La Visio Conference

Les événements sanitaires de 2020, ont été un véritable séisme. Par chance, personne de notre entourage n'a été infecté, mais l'impact économique a été un important. Pendant le confinement, Richard avait continué à appliquer son plan stratégique et notamment le développement à l'international. Nous travaillions de la maison, Richard à partir de son bureau et moi dans le salon. Je sentais mon mari tendu et stressé, au vue de la situation de l'entreprise, craignant une perte d'activité et de part de marché. Cette situation de stress avait une conséquence directe sur notre vie intime, ou nos rapports étaient rares et problématiques. Richard avait besoin de stimulant, chimique ou visuel. Donc à grand renfort de petite bleu ou de film porno BDSM pendant nos relations, j'essayais de sauver mon couple, malgré des pannes de plus en plus fréquentes. Il s'était refugié dans le travail, et un de ses objectifs, était d'étendre nos activités sur la Suisse, en commençant par la création d'une agence à Bale, ville très prometteuse en termes de Business. Il avait embauché un jeune trilingue, William, juste avant le confinement qui lui avait été chaudement recommandé et qui de plus était le fils du directeur de l'entreprise qui construisait notre piscine dans le sud.

William avait passé tout le mois de janvier au siège social, pour rencontrer les collaborateurs et devait partir sur Bale au mois de mars. Depuis son embauche, j'avais perçu qu'il était captivé par ma silhouette ma poitrine opulente, mais également mes jambes souvent gainées de nylon et prolongées de talons. C'était plutôt gênant, et je l'avais plusieurs fois remis à sa place notamment pendant une réunion ou je l'avais surpris à mater mon décolleté, sans prêter attention à ce que je disais. Nullement gêné, il s'était contenté de sourire.

Une autre fois, il m'avait demandé de l'aider à revoir une présentation confidentielle. Tous les deux dans une petite salle de réunion, assis l'un a coté de l'autre, j'avais senti sa jambe se frotter contre la mienne.

Sans réagir instantanément, je l'avais laissé faire pendant quelques minutes, avant de me soustraire à son contact, en lui demandant vigoureusement de se concentrer sur notre travail. Il m'avait parlé un peu de lui, et je lui avais fait part de notre projet en cours dans notre villa.
- Si vous avez besoin que j'intervienne auprès de mon père, n'hésitez pas. Ou avec Hubert, c'est un très bon ami à moi...
- Merci William, je ne savais pas que vous étiez intime avec Hubert, c'est un homme charmant...
- Oui, on a fait les 400 coups ensembles, ou a un aucun secret l'un pour l'autre...
Affichant un grand sourire, ses paroles me firent rougir, soupçonnant Hubert de lui avoir raconté nos aventures, ce qui devait rendre William encore plus entreprenant... Je décidais d'en parler à Richard.
- Ton nouveau commercial, n'arrête pas de me draguer...
- C'est normal, il a du goût, il a dû tomber sous ton charme de bourgeoise mure et pulpeuse, tu devrais être flattée.
- C'est totalement inapproprié, Richard, il doit cesser, je veux que tu lui parles...
- OK, je lui parlerai...
Après le début du confinement, nous étions tous en télé travail, et l'usage de la Visio conférence avec Zoom, c'était largement intensifiée. Bloqués à la maison avec Richard, nous avions organisé nos journées afin de pouvoir avoir un peu de temps libre et utilisions notre salle de sport pour nous détendre et éviter les conséquences d'un sédentarisme trop long. J'avais régulièrement William au téléphone ou en visio ou nous continuions à préparer l'ouverture de notre succursale prévue pour le mois de juin, si le dé confinement le permettait. Ayant de nombreux contacts en suisse, il avait pu identifier plusieurs prospects que nous devions rencontrer dés que possible. Son attitude n'avait que peu changé, il continuait à me draguer verbalement de manière un peu plus soft que lors de nos rencontres au bureau.

À la fin du mois de mai, la vie reprit son cours normal, et William parti peu après sur Bale.
Deux semaines après l'ouverture de l'agence, il avait un carnet de rendez-vous bien remplie et notamment avec le CIO d'un grand groupe pharmaceutique. Richard avait souhaité que je l'accompagne pour ce premier rendez-vous, et malgré mes protestations, je m'étais rendue à Bale pour quelques jours. Nous devions préparer la présentation la première journée pour un rendez-vous prévu l'après-midi suivant, avec des points réguliers en Visio avec mon mari, resté au siège. Habillée d'une jupe fourreau noir et d'un chemisier blanc légèrement transparent laissant deviner la dentelle de ma lingerie, et montée sur des escarpins à talon aiguille, j'étais très pulpeuse et excitante, ce qui avait émoussé William, qui profitait de notre solitude une fois de plus pour me draguer ouvertement. Connecté sur Skype avec mon mari, je lui faisais des messages pour me plaindre de son comportement ...

@Richard : Ton commercial est encore en train de me draguer, c'est insupportable.
@Patricia : Allez ma belle, y a pas de mal, et en plus il est plutôt beau mec.
@Richard : Ce n'est pas le sujet.
@Patricia : Allez avoue que cela te plaît, de te faire draguer par un petit jeune...
@Richard : Richard stp !!!
@Patricia : Fais pas ta mijaurée, je sais que tu aimes ça, et tu sais comme ca m'excite, quand tu te fais prendre par d'autres...
@Richard : J'espère que tu plaisantes, c'est tout à fait hors de question.
@Patricia : T'inquiète, je m'occupe de lui... On se reparle tout à l'heure en Visio

Je continuais à travailler sur mon ordinateur pendant une demi-heure, observant William qui continuait de taper sur son ordinateur de manière frénétique, tout en me jetant des regards gourmands et lubriques. Je reçu un dernier Skype de Richard... Pas forcement celui que j'espérais ...

@Patricia : Tout est arrangé avec William, soit bien sage, et profite... À tout à l'heure ...

Absorbée par la lecture de ce dernier message et alors que je m'apprêtais à répondre, je ne sentis pas la présence de William derrière moi qui me tira les deux mains dans le dos, et me bloqua les mains avec des menottes.
Avant que je n'aie le temps de crier, il plaça ma main sur ma bouche, pour enfin me bâillonner avec une boule de latex. Son visage collait au mien, il me murmura à l'oreille:
- Ne bouge pas et ne crie pas de toute façon maintenant, tu es à moi et avec la bénédiction de ton mari.
Alors que je ne pouvais bouger, le skype de mon PC sonna. William ouvrit une session Visio avec mon mari de l'autre coté, installé dans son bureau, il nous regardait en souriant...
- Alors ma belle, je vois que vous avez fait plus amples connaissance, je compte sur toi pour être bien gentille. Tu sais combien j'aime te regarder jouir. Elle est à vous William, soyez bien gentil avec elle.
Une des mains de William, m'attrapa par les cheveux, me penchant la tête en arrière alors que de l'autre, il soupesait mes seins au travers de l'étoffe de mon chemisier. Il me malaxait, me tâtait, forçant mes tétons à réagir, malgré mon regard suppliant Richard d'arrêter. Mon corps commençait à réagir, il descendit sa main le long de mon flan, jusqu’à mes fesses, me poussant un peu en avant pour me peloter le cul. J'essayais de me débattre, mais il me maintenait fermement, amplifiant encore plus fort ses caresses sur mes fesses. Il me releva de la chaise et me força à faire le tour de la table pour me conduire à un petit canapé, une main me tenant par les menottes l’autre sur mes fesses. Une fois face au dossier, il me poussa en avant, me basculant sur le dossier ne gardant plus que mes longues jambes en appuies sur mes talons au sol, alors que le haut du corps avait basculé de l’autre côté. Mes talons rehaussaient ma croupe littéralement offerte. Il remit l'ordinateur en place, afin que Richard ne perde pas une miette et retroussa ma jupe sur mes hanches découvrant mes fesses uniquement protégées par un ensemble string porte-jarretelle de noir.
- Regardez-moi ca une belle bourgeoise qui s’habille comme une pute au travail. Quand pensez-vous patron, elle mérite une punition votre grosse pouliche pour aguicher le petit personnel ?
- Oui, tu as raison, prends moi cette salope et baises la, je veux l'entendre jouir.

Il baissa mon string le long de mes cuisses me laissant offerte et vulnérable. Alors que je resserrais les jambes pour lui empêcher d’accéder à mon intimité, il sortit son sexe et se frotta sur mes fesses nues et entre mes cuisses serrées.
- J’ai trop envie de toi depuis le temps que tu me nargues. Tu sens comme je suis bien dur... Mais tu mouilles, petite salope regarde-moi ça, ça fait sa sainte nitouche mais tu aimes qu’on te force »
Il arracha mon string d'un coup sec et brutal et m'essuya la chatte avec, pour finalement enfoncer ses doigts dans ma chatte déjà chaude et humide malgré moi. Je gémissais, pendant qu'il me tirait les cheveux pour me remonter la tête, m'enlevant ma boule de latex pour la remplacer par mon string dans la bouche.
- - Écarte les jambes ma belle, tu vas aimer.
- - Claque lui son gros cul, si elle n'obéit pas, ajouta Richard
Une première fessée s’abattit sur ma fesse, suivit rapidement d’une deuxième, puis une troisième…. Mon cul rougissait a vu d’œil, m'obligeant finalement à céder et écarter légèrement les jambes. William en profita pour me prendre la chatte, forçant l’entrée et poussant un grand coup pour me pénétrer entièrement. Le bâillon ne suffit pas à mon cri. Sa main gauche malaxait un des mes gros seins alors que sa main droite court le long des jarretelles pour me malaxer mes grosses fesses de bourgeoise
Il déboutonna le haut de mon chemisier, découvrant le haut de mes grosses mamelles prisonnières de mon soutien gorge "Soir de Venise".
- He bien, c’est toujours aussi joli ce que tu mets dommage que ce ne soit pas pour moi. Enfin pas pour moi...
Il me prenait les seins à deux mains pour les malaxer, les soupeser, les caresser sous la soie de ma lingerie pour finir par me dépoitrailler pour jouer à faire tourner mes deux globes, les tirer vers le haut pour les voire tomber et constater leur superbe maintien. Il continuait à me pilonner en même temps, alors que j'entendais Richard commenter nos ébats.
- Tu es trempée ma poule ça te plaît de te faire baiser par un de mes employés.
- Enlève, l’éponge à mouille qui te sert de string salope, et répond à mon patron, dis lui que tu aimes ça ....
- Ohhhhh, Richard, au secours, il me rend folle !!!!
Une claque se rabat sur mon gros cul, alors que mon string retourna dans ma bouche. J'obtempérais en gardant mes jambes bien tendues pour montrer mon gros cul. Il sortit son sexe, pour prendre le temps de m’observer, moi la femme du patron, la belle jument qui attend sa saillie, en levrette sur un accoudoir de canapé, les seins libres et le cul et la chatte a l’air. Il restait derrière moi pour re peloter mes grosses mamelles, et appuya sur mes bras menottés dans le dos par les poignets afin que ma poitrine s’écrase sur le divan, recommençant à me fesser le cul.
- Comme ça, tu es une vraie poule qui cherche de la nourriture le cul en l’air. Ton cul rougit rapidement dis-donc... Hummm, oui gémis j’adore les femmes bruyantes, gueule ma belle.
Après une dizaine de fessées et il s'arrêta, pour regarder mon cul écarlate barré par mes jarretelles. Il repositionna sa queue bien dure sur mes fesses, et l’enfourna à nouveau dans ma chatte trempée, tout doucement cm par cm, savourant la sensation de mes chairs s’ouvrant sur son passage. Il poussa sa bite bien au fond de mon bassin s'appuyant sur mes fesses.
- La, on y est, tu trop bonne la bourge, je vais prendre mon temps. Tu vas déguster.
- Oui, bourre moi bien ma grosse salope de femme, défonce lui les fesses, je veux l'entendre hurler comme une truie
Il ressorti totalement pour s’enfoncer à nouveau, d’un coup avec force dans ma matrice, m’arrachant un cri de plaisir. Il continuait à me bourrer puissamment en utilisant mes jarretelles pour me faire aller venir sur sa queue alors que mes cris de jouissance résonnaient dans la salle. Il tira sur mes cheveux pour me cambrer encore plus, son sexe massant le fond de ma chatte. Il approchait mon visage du sien, mes mains entravées étaient maintenant écrasées entre mon dos et son ventre, il tirait mes cheveux de plus belle pour forcer encore un peu plus ma cambrure et faire en sorte que mes grosses mamelles se balancent, telle le pie d'une vache bien mameleuse. Il prit mes seins de sa main libre malaxant mes mamelles, tout en me forçant à tourner la tête vers lui pour enfourner sa langue dans ma bouche, après avoir enlevé mon string et continuant à bouger son bassin pour me pilonner au plus profond de moi.
- Alors ma cochonne, tu aimes gueuler comme une truie ?
- Hummmmm, Haaaaaaaa, Hoooooooo
- Tu es en train de jouir ma salope, tu aimes sa bite !!!!!! Continue William, baise la plus fort... Je veux l'entendre couiner...
- Hummmm, elle va ameuter tout le voisinage, rouvre ta bouche pétasse, que je te re bâillonne.
Mon string de retour dans ma bouche, il faisait de rapide aller-retour sans ménagement, me baisant au sens propre sans égards pour moi. Malgré cela, je me sentais partir et mouillais de plus en plus, facilitant le coulissement de sa grosse bite en moi. Je le sentais proche à se libérer, proche de la délivrance, et rapidement, il se répandit en moi tout en grognant. Il jouit comme un animal en rut, visant à engrosser sa femelle. Il sortit sa queue de mon vagin pour la glisser entre mes fesses essuyant son gland sur mon anus.
- J'espère que tu as encore des forces, William, faut aussi s'occuper de son petit trou, maintenant !!!! Tu sais que j'attends de l'endurance de la part de mes collaborateurs ...
- Promis je vais m’occuper de lui. Dit-il caressant mes grosses fesses offertes »
Il me laissa quelques minutes. Je pouvais sentir mon sperme dégoulinait le long de mes cuisses souillant mes bas. Il me fit finalement tomber à la renverse sur le canapé. Mes jambes se posaient sur l'accoudoir toujours chaussées de mes escarpins. Je le regardais suppliante, alors qu'il s’approche de moi passant deux doigts sous l’étoffe de mon chemisier, qu'il écarte brutalement. Le tissu et quelques boutons se déchirèrent découvrant ma superbe et généreuse poitrine maintenue dans mon soutien-gorge de dentelle noire. Il s’occupait de mes seins, s'amusant à les malaxer, les pressants tirants sur les tétons, regardant avec ses yeux lubriques mes pointes dardées malgré la situation. Il m’enleva ma culotte de ma bouche pour présenter sa queue à demi-molle devant ma bouche. Je gardais là bouche fermée en signe de refus, mais il me prit le mamelon droit et tira dessus, me faisant crier, et lui laissant l'ouverture pour enfourner son sexe dans ma bouche.
- Maintenant, je ne veux plus t’entendre…
- Hummmm, vas-y ma belle, pompe le bien, fais le grossir à nouveau avec tes belles lèvres de bourgeoise. Montre lui que tu es une bonne butineuse...
Rapidement, sa bite reprit de la vigueur l’excitation d’avoir une si belle femme soit disant inaccessible à sa disposition et le contact de ma langue n’était pas totalement étranger à cette résurrection. Il profitait de ma position pour continuer à s’amuser avec mes gros seins libres.
- T'aimes ca, quand je joue avec ta nichonaille, t'es vraiment une bonne laitière.
- Ouiiiii, ca m'excite, palpe lui ca grosse nichonaille, elle adore être malaxée.
Il faisait de rapide va et vient dans ma bouche me forçant à l’avaler en me tenant la tête. Il se plaça au-dessus de moi et mit sa queue humide de ma salive entre mes seins afin de se branler dans ma chair voluptueuse. Il se redressa enfin, me laissant allongé sur le canapé toujours attachée, la peau et les vêtements entièrement défaits. Au bout de quelques minutes de repos, il revint vers moi, me releva, tout en profitant de ma position pour me peloter une nouvelle fois.

J'étais debout face à mon ordinateur, ou je pouvais voir mon mari me regarder en train de se branler. Malgré mon visage finement maquillé, ma coiffure et ma classe de bourgeoise sophistiquée à outrance, j'étais totalement défaite, en train de subir les palpations de William, qui me caressait mes grosses loches, pour ensuite s'essuyer la main dans mes cheveux. Après plusieurs minutes dans cette position humiliante, le visage et mes gros seins recouverts de bave et mes fesses dégoulinantes de sperme, il me détacha les mains
- J’ai encore envie de te fourrer comme une dinde ma poulette, je suis sûre que tu vas adorer.
- Elle est plus docile que tout a l’heure, mais tu vas tout de même rattacher ma bourgeoise, un bon poulet est toujours attaché surtout les labels rouges. Toi ma chérie, tu es un vrai label rouge vu la couleur de ton cul ?
Il me releva ma jupe entièrement et me poussa sur un fauteuil, m'attachant les poignets aux chevilles. Ainsi ficelée, il positionna chacune de mes jambes sur les accoudoirs, laissant ma chatte baveuse entièrement offerte et à sa merci. Il planta ses trois doigts au fond de mon vagin ouvert, me laissant repartir dans des vagues de plaisir, balancées par des va-vients rapide accentuant ma lubrification. Un quatrième doigt plongea en moi me faisant gémir, puis crier puis jouir. Il ressortit sa main, serrant le poing. Je le regardais les yeux exorbités.
- Non, non, pas ça s'il te plaît non…
Il poussa sa main en moi. Je bougeais mon bassin espérant en vain échapper à cette intrusion e, mais ne faisant que faciliter l’introduction de sa main dans ma chatte. Une fois en moi, il ferma son poing et tourna déclenchant de multiples orgasmes. Mes yeux se révulsaient, je devenais folle, suite à cette jouissance extrême. Alors que je le suppliais de me prendre, il me ravageait le vagin de son poing.
- Elle rentre finalement facilement, tu en as vu d’autre comme bourgeoise dépravée.
- En voilà une volaille bien fourrée, n’est-ce pas ma dinde, tu aimes te faire farcir !!!"
- Prends-moi !!! Baise-moi !!!! Je suis ta pute !!!!!
Il se redressa, me libérant de cette emprise pour placer sa queue à nouveau devant ma bouche. En vraie chienne en chaleur, je le suçais, sa queue encore molle durcissait un peu plus à chaque coup de ma langue de bourgeoise. Une fois bien durcit, il se redressa entre mes jambes ligotées pour me donner l'assaut final.
- Sodomise ma femme maintenant, je veux que tu l'encules...
- Oui, c’est bien de ta rondelle que je vais m’occuper maintenant et avec ce que tu as eu dans la chatte autant te dire que tu vas être étroite à souhait.
Il me souleva le cul, positionna son gland, sur mon anneau plissé, poussant inexorablement sa queue et élargissant mon gros cul de bourgeoise de son chibre. Il me sodomisa, tout en me maintenant par les fesses. Son pilonnage reprit de plus bel, me bourrant le fion prenant son plaisir comme une brute, un prédateur gourmand.
- Oui, vas-y mon salaud, lime lui le cul à ma grosse pute. Regarde son beau gros cul comme il bouge bien sous l'homme. Vas-y ma chaudasse dis moi qu'il te bourre bien, que tu aimes cela, fais tu pute !!!!
- Ohhhh, oui, il me défonce bien, je jouis Richard, je vais partir, Ohhh mon dieu, Ohhhh sa queue et si grosse.... Je veux que tu me baises aussi...
- Rentre à la maison tout de suite, je vais enfin te baiser ce soir !!!!!!
Nous étions arrivés avec Richard à un point de non-retour, ou au travers de William qui me violait le cul, nous faisions l'amour ensemble. Je regardais Richard se branler de plus en plus vite. Il s'était relevé pour approcher sa queue de la caméra, avant de jouir et de recouvrir la CAM de sperme avec un cri de bête en rut !!!! Rapidement, la scène excita William qui se rependit dans mon rectum. Il s'était écroulé sur mon corps tout en continuant de se vider en moi comme un désespéré qui savait que c'était sa première mais aussi sa dernière expérience avec la femme de son patron. Il s'essuya la queue sur mes bas, et sans prononcer une parole me détacha. Je le sentais géner ne sachant pas quelle attitude avoir à mon égard. Richard le remercia pour sa performance et lui demanda de se remettre au travail. En silence, je partis pour les toilettes pour me nettoyer et sans demander mon reste, je repris ma voiture pour rentrer à la maison. J'avais joui comme jamais, mais une seconde manche m'attendait le soir avec mon mari qui, je l'esperais avait retrouvé sa vigueur et désir pour sa femme.

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