Initiation Et Transformation
18 ans, mon bac en poche me voici inscrit à luniversité. En attendant, puisque les vacances sont longues jai cherché du boulot pour lété. Comme je my suis pris au dernier moment les places sont rare. Je fini par atterrir, sur les conseil dun ami au Mc Donald de la rue de Rennes. Lentretien dembauche se passe assez rapidement. Je découvrirai par la suite que le turn over est tel quils ne font guère la fine bouche. Le surlendemain je me présente au restaurant pour recevoir ma tenue déquipier. Cest la manager en charge de la gestion du personnel qui me reçoit. Elle est jeune, environ 25 ans les cheveux chatain, plutôt petite. Pourtant il se dégage delle un magnétisme, une aura particulière. Je bafouille et baisse les yeux lorsquelle me parle. Elle me jauge puis me tend mon pantalon, mon polo et ma casquette. « Tu dois les tenir propre sinon
tu seras puni » dit-elle dans un soupir. Cette phrase minterroge. Est-ce naturel ou bien a-t-elle sentie en moi ce besoin de me faire punir justement. Je répond dun faible oui et je les prends. Elle me tend alors mon planning de ma semaine. « Tâche dêtre là un quart dheure avant le début de ta journée pour savoir à quel poste tu es affecté ». Jacquiesce et je sors du bureau, puis du « restaurant ».
Le lendemain je me présente au restaurant. Je vais voir le manager qui soccupe de gérer les équipiers à ce moment. Il me désigne mon poste et demande à léquipier présent de me former. Il ny a pas tant que ça de monde et il a temps de mapprendre à garnir les différents hamburgers. Puis il me laisse officier. La semaine se passe ainsi, je passe de poste en poste apprenant le métier déquipier de Mc Donald. Le vendredi soir en partant le manager me donne mon planning pour la semaine dernière. Je maperçois quil na rien à voir avec celui de la semaine précédente. Le plus souvent je suis affecté le matin et je travaille le dimanche mais pas le samedi. Sans me poser plus de question je rentre chez moi et met mon uniforme au lavage.
Le lundi matin je me rend au restaurant. A mon arrivé je pointe et je me présente à la manager présente qui maffecte au nettoyage de la salle : vider les poubelles, balayer, tenir les toilettes propres et veiller à ce quil ne manque de rien (pailles, serviettes, papier toilette, etc
). Cest pour aller chercher des pailles que je dois demander la clef des stocks à ma manager. Elle menvoie au bureau la demander à sa collègue. Je la revoie ainsi pour la première fois. Je frappe elle me dit dentrer. Elle est assise à son bureau et son pied joue avec sa chaussure. Je reste interdit je narrive pas à lever les yeux de ce pied. Un moment se passe « eh bien ». Je lève les yeux elle me sourit. Je crois quelle a senti mon trouble. Je lui explique que je viens chercher la clef des stocks. Elle me désigne le placard où sont rangés les clefs et se remet au travail. Je prend la clef me rend aux stocks récupère le papier toilette et retourne au bureau, les mains chargés de papier toilette. Je frappe avec un coude. Rien. Je frappe à nouveau. Elle vient ouvrir me regarde.
« mais quel empoté tu ne pouvais pas rentrer ».
« ben avec le papier je
»
Elle sefface pour me laisser entrer et mordonne de ranger la clef à sa place. Je lui lance un regard suppliant ne voulant pas laisser tomber tout mes rouleaux. Elle sapproche, me prend la clef qui pend à mon doigt et me déclare « tu pues la sueur. Tu ne peux pas rester en salle ». Je baisse les yeux. Bien sur jaurais pu protester. Je me suis douché et certes être en sa présence me fait transpirer mais pas au point de sentir mauvais. Au lieu de ça je baisse les yeux et bredouille un pardon. « va ranger tout ça et met toi aux poubelles ». Je me retourne « noublie pas de prévenir ta manager ». Jobéis et me retrouve aux poubelles. Cest sur que là je risque de puer avant la fin de la journée. Je découvre quaucune poubelle na té compactée. Jen ai pour des heures à compacter et à évacuer tout ça. Plusieurs se passent puis elle sapproche du local à poubelle.
Je quitte son petit studio, prend mon bus et je rentre à la maison. Là je me déshabille et lance une machine avec mon linge de travail et vais prendre une douche. Je ne peux mempêcher de me raser le pubis comme elle la demandé.
Les jours suivant je me retrouve systématiquement affecté au grill. Poste pas très agréable. Bien sur je crois la croise et chaque fois je baisse les yeux. Jose une fois lever les yeux jusquà son badge où je peux lire son prénom : « isabelle ». La semaine suivant je change encore demploi du temps et je ne peux la revoir.
« je dois être puni »
« pardon je nai pas entendu »
« je dois être puni » dis je un peu plus fort.
«très bien. Nous sommes daccord. Eh bien suis moi ».
Je me retrouve au milieu de son studio, debout. Elle assise. Elle se déchausse et ne manque pas de voir mon regard sur ses pieds. Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Mais je sais, je sens que je vais peut-être voir mon rêve se réaliser : celui dêtre fessé, de devenir un jouet dans mains dune femme.
« eh bien deshabille toi ».
jenlève gauchement mes chaussures, mon pantalon et mon polo taché de gras.
« le caleçon aussi. Dailleurs cest très laid les calçon nest ce pas ? »
jacquiesce en enlevant gauchement mon caleçon qui tombe à mes pieds.
« Je vois que tu as rasé ton pubis. Cest pour moi ? »
je répond oui. Elle sourit, mordonne de me mettre à genoux, les mains sur la tête et dapprocher delle. Je me met à bander. La peur ma quitté. Elle me demande ce que je veux. Je lève les yeux vers elle. Je plonge mes yeux dans les siens pour la première fois. Et je lui déclare dune voix ferme et claire
« je voudrais que vous me punissiez ».
Je vois à son sourire quelle est satisfaite. Eh bien vient tinstaller là me dit-elle en désignant ses genoux. Je mallonge mes fesses sur ses genoux et elle commence à me fesser. Cela na rien à voir avec les fessées que je recevais étant jeune.
« si tu veux tu peux te masturber là devant moi et partir après
ou bien tu peux choisir de revenir. » je me mord la lèvre. Les deux désirs, contradictoire sont en moi. Je lève enfin les yeux vers elle. « je voudrais revenir ».
« Très bien. Rhabille toi et attend moi devant la porte de mon studio demain après ton travail ». Je vais pour me rhabiller lorsquelle me dit daller jeter mon caleçon. Je la regarde interloqué puis me dirige vers la poubelle et le jette.
Je rentre chez moi. Les fesses me chauffent et mon sexe tendu f-gonfle mon pantalon. Jai limpression de vivre un rêve. En rentrant je mets tous mes caleçons à la poubelle. La journée et la nuit se passe avec mon esprit qui se transporte dans tous mes fantasmes. Sy mêlent des hommes et des femmes et bien sur elle au milieu. Le lendemain dès mon service terminé au mc do je fonce chez elle, je sonne mais personne ne répond. Jattend donc un moment. Puis lenvie me prend de me mettre à genoux devant sa porte. Jhésite, en même temps elle habite au fond du couloir et en plein été les studios détudiants comme ceux qui sont aménagés dans les derniers étages des immeubles sont plutôt vide. Jattend donc à genoux sur son paillasson. Je ne sais combien de temps lorsquenfin jentend ses pas. Elle ne dis pas un mot. Ouvre la porte entre et me fait signe de la suivre. Je mexécute à 4 pattes. Comme un chien. Elle sassoie sur son canapé lit et me tend ses pieds à masser.
« dès que je tai vu jai su que tu étais un soumis. Je ne pensais pas que cela irait si vite pourtant. »Je la regarde je ladmire en fait je bois ses paroles et pourtant elles nont pas fini de me surprendre. « vois-tu jai un amant, un homme plus agé. Il a très envie dessayer un plan à trois avec un jeune homme féminisé. Je tavoue je ne sais pas où cela va mener. Je suis moi aussi très excitée à lidée de disposer dun homme jouet que je pourrais façonner comme jai envie. » Jécoute en silence je me concentre sur ses orteils je veux les lécher je veux lui crier que oui jai envie dêtre son jouet dêtre façonné. Comme elle sens mon excitation elle me fait me relever. Me mettre à genoux face à elle.
« tu vas te faire jouir puis tu vas partir. Je veux que tu réfléchisse bien. Ta vie, nos vie seront bouleversé par ton choix. Tu dois le peser. Pas simplement dans un état second avant la jouissance mais sereinement. ». je mexécute. Mon sperme jailli par terre. Cest comme une douche froide mon esprit retombe sur terre. Je redeviens ce lycéen un peu coincé bon élève, timide. Elle se lève me end un rouleau de sopalin et me dit en souriant « essuies tes saleté car tu ne voudras pas les lécher nest-ce pas ? » Je me saisis du sopalin et je commence à essuyer. « si tu acceptes tu lécheras ton sperme ». Je me rhabille et je sors dégrisé. Comme elle me la dit je dois réflchir tout peser, même si cest impossible. Vivre mes rêvs érotiques ou les abandonner pour une vie « normale »
.
Jai laissé passé une bonne semaine, hésitant. Je jouais avec le fantasme dêtre féminisé et offert à un homme. Puis je me vidais de mon sperme et la tension disparaissait et avec elle toute ces envies. Finalement au bout dune semaine je me décidais. Au sortir de mon travail jallais attendre sur le paillasson dIsabelle. Comme jentendais du bruit derrière sa porte je sonnais et attendais à genoux quelle ouvre. Elle ma sourit comme jamais. Elle semblait très contente de me revoir et de mon choix. Elle exigea de moi que je le lui dise à haute voix :
« Je voudrais que tu me féminise puis que tu moffres à ton amant. » Bien sur Elle accepta. Elle mordonna de me mettre nu. En découvrant mon caleçon elle sest faché un peu. « je croyais tavoir dit que je ne voulais plus voir ce genre de sous vêtement ». Bien sur jallais immédiatement le mettre à la poubelle. Elle ma ensuite fait mettre debout jambes écartées les mains sur la tête pour minspecter. Jai compris à ce moment que mon intimité était désormais derrière moi. Ses doigt se sont inséré partout. Même dans mon raie et mon anus. Elle ma ensuite donner ses doigt à lécher et jy ai trouvé le gout de mon intérieur.
« la première chose à faire sera de t'épiler tout le corps. Mais avant il nous faut vérifier ta garde robe. » Je suis rentré chez moi où je devais lattendre nu à genoux devant la porte. Dès quelle a sonné à linterphone je lui ai donné létage et jai entrouvert la porte puis jai repris ma position. En arrivant elle ma caressé les cheveux. « tu apprends vite ». Je lai précédé dans ma chambre. Là elle a fait le tri dans mes vêtements un tas de vêtement acceptable pour linstant et lautre bien plus important de vêtement à jeter. Jai du moi-même aller les jeter en signe dacceptation de ma nouvelle vie. Il ne restait plus que deux jean très moulant. Quelques t-shirt et des socquettes blanches. Totu le reste était parti à la poubelle. Je mhabillais. Sans me sentir féminine il est sur que je sentais que ces vêtement me rendait plus « désirable » raison pour la quelle je ne les mettait que rarement. Nous partîmes diner au restaurant et là elle minterrogea sur ma vie mes envies, mes futurs études. Elle sut bientôt tout de moi. Après elle minvita à dormir chez elle. Elle commença à mapprendre à lui donner du plaisir. Sans mon sexe bien sur « tu comprend je ne mintéresse quà celui de mon amant ». Elle en profita aussi pour me doigter plus profondément et constater que je nétais pas très large. Il faudrait mouvrir pour quil puisse profiter de moi.
Cest ainsi que peu à peu Isabelle fit de moi un travesti très présentable. Lépilation, devrais-je dire les séance dépilation furent longues et douloureuse. Avec mon salaire nous avions acheté un chauffe cire pour que cela soit plus facile. En même temps Isabelle renouvelait ma garde robe choisissant des vêtements plus féminin que je pouvais quand même porter dans ma vie de jeune homme
Des chemises en cotons ou en lin très fines, claires. Des pantalons mettant en valeur mes fesses
Puis un matin elle me dit de lattendre au sortir du boulot car nous allions faire quelques courses. Elle memmena dans une boutique de lingerie. Une vendeuse, très belle sapprocha de nous et demanda à Isabelle si elle pouvait nous aider.
« oui bien sur je cherche quelque chose de très sexy. Il me faudrait plusieurs parure ».
« Bien sur. Puis je savoir quelle est votre taille de bonnet ? ou préférez-vous que nous la mesurions ».
« Ce nest pas pour moi. Cest pour » elle marqua un temps me regarda, me désigna « ..lui ».
« ah je vois » dit la vendeuse, très commerçante, « dans ce cas il faut en effet que je prenne les mesures. »
Je les suivis jusquà la cabine dessayage. Isabelle mordonna de me dévêtir. Ce qui fut rapide. Je ne portais aucun sous vêtement. Isabelle demanda aussi à la vendeuse de me trouver des sous vêtements pour tout les jours. Jétais rouge de honte. Tandis quelle prenait toute les mesures nécessaire elle ne pu sempêcher de caresser ma peau lisse.
« Cest vraiment très agréable au toucher. Mais il faudrait peut être aussi que vous pensiez à ses sourcils ». Je nexistait plus Elles parlaient de moi comme si jétais un objet, un jouet. Et sous leur yeux amusés je me mis à bander. Elles rirent puis me laissèrent seul, nu pendant quelles allaient choisir mes sous vêtement. Elles revinrent avec deux porte jarretelles et des strings assortis ainsi que des sou-tiens gorges, même sils nétaient pas nécessaire. Et des culottes, en dentelles la plupart, pour tout les jours. Isabelle valida les essayages. Je me rhabillais. La vendeuse proposa que ej garde une des culottes puisque je navais rien à me mettre. Je payais, et à la caisse je du expliquer que je portais une des culottes que je payais. Jétais rouge de honte. Isabelle au contraire était très amusée. En sortant elle passa une main sur ma braguette pour constater que je bandais. Ma transformation continua ainsi. Jappris à marcher avec des talons à porter une robe. A parler doucement. A me comporter comme une jeune femme. En même temps Isabelle continuait mon éducation sexuelle. Elle ouvrit mon cul pour que je sois prête pour son amant. Mappris à sucer avec un god puis un god ceinture. Entre temps je métais installé chez elle pour quelle puisse mieux contrôler chaque instant de ma vie.
Et enfin le grand jour arriva. Cétait en septembre, un mois avant la rentré universitaire. Nous rendîmes au restaurant où son amant lattendait pour fêter avec elle son anniversaire. Elle avait réservé une table pour trois. Nous y sommes allés comme deux copines. Isabelle mavait fait mettre sous ma jupe une culotte presque transparente qui laissait voir mon sexe. Il fut très surpris de me voir. Alors quil se levait pour accueillir Isabelle elle lui dit « bon anniversaire mon amour. Je te présente chris. Cest ton cadeau. »
Il me regarda de haut en bas, de bas en haut. Nous fit asseoir toute les deux. Le garçon arriva et nous tendit les cartes. Lamant, Pierre, fit tomber sa serviette. Sur un geste dIsabelle jécartais grand les cuisses pour quil puisse voir ma culotte et ma queue. Il se releva enchanté. Il embrassa la main disabelle en la remerciant. Le diner fini il nous emmena chez lui. Il avait trop hâte dessayer son cadeau. Ce fut une nuit sublime, très forte. Il utilisa chacun de mes orifices, jouissant en moi sans retenu. Isabelle nous regardait. Le caressait me caressait. Puis nous nous sommes gouiné devant lui. Sauf quelle a fait attention à ce que je ne jouisse pas. Ils ont fait lamour ensemble moi les regardant puis léchant les fesses et lanus de Pierre. Enfin il me prit à nouveau longuement et sans même me toucher jéjaculais comme jamais. Isabelle, étala mon sperme sur mon ventre avec ses doigts quelle me donna à lécher ensuite. Pour la première fois je me sentais heureuse. Je navais aucune envie que cela cesse au contraire je voulais aller plus loin être à eux. Quils me modèlent à leur plaisir et quils memmènent au delà de mes propres envies. Je mendormi dans leur bras. A mon réveil ils dormaient encore. Pierre sur le ventre les cuisses un peu écarté laissant voir ses couilles magnifiques. Isabelle, sur le dos, nue son sexe offert. Je choisis la facilité et la réveillait la première en la léchant. Jinsinuais ma tête entre ses cuisses, dardait ma langue et commençait à lintroduire entre les lèvres de son sexe comme elle me lavait appris. Puis ma bouche se mit à suçoter très doucement son clitoris pendant que ma langue faisait des tour autoue. Je savais que je ne devais pas directement la poser dessus au risque doccasionner une douleur quelle corrigeait à chaque fois par des gifles. Je lentendis gémir dans son sommeil puis ses doigts se crispèrent sur ma tête. Elle séveillait doucement. Son corps se contracta et son plaisir monta. Je gardais la bouche plaquée sur son sexe. De tout façon pa pression de ses main ne me permettait pas de faire autrement. Tout coup un jet de liquide chaud envahi ma bouche. Javalais rapidement sans me poser de question. Je réalisais après quIsabelle avait uriné. Son plaisir avait relâché sa vessie remplie par la nuit. Je relevais la tête vers elle. Elle me sourit un peu gêné semble-t-il. Je lui murmurais un merci qui la rassura. Pierre bougea dans sommeil et se retourna. Isabelle guida ma bouche sur son sexe à demi en érection. Je le pris en bouche et le suçait doucement, le léchant, léchant ses couilles que je pris en bouche. Isabelle nous regardait. Je sentais leur souffle monter. Ils étaient excités tout les deux. Le corps de Pierre se contracta et je senti la main dIsabelle appuyer sur ma tête doucement. Elle voulait que je reçoive son foutre dans ma bouche. Je resserrais mes lèvres et senti son foutre envahir ma bouche. Javalais goulument. Isabelle membrassa plongeant sa langue dans ma bouche partageant avec moi le gout de son amant. Cétait la première fois quelle membrassait ainsi. Nous nous levâmes. Isabelle shabilla rapidement pour aller chercher des croissants chez le boulanger en bas de limmeuble. Pierre passa une robe de chambre. Comme je cherchais de quoi me vêtir il marrêta. « Reste nu. Quand tu es ici tu dois toujours être nu ou bien juste avec tes bas et un porte jarretelle. Du moins tant que ton corps naura pas évolué ». Je compris sans comprendre. Je crois que je ne voulais pas chercher à comprendre juste à me laisser aller.
Isabelle revint. Nous primes le petit déjeuner tout les trois. Ma nudité, eux étant habillés me mettait un peu mal à laise et en même temps cela mexcitait je me sentais leur objet, leur jouet. Pierre minterrogea sur moi, mes envies, ma vie mes études. Il me proposa de rester avec lui quelques jours. Isabelle soccupant de mon emploi du temps chez Mc Do. Emploi quil souhaitait me voir quitter. Isabelle nous quitta peu après le petit déjeuner pour rejoindre son travail. Je restais avec Pierre. Il mordonna de le laver sous la douche. Je mexécutais, faisant passer mes mains sur ses cuisses musclées. Je bandais en le lavant. Lui aussi. Alors que je lavais son torse il me fit me tourner il lubrifia mon anus avec du savon et me pris. Je le sentais en moi il me possédait fortement et je moffrais à lui. Je me sentais sa femelle, pas sa femme ni son amie, sa femelle. Il jouit encore en moi se retira et mordonna de nettoyer son sexe. Je pris du savon dans la main. Il appuya sur mes épaules jusquà ce que je magenouille, posa ses mains sur ma tête et approcha ma bouche de son sexe. « chaque fois que je te prends tu me nettoie comme ça après ». Jacquiesçais en hochant la tête. Nous nous séchâmes et Pierre shabilla. Il mordonna de ranger lappartement pendant quil rejoignait son cabinet pour travailler. Je découvris ainsi quil était médecin. Nu je rangeais la cuisine et la chambre. Pliant mes vêtements et les siens. Comme je navais plus rien à faire. Je me mis à lire des revues assises sur le canapé en grignotant un croissant qui restait. Isabelle arriva en fin de journée. Pierre était toujours à recevoir ses patients. Isabelle et moi discutèrent un peu. Jappris que bien quamants depuis plusieurs années elle souhaitait pour linstant rester indépendante pour finir ses études. Puis nous dérivâmes sur les souhaits de Pierre : interdiction des sous-vêtements pour elle, comme pour moi. Bien sûr elle pouvait en porter lors de ses règles. Elle mexpliqua quils me cherchaient tout les deux depuis plusieurs années. Je fut touchée quelle ne me dise pas un garçon comme toi. Mais moi, comme si jétais pour elle quelquun dunique quils cherchaient tout les deux. Pas un garçon prêt à se soumettre et à renoncer à son identité sexuelle (mais en avais-je une) pour son plaisir et le leur.
Je restais ainsi une semaine chez Pierre. Je passait les nuit avec lui ou avec lui et Isabelle lorsquelle était là. Chacun à sa manière minitiait dans les plaisirs sexuels. Je découvrit que bien quindépendant isabelle obéissait à certaines règles que Pierre lui imposait : absence de sous-vêtements, port de bijoux intimes mais aussi labsence totale de pilosité. Certaines après-midi nous partions toute les deux faire les boutiques. Il sagissait de me trouver des tenues qui plaisaient à Pierre et que nous lui montrions chaque soir. Isabelle ne manquait jamais une occasion de révéler aux vendeuse mon état véritable. De même, elle mobligeait à masseoir les fesses directement en contact avec mon siege. Jappris à relever ma jupe discrètement et nous dûmes choisir des jupes ou des robes adaptées à cette obligation. Lorsque je restais seule chez Pierre, il venait de temps à autres pour une fellation ou pour me posséder. Lorsquil sortait de son cabinet il me souhaitait à genoux prête à lui offrir mes orifices pour son plaisir. Jappris à aimer le gout de son sperme que je devais avaler à chaque fois.
A la fin de cette semaine qui mavait permis de me sentir choyée, unique et pour la première fois de ma vie complète, Pierre souhaita nous emmener au restaurant. Il avait choisi un lieu discret, avec une table éloignée du reste de la salle. En allant au restaurant je vis quIsabelle marchait bizarrement, comme si quelque chose la gênait en elle (je découvris plus tard que Pierre lui avait fait mettre un petit plug en métal). Pierre commanda pour moi, sans me demander mon avis. Le serveur parti il prit la parole. Il mexpliqua ce quisabelle et moi souhaitaient pour moi et de moi. Je devrais vivre chez lui, définitivement, avec les règles de vies que je connaissais déjà et qui seraient amenée à être enrichie. Je devrais continuer mes études et my investir fortement. Il nétait pas question pour eux que je ne réussisse pas. Ils souhaitaient aussi entamer des modifications corporelles plus « radicales ». Pierre avait mis au point un traitement hormonal visant à accen ma féminité. Grâce à lui les trait les plus masculin de mon corps allaient peu à peu disparaître : diminution de ma pilosité, en particulier de ma barbe qui les gênait chaque matin quand je les réveillais en les suçant. Il était aussi possible que jai une légère poussée de seins. Mais très limitée. Il nétait, pour linstant, pas question dopération. Outre cela Pierre et Isabelle souhaitent pouvoir me partager avec des « amis » mais aussi avec des inconnus. Après mes études ma seconde priorité devait être la satisfaction de leurs envies, de nos envies et lexploration de celles-ci. Le diner se termina. Pierre me donna un boitier. Dedans un bijou original : un collier de cuir. « Nous voulons que tu rentres chez tes parents pour réfléchir loin de nous. Dans une semaine, si tu es daccord avec ce que nous te proposons tu seras à genoux, portant ce collier sur mon paillasson. Si tu ne veux pas ne viens pas. ». Nous allâmes à la voiture de Pierre. Dedans mattendais des vêtements dhommes, choisis par Isabelle. Je me changeais à larrière et ils me déposèrent devant chez moi. Ma décision était prise dès que Pierre avait ouvert la bouche. Je passais la semaine à rassembler mes modestes affaires. Surtout mes affaires de cours car la rentrée universitaire approchait. La semaine écoulée je choisis parmi les vêtements masculins que nous avions acheté avec Isabelle ceux quils aimeraient le plus me voir porter : une chemise en lin très légère, blanche et un pantalon de coton, blanc aussi, translucide. Dessous je mis un string en dentelle claire que mavait offert Isabelle. Je laissais la chemise ouverte au col pour que mon collier soit visible. Et me voilà parti en métro jusquau domicile de Pierre. Ma tenue attirait lattention. Les regards sur moi, insistants, réprobateurs pour certains, lubriques pour dautre me firent sentir la gêne que jaurais désormais à dépasser. Je voulais être fière de ce que jétais et de ce que jallais devenir. Mais pour linstant jaurai plutôt voulu me cacher dans un trou de souris. Jarrivais devant chez Pierre. Je posais mon sac à dos, sonnais et me mettait à genoux les cuisses écartées et les main posée sur mes cuisses. Isabelle ouvrit. Elle sagenouilla prit ma tête entre ses mains, approcha son visage et murmura « merci » puis nos lèvres souvrirent et nos langues ne firent plus quune. Ce fut un long baiser plein de sensualité. Elle passa ensuite une laisse à lanneau de mon collier et me fit entrer à 4 pattes. Je la suivi jusquau séjour où Pierre attendait.
« regarde ce que jai trouvé devant la porte. Une chienne magnifique tu ne trouve pas ».
Pierre me regarda en souriant. Isabelle mapprocha de lui. Il savança vers le bord de son fauteuil et me jeta un regard. Je compris dans linstant. Jouvris sa braguette sorti son membre et le pris en bouche. Oui je voulais être à eux. Oui je voulais être la chienne quils feraient de moi. Mon traitement hormonal commença le lendemain. Je fus vite pris par la routine des cours à la fac. Isabelle aussi, je découvris ainsi quelle était encore étudiante, en droit, et que son travail chez Mc Do visait à lui permettre de subvenir à ses besoins. Même si Pierre souhaitait quelle arrête pour se consacrer plus pleinement à lui et à ses études. Il espérait, secrètement, que ma présence chez lui amènerait Isabelle à le, nous, rejoindre. Bref ma vie sorganisa autour de ces trois pôles : La fac, Pierre, ma « chosification » terme que Pierre et moi avions trouvé pour parler de ma transformation.
A la fac je portais des vêtements masculin, choisi avec soin par Isabelle. Tout sous-vêtement métait interdit. Mes vêtements masculins ne laissaient aucune équivoque, dautant que mon apparence physique se féminisait de jour en jour. Je portais soit des vêtements très moulant, soit au contraire très fluides mais dans ce cas plus ou moins translucides laissant imaginer mes formes. Je maquillais mes tétons chaque matin pour quils soient visible. Pierre aurait voulu quils pointent tout le temps mais il laissait cela pour plus tard.
Dès que jétais chez Pierre je devais me mettre nu et enfiler des bas et un porte-jarretelle. Outre la préparation de mes cours et les travaux de TD et de TP ma principale occupation était le plaisir de Pierre, et dIsabelle dès quelle était là. Ainsi, dès que jétais prête en rentrant de la fac je frappais à la porte du cabinet de Pierre. Sil était disponible il me faisait entrer et je venais à genoux le saluer. Le plus souvent en suçant son sexe. Sil ne létait pas je devais attendre à genoux quil vienne me faire entrer. Isabelle venait régulièrement, de plus en plus souvent. Pierre avait aménagé pour nous deux un bureau pour que nous puissions travailler et réviser nos cours. Elle avait pris en charge un part de mon éducation. Pour son plaisir dabord, le miens peu à peu. Elle développa des jeux que je nimaginais pas. Ainsi, elle mapprit à aimer boire son urine. Lorsque cet objectif fut atteint elle décida quil ne lui était plus nécessaire dutiliser les toilettes en sa présence et je fut désormais son urinoir. Elle ne manquait pas de mutiliser ainsi en présence dautres personnes. Elle entreprit aussi de me faire aimer la fessée et dexplorer avec moi lart de fesser, avec différents instruments, cravache, martinet,
Elle le faisait avec art et chaque fois je finissais en pleur, les fesses rouges et brulante mais excité comme un fou (une folle).
Isabelle participait aussi activement à ma chosification. Elle mapprenait à prendre soin de mon corps, à le préparer pour ceux qui seraient amener à mutiliser. Jappris à me maquiller à marcher avec des talons de plus en plus haut, à mépiler. Elle mapprit aussi comment marcher derrière elle, tenue en laisse. Comment présenter mon corps pour quil soit visible et utilisable. Jappris à offrir mon cul pour quil soit inspecté et fouillé. Les moments fort de cette routine de vie avaient lieu principalement le week-end. La première fois ce fut quelques mois après mon installation chez Pierre. Je brulais que cela arrive mais Ils ne me trouvaient pas prêt. Puis le grand jour arriva. Pierre avait invité deux couples damis à venir diner un samedi. Pour la circonstance Isabelle mavait offert un corset. Je ne portais ainsi que des bas auto fixant et le corset et des chaussures à talons très haut et bien sur mon collier de cuir qui ne me quittait pas. Le premier couple arriva et jallais ouvrir. La femme entra en premier me détaillant « enfin voici la surprise que Pierre nous cache ». Elle ne cessa de me peloter les fesses pendant que je les précédais au séjour. Le second couple arriva à ce moment. Comme pour le premier jallais ouvrir et me retrouvait devant un homme dune cinquantaine dannée accompagné dune jeune femme magnifique. Elle ne dit rien. Quant à lhomme il me toisa sans dire un mot avec un sourire enchanté. Je meffaçais pour les laisser entrer. La porte fermée je les débarrassait de leur manteau. Elle était nue. Ils me suivirent dans le séjour. Isabelle fit le service pendant que Pierre me présentait. Je dus aller devant chacun des invités. A genoux je leur présentait ma bouche pour quils puissent juger de son aptitude à servir. Lun des hommes y insérera un doigt presquà me faire vomir. Puis je me levais me retournait et présentais mes fesses en me cambrant. Mon cul reçu ainsi plusieurs inspections. La jeune femme nue le força de trois doigts quelle me donna ensuite à lécher. Je lisais dans ses eux des envies perverses qui me faisaient frissonner. Lautre femme me posa des pinces à seins reliées par une chaine quelle samusa à tirer jusquà ce que je grimace de douleur. Le repas fut servi. Je le passais à 4 pattes sous la table. Je devais sucer ou lécher chaque convive lorsquil me le ferait sentir par un coup de pieds. La première à mutiliser fut la jeune femme nue. Elle me donna un coup de pieds dans les couilles et je mavançais vers elle. Je me mit à la lécher et son corps réagit instantanément. Elle se mit à gémir. Jentendis une gifle et la main de son compagnon (son maitre en fait) me repoussa violemment. Jentendis sa voix dire durement « Tu nas pas le droit de jouir maintenant ». Puis il attira ma tête vers lui et je me mis à le sucer. Il jouit rapidement et javalais son foutre. Pierre mavait bien ordonné de le faire. Jentendais Isabelle leur expliquer mes progrès, comme désormais je buvais son urine, le plaisir quelle avait à me faire pleurer sous ses coups. Après le repas je fus attaché sur la table basse. Isabelle allât chercher sa cravache. Elle loffrit à la jeune femme nue qui se mit à me fouetter. Elle le faisait sans retenue. Mes cris commencèrent à monter et mes larmes à jaillir. Je me rodais de douleur. Je voyais à travers les larmes que lexcitation des convives était très fortes. Ils prenaient plaisir à me voir souffrir. Isabelle se mit à chevaucher Pierre. Lautre femme et son mari se mirent à sexciter. Le maitre de la femme nue lui dit darrêter de me cravacher. Elle fit le tour de la table et se présenta devant moi. Je levais la tête et la remerciait en lui baisant les mains. Elle sassit sur un fauteuil que son maitre avait approché. Son sxe était juste à ma hauteur elle me le donna à lécher avec la permission de son maitre. Quant à lui il me prit sans préparation. Cétait la première fois que mon cul nétait pas du tout lubrifié. Jeu mal au début alors quil forçait son passage en moi. Puis je mhabituais. Je ny prenais pas vraiment de plaisir mais je savais que je nétais pas là à ce moment pour en prendre mais pour en donner. Pierre et Isabelle voulait que je comprenne et que jaccepte quêtre objet de plaisir pour les autres ninduisait pas ment un plaisir physique. Que lexcitation était ailleurs, psychologique mais forte et intense. Je réussis à le comprendre peu à peu et ce fut un réel bonheur.
Je vécu ainsi cinq années de pur plaisir. Mon corps fut modifié, Pierre me fit tatouer trois lettres entremêlées, vdc, juste au-dessus de la raie des fesses « Pour que chacun et tous sache que tu aimes vider les couilles. Car tu aimes ça nest-ce pas ? » Oh oui jaimais cela jadorai même. Je reçu un piercing sur la verge. Enfin au mois de juillet de mes 23 ans je reçu mon diplôme de DEA de finance. Cela mouvrait les portes des chambres de marchés. Mais surtout cela mouvrait la porte vers la dernière étape de ma transformation. Pierre mavait promis de memmener au maroc chez un ami à lui. Un chirurgien esthétique qui soccuperait de me poser les seins que jespérais, que nous espérions. Je neu pas le choix de la taille ni de la forme. Isabelle choisit pour moi, comme chaque fois quil sagit de mon apparence. Quelques jours après je put me regarder dans la glace. Jétais nue ma poitrine ronde au tétons pointant était superbe. Au milieu de mon corps dardait mon sexe dhomme. Ce contraste entre mes seins et mon apparence famine et se sexe était plus quexcitant. Je mexcitais moi même. Je me caressais le corps entier. Jaimais sa douceur. Je caressais mes seins titillait mes tétons, descendait sur mon entre jambe. Je caressais mes couilles passais un doigt entre mes fesses, me pénétrait. Puis jattrapais mon sexe et je commençais à me masturber. Le plaisir montait. Pierre et isabelle entrèrent. Ils me regardèrent. « ne tarrête pas. Montre nous comme tu es chienne chris ». Ces mots décuplèrent mes envies je me trouvait à 4 pattes me doigtant puis sur le ventre me masturbant dune main et malaxant mes seins de lautre. Je joui de façon très intense tout mon corps était tendu vers ce plaisir. Puis je recueillais mon sperme avec les doigt et le portait à la bouche. Isabelle sapprocha, se déchaussa et me donna son pied à lécher. « Comme tu es bien dressée. Tu es devenue une vrai salope ». Ils memmenèrent à lhôtel. Dans leur chambre Isabelle sapprocha de moi tandis que Pierre sasseyait dans un fauteuil. Elle me déshabilla. Enlevant ma robe. Elle défit mon soutien gorge. Jétais nue devant elle. Elle se mit à me caresser le corps. Ses mains couraient sur mes épaules, mon dos. Elle sattardèrent longuement sur mes seins. Elle les embrassa, les titilla. Une main descendit vers mes cuisses, mes couilles. Elle effleura a peine mon sexe. Jouvrais les yeux. Je me mis à la déshabiller à son tour. Je lui ôtais son chemisier et découvrais ses seins nus. Plus petit que les miens. Ce contraste mamusa, jétais plus femme quelle que je considérais comme la femme parfaite. Je défis sa jupe qui tomba au sol. Comme il se doit elle était nue dessous. Mes mains coururent sur son corps, ses seins, ma bouche sattardait dessus. Nous roulâmes sur le lit tout proche. Nos corps se mélangèrent nous échangeâmes des baiser passionnés tandis que nos mains couraient sur nos corps. Je mis au dessus delle et lui caressait le corps avec mes seins. Je descendit ainsi jusquà ses pieds. Ma bouche remonta embrassa son sexe humide. Ma langue plongea dedans. Je titillais son bouton javalais sa mouille au gout si unique, si délicieux. Elle joui une première fois, me saisis par le menton et fit remonter ma bouche vers elle. Nous embrassèrent encore partageant le gout de sa mouille. Nos seins se frôlaient délicieusement. les sensations que je ressentais étaient électriques. Elle me murmura « prends moi ». Elle mavait toujours refusé ce plaisir. Non seulement je ne lavais jamais prise mais depuis que jétais avec eux je nvais jamais été autorisé à pénétrer une femme. Et là Elle, la femme idéale me le demandait. Je cru quelle se trompait. Mais elle insista. Mon sexe la prit doucement je devais me retenir. Je la chevauchait dabord, puis nous changeâmes de position, en levrette, lune en face de lautre sur le côté. Assise. Pierre nous regardait. Il se masturbait en regardant ses deux femelles faire lamour. Nous jouîmes tout les trois en même temps cétait si fort. Isabelle se leva sapprocha de Pierre le fit mettre à genoux devant elle. « goute » Il avança sa bouche sorti sa langue et la plongea dans le sexe dIsabelle goutant le mélange d sa mouille et de mon sperme mélangés. Ce fut un moment si intense entre eux, entre nous. Un moment qui changerait sans doute tout.
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