Mon Retour En Algérie (4)

Enfin Oran

A l’atterrissage, l’appareil est entré jusqu’au hangar militaire, où seul Karim attendait notre descente, avec un mot en français écrit à la main pour moi. Il émanait du Ministre.

« Désolé de ne pas avoir pu t’accueillir à ton arrivée, et je te remercie. Je serai toujours disponible si tu as besoin de moi, avec un numéro de téléphone qui suivait »

J’ai montré cette lettre à Karim, fier quand même du contenu, mais aussi pour avoir son avis.

« C’est son numéro privé de ligne directe, strictement confidentiel. Très peu de personne y ont accès et il y répond toujours personnellement, je t’assure Marc »
« Mais j’ai fait quoi pour ça Karim ? »
« Il a senti ta fougue, ton amour pour notre pays et ta sincérité. Il avait déjà, depuis longtemps, l’idée de mettre cet échange en place mais il avait rencontré beaucoup de barrières et d’opposition. Tu sais, la haine entre nos deux peuples reste encore forte et quand je lui ai parlé de ton séjour avec nous, surtout de ton désir d’aller découvrir nos racines, alors, il a foncé. »
« C’est-à-dire ? »
« Il a tout mis en place pour montrer que le Passé était le Passé et qu’il fallait voir l’avenir maintenant, le rapprochement entre la jeunesse de nos pays. »
« Je…. Je ne sais pas quoi te dire Karim…. J’espère juste être à la hauteur de ses espérances. »
« Marc… Sais-tu combien d’étrangers possèdent une carte de séjour comme la tienne, sur notre Territoire à part quelques richissimes investisseurs, et encore ? »
« J’en ai aucune idée Karim. »
« Pas plus d’une dizaine, je pense. Pour te la décrire, même si nous sommes en République, cette carte est comme celle que possède les membres de la famille Royale du Maroc… Tu es intouchable en Algérie… !!! »
« Intouchable…. Même par Rachid, toi, Farid et vous tous ? »
« Disons qu’elle protège aussi l’intégralité de ta vie privée… !!! »

Rachid assistait de loin à notre discussion, sans l’entendre, mais je le voyais s’impatienter lorsque nous sommes enfin sortis de cette enceinte protégée.

Samira, Kader, Imane étaient devant nous, nous serrant tour à tour dans leurs bras. J’étais tellement heureux de les revoir, d’être de nouveau avec eux, de ressentir leur affection, même si j’étais un peu mal à l’aise de sentir l’énorme barre de Kader quand il me collait contre lui, même s’il ne bandait pas vraiment.

J’étais trop content de me retrouver parmi eux, avec cette famille algérienne d’adoption qui me comblait… dans tous les sens du terme. Je pense qu’ils étaient fiers et ravis que l’attention qu’ils m’avaient offerte pendant mon séjour, ait pu interpeller le Ministre de Tutelle de Karim et lui permettre d’envisager un tel rapprochement. En tous cas les documents en ma possession me permettaient de vivre en Algérie tout le temps que je le voudrais, comme si je détenais une double nationalité, ce que la loi algérienne interdisait légalement, sauf pour leurs nationaux, mais qui donnait des droits quasi identiques, à part le droit de vote, évidemment.

J’étais hyper enthousiaste de me retrouver chez Samira et Karim, un peu comme mon deuxième foyer, beaucoup plus chaleureux que le mien à Nice, où un super repas m’attendait, auquel Kader assistait.

« Marc, on a rien changé pour le moment, la chambre de Rachid a toujours son grand lit, mais si tu dois rester longtemps, on peut changer tout ça. »
« Je crois pas que ce soit la peine Samira, on est habitués Rachid et moi… »
« Et puis, tu as toujours ta chambre universitaire si tu le veux »
« Pourquoi, tu veux que je parte de la maison pour aller y vivre seul ? »
« Bien sûr que non… Chez nous, c’est chez toi, mais tu peux avoir besoin d’y être seul pour travailler, préparer tes cours. Je vais t’aider, bien sûr, je suis la prof de français en titre quand même. »
« Tu as la clef Papa ? J’aimerais bien que Marc me montre son nouvel univers. »

Il m’a accompagné jusqu’à ce campus, assez sommaire, où un logement assez vaste m’y avait été attribué.
Ce n’était pas seulement une simple chambre, mais plutôt un grand studio, avec une belle cuisine équipée et un beau salon, au fond duquel trônait un grand lit.

Rachid restait surpris par ce qu’il voyait, portant ses yeux partout, surtout sur ce grand lit qui n’attendait que nous. Son membre grossissait au fur et à mesure qu’il contemplait les lieux…
« C’est pas un appartement universitaire, c’est un endroit fait pour l’amour… »

Du fait de tous les préparatifs du départ, nous n’avions pu nous donner l’un à l’autre depuis plusieurs jours. Mon envie était vraiment exacerbée, attisée de plus, par les caresses furtives, mais appuyées, de Karim et de Kader sur mes fesses et ma fente, me marquant, par leurs gestes, qu’ils avaient très envie de l’utiliser.

Mais c’est de Rachid dont j’avais envie en premier, surtout dans cet endroit qui était le mien, duquel il avait un double des clés que je lui avais confié. Il était tellement fébrile de me posséder que j’ai à peine eu le temps de lui enlever son T-shirt, pour fourrager son poitrail de mes mains et de mes narines pour m’imprégner de Lui. En un instant, il m’a basculé sur le lit, arraché quasiment mon short pour lui donner accès à ce qu’il convoitait tant… Mon puits d’amour, cet orifice qui faisait ses délices depuis qu’il en avait conquis sa virginité. Il savait que d’autres sexes étaient passés par là, pour la plupart, ceux des hommes de sa famille, et uniquement ceux-là depuis mon retour de Tamanrasset. Je voulais bien être ami avec ses potes, mais plus coucher avec eux.

Notre envie était si forte, nos muqueuses suintaient tellement de désir, que pour une fois, nous n’avons pas utilisé la fameuse vaseline. Dès qu’il a senti le passage ouvert, il s’y est enfoncé à grands coups, cherchant la pénétration la plus forte possible, que j’accompagnais de pressions appuyées sur ses fesses hyper fermes et bien duveteuses, jambes écartées à l’équerre. Son merveilleux nectar s’est déversé dans moi à je ne sais combien de reprises, il ne parvenait pas à débander, peut-être pour quelques minutes quand même, sans toutefois sortir de moi.

Tout d’un coup, l’esprit tellement occupé par notre puissant désir charnel, nous nous sommes rendu compte qu’il était hyper tard et que nous avions copulé pendant plus de trois heures non-stop. Samira devait nous attendre pour le repas, et Rachid a inventé une rencontre avec des copains sur le campus pour justifier notre retard. Il m’avait tellement démonté la chatte, que j’ai dû évoquer une chute pour justifier ma démarche incertaine, son regard ironique de mâle conquérant sur moi à l’écoute de mes explications plutôt oisives.

« C’est rien par rapport à ce que tu vas prendre encore ce soir… !!! » Dans un chuchotement à mon oreille.
J’étais souvent stupéfait par son formidable appétit sexuel, que même en étant moi-même très gourmand dans ce domaine, j’avoue avoir eu un peu peur quelquefois, tellement ses demandes étaient fortes et plus que fréquentes. Il est vrai aussi que Lui et sa famille possédaient un tempérament de feu et qu’il n’avait jamais pu l’assouvir avant moi. J’étais profondément amoureux de Lui, et lui aussi, cela était évident entre nous. Si son père, son oncle Kader et beaucoup de ses cousins au bled m’avaient baisé, nous, nous faisions l’amour et cette différence était de taille pour nous deux.
Le savoureux repas de Samira avalé, nous avons rejoint le salon pour le thé rituel quand Karim a pris la parole :

« Rachid, demain Maman travaille toute la journée pour préparer la rentrée, tu veux pas accompagner Imane chez grand-mère ? Elle n’est pas super bien en ce moment et votre visite lui fera du bien. »
« Bien sûr Papa, on y va le matin ou l’après-midi ? »
« Le matin et vous y restez la journée, Maman a tout préparé pour que vous déjeuniez avec elle, Imane s’occupera de tout réchauffer. Rentrez vers le soir, tard…. Elle sera tellement contente. »
« Je vais vous laisser alors demain, j’irai à ma chambre au Campus. »
« Mais non Marc, au contraire, j’ai pris ma journée pour voir tous les derniers détails avec toi.
On ira à la banque pour t’ouvrir un compte algérien, et te faire établir une carte. C’est encore rare dans notre pays mais ton statut t’y donne droit. »
« C’est trop gentil Karim, ça me gêne… J’aurais pu m’en occuper tout seul »
« Tu parles pas arabe Marc, et il vaut mieux que je t’accompagne. Ensuite, on ira à la Préfecture pour faire valider ton Permis de Conduire…. Tout neuf, je crois… !!! »
« Oui, j’ai pris le temps de le passer dès mon retour d’Oran. »
« Bon…. Journée chargée demain… Au lit tout le monde. »
J’ai rejoint mon monstre de virilité dans sa chambre, et malgré la douche prise chez moi avant de partir, il empestait la testostérone et le désir. Après nos être unis à trois reprises, il s’est levé, est allé chercher le pot de crème cicatrisante ramené du Sud et en a enduit copieusement ma vulve.

« Tu sais ce qui t’attend avec Papa demain ? Tu en as vraiment besoin… Il va te démonter. »
« Chéri, je sais pas vraiment si je vais accepter… !!! »
« Alors écoute bien mon Amour… Je sais que tu es à Moi, à Moi seul et que ton cœur m’appartient… Mais si un homme de notre clan veut te baiser, tu écartes et tu prends ton pied et tu leur donnes. Kader t’attend aussi. Tu me trompes pas, c’est mon sang, le même sperme qui se déverse en toi quand ils te possèdent. »
« Et pour toi, c’est comment dire…normal… !!! »
« Oui, parce que je sais que tu ne me tromperas jamais avec aucun autre homme. J’aime trop ma famille, et je veux leur offrir, de temps en temps, le plaisir merveilleux que tu me donnes… Je sais aussi que tu adores ça… !!! »

Le lendemain, nous avons pris le petit déjeuner tous ensemble, Rachid s’était calmé dans ses assauts pour laisser cette fameuse pommade agir. Samira est partie la première, nous prévenant qu’elle rentrerait assez tard du fait de nombreuses réunions prévues. Rachid a pris le volant peu de temps après, sous le regard impérieux de son père, lui faisant encore comprendre que ce serait très bien qu’ils restent le plus longtemps possible chez leur grand-mère.
Une fois seuls, nous avons terminé notre café et Karim, tous poils dehors, s’est approché de moi. Son short formait une excroissance vraiment monstrueuse, j’avais oublié qu’il était mieux doté que son fils, pas énormément quand même, en tous cas, beaucoup moins que Kader.
« J’ai tellement envie de toi… !!! »

Fort du blanc-seing de mon mec, j’ai commencé à le caresser de partout, branlant son sexe qui dépassait allègrement du faible rempart de tissu, pour le prendre en bouche et le sucer au maximum de ce que je pouvais. Déjà avec Rachid, c’était pas facile, mais avec lui, pas simple… Mais quel plaisir… Ce gros gland circoncis dans ma bouche qui sentait fort le mâle, ces couilles grosses, velues, hyper pleines que je léchais et que je prenais à pleines mains, pour l’exciter à mort.

J’avais trop envie qu’il me baise, qu’il me défonce comme la femelle que j’étais.







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