Le Supermarché
Il y a un environ, un été, en matinée,je me trouvais dans un centre commercial important et plus précisément au supermarché pour faire des courses. Au cours de celles-ci, ayant laissé mon chariot dans une allée, je suis revenu les bras chargés daffaires. Voulant les déposer dans le chariot, je maperçus quil avait disparu. Visiblement, quelquun sétait trompé. Je partis donc à sa recherche. Dans lallée suivante, je le retrouvais. Au moment de déposer les courses, je découvris un ensemble lingerie (soutien-gorge/culotte) que je soulevai. Dans le même temps, une voix féminine minterpella pour me demander ce que je faisais avec la lingerie. Je me retournai et vit une femme dâge mur, châtain clair, assez grande, mince. Je lui expliquai quil sagissait de mon chariot, quil y avait eu une méprise, quelle était partie avec. Récupérant sa lingerie, la femme me dit, avec un large sourire, que cette technique de drague était dépassée et quil fallait évoluer. Elle insista sur le fait que ce chariot était à elle. Après plusieurs minutes de discussion et mis devant les faits, elle finit par voir que les affaires dans le chariot ne lui correspondaient pas.
Elle finit par sexcuser et je lui proposai de laider à retrouver le sien, ce quelle refusa, sestimant assez grande pour le faire seule.
Plusieurs allées plus tard, je rencontrai cette femme avec son chariot bien rempli. Elle me fit un sourire et me dit quelle lavait bien retrouvée tout seule. Josai, alors, lui dire que pour se faire pardonner, accepterait-t-elle de boire un café au bar du centre commercial. Son visage interrogateur scruta le mien. Elle me dit quelle trouvait cela bizarre de linviter suite à son erreur. Je lui répondis que cétait juste une invitation. Elle finit par accepter et on se donna rendez-vous à 11 heures devant le bar.
Je finis les courses, les chargea dans la voiture, vint me poster devant le bar et attendis. 11 heures, 11 heures 05, 11 heures 10, la dame ne venait pas.
Deux jours après, en pleine après-midi, de juillet, je me présentai à ladresse indiquée. Cela semblait une belle propriété entourée dun haut mur de clôture et dun portail en fer. Je sonnais une fois, puis deux. Le portail souvrit et jentrai. En pleine ville, il était rare de voir une propriété aussi importante, avec des arbres, pelouses, etc. La maison sélevait sur deux étages, de style ancien. Virginie sortit de la maison. Souriante, elle était habillée dun léger chemisier à fleurs noué sur sa taille, laissant apparaître son nombril, dun short court blanc et des sandales. Sans lui manquer de respect, et malgré son âge, je peux dire que je trouvais cette femme encore charmante et excitante. Elle me fit visiter la propriété et à plusieurs reprises, elle passa devant moi.
On alla sur la terrasse et moffrit un jus de fruit. Puis elle me demanda, dans « homme à tout faire, est ce que cela comprend le sexe aussi ? » Je faillis m avec le jus de fruit. Elle renchérit en disant quelle ne croyait pas que jétais venu uniquement pour la voir. A mon tour, je lui demandais si elle mavait invité uniquement pour me voir.
Durant la conversation, elle croisait, décroisait les jambes, les écartant, puis les resserrant. Le short ne laissait pas voir grand grand-chose. Mais ses jambes et ses cuisses étaient magnifiques, un peu bronzée et paraissaient bien lisses. Les tétons étaient toujours aussi droits et pointus, le chemisier u peu étroit, facilitait les formes.
Virginie dit quelle navait jamais trompé son mari, juste des bisous et des petites caresses échangés avec quelques hommes et quelques femmes. Pas de pénétration, de quelque ordre que ce soit. Petit à petit, la conversation prenait des airs érotiques. Seule, une fois, un homme avait voulu la sodomiser. Mais très mal engagé, elle mis fin à cette relation. Elle nen gardait que des souvenirs douloureux. Je lui expliquais que la sodomie état quelque chose de sensible et quil fallait la pratiquer avec douceur. « Vous voilà bien au courant, me dit-elle, Vous pratiquez ? » En tous cas moi, je ne le ferai plus.
Toujours en me regardant, elle me dit « jai envie de baiser, très envie. Cela fait des mois que je nai pas eu de rapport sexuel. Jai toujours été fidèle. Mais là, jen ai marre de me branler. Je veux sentir une bonne bite. Vous comprenez ?.
Elle ouvrit son chemisier après lavoir dénoué.
Virginie se mit à genoux et engouffra ma verge dans sa bouche. Son nez vint toucher mon ventre. Elle avait engloutie ma verge. Elle recula, reprit son souffle. Elle passa sa langue sous le gland, dans la fente, et repris ma verge entière dans sa bouche. Elle faisait de grands va et viens avec sa bouche en se tenant à mes cuisses. Jétais immobile en pensant à ses fesses. Je voulais trouver un moyen de lui caresser la rosette malgré son interdiction. Je repoussai sa tête, la fit mettre debout, lui fit tourner le dos et la pencher avant. Les mains sur ses genoux, elle soffrait à moi. Je voyais parfaitement ses deux orifices propres sans poils. Alors, je me baissa à mon tour et enfonça mon visage entre ses fesses, la tenant par les cuisses. Ma langue vint lécher sa chatte humide, puis très vite je remontais vers rosette que jembrassai. Puis, je fis tourner ma langue dessus, dans un sens puis dans lautre. Je lai tenait toujours par les cuisses et craignait quelle me repousse violemment, du fait que je léchais maintenant son anus. Mais rien ne se produisit, Virginie ne bougeait pas. Au contraire, elle se laissait faire. Je redoublais donc attention, en léchant, en aspirant. Je sentis sa rosette souvrir petit à petit. Je poussai ma langue dans lorifice un peu élargi. Et à ma grande surprise, Virginie faisait bouger son fessier. Je me relevais alors, et elle était toujours penchée ses mains sur ses genoux. Je nhésitais pas une seconde et présenta mon gland devant la rosette. Je fis tourner le gland plusieurs autour du trou avec ma main droite, pendant que le gauche caressait les lèvres du vagin. Je me décidais à pousser ma verge dans la rosette ; le plus délicatement possible. Jentendis «Wouah ». Sans marrêter, javançais doucement, Ayant récupéré un peu de mouille de la chatte de Virginie, je la déposais autour de ma verge pendant un recul. Puis, je lenfourchais de nouveau. Deux doigts de ma gauche senfilèrent dans la chatte, grande ouverte. Ils fouillèrent le vagin. Virginie reculait pour mieux se coller à moi, signe quelle appréciait les pénétrations anale et vaginale. Jessayais denfoncer mes doigts le plus profonds possible, sachant que ma verge était tout entière dans le rectum. Mes boules venaient frapper les bas des fesses, à chaque coup. Virginie laissait, de plus en plus échapper des petits cris, des doigts de sa main droite vinrent sajouter aux miens dans sa chatte.
Elle redressa la tête, pendant mes incessants va et vient dans son rectum, limant ainsi sa rosette. Elle finit par lâcher des cris, des hurlements, des mots incompréhensibles. Elle avait fini par jouir en étant sodomisée. Je me retirais des ces entrailles. Virginie voulut prendre mon sexe dans sa bouche. Mais je la retins. Je pris sa culotte par terre, messuya au mieux mon pénis, le gland. Et je la laissa faire. Une nouvelle fois, à genoux, elle engloutit ma queue. Au bout de quelque secondes, je repoussais sa tête et éjaculais sur ses seins pendant quelle me branlait. Ma semence recouvrait ses tétons.
Plus tard, après sêtre rhabillé, Virginie dit « jai le cul qui me brûle, taurais pu lubrifier plus ». « Tu aurais du mouiller plus », lui répondis je. « Une femme de mon âge ne mouille quasiment plus, tu aurais du le prévoir »me dit-elle.
Je finis par quitter la propriété en laissant Virginie ravie davoir attendue 69 ans, pour jouir en étant sodomisée.
Depuis nous nous sommes pas revus, ni chez elle, ni au supermarché.
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