Le Garage (2)

Vers 22 heures je reçois un premier sms de Paul

P / Merci Eric pour ce moment magique
E / merci à toi. J’ai beaucoup aimé. Impatient d’être à demain
P / Moi aussi. J’ai besoin d’un ami à qui parler.
E / je serai heureux si je peux être cet ami
P / je peux te parler sincèrement, là ce soir, ici ?
E / bien sur
P / toi comme moi nous ne pouvons pas faire ce que nous voulons, et certains jours ça me ronge
E / Je comprends. Je ne suis pas marié mais je suis moi aussi obligé d’être discret.
P / Je suis heureux d’avoir une famille mais je voudrais aussi vivre ma vie de gay.
E / je suis content de te connaître
P / je peux vraiment tout te dire ?
E / Oui
P / y compris mes fantasmes ?
E / Bien sur. Au contraire, j’adore.
P / depuis que je t’ai croisé l’autre jour je ne pense qu’à toi
E / c’est vrai ?
P / Oui. Il s’est passé un truc bizarre.
E / c’est marrant. J’ai eu la même impression. Et depuis tu as des idées bizarres ?
P / Oui
E / Dis
P / Ca me gène un peu
E / Faut pas. De toutes façons nous nous connaissons déjà bien… ;-)
P / Oui…je rêve de baiser sur tes voitures
E / Cool. Au moins on a déjà le matériel ;-)
P / ;-)
E / Tu as des détails à me donner ?
P / Je peux ?
E / Bien sur !
P / je voudrais que tu sois mon domi dans la concession, et tu me baiserais comme tu veux et ferais de moi ce que tu veux, sur un pick-up, sur un capot, n’importe où dans le garage…
E / tu me fais bander
P / moi aussi je suis dur
E / tu as déjà joué à ces petits jeux ?
P / Non, jamais osé mais avec toi je me dis que ça serait bien et que je serais en confiance. Pour le moment tout se passe dans ma tête.
E / J’ai envie.
P / moi aussi, je vais pas dormir à cause de toi.
E / On commence demain ?
P / c’est vrai, tu es d’accord ?
E / super d’accord et super excité
P / tu es génial
E / bonne nuit Paul.

Je t’embrasse
P / Bonne nuit, je t’embrasse et je suce ton beau gland.
E / Pareil ;-).

Je suis un peu abasourdi. Ce mec que je connais à peine et avec qui j’ai juste commencé à m’amuser un peu ce soir, entre dans ma vie et mon cerveau comme par effraction. Je sens que tous mes repères sont chamboulés. Je suis attiré vers lui par une force irrésistible. Chacun de ses gestes, chacun de ses mots me fait bouillir le sang. Sous son apparence convenable se cache un cœur passionné et des désirs inassouvis.

Je dors très mal.

6H30 du matin, nouveau message de Paul.

P / Bonjour Eric. Mal dormi. Trop envie de toi
E / Bonjour Paul. Pareil pour moi. Je me sens à coté de la réalité.
P / je peux te dire un truc pour ce soir ?
E / vas-y
P / j’aimerais arriver à la concession et aller dans le bureau directement.
E / Ok. Tu veux que je t’attende dans le bureau ?
P / Non, justement, toi tu m’attendrais en bas dans l’atelier.
E / Ok, pas de souci.
P / j’ai envie de te sucer toute la journée
E / je sens que je vais aimer ta langue sur ma queue aujourd’hui
P / je vais m’appliquer. A ce soir
E / A ce soir.

Le soir de cette journée interminable où je n’ai vraiment pensé qu’à sa langue sur ma queue, il arrive comme prévu un peu après 19H00.

Je suis dans l’atelier et le regarde descendre de son SUV Mercedes et prendre un sac de sport sur le siège passager.

Je bande rien qu’en le regardant. Sa démarche est celle d’un vrai mec, sur de lui, conscient de sa séduction. Avec ce soir une petite faille, une légère hésitation quand il s’approche de la porte qui donne accès directement aux bureaux. Un mélange d’excitation et de dernières traces de timidité avant d’oser franchir une limite qu’il s’était imposée jusqu’à maintenant.

Il monte à l’étage et je l’attends appuyé contre un établi, en faisant attention de ne pas me tâcher mais mes mécanos sont d’une propreté irréprochable.
J’y tiens absolument pour la qualité de l’accueil de nos clients.

Et puis, vient ce moment que je n’oublierai jamais. Il sort du bureau et je reste pétrifié de surprise, d’admiration et d’excitation.

Il est nu, habillé d’un collier de cuir et d’un cock ring reliés par une lanière de cuir noir qui met en valeur son torse et son ventre velus. Il a troqué ses mocassins de luxe pour des grosses pompes de chantier. Il émane de lui une virilité d’une rare puissance. Etrangement, son allure est naturelle comme si cette nudité soulignée par ces accessoires de cuir lui était familière.
Je rougis devant ce spectacle troublant et je ne peux décoller les yeux de sa queue enserrée par l’anneau chromé qui lui donne une déjà une érection puissante.

Il descend l’escalier métallique pour venir vers moi, le bruit de ses pas sur le métal se grave dans ma mémoire comme l’image de son sexe qui balance de droite à gauche à chaque fois qu’il descend une marche.

Je suis pétrifié, je ne m’attendais pas à ça et je suis au-delà du plaisir et de l’excitation. Il est enfin face à moi et me regarde dans les yeux. Nous ne parlons pas pour profiter de cet instant magique. Lui, fier d’avoir osé et semble-t-il furieusement heureux de ce qu’il ressent. Moi, étonné, ébloui et me demandant si je ne vais pas jouir tout de suite dans mon caleçon tant ce que je vois me trouble et m’excite.

Toutes les émotions passent dans son regard et je sais que plus jamais je ne ressentirai ce que m’apporte cet instant magique.

Au bout de longues minutes, il se contente de me dire :

- je suis à toi

Il se livre à moi, il s’offre.

Je le prends par la lanière de cuir du harnais et l’amène devant le pick-up Toyota le plus proche. Le modèle est énorme avec un pare-buffle impressionnant. Je le tourne pour qu’il soit face à la calandre.

- Grimpe

Il a compris, monte sur le pare-chocs et se couche sur le capot, la queue écrasée contre les tubes chromés du pare-bufles.

Je lui écarte les jambes et je reste immobile à admirer son cul poilu ainsi offert à mes initiatives. Je vois ses couilles pendantes entre ses cuisses couvertes de la même fourrure blonde et brillante que ses adorables petites fesses de mec dévergondé.

J’approche, je pose mes mains sur ses fesses dures pour les écarter et permettre à ma langue humide de se poser doucement sur sa rondelle rose. Il a un frisson de plaisir et j’entends un murmure au fond de sa gorge. Il s’aplatit sur le capot du pick-up et m’offre encore un peu plus son cul. Je deviens fou. Ma langue le caresse, et, tendue en pointe, lutte contre la barrière encore inaccessible de son petit anus serré. C’est doux et chaud. J’ai envie de lui donner des claques sur les fesses. J’ose, j’ai peur qu’il n’aime pas mais tant pis. La première raisonne, nette et sèche sous la voute. Il se cabre, un peu surpris, et grogne de plaisir, il aime. Un deuxième et je suis fasciné par la trace rouge de ma main sur la peau douce, blanche et divinement velue de ses petites fesses.

- oh, oui, putain c’est trop bon

J’aime bien ce qu’il dit. J’aime bien la liberté avec laquelle il est un autre devant moi, à l’opposé presque de l’image que l’on se fait de lui la première fois qu’on le croise. Je continue à lui bouffer le cul avec passion, rage, tendresse. Il lève parfois une jambe pour la poser sur le capot puis change de position, un peu comme s’il baisait le pick-up pendant que je m’occupe de ses arrières.

Je m’interromps le temps d’aller chercher du gel. Il y a un placard métallique dans l’atelier dans lequel je garde des capotes et du gel. Je vous raconterai pourquoi une autre fois. Je reviens me poster devant son cul offert, ouvre le tube et étale le lubrifiant sur son trou.

- oh, oui

Puis je le pénètre d’un doigt. A nouveau il se tend et à cette seconde je manque de perdre mes moyens. Il se met à hurler, véritablement, et j’ai l’impression que toute la zone d’activité qui entoure la concession peut l’entendre

- OUIIIIIIII, Eric, baise moi !!!!!!!!!!

Il est génial.
Si un doigt le met dans cet état qu’est-ce que ça va être quand nous passerons aux choses sérieuses.


- je veux ta queue
- pas encore. Il faut que tu patientes
- s’il te plait….
- Chut….c’est moi qui décide

Je retire mon doigt et me dirige vers l’établi le plus proche. Aujourd’hui nous allons jouer avec le matériel et je choisis une clé à pipe ni trop petite ni trop grosse. Je sais que son trou n’a pas l’habitude d’être visité et je ne vous pas le blesser. J’enduis la clé de gel et la présente, dure et froide, contre son anus brillant de gel que je vois palpiter au rythme de sa respiration. J’appuie l’outil contre lui et je vois la tête de la clé entrer sans difficulté dans le corps brulant de mon ami.

- oh putain, c’est bon
- tu aimes ça
- Ouiiiii
- C’est quoi ?
- Une belle clé de 20.
- Baise moi
- Baise ma bagnole toi
- Oui….

J’enfonce l’outil le plus loin possible et je le sens qui l’absorbe avec toute l’énergie et l’élasticité de son corps. Pendant que je fais coulisser l’outil dans son trou de la main gauche, ma main droite s’empare de sa belle queue. Je la passe entre ses cuisses, il se cambre à fond pour me faciliter la tache et je le masturbe en cadence. J’arrive à synchroniser mes deux mains et je jouis presque du spectacle de son cul baisé par l’outil brillant et de son gros gland gonflé de sang sur lequel je fais aller en venir son prépuce au même rythme que celui de la pénétration de la clé.

- putain, je vais jouir
- tu vas arroser mon pick-up ?
- oui, je vais baiser ta caisse
- c’est çà que tu veux ?
- oui

Je lâche son pénis pour lui coller une nouvelle claque sur la fesse droite

- oh oui, putain
- tu aimes ça hein ?
- ouiiiiii…..fais moi jouir
Je reprends sa queue et je sens qu’il est prêt de l’éjaculation. Je le baise toujours avec la clé bien lubrifiée et quand je le sens sur le point de cracher j’oriente son sexe vers la calandre rutilante du 4X4. Il crache huit longs jets de jus sur le métal brillant comme un miroir et à chaque contraction il enserre la clé plus fort au fond de lui.


- oh non, c’est trop bon

Il s’affale sur le capot. Je retire doucement le gode improvisé de son trou gourmand. Je vois sa queue collée au pick-up et les dernières gouttes de son sperme qui tombent sur le pare-choc. Il ne bouge pas, accouplé intimement au 4X4 qu’il vient de féconder.

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