Un Strip Pour La Future Mariée (Partie 4)

Vu la tournure qu’avait pris la soirée, j’acceptai l’invitation avec plaisir.
Cathy me donna l'adresse de la boite, une rue que je ne connaissais pas. Rendu sur place après quelques galères pour garer ma voiture, je crus d'abord à une blague. J'étais dans une petite rue de la vieille ville, mal éclairée et que rien ne semblait disposer à accueillir une discothèque, afro ou non. Ce n'est qu'après plusieurs minutes que je remarquai, à côté de la porte cochère d'un vieil immeuble, une plaque de la taille d'une feuille A4 mentionnant le nom de la boite et sa localisation au sous-sol. J'actionnai l'ouvre-porte, longeai un couloir, descendis un escalier et trouvai enfin la porte d'entrée de la boite. Je frappai, et un colosse noir m'ouvrit…. pour me refuser l'entrée !
— Désolé, me dit-il, pas d’hommes seuls ce soir.
- Je suis invité par un groupe de jeunes femmes qui enterrent la vie de jeune fille de l'une d'elle. La future mariée se prénomme Estelle et l'organisatrice de la soirée Cathy, une blonde aux cheveux courts plutôt canon….
- Carrément canon même !! OK, elles sont arrivées il y a à peine un quart d'heure et la blonde aux cheveux courts m'a prévenu. Entrez, elles ont réservé le grand box au fond à droite de la piste.
Je remerciai le videur et pénétrai dans la boite. Les lumières multicolores étaient vives et la musique forte, mais l'endroit était sympa. Immédiatement, je repérai Estelle et Calou qui se déhanchaient sur la piste. Calou était toujours moulée dans sa courte robe bleu nuit, mais Estelle avait revêtu (e par ses copines ?) une jupe plissée très courte à carreaux noirs et blancs et un haut décolleté blanc qui laissait apparentes les bretelles de son soutien-gorge noir. M'apercevant, Calou me désigna leur box et m'adressa un clin d’œil que je lui rendis. Je me dirigeai vers le box, renfoncement de quelques mètres carrés pourvu de trois canapés à trois places et d'une table basse, pour y trouver Cathy et les trois filles de la soirée dont j'ignorais encore les prénoms.

Cathy se leva et m'enlaça comme si nous étions potes depuis des années.
— Dakooooo !! Je suis ravie que tu sois venu !! Que veux-tu boire ?
Après m'avoir aimablement servi un double whisky "on the rocks", Cathy fit les présentations. D'abord Chloé, une petite brune tonique aux cheveux courts et aux yeux noisette, vêtue d'une courte et légère robe noire. Puis Natasha, du même gabarit que Chloé mais blonde aux cheveux mi-longs. Elle portait une longue jupe noire fendue très haut et un très joli chemisier noir à paillettes. Enfin, Émilie, blonde pulpeuse à l'épaisse chevelure bouclée et vêtue d'une jupe moulante chocolat en stretch et d'un simple bandeau beige couvrant sa poitrine généreuse.
Nous discutâmes un moment en sirotant nos verres, puis le DJ lança une série de zouk-love. Cathy se leva d'un bond et interpela ses copines.
— On ne peut pas laisser passer ça les filles !!
Dans un bel ensemble, elles gagnèrent la piste. Laissé seul, je décidai de finir tranquillement mon verre en les regardant s'amuser. Chloé et Natasha dansaient ensemble en riant, Cathy dansait seule en fermant les yeux, à côté d’Émilie qui faisait de même. Calou était en grande discussion avec le DJ. Quant à Estelle... elle était prise en sandwich par deux beaux gosses blacks à tête rasée qu'elle embrassait tour à tour à pleine bouche. Les deux gaillards avaient pris possession de son corps qu'ils caressaient comme des goujats, montant et descendant la jupe de l'imminente mariée qui frétillait de plaisir !
Je me ravissais du spectacle, excité à la pensée que moins de deux heures auparavant, j’étais en train de baiser cette coquine !
La main de Cathy qui saisit la mienne pour m’attirer sur la piste me sortit de ma fascination.
— Seule c’est sympa, me dit-elle. Mais avec un beau mec, c’est quand même mieux ! ajouta-t-elle.
Notre danse démarra sagement, mais pris rapidement une tournure beaucoup plus sensuelle. Cathy prenait plaisir à caler ma jambe entre les siennes et à onduler alors du bassin.
J'accompagnais ses mouvements d'une main fermement posée sur son dos. Après quelques minutes, je glissai cette même main sous le tissu du haut de la demoiselle, qui sembla apprécier. A califourchon sur ma jambe, elle se cambra en arrière et frotta ouvertement son sexe sur ma cuisse. Puis elle se redressa, vint placer sa bouche contre mon oreille et me souffla :
— Laisse ta main sous mon top et caresse-moi les seins devant tout le monde...
Elle pivota et souda son dos à mon torse. Ma main accompagna son mouvement pour se retrouver sur son ventre, plat et musclé. Je ne tardai pas à la monter, pour empaumer un à un les seins de ma zouk-loveuse et leur infliger de brûlantes caresses. Cathy avait posé sa tête sur mon épaule et déposait des petits baisers sur ma joue. Quelques paires d'yeux, certes essentiellement masculines mais également féminines, commençaient à sérieusement nous mater quand Cathy pivota de nouveau pour revenir face à moi, plaçant son visage à moins d'un centimètre du mien. Nous restâmes quelques secondes les yeux dans les yeux, puis nous nous roulâmes enfin la pelle de l'année. Nos langues entièrement sorties s’emmêlaient à la vue de toute la boite dans une chorégraphie frénétique que ne renierait pas le meilleur réalisateur de cinéma porno ! Je plaquai la coquine contre moi, jambes écartées sur ma cuisse dans la position qu'elle affectionne, et passai mes deux mains sous sa courte jupe flottante pour lui peloter le cul comme un damné. Cathy me dévorait la bouche en tremblant d’excitation. Elle me poussa alors vers l'entrée du box et saisit au passage le bras d’Émilie qui nous matait. Arrivés dans le box, elle me fit asseoir à moitié allongé dans le coin le plus sombre tandis qu’Émilie se plaçait devant l'entrée pour boucher au maximum la vue sur l'intérieur du box qu'on avait depuis la piste. Les coquines ne devaient pas en être à leur coup d'essai tant leur processus semblait rôdé !
Cathy se pencha jusqu’à mon oreille, et me souffla :
— Estelle m’a raconté, petit coquin !! Tu devrais avoir honte de baiser une presque-mariée !! Ne bouge pas, maintenant c'est moi qui vais te baiser comme tu le mérites !!
Elle me gratifia à nouveau d'un long et torride baiser.
Puis, sans plus de préliminaires, elle ouvrit mon jean et mon boxer et sortit ma queue qu'elle se mit à sucer comme une sauvage. Je bandais comme un pendu. La bouche de la miss engloutissait totalement ma bite en de savoureux va-et-vient, qu'elle terminait en agaçant le gland de petits coups de langues secs. Cherry on the cake, l'allumeuse me regardait dans les yeux en m'infligeant sa délicieuse . La tête me tournait. Quand soudain j'arrêtai de respirer, Cathy comprit que j'étais à l'ultime limite de l'orgasme. Elle s'arrêta net et me lança, provocante :
— Pas encore...
Elle s’empara d’une capote dans son sac à main, me l’enfila d’un geste expert, écarta son string sous sa jupe et s’empala sur mon manche, l’enfournant jusqu’à la garde.
- Ne bouge pas... C'est moi qui te baise... me jeta-t-elle.
Elle entama alors une série d'amples mouvements du bassin qui faisaient glisser toute ma bite dans sa chatte comme un piston dans son cylindre. Le plaisir qu'elle se donnait me faisait durcir jusqu'à la douleur. Je sentis monter son orgasme à mesure que ses mouvements se faisaient moins amples mais plus rapide. Soudain, Cathy se compacta, trembla une ou deux secondes, et se laissa emporter par un orgasme si puissant qu'elle en coula des larmes. Presque simultanément, j'explosai à mon tour en tenant fermement la capote de crainte qu'elle ne déborde. Chaque jet de mon orgasme m'emportait plus haut dans le vertige, mon corps me semblait à la fois brûlant et glacé... Je crûs m'évanouir.
La boite fermait une demi-heure plus tard. Nous reprîmes doucement nos esprits. Émilie vint s'asseoir avec nous, et nous dit, malicieuse :
— C’est bizarre, mon string est trempé !!
Cathy se pencha alors vers moi, et me chuchota :
- Au fait, Émilie se marie dans quatre mois. On commence à réfléchir à son enterrement...!!

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