Maria 8 : Laurence Découvre Le Plaisir Avec Un Homme
Cest le début septembre. En ce dimanche où la petite station retrouve un peu de calme, je suis passé voir Maria et Emmanuel qui sont rentrés dEspagne. Jai bien senti quils avaient envie dêtre seuls, ce qui ne me dérange pas. Jai été à la plage quasi déserte maintenant et avant de prendre la route, je sirote une bière bien fraîche sur le mail promenade.
Japerçois la commerçante en lingerie quen compagnie de Jérémy et Valérie, nous avions rencontrée alors que Maria et Emmanuel étaient seuls à la maison. Elle sapproche moi pour me saluer. Je lui propose de sasseoir pour prendre un verre, ce quelle accepte. Après quelques banalités, elle se rapproche de moi afin de me parler plus bas.
" Vous savez, pour ce que vous mavez fait découvrir lautre jour ?
Quoi donc ? Dis-je pour la taquiner.
Vous savez bien, enfin
avec... la règle et... les photos !
Oui bien sûr ! Et alors ?
Eh bien, des clientes ont vu les photos, certaines ont rougi, mais aucune ne sest offusquée. Jai profité dun week-end pour équiper mon magasin de miroirs afin de surveiller tous les coins.
Vous navez pas pensé à une webcam branchée sur votre PC ?
Oui... Comment lavait vous su ?
Simplement une idée, mais je ne pensais pas que vous pouviez lavoir, vous !
Vous me trouvez
vicieuse ?
Coquine dirons-nous, quavez-vous fait alors ?
Jen ai acheté une, mais je nai pas su la faire marcher.
Pour ça je peux vous aider, mais racontez moi un peu.
Eh bien, après mon installation, je pouvais contrôler pratiquement toute ma boutique, mis à part la cabine dessayage derrière mon bureau, doù lidée de la caméra. Ce nest pas très légal mais
Je ne sais si cest leffet des photos, ou des miroirs, mais jai remarqué dès la première semaine une dame qui dissimulait une culotte dans son sac.
Vous lavez interpellée ?
Noon.
Oh dommage !
Oui mais jétais plus gênée que la dame en fait.
Cest sûr ! Mais vous pensez quelle lavait fait exprès ?
Je ne sais pas, elle se cachait bien.
Elle nallait pas le faire au grand jour tout de même !
Détrompez-vous ! Vous-vous rappelez la dame qui était venue le même jour que vous ?
Bien sûr ! Très belle dame et distinguée !
Oui ! Cest une habituée. Eh bien, elle est revenue le lendemain du jour où javais surpris lautre dame. Elle a regardé « sa » photo, ma regardée dans les yeux et est partie dans le fond de la boutique. Arrivée devant le présentoir, elle a bien vérifié que je la voyais dans le miroir et bien en vue, a mis un soutien gorge dans son sac. Elle est revenue à la caisse, lair sûre delle et sest plantée devant moi, elle navait rien dans les mains.
Vous ne me demandez rien ? demanda-t-elle. Jétais horriblement gênée, mais jai pris conscience quelle attendait de moi que je recommence la séance comme avec vous. Alors, me redressant je demandais :
Pourriez-vous me montrer votre sac sil vous plaît Madame ? » Elle le pose sur le comptoir et louvre sans vergogne. « Je crois, Madame, que vous avez dérobé ce soutien gorge ! Vous savez ce qui vous attend ?
Oui, madame, je mexcuse ! Elle prend aussitôt lattitude dune petite fille prise en faute.
Vous navez pas dexcuse ! Sale petite voleuse, vous allez être punie, mais auparavant vous allez me régler le prix de cet article !
Bien sûr Madame ! Pardonnez-moi ! Combien vous dois-je ?
Ce sera 40 euros le prix normal est augmenté de 25 pour cent - La cliente paye immédiatement. Merci, maintenant mettez vous en position ! »
Sans se faire davantage prier, elle se retrousse et je découvre quelle à des bas à jarretelles et ne porte pas de culotte !
« Petite cochonne ! Vous-vous promenez les fesses nues !
Oui, jaime sentir le tissu ainsi !
Pour cela vous aurez droit à cinq coups supplémentaires !
Oh non ! Sil vous plaît !
Pas de discussion ! Allez ! Écartez bien les jambes, je vais bien rougir votre joufflu, jai limpression que vous aimez ça, vous allez être servie !
Jatt ma règle et avant de commencer je tape dans ma main en la faisant claquer, la cliente se retourne et frissonne
" Relevez bien votre jupe ! Vous allez rester un moment comme çà !
Mais
Si quelquun vient ?
Eh bien il vous verra ainsi, comme vous avez vu la dame lautre jour
Mais .
Et bien, on saura comme ça la belle voleuse que vous êtes et que vous aimez vous faire fesser.
Cest pas vrai !
Mais si ! la preuve vous avez tout fait pour que je vous vois.
Je lavoue.
Cest bien, faute avouée, à moitié pardonnée ! Aussitôt je frappe un bon coup de règle sur ses fesses qui ne lattendait pas. La dame sursaute et sa peau se marque de rouge, jenchaîne les coups en alternant les coups rapprochés ou en attendant un peu pour la surprendre. Jinterromps son récit.
Je vois que vous apprenez vite ! dis-je pour manifester mon intérêt
Ou...oui dit-elle en baissant la tête, confuse. Jy... ai... pris ... goût !
Petite coquine lui dis-je. Vous prenez du plaisir ?
Ou
Oui Oh ! ! Avoue-t-elle encore
Bien ! Continuez ! Dis-je alors. Votre cliente a reçu tous les coups sans broncher ?
A la fin elle criait en mettant son poing dans la bouche pour ne pas quon entende. Le dernier coup, je crois quil a porté sur ses grandes lèvres et elle a sauté haut. Quand jai eu fini elle est restée couchée un bon moment sans se soucier de sa pudeur ni de savoir si quelquun pouvait rentrer. Javais un peu de crème sur mon bureau et jai enduit ses fesses avec longuent ;
Ben dites donc ! Et je suis sûr que ça aussi vous avez aimé !
Oui répond-elle les yeux brillants. Je
Cest à dire
Oui ? Que voulez vous dire ?
Que
Que
Enfin
.. jai vu depuis que certaines ... de mes
clientes
prenaient .. du plaisir... quand
je les fessais ...
Elles
jouissent ?
Oui ! Et je
Il y en a qui
se
caressent !
Non ! Et ... vous ? Dis-je, puisque nous en sommes aux confidences intimes.
De plus en plus souvent
quand elles sont parties, je dois me caresser !
Et ... vous même, vous avez pensé à recevoir une fessée ?
Cramoisie, elle balbutie un oui quasi-inaudible.
Finalement, cest une bonne chose pour votre commerce. Si vous voulez je peux essayer de faire marcher votre webcam.
Je ne voudrais pas vous déranger !
Ce nest rien, ça devrait aller vite ! Nous terminons nos boissons et, à pied, nous gagnons le magasin. Arrivé devant, les grilles sont tirées.
Cest fermé cet après-midi, mais nous allons passer par derrière, me dit la dame en prenant le couloir à côté de la boutique. Elle débloque la sécurité et nous pénétrons à lintérieur par la réserve. Le magasin est sombre ce qui donne une atmosphère étrange, lorsquon est habitué à voir un magasin éclairé. Nous-nous installons au bureau pour allumer lordinateur, je vérifie les branchements et après quelques essais, jobtiens une image, mais pas très claire.
Il faudrait plus de lumière dans la cabine.
Je vais allumer, il y a des spots.
Je vais faire des essais, vous navez quà y rester pour que je règle, je vous direz quand cela sera bon. Elle passe dans la cabine et avec la lumière, jarrive assez rapidement à avoir une image correcte. Je teste des prises de photo et bien que jai fini je la laisse un peu, pour lobserver. Pensant que je nai pas terminé et pour passer le temps elle sadmire dans la glace, remet les cheveux en place, passe la langue sur ses lèvres et sadmire sous toutes les coutures.
Ça y est, je commence à voir, dis-je, continuez ! Prise dans son jeu, elle joue au mannequin et prend des poses, je rentre dans son jeu : Levez les bras ! Tournez vous ! Mettez vos mains derrière la tête, cambrez-vous ! Elle obéit à mes ordres, aussi jen profite. Penchez vous, relevez le bas de la robe ! Bien ! Parfait ! Je prends quelques photos pour lui montrer le bon fonctionnement puis je lappelle. Elle sort de la cabine, un peu émoustillée par lintermède, les yeux brillants.
Alors ? Ça marche ?
Bien sûr, regardez, jai isolé quelques photos !
Cest super ! Elle rougit tout de même en se rendant compte de quelques poses assez suggestives.
Vous-vous encanaillez ! Dis-je pour la taquiner
Cest ... cest vous qui me faites faire des horreurs !
Je crois que vous méritez une punition pour votre attitude !
Oh ! Mais pourquoi ?
Ne mavez vous pas dit que vous aimeriez connaître ce plaisir quont certaines de vos clientes ?
Oui ! Non ! Mais, cétait une parole comme, ça
en lair. Vous nêtes pas sérieux ?
Si ! Tout à fait, dis-je en prenant un ton volontairement plus grave, allez ! En position ! Vous savez où vous mettre ?
Je ... Ne ... me faites pas mal ! » Elle accepte par là le principe de la fessée, mais avec tout de même une réticence, ou une dernière pudeur. Elle se penche sur la table où ses clientes sont déjà passées, elle sagrippe au rebord attendant et redoutant la correction. Je relève la légère robe de plage, dévoilant des fesses dodues, dans un maillot de bain des plus réduits. Jatt celui-ci et je baisse sur les jambes sans quelle proteste, déjà soumise. Ses fesses sont entièrement bronzées, sans la moindre trace blanche prouvant quelle fait de lintégral.
Je vois petite coquine que vous fréquentez les casernes ! Dommage que je ne vous y ai jamais vue !
Non ! Oh ! Cest que
Ne vous excusez pas je trouve ça très bien y allant moi même. Bon, maintenant passons aux choses sérieuses. Combien pensez vous que vous méritez de coups ?
Je
ne sais pas
cinq ? dit-elle dune petite voix.
Voyons ! Vous nêtes pas sérieuse !
Dix ?
Là vous vous moquez de moi ! Javais pensé à vingt mais vu votre manque de participation, jen rajouterai cinq de plus !
Non ! Sil vous plaît !
Ça suffit ! Je passe la règle sur les fesses et entre les cuisses pour bien les écarter puis je commence doucement à frapper sur lensemble de la surface pour bien la rosir. Malgré quelques sursauts elle supporte bien cette « prise en main ». Après un court arrêt, je reprends la fessée mais en appuyant plus les coups. Ma soumise se met à chanter au rythme des frappes, un chant lancinant entre plainte et mélodie inarticulée. Son souffle saccélère. Je dépasse la ration promise sans quelle manifeste quoi que ce soit. Je marrête enfin et devant cette lune opulente et bien rouge qui mattire, jouvre mon pantalon et je guide ma queue dans son antre chaude et ruisselante, preuve du plaisir quelle prend à recevoir la fessée. Jempoigne ses fesses et les malaxe, accompagnant ce coït de la douleur occasionnée par mes doigts. La commerçante gémit, mais cest plutôt de plaisir et alors que ne pouvant me retenir, je jouis dans son antre, elle pousse des cris et se pâme avec moi. Nous revenons doucement sur terre et lorsque je me retire et laide à se relever, son visage est cramoisi et ses yeux plein de larmes. Son air heureux compense limpression et cela me rassure. Je la prends dans mes bras et déclare :
Pardon ! Je nai pu me retenir en vous voyant ainsi !
Ce nest rien ! Mais
Vous êtes le ... premier !
Co...Comment ? mais, vous nétiez pas
Vierge ? Non des objets y sont passés
mais jamais
un
homme !
Oh ! Je ne pensais pas.
Eh bien voilà, cest fait ! Par contre, mon cher ami, tu mas volé quelque chose
! !
Et oui ! Tu mas volé mon pucelage ! Tu connais la sanction ?
Mais
Il ny a pas de mais. En position ! Puisque tu baisses facilement ton pantalon, dépêche toi !
Elle att la règle et reconnaissant que mon prétexte ne valait pas plus que le sien, je suis bien obligé de mincliner, au sens propre du terme et me voilà couché à la place de la commerçante et de certaines de ses clientes.
« Ce seront mes premières fesses dhomme ! ajoute-t-elle, mais cest un juste retour des choses puisque cest toi qui as tout déclenché ! »
Je ne peux malgré tout mempêcher de frissonner, ce que remarque la drôlesse.
« Ah Ah ! ! On rigole moins ! Ne ten fais pas, tu vas être servi ! »
Les premiers coups tombent, mais pas trop fort et sont supportables, ma fouetteuse nayant pas bronché tout à lheure, je me force à ne rien dire. Mais néanmoins les fesses commencent à me cuire ! Elle arrête un peu tout en promenant la règle sur mon postérieur, puis, dun coup, sans que je my attente elle frappe fort ! Je retiens le cri de surprise et de douleur qui allait jaillir de ma bouche en serrant fortement les dents. Elle alterne maintenant les coups rapides, puis espacés, ce qui fait que je ne sais jamais quand le prochain va tomber. La correction dure longtemps, mes fesses brûlent, mais je ne sens plus la douleur, comme anesthésié, je suis dans une sorte de brouillard, lorsque jentends :
« Lève toi maintenant et viens ici ! Comme un automate je me relève, les yeux embués mais avec une trique bien dressée. Approche ! Tu nes quun chien ! A genoux ! Puisque tu nes quun chien tu va lécher ce que tu mas mis dedans ! »
Elle att ma tête, pose un pied sur un tabouret et plaque mon visage sur sa motte frisée. Nettoie bien ! Quil ne reste rien ! Elle accompagne ses ordres de coups de règle sur mes fesses déjà bien endolories. La séance dure longtemps et même plus quil ne faut au nettoyage, car la bougresse y prend plaisir. Jai mal partout, aux fesses, bien sûr, mais aussi aux reins et la nuque, ainsi quaux genoux. Elle nen a cure.
Enfin elle me lâche et je peux me relever. Létat de ma bite ne sest pas amélioré et elle est toujours aussi raide. Viens ! Dit-elle. Avant, tu mas baisée par surprise, mais maintenant je te veux en moi ! Elle relève sa robe et me prend la verge, mattire ainsi, contre elle en la guidant dans son sexe. Déchaînée, elle menlève le polo et elle fait passer sa robe par dessus sa tête en dessous elle ne porte rien, et je découvre sa superbe poitrine lourde et bronzée. Je plonge mon visage sous son aisselle pour mimprégner des son odeur de femelle en chaleur et pose les mains sur ses seins pour en malaxer les tétons. Ma partenaire se pâme et collabore activement. Les pieds entravés dans le pantalon, nu au milieu du magasin en train de forniquer avec la patronne, la situation bien que excitante nen est pas moins fatigante. Heureusement encore, que les rideaux sont tirés et que lon ne peut pas nous voir de lextérieur. Nous sommes en nage et ma « fausse vierge » se régale, nos corps et nos mains glissent sur toutes les parties de celui du partenaire. Nous haletons, cherchant lair, plusieurs fois nos mouvements provoquent des « déboîtements » intempestifs, tout à coup, La commerçante se met à gueuler et je plaque ma main sur sa bouche pour quelle nameute pas le voisinage, elle agrippe mes fesses avec ses ongles pour se plaquer à moi, moccasionnant dautres douleurs qui me font jouir en elle, les yeux exorbités elle séclate longuement.
Nous récupérons lentement de ces débauches enlacés et ruisselants, elle entoure mes épaules avec ses bras et membrasse, les yeux, le nez le visage, revenant régulièrement enrouler sa langue à la mienne.
« Cétait bon ! Cétait, bon
. Répète-t-elle sans fin. Quest-ce que cest bon un homme ! Rien ne vaut cette chose vivante ! Si javais su, je naurais pas attendu tout ce temps ! »
On se détache tout de même et me prenant la main elle mentraîne vers larrière du magasin. Je suis obligé de larrêter car jai toujours les chevilles entravées dans mon pantalon, je dois le remonter, ce qui la fait rire. Dans larrière boutique une porte cachée derrière un rideau donne accès à son appartement. On se dirige vers la salle deau, qui est superbement équipée avec un spa, une douche à jets et une table à bronzer, doù le corps sans traces de ma maîtresse.
"Je comprends le bronzage intégral ! dis-je. Quel superbe endroit ! Mais tout de même ça ne vaut pas la plage et la mer
Je nai jamais osé ! Tu sais, en fait, si je nai jamais eu dhomme avant toi, ni fréquenté la plage cest que jétais enfermée dans un système, mais prenons une douche, je te raconterai après ! »
La douche fraîche avec des jets venant de partout, est un délice. Nous la quittons à regret et après un séchage rapide, ma compagne reste nue et mentraîne dans son salon.
"Chez moi je suis totalement impudique et pratiquement nue en permanence.
Je ne men plains pas !
Viens ici, dans mes bras! »
Nous-nous étalons sur le canapé et niché lun contre lautre, ma compagne commence à se confier
"Quand jétais jeune, jétais complexée parce que jétais grosse. Ma mère, qui était une grande femme autoritaire, narrêtez pas de mhumilier car je ne correspondais pas à la fille quelle attendait, en fait, elle me faisait payer pour mon père qui nous avait abandonnées à ma naissance. Je devais tout faire à la maison, le ménage, la lessive, la vaisselle. Elle mhabillait comme une souillon et je navais le droit de sortir que pour lécole ou les commissions, elle surveillait le temps et si javais un peu de retard elle me flanquait une fessée !
Eh ! Eh dis-je, voilà pourquoi ce goût est vite revenu !
Oui ! dit-elle dune petite voix en rougissant Je te dégoûte ?
Mais non voyons ! Moi aussi je tai prouvé que jaimais ça, continue,
Oh cest vrai ! Tu te rends compte quon a fait lamour et que lon se connaît même pas nos prénoms ! Moi cest Laurence !
Joli ! Jaime bien, moi cest Jean !
Jaime aussi ! Donc je navais pas damis ni damies. Les autres s se moquaient de moi et ça a duré jusquà que jai vingt cinq ans. A ce moment, ma mère est tombée malade et jai dû moccuper delle, en plus du magasin. Pendant dix ans je lai soignée, lavée, habillée, fait manger, elle était comme un légume, ne parlait pas, seul ses yeux suivaient mes mouvements sans que je sache ce quelle pensait. Jétais une vieille fille, que personne ne regardait et ma vie était limitée à ce petit espace entre la boutique et lappartement.
Jai découvert le plaisir toute seule, dabord avec mes doigts, puis divers objets ou légumes pardon puis jai découvert dans une revue, lexistence de ces godemichés et autres instruments. Jen ai commandé par correspondance et je les cachais dans ma chambre pour la nuit où je me donnais du plaisir.
Pauvre de toi tu devais être malheureuse !
Non car je ne connaissais rien dautre et puis, on se fait à tout. Ce nest quà la mort de ma mère que jai éprouvé le besoin de changer. Elle ma laissé un bon pécule, quen fait javais moi même contribué à amasser, ne sortant pas et nayant pas de dépenses à faire. Jai commencé par refaire la boutique et changer la gamme, ensuite, jai arrangé lappartement à ma convenance en léquipant au mieux.
Cest vrai quil est superbe !
Tu nas pas tout vu, mais veux-tu rester dîner et
un peu plus ?
Écoute, je ne mennuie pas et nest pas marre de toi, mais je dois rentrer chez moi ce soir, par contre, demain soir, je reviens et je reste toute la semaine, demain, je suis invité à une soirée chez mes amis, tu sais, ceux qui étaient avec moi le premier jour ?
Jaimerais rester avec toi.
Daccord, mais je leur ai promis dy être. Tu peux venir, ça me fera plaisir de temmener.
Bon daccord, si je ne dérange pas, mais
après
tu toccuperas de moi ?
Ne tinquiètes pas ! (je me dis, que là ou je vais lamener, il y aura bien quelquun pour soccuper aussi delle)»
Avant de partir, nous faisons une fois encore lamour, mais très tendrement et je la prends au bord du canapé, jouissant de la vue de sa croupe opulente ornée de deux fossettes craquantes. Une fois fini elle me prend dans sa bouche « pour te nettoyer comme tu las fais et pour sentir cette bonne chose entre mes lèvres ». Jai droit ensuite à une séance où à cheval sur le bidet elle procède à sa toilette intime sans la moindre gêne. Deux doigts enfoncés dans le vagin, puis mettant le jet du bidet semblant y prendre plaisir.
Nous-nous quittons en prenant rendez-vous pour dix neuf heures trente le lendemain. Tenue décontractée de rigueur. Je la laisse nue dans son appartement, ce qui semble être sa tenue préférée.
En rentrant je téléphone à mes amis leur annonçant une compagnie surprise pour le lendemain.
"Aucun problème ! Me dit Jérémy. Te connaissant ce sera sûrement une belle surprise !
Tu sais que Maria est revenue avec son amoureux ? Ils sont rentrés il y a quelques jours de leur escapade espagnole.
Ah bon ? Ils sont invités aussi bien sûr je vais les appeler ! Mais pas de problème, on sarrangera bien. Plus on est de fous plus on rit !
Je crois quon ne va pas sennuyer !
***
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