir attendu que la porte de la chambre où je me trouvais, s’ouvre comme en 1976, je suis allé vers la chambre de ma marraine. Elle n’était pas fermée et l’a poussait discrètement pour voir ce qu’elle faisait. Assise sur le lit, en culotte, elle lisait. J’hésitais puis entrai.
Elle me regarda. Sans rien dire, je lui pris le livre des mains, le posa sur la table de chevet, la tirait délicatement par les pieds pour l’allonger, je vins me mettre à la hauteur de ses seins que je mis lécher, et sucer.
Ma main droite glissa vers sa culotte blanche et s’engouffra vers sa chatte.
Toujours lisse de poil, je caressai les lèvres, les écartais, le resserrais, Je remontais vers le nombril, toujours en tétant les seins, puis redescendait dans la culotte où je sentais une humidité croissante. Elle mouillait. Elle ne bougeait pas et se laissait faire, jusqu’à qu’elle posa une main sur ma tête et la poussa en direction de son sexe. Je descendis, alors ma bouche sur sa culotte de plus en plus trempée de cyprine.
Je léchais la culotte, appuyais ma langue sur sa chatte. Elle caressait mes cheveux, puis les empoignait. Du mieux que je pus, dans cette position, je fis glissé sa culotte sur ses cuisses et continuais à la lécher. J’enfilais un doigt, puis deux, puis trois dans sa chatte mouillée. De la mouille coulait sur ses fesses. Je mis, alors, mes lèvres au tour de son clito dressé fièrement, J’aspirai, je soufflai, j’aspirai. J’avais l’impression que son clito grossissait à vue d’œil. Mes trois doigts à l’aise dans le vagin venaient et allaient sans arrêter. Huguette avait les cuisses toutes grandes écartées. Je m’occupas du clito, de sa chatte, de ses lèvres vaginales. De ma main gauche, j’avais empoigné son sein droit. Je le serrai dans ma main. Ma marraine se cabra, en laissant échapper des cris, et des jurons « putain que c’est bon. Défonce moi, fourre moi tes doigts plus profond ».
Son corps bougeait dans tous les sens et j’avais du mal à tenir ma position. Huguette laissait échapper des cris, des râles. Puis, elle retomba sur le lit quasi inerte. Elle avait joui. Tout en retirant mes doigts trempés de mouille, je vis que la culotte avait fini sa course coincé dans un pied.
Le drap sous ses fesses, était aussi tout mouillé. Elle avait joui, mais pas moi. Mon pénis était tendu, dur. Il fallait jouir aussi. Huguette avait les yeux fermés. Lui écartant les cuisses, je me suis mis sur elle et l’ai pénétré vigoureusement. Elle ne bougea pas. Je lui donnais des coups de reins, engloutissant ma verge toute entière dans sa chatte.
Je me penchais sur elle pour lui manger ses seins et j’activais les va et viens. Huguette se laissait totalement faire. Je passais une main sous ses fesses et caressait sa rosette, tout en la baisant dru. Après avoir récupéré de la mouille, je badigeonnais sa rosette et enfila le majeur dans son rectum. Je sentis alors alors ma verge à travers la paroi. Je me mis à branler le gland. Et ce fut une explosion de semence dans sa chatte, en lui donnant des coups de butoirs de plus en plus forts. Je finis, par m’effondrer à mon tour. Huguette est restée stoïque à me regarder. Je récupérais alors sa culotte et m’essuyais la verge avec. Puis je la déposait délicatement sur le ventre de ma marraine. Quel pied.
Nous finîmes la nuit dans le même lit.
Le dimanche matin, pressentant que c’était vraisemblablement la dernière fois que je la baisais, je vins sur elle et la pénétrais. « Encore » me dit elle.
A l’intérieur de sa chate, je sentais le sperm de la veille glissé sur ma verge. Elle eu à peine le temps de mouiller sa chatte que je l’éclaboussais de mon sperme. Je sortis ma verge et la dernière giclée de semence fut pour son nombril.
Ce fut effectivement la dernière fois que je baisais avec ma marraine. Depuis, on s’est revu à plusieurs reprises, mais il n’y a jamais eu d’autre fois.
Je suis souvent masturber en pensant à elle, à son sexe, ses seins, sa rosette.
Maintenant, passée 80 ans, Huguette est une belle « mémé »

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