La Belle Des Bois D'Automne

Septembre 2019, une jolie rencontre lors d'une balade en forêt de Reims. Elle était seule, souriante, jolie rousse en robe multicolore, à mi-cuisse, montrant sa jolie peau blanche, échancrée dévoilant sa poitrine dont l'envie de découvrir plus m'envahissait, avec des bottes à mi-mollet. Elle était fine, déesse des forêts, parfumée de soleil et de fleurs des champs. Ce corps ne demandait qu'à être découvert, effeuillé, goûté, possédé.
Elle me salua et demanda si je venais souvent ici.
- J'aimais bien venir, oui et profiter de ce soleil d'automne.
- Moi aussi, me répondit-elle.
- Voulez-vous m'accompagner ? Je vais vers la combe de la cascade.
- Je ne connais pas.
- Peu de monde connaît.
Et elle marcha à mes côtés, me racontait sa vie professionnelle, travail de bureau peu passionnant mais il fallait bien payer les factures en attendant mieux, passionnée par la peinture et l'art, un point commun avec moi. Elle espérait finir ses études d'histoire de l'art en parallèle avec sa vie pro. En la regardant me raconter sa vie, j'appréciais sa bouche voluptueuse, son regard profond d'une vert parsemé d'éclats violets, Solène de son prénom, devait mesurer un mètre soixante cinq pour ne peser que 52 kg. Elle portait au dessus de sa robe un petit cuir de la même couleur que ses bottes.
- Voilà, nous arrivons, cela risque de glisser, faites attention.
- Oui, me dit-elle. Comme c'est magnifique. Donne moi la main, je crois que je glisse avec mes bottes.
Elle me tendit la main douce, fraîche, me souriant.
On descendait doucement et je ne sais pour quelle raison, elle voulut lâcher ma prise pour descendre mais sa robe accrocha une branche d'arbre et se déchira sur le côté. Elle glissa et tombait sur les fesses pour finir en contre-bas.
Je demandais si elle ne s'était pas blessée mais elle éclata de rire. Je descendais la rejoindre et nous riions ensemble de la situation.
- Quelle cruche, me voilà belle.


- Oui très, encore plus belle mais pleine de boue et votre robe déchirée.
Elle dévoilait son corps en se levant la robe tombante de son épaule la jambe droite salie et écorchée au niveau du genou.
- Oups, je suis désolée, en rougissant.
- Attendez, venez, vous allez faire un brin de toilette, l'eau est fraîche mais très propre. Et je l'accompagnais, et elle dans son naturel, se laissant faire. Elle, s'asseyant sur le rocher, près d'une petite vasque d'eau, enleva ses bottes et ses bas. La cascade, plutôt fontaine, offrant une eau limpide et fraîche, recueillait ses jolies petits petons dont je prenais soin en les rinçant, profitant de l'occasion pour rincer son genou écorché que je caressais et remontant l'eau fraîche sur ses cuisses offertes, sa robe étant remontée au niveau de son ventre dans cette désinvolture caractérisée de son esprit nature.
Elle se mit à frissonner.
- Elle est froide, très froide.
- Tu veux venir contre moi?
- Ma robe est trempée, et elle la fit glisser pour dévoiler sa menue poitrine et sa culotte. J'étendais son vêtement au soleil espérant qu'il sèche. Elle enfila son cuir et se colla contre moi. L'envie de la posséder, là, maintenant, était intense et elle sentait cette tension monter. Elle me regarda, et mit un doigt sur sa bouche et chuchota: J'en ai envie aussi.
Elle m'embrassa, ces petits seins tendus, tétons roses dressés, elle se leva au-dessus et fit glisser sa culotte pour me dévoiler sa fente, lisse et rosé, déjà brillante de désir. Elle se mit à califourchon sur moi, offerte, sa bouche fraîche contre la mienne à perdre haleine.
Je pris ses tétons dans ma bouche, je les lui suçais, elle gémissait, ses mains autour de mon cou, la nuque en arrière. Elle me repoussa et me déshabilla, torse nu, pantalon enlevé, caleçon jeté. Nous étions nus. Elle se colla contre moi. Elle m'embrassait et frottait sa vulve contre mon sexe dressé, tendu, turgescence rouge et palpitante. L'excitation réciproque était intense, sa fente pleine de cyprine faisait briller mon sexe.
Elle me regarda droit dans les yeux puis s'empala d'un coup, criant son plaisir au milieu de cette nature luxuriante, elle tremblait avant de jouer avec ses muscles internes pour m'emprisonner en elle et je commençais à saisir ses hanches pour la faire monter et descendre, la prendre longuement mais après quelques minutes, elle stoppa net les mouvements. Elle se libéra pour s'offrir à quatre pattes sur un lit de mousse près du ruisseau. Cette invite impudique, sauvage m'excitait au plus haut point, la posséder violemment, sans vergogne. Ce que je fis en empoignant ses bras dans le dos, je l'enfilais doucement puis plongeais en elle à coup de hanche et je recommençais ainsi de longues minutes. Elle gémissait, criait, redemandait encore d'être prise comme une chienne, mouillant mon sexe de son plaisir exacerbé. Je sortais ma queue d'un coup avant de la sodomiser. Elle hurla, sentant ma bite la dilater et la fendre d'un coup. Je restais en elle sans bouger avant de sentir son corps se détendre et accepter cette soumission. Elle bougea d'elle même son bassin de plus en plus vite et fort. J'adorais cet instant, cette acceptation et je la possédais longuement avant de la sentir trembler et s'effondrer, les seins sur la mousse et les yeux dans le brouillard et c'est ainsi que je me vidais en de longs jets de semence en elle dans un râle de satisfaction. Je la libérais et m'étendais contre elle, ne bougeant toujours pas, les fesses offertes. Elle me regarda et sourit avant enfin de s'étendre et s'étirer comme une jolie chatte au coin du feu. Le soleil étira ses derniers rayons sur son joli corps offert. Elle frissonna et me dit gênée comment faire pour retourner aux voitures sans être vue, elle quasi nue avec sa robe déchirée. Pas d'inquiétude, je l'accompagnais dans la vasque d'eau froide pour un brin de toilette, elle se serrant contre moi avant de s'habiller comme elle pouvait. De sa robe, je lui fis une jupe et elle cachait sa poitrine dans son cuir avant de remonter vers le parking.
Elle me demanda de l'accompagner à son appartement d'un air coquin en promettant encore des instants très chauds. Elle me dit que normalement, sa sœur n'était pas là. Je lui dis oui mais que d'abord, elle acceptait une fois habillée chez elle d'aller au restaurant avant de retourner à un monde de plaisir. Elle était aux anges.
Je l'attendais en bas de chez elle et je la vis arriver en pantalon noir, un haut vert émeraude et noir, des talons ouverts et un collier Swarovski. Je l'emmenais chez moi où d'elle même elle décida aussi d'attendre que je me change pour cette soirée. Je me dépêchais et la rejoignant une fois tout propre et bien habillé. Au restaurant, je voyais les hommes discrètement l'admirer ainsi que certaines femmes bien que la plupart de ces dernières montrait plutôt une jalousie certaine face à tant de beauté. Soirée bien arrosée, au dessert, après une énième coupe de champagne, je sentais son pied entre mes cuisses, appel du désir féminin quémandant plus. Je réglais la note et nous partions enfin. Une fois chez ma belle, elle se jeta sur moi, me plaqua sur le mur pour me déshabiller. J'ai aussi envie de toi, nu, à moi. Et elle me prit par la main, m'allongea sur le lit, saisit mon sexe tendu de désir et sans plus attendre, le mit en bouche. Elle me suçait, me léchait, prenait chacune de mes couilles avec ses lèvres, sa chevelure cuivrée caressant mes cuisses et mon ventre. Elle s'arrêta net, les yeux brillants, me regardant. Se levant, elle fit tomber ses talons, son pantalon glissant le long de ses cuisses fuselées, son haut rejoignit le reste et elle s'offrait en lingerie Tessa von teese couleur émeraude. Je m'asseyais au bord du lit, ma tête contre son ventre offert, profitant des son parfum Dior et de son parfum intime qui émanait déjà de son entrecuisse, ce parfum qui rend fou les hommes de passion et d'envies. Je glissais donc son brésilien le long de ses cuisses pour découvrir cette chatte si délicieuse et chaude, cette laitance du désir déjà présente sur laquelle je passais ma langue avant de l'enfoncer entre ses deux lèvres.
Je goûtais ainsi à son désir sucré salé, son envie insatiable de sexe, réagissant par ses gémissements et ses petits cris avant qu'elle ne se mette à trembler.
Stupeur, nous entendions la porte de la chambre grincer. Solène se retournait, coi, en sueur et en transe. Elle prit une serviette et se rua vers la porte. Elle l'ouvrit et attrapa sa sœur, sœur jumelle qui plus est. Elle lui cria dessus mais sa sœur riposta
-Pourquoi ramener un amant ici ?
-Jalouse. T'as jamais personne, Anna.
- Oui c'est toujours toi qui a de beaux mecs, Solène.
Elles en venaient quasi aux mains.
Je décidais d'intervenir et de les séparer.
Bien mal m'en a pris, j'en perdis le drap autour de la taille, entre deux furies, deux caractères bien trempés et je me retrouvais à tenir la sœur de Solène contre moi alors que j'étais nu.
Situation incongru mais tout aussi excitante. Deux sœurs jumelles dont une que je venais de goûter à ce corps de miel et voilà que son miroir était dans mes bras. J'avais les yeux brillants et Solène le vit. Elle-même vit une solution à ce problème. Et pourquoi pas cette folie sexuelle pour piéger sa sœur.
-Arrete Anna, cria Solène en la giflant.
Tu veux du sexe, tu veux vraiment ? Et bien, viens avec nous deux, tu vas voir et y prendre un plaisir fou. Accepte ou dégage.
Anna regarda sa sœur et de sentir prise et offerte face à sa sœur et avec un homme qui la maintenait avec une certaine force la rendait folle mais aussi commençait à y sentir une forme d'excitation. Elle se calma net. Se retourna et m'embrassa. Elle prit ma queue dressée, la branla. Solène déshabilla sa sœur en la frottant avec son corps nu. Anna murmura le prénom de Solène et elles s'embrassèrent...
J'en profitais pour dénuder Anna et la serrer aussi à mon tour. Ma main droite frôlant ses seins, la gauche descendant vers sa vulve déjà humide. A peine la touchais-je qu'elle gémissait vu son manque. Solène caressait aussi Anna qui craquait de désir.
Elle réussit à se dégager et à aller sur le lit, allongée sur le dos, cuisses écartées dans une invite absolue de se soumettre à sa sœur et moi.
J'en profitais pour glisser entre ses cuisses, lécher sa peau si douce, et boire à sa source. Solène s'allongea sur sa sœur et s'offrit aussi pour être lappée. J'avais deux fentes pour moi tout seul. Deux créatures identiques, splendides, rouquines et coquines. Jumelles de sang pour un même amant. Je les enfilais une à une, chacune leur tour, mon sexe planté en elles, avant de les chevaucher en levrette. Je m'allongeais puis, tour à tour, elles montaient à l'assaut de cette bite en état de transe. Je touchais, palpais ces menues poitrines, ces tétons et auréoles que je suçais et léchais. Pendant qu'une était en 69 au dessus de moi, l'autre sœur me présentait son joli postérieur que je fouillais, un index dans l'anus et un pouce dans sa vulve. Je labourais ces corps exquis jusqu'à n'être qu'une machine à baiser. Qui était qui? Anna était Solène et vice versa. Heureusement, Solène avait un percing au nombril que n'avait pas Anna. Quelle folle nuit, Anna en levrette redemandait encore et encore d'être prise et je me vis la prendre, lui déchirer son cul, le posséder comme j'avais posséder celui de Solène. Elle cria se sentant ouverte et hurla jusqu'à gémir et je me retirais, ma turgescence palpitante, Solène ordonnant à Anna de se tourner et je ne pus me retenir plus, giclant ma semence de mâle sur leurs visages et poitrines avant que l'on ne s'effondre tous les trois dans un sommeil comateux. Le lendemain, le réveil fût difficile mais le café que je préparais nous fime du bien et j'admirais ces deux créations de dieu, si parfaites et plus que complices comme jamais. La journée fut divine à deux, à trois dans cet appartement où le sexe surgissait de toutes parts à tout moment de cette nouvelle journée.

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